Et si on s'échangeait des poèmes et des jolis mots ?
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 "Ne regrette pas de vieillir, c'est un privilège refusé à beaucoup." 
 La conclusion est identique à ce que le titre du sujet m'avait inspiré.
 Le principal est uniquement d'avoir l'opportunité de vieillir.
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 @plume Facile quand on se recouche aussitôt debout . 
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 @1tel44    
 Sûr, ça fait faire du sport.
 Et maintenant on passe à l'autre paupière ... 
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 Tout commençait bien vu que j'ai un coeur et pas de montre . 
 Que le bonheur m'effraie un peu mais je n'ai rien contre .
 C'est après que ça se gâte pour moi , que ça se dégrade
 Et je me suis très vite imaginé épave en ehpad ...
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 Bonsoir, 
 Et Merci pour ce si magnifique poème !!!!
 En voici un autre pour votre plaisir ! :Il n'y a pas d'age 
 Pour être jeune; comme il n'y a pas d'age
 Pour être vieux : Puisque certains d'entre nous,
 Malheureusement
 Pour eux
 Sont déjà vieux
 A vingt ans...
 Alors que d'autres sont encore jeunes, et encore débordants
 D'enthousiasme, de Bonheur, de Joie
 D'Amour, et de Foi...
 A quatre-vingt-dix ans !C'est pourquoi, nous pouvons vieillir... 
 Nos cheveux peuvent blanchir :
 Mais notre mental; autrement dit...
 Notre façon de penser,
 Amie...
 Peut rester jeune ! Nos forces peuvent s'évanouir :
 Mais nos passions
 Peuvent persister
 Jusqu’à la sénilité.Ainsi, 
 Comme nos désirs incitent à l’action:
 Transformons,
 Pour rester jeune et toujours vaillant,
 Ceux qui sont mauvais
 En désirs salutaires; car cette expérience, CERTAINEMENT...
 Amène un épanouissement
 De l'âme, qui se déploie en beauté
 Spirituelle et en pouvoirs qui rendent libre et parfait...
 Celle ou celui...
 Qui les possède, ET EN VIT !Ce qui, 
 En fait, pourrait,
 Voyez-vous se résumer
 Ainsi :
 
 
  
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 @BRENT 
 Vieillir c est mûrir et mourir un peu chaque jourFaire son deuil de soi de la beauté qui s enfuie et avec elle tout rêve Nous vivons dans une ère de jeunisme On Remplace les anciens par de plus jeune plus beau plus dynamique dans l air du temps Avant un ancien représentait la connaissance le savoir la sagesse Oú sont ils passés ceux qui ont bercés notre enfance ou notre jeunesse plus exactement 
 De l autre coté de l écran ?Vieillir en beauté oui mais Si on ne voulait plus de nous 
 Tous nous nous attachons à paraître jeune
 Pour ne pas disparaîtreMais le masque de l age nous trahira un jour ou l autre 
 50 ...60....70....ansQuand arrivera l heure fatidique oú je serai considérée comme veillie définitivement 
 Je me rassure encore devant ma glace j ai de beau reste mais pas partout ni pour tousBeau bronzé selvete dynamique souriant aux dents blanches comme dans les pubs Beurk non merci pas pour moi mais que me reste t il alors ? Un regard expressif des idées qui fusent et un sourire millésimé Mort de rire 
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 c'est quand même le début de la fin 
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 ... Décorer son cercueil ! 
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 @sanguine 
 Poussière tu retourneras poussière
 Moi je veux mes cendres sur une montagne ou ski la jeunesse à métabief dispersées dans le vent en face des Alpes avec justes mes amis et de l alccol à volonté, même morte encore rebelle
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 @pompon parce que tu sais quand sera la tienne? comme tout le monde chacun son tour .. 
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 @heidi 
 Pourquoi pas pour une dernière volonté !!
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 @pompon a dit dans Vieillir en beauté.... : c'est quand même le début de la fin Ou la fin d'une période transitoire et le début de la vie. 
 A voir ... 
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 La nuit s égraine doucement 
 Je n ai plus sommeil
 Je suis transit de froid
 Les nuits sont fraîches
 A regarder les étoilesJ aime cette accalmie 
 avant le levé du jour
 Ou tout semble possible
 Ou tout semble douxJe rêve que je m envole 
 Vers des destinations lointaines
 Au rythme bien différent
 Celui de la cadence du tempsJe suis déjà un peu ailleurs 
 Depuis longtemps, il suffirait
 Que je franchisse le pas de la porte
 Que je retrouve ma libertéMais je reste planté là 
 Comme une plante accrochée
 A ses racines
 Je pleure de l'intérieur
 Sans bruit aucunJe souffre d un mal 
 Qui s appel l exile
 Dans mon propre pays
 Je suis une réfugiée apeuréeIl s écoule sans moi ce monde 
 Je n y ai aucune importance
 Je survie je suffoque
 Je m étouffeLe bonheur 
 Est si proche
 Je le sent à peine
 Du bout des doigtsSeras tu la ? 
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 Toi qui est jeune encore 
 Profite de ta jeunesse
 Et prend le temps
 De l apprécier
 en tant que telle
 Un monde de possibilité
 Un arbre des possibles
 Diraient certains
 Une fois éteinte
 Peut on faire
 Revenir
 Le doux parfum
 D antan
 De la jeunesse
 J ai eu 20 ans
 Puis 30
 Puis 40
 Et la 50 ene me guette
 Et je pense a ma jeunesse
 J ai bossé sans relâche
 Pour en arriver à quoi?
 Un monde bien fade
 Je ne peux rien
 Réécrire
 Alors je dépose
 Un mignon
 allons voir si la rose
 Un clin d œil poétique
 Pour te dire
 Profite
 Profite de
 Ta jeunesse
 A mille a l heure
 Mais si j ose et j ose
 Pense au temps qui passe
 Bien trop vite....
 Bien trop tôt
 Tu rejoindras
 Le club des vieux
 A la face du monde
 Alors ne regrette rien
 Et fonce ......
 A mobylette
 Ou à vélo
 En train
 Ou en décapotableLa vie est trop courte 
 Trop rapide
 Personne
 ne rattrape le temps
 Je donne le même conseil
 A mon enfant
 Carpe diem .......
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 Après 6 ans de vie commune, il m'a offert son premier cadeau... Mon chat Mon chat, ce félin pacha qui déambule tel un funambule. 
 Ce petit rouge gorge, sorti de sa bulle, vêtu de ses belles plumes.
 Le chat a fait son choix, c'est celui là.
 Le présent.
 A présent, le petit à plumes à la gorge rouge.
 Le chat pas mécontent de s'être servi de ses dents.
 Je, dans tous ça.
 Ecrire quelques lignes à peine digne des petits chants incessant que font les moineaux percher là haut.
 Quand viens l'heure de picorer mes pignons de pains qui ne sont pas un leurre.
 Surtout méfier vous, mon gros à poils vous aime à présent.
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 'Po aime' de Ronsard à toutes les mignonnes de + de 50 ans, et à toutes les autres pour qu'elles aient le temps de l'apprendre avant.  Mignonne, allons voir si l'arthrose 
 Qui ce matin, tant m'ankylose
 Depuis qu'a sonné mon réveil
 Pour clore une nuit de sommeil
 Aura perdu de sa vigueur
 Après un footing d'un quart d'heure.
 Las ! Voyez comme sont les choses,
 Il faudrait que je me repose.
 Mes maux, loin de se calmer
 Las, las, ne cessent d'empirer. Ô vraiment, marâtre nature
 Avec l'âge la douleur perdure !
 Donc, si vous m'en croyez, mignonne,
 Tandis que votre âge fleuronne
 En sa plus verte nouveauté
 Avant que ne ternisse votre beauté,
 Pour assouvir toutes envies
 Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie ! (Reçu par Internet) 
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 Celui-ci est de saison  Voici que la saison décline 
 Victor Hugo
 Voici que la saison décline,
 L’ombre grandit, l’azur décroît,
 Le vent fraîchit sur la colline,
 L’oiseau frissonne, l’herbe a froid.Août contre septembre lutte ; 
 L’océan n’a plus d’alcyon ;
 Chaque jour perd une minute,
 Chaque aurore pleure un rayon.La mouche, comme prise au piège, 
 Est immobile à mon plafond ;
 Et comme un blanc flocon de neige,
 Petit à petit, l’été fond.Victor Hugo, Dernière gerbe 
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 *Au printemps, l'aurore.... A la lisière des monts, 
 le ciel blanchissant lentement s'illumine un peu,puis* s'étirent des nuages teintés de pourpre.
 En été, la nuit de lune, bien entendu, mais plus encore les nuits obscures, lorsque volètent en grand nombre les lucioles. Mais c'est charmant aussi lorsqu'il y en a qu'une ou deux qui vont en luisant doucement.
 Lorsqu'il pleut, c'est charmant encore.
 Puis, lorsque le jour a totaement disparu, on entend le bruit du vent, le chant des insectes, et tout cela est fort émouvant.
 Sel Shônagon ( notes de chevet)
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 O SOLITUDE O Solitude ! si je dois habiter avec toi, 
 Que ce ne soit pas parmi les entassements confus
 De sombres masures ! Gravis avec moi le pic escarpé, —
 Observatoire de la nature, — d’où le vallon
 Avec ses pentes fleuries et le gazouillis cristallin de sa rivière,
 Puisse sembler un empan ; que je passe tes veillées
 Sous des voûtes de branches où le daim, par ses bonds rapides,
 Ecarte l’abeille sauvage de la digitale à clochettes.
 Mais, quoique je sois heureux d’assister à ces scènes en ta compagnie.
 Pourtant, l’aimable causerie avec un esprit naïf,
 Dont les propos sont des images de pensées délicates
 Est la joie de mon âme ; et, sûrement ce doit être
 A peu près la plus haute félicité de la race humaine,
 Lorsque dans tes retraites se réfugient doux âmes sœurs.John Keats 
 
			
		 
			
		 
			
		 
			
		 
			
		