• Se connecter
    • Recherche
    • Catégories
      • Communauté Actualité Cinéma Jeux Lectures Médias Musique Quotidien Séries Société
    • Récent
    • Mots-clés
    • Utilisateurs
    • Groupes

    Citations de vos lectures

    Parler Lectures
    41
    75
    8600
    Charger plus de messages
    • Du plus ancien au plus récent
    • Du plus récent au plus ancien
    • Les plus votés
    Répondre
    • Répondre à l'aide d'un nouveau sujet
    Se connecter pour répondre
    Ce sujet a été supprimé. Seuls les utilisateurs avec les droits d'administration peuvent le voir.
    • Myra flore
      Myra flore dernière édition par

      Ne marche pas devant moi, je ne te suivrai peut-être pas. Ne marche pas derrière moi, je ne te guiderai peut-être pas. Marche à côté de moi et sois simplement mon amie. Les Justes de Albert Camus

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
      • Koursk
        Koursk dernière édition par

        "Ma droite est enfoncée, ma gauche cède, situation excellente, j'attaque!"
        Citation.
        De qui s'agit t'il?

        Les opprimés et les sans-grade ont un espoir. Dans un monde terne et sans pitié la lutte s'articule.
        Code Quantum.

        Un Ancien Utilisateur Un Ancien Utilisateur 2 réponses Dernière réponse Répondre Citer 1
        • Un Ancien Utilisateur
          Un Ancien Utilisateur @Koursk dernière édition par

          @Koursk a dit dans Citations de vos lectures :

          "Ma droite est enfoncée, ma gauche cède"

          La défense de l'OM ? ^^

          Koursk 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
          • Koursk
            Koursk @Invité dernière édition par

            @djino Ça pourrait grave marcher mais ceci est une mauvaise réponse!

            Les opprimés et les sans-grade ont un espoir. Dans un monde terne et sans pitié la lutte s'articule.
            Code Quantum.

            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
            • Un Ancien Utilisateur
              Un Ancien Utilisateur @Koursk dernière édition par

              @Koursk Le Général Foch

              Koursk 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
              • Koursk
                Koursk @Invité dernière édition par

                @Lavinia Votre récompense: 🦆

                Les opprimés et les sans-grade ont un espoir. Dans un monde terne et sans pitié la lutte s'articule.
                Code Quantum.

                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                • Un Ancien Utilisateur
                  Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                  « Ainsi, tout au long d’interminables crépuscules je rêvais et j’attendais; j’attendais je ne sais quoi. Mais dans ma solitude noire, mon désir de clarté devint si fort et si poignant que je n’étais plus capable de me détendre, de me reposer, et que je tournais toujours mes regards et tendais toujours mes mains avides vers cette tour en ruine, sombre et solitaire, qui montait, au-dessus de la forêt, jusqu’au ciel inconnu de l’au-delà. Finalement, je me résolus à faire l’escalade de cette tour, dussé-je y périr : car mieux valait voir le ciel, quitte à en mourir que vivre sans jamais connaître le jour. »
                  Je suis d'ailleurs - H.P. Lovecraft

                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                  • Egon
                    Egon dernière édition par

                    "(Il suffit de rapprocher cette "découverte" qui concerne à la fois la réalité sociale et la "science" et son inconscient, de celle que j'avais faite dans mes premiers travaux sur l'Algérie, au début des années soixante, pour apercevoir que, comme l'accès à l'opinion, l'accès au choix économique éclairé, dans l'acte d'achat, d'emprunt ou d'épargne, a des conditions économiques de possibilité, et que l'égalité en liberté et en "rationalité" est tout aussi fictive dans les deux cas. J'avais en effet établi empiriquement que, en deçà d'un certain niveau de sécurité économique, assuré par la stabilité de l'emploi et la possession d'un minimum de revenus réguliers, propres à assurer un minimum de prise sur le présent, les agents économiques ne peuvent concevoir ni accomplir la plupart des conduites qui supposent un effort pour prendre prise sur l'avenir, comme la gestion raisonnée des ressources dans le temps, l'épargne, le recours mesuré au crédit ou le contrôle de la fécondité. C'est dire qu'il y a des conditions économiques et culturelles à l'accès à la conduite économique tenue pour rationnelle. Faut de poser simplement la question, pourtant typiquement économique, de ces conditions, la science économique traite comme un donné naturel, un don universel de la nature, la disposition prospective et calculatrice à l'égard du monde et du temps, dont on sait qu'elle est le produit d'une histoire individuelle et collective tout à fait particulière)."

                    In Méditations Pascaliennes, de Bourdieu.

                    Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                    • Egon
                      Egon dernière édition par

                      "Il y a des conditions historiques de l'émergence de la raison. Et toute représentation, à prétention scientifique ou non, qui repose sur l'oubli ou l'occultation délibérée de ces conditions tend à légitimer le plus injustifiable des monopoles, c'est-à-dire le monopole de l'universel. Il faut donc, au risque de s'exposer à leurs feux croisés, opposer le même refus aux tenants d'un universalisme abstrait passant sous silence les conditions de l'accès à l'universel - ces privilégiés du point de vue du sexe, de l'ethnie ou de la position sociale qui, détenant un monopole de fait des conditions d'appropriation de l'universel, s'octroient par surcroît la légitimation de leur monopole - et aux défenseurs d'un relativisme cynique et désenchanté. Aussi bien dans les relations entre les nations qu'à l'intérieur de celles-ci, l'universalisme abstrait sert le plus souvent à justifier l'ordre établi, la distribution en vigueur des pouvoirs et des privilèges - c'est-à-dire la domination de l'homme, hétérosexuel, euro-américain (blanc), bourgeois -, au nom des exigences formelles d'un universel abstrait (la démocratie, les droits de l'homme, etc.) dissocié des conditions économiques et sociales de sa réalisation historique ou, pire, au nom de la condamnation ostentatoirement universaliste de toute revendication d'un particularisme et, du même coup, de toutes les "communautés" construites sur la base d'une particularité stigmatisée (femmes, gays, Noirs, etc.) et suspectes ou accusées de s'exclure des unités sociales plus englobantes ("nation", "humanité"). De son côté, la répudiation sceptique ou cynique de toute forme de croyance dans l'universel, dans les valeurs de vérité, d'émancipation, d'Aufklärung en un mot, et de toute affirmation de vérités et de valeurs universelles, au nom d'une forme élémentaire de relativisme qui tient toutes les professions de foi universalistes pour des leurres pharisiens destinés à perpétuer une hégémonie, est une manière, en un sens plus dangereuse, parce qu'elle peut se donner des airs de radicalisme, d'accepter les choses comme elles sont."

                      In Méditations pascaliennes, de Bourdieu.

                      Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                      • loutre
                        loutre dernière édition par

                        « À force de vouloir m’abriter en toi, j’ai perdu de vue que c’était toi, l’orage. Que c’est de toi que j’aurais dû vouloir m’abriter. Mais qui a envie de vivre abrité des orages? Et tout ça n’est pas triste, mi amor, parce que rien n’est noir, absolument rien"

                        Rien n'est noir.
                        Claire berest

                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                        • Astyanax
                          Astyanax dernière édition par

                          Il était l'homme qui lit dans un journal, dans un livre, une phrase bizarre, sur la religion, sur la science, sur l'histoire, sur l'art, sur n'importe quoi, qui s'emballe aussitôt et se précipite, tête en avant, dans l'étude, se ruant, un jour, sur l'Antiquité, tendant d'y jeter la sonde, se reprenant au latin, piochant comme un enragé, puis laissant tout, dégoûté soudain, sans cause, de ses travaux et de ses recherches, se lançant, un matin, en pleine littérature contemporaine, s'ingérant la substance de copieux livres, ne pensant plus qu'à cet art, n'en dormant plus, jusqu'à ce qu'il le délaissât, un autre matin, d'une volte brusque et rêvât ennuyé, dans l'attente d'un sujet sur lequel il pourrait fondre. Le préhistorique, la théologie, la kabbale l'avaient tour à tour requis et tenu. Il avait fouillé des bibliothèques, épuisé des cartons, s'était congestionné l'intellect à écumer la surface de ces fatras, et tout cela par désœuvrement, par attirance momentanée, sans conclusion cherchée, sans but utile.
                          A ce jeu, il avait acquis une science énorme et chaotique, plus qu'un à peu près, moins qu'une certitude. Absence d'énergie, curiosité trop aiguë pour qu'elle ne s'écachât pas aussitôt ; manque de suite dans les idées, faiblesse du pal spirituel promptement tordu, ardeur excessive à courir par les voies bifurquées et à se lasser des chemins dès qu'on y entre, dyspepsie de cervelle exigeant des mets variés, se fatiguant vite des nourritures désirées, les digérant presque toutes mais mal, tel était son cas.

                          En rade, Huysmans.

                          Of course, of course... But... MAYBE...

                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                          • LeaPierce
                            LeaPierce dernière édition par

                            Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes, où je me saoule pour penser à autre chose qu'à toi, avec l'effet contraire. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J'aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n'y arrive pas. Si tu connais un truc pour t'oublier, fais le moi savoir. Je viens de passer le pire week-end de ma vie. Jamais personne ne m'a manqué comme ça. Sans toi, ma vie est une salle d'attente. Qu'y a-t-il de plus affreux qu'une salle d'attente d'hôpital, avec son éclairage au néon et le linoléum par terre? Est-ce humain de me faire ça? En plus, dans ma salle d'attente, je suis seul, il n'y a pas d'autres blessés graves avec du sang qui coule pour me rassurer, ni de magazines sur une table basse pour me distraire, ni de distributeurs de tickets numérotés pour espérer que mon attente prendra fin. J'ai très mal au ventre et personne ne me soigne. Etre amoureux c'est cela : un mal de ventre dont le seul remède, c'est toi. J'ignorais que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie.

                            L'amour dure trois ans, Frédéric Beigbeder

                            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                            • Egon
                              Egon dernière édition par Egon

                              "Nous ne savons ce qu'est bonheur ou malheur absolu. Tout est mêlé dans cette vie, on n'y goûte aucun sentiment pur, on n'y reste pas deux moments dans le même état. Les affections de nos âmes, ainsi que les modifications de nos corps, sont dans un flux continuel. Le bien et le mal nous sont communs à tous, mais en différentes mesures. Le plus heureux est celui qui souffre le moins de peines ; le plus misérable est celui qui sent le moins de plaisirs. Toujours plus de souffrances que de jouissances ; voilà la différence commune à tous. La félicité de l'homme ici-bas n'est donc qu'un état négatif, on doit la mesurer par la moindre quantité des maux qu'il souffre.
                              Tout sentiment de peine est inséparable du désir de s'en délivrer ; toute idée de plaisir est inséparable du désir d'en jouir ; tout désir suppose privation, et toutes les privations qu'on sent sont pénibles ; c'est donc dans la disproportion de nos désirs et de nos facultés que consiste notre misère. Un être sensible dont les facultés égaleraient les désirs serait un être absolument heureux.
                              En quoi donc consiste la sagesse humaine ou la route du vrai bonheur ? Ce n'est pas précisément à diminuer nos désirs ; car s'ils étaient au-dessous de notre puissance, une partie de nos facultés resterait oisive, et nous ne jouirions pas de tout notre être. Ce n'est pas non plus à étendre nos facultés, car si nos désirs s'étendaient à la fois en plus grand rapport, nous n'en deviendrions que plus misérables : mais c'est à diminuer l'excès des désirs sur les facultés, et à mettre en égalité parfaite la puissance et la volonté. C'est alors seulement que toutes les forces étant en action l'âme cependant restera paisible, et que l'homme se trouvera bien ordonné.
                              C'est ainsi que la nature qui fait tout pour le mieux l'a d'abord institué. Elle ne lui donne immédiatement que les désirs nécessaires à sa conservation, et les facultés suffisantes pour les satisfaire. Elle a mis toutes les autres comme en réserve au fond de son âme pour s'y développer au besoin. Ce n'est que dans cet état primitif que l'équilibre du pouvoir et du désir se rencontre et que l'homme n'est pas malheureux. Sitôt que ses facultés virtuelles se mettent en action l'imagination, la plus active de toutes, s'éveille et les devance. C'est l'imagination qui "tend pour nous la mesure des possibles soit en bien soit en mal, et qui par conséquent excite et nourrit les désirs par l'espoir de les satisfaire. Mais l'objet qui paraissait d'abord sous la main fuit plus vite qu'on ne peut le poursuivre ; quand on croit l'atteindre il se transforme et se montre au loin devant nous. Ne voyant plus le pays déjà parcouru nous le comptons pour rien ; celui qui reste à parcourir s'agrandit, s'étend sans cesse ; ainsi l'on s'épuise sans arriver au terme et plus nous gagnons sur la jouissance, plus le bonheur s'éloigne de nous.
                              Au contraire, plus l'homme est resté près de sa condition naturelle, plus la différence de ses facultés à ses désirs est petite, et moins par conséquent il est éloigné d'être heureux. Il n'est jamais moins misérable que quand il paraît dépourvu de tout : car la misère ne consiste pas dans la privation des choses, mais dans le besoin qui s'en fait sentir."

                              In L'Emile ou de l'éducation de Rousseau.

                              Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                              • Egon
                                Egon dernière édition par

                                "Que nous passons rapidement sur cette terre ! Le premier quart de la vie est écoulé avant qu'on en connaisse l'usage ; le dernier quart s'écoule encore après qu'on a cessé d'en jouir. D'abord nous ne savons point vivre, bientôt nous ne le pouvons plus, et dans l'intervalle qui sépare ces deux extrémités inutiles, les trois quarts du temps qui nous reste sont consumés par le sommeil, par le travail, par la douleur, par le contrainte, par les peines de toute espèce. La vie est courte, moins par le peu de temps qu'elle dure que parce que de ce peu de temps nous n'en avons presque point pour la goûter. L'instant de la mort a beau être éloigné de celui de la naissance, la vie est toujours trop courte quand cet espace est mal rempli."

                                "C'est la faiblesse de l'homme qui le rend sociable : ce sont nos misères communes qui portent nos cœurs à l'humanité, nous ne lui devrions rien si nous n'étions pas hommes. Tout attachement est un signe d'insuffisance : si chacun de nous n'avait nul besoin des autres il ne songerait guère à s'unir à eux. Ainsi de notre infirmité même naît notre frêle bonheur. Un être vraiment heureux est un être solidaire : Dieu seul jouit d'un bonheur absolu ; mais qui de nous en a l'idée ? Si quelque être imparfait pouvait se suffire à lui-même, de quoi jouirait-il selon nous ? Il serait seul, il serait misérable. Je ne conçois pas que celui qui n'a besoin de rien puisse aimer quelque chose : je ne conçois pas que celui qui n'aime rien puisse être heureux.
                                Il suit de là que nous nous attachons à nos semblables moins par le sentiment de leurs plaisirs que par celui de leurs peines ; car nous y voyons bien mieux l'identité de notre nature et les garants de leur attachement pour nous. Si nos besoins communs nous unissent par intérêt, nos misères communes nous unissent par affection. L'aspect d'un homme heureux inspire aux autres moins d'amour que d'envie ; on l'accuserait volontiers d'usurper un droit qu'il n'a pas en se faisant un bonheur exclusif, et l'amour-propre souffre encore, en nous faisant sentir que cet homme n'a nul besoin de nous. Mais qui est-ce qui ne voudrait pas le délivrer de ses maux s'il n'en coûtait qu'un souhait pour cela ? L'imagination nous met à la place du misérable plutôt qu'à celle de l'homme heureux ; on sent que l'un de ces états nous touche de plus près que l'autre. La pitié est douce, parce qu'en se mettant à la place de celui qui souffre on sent pourtant le plaisir de ne pas souffrir comme lui. L'envie est amère, en ce que l'aspect d'un homme heureux loin de mettre l'envieux à sa place lui donne le regret de ne pas y être. Il semble que l'un nous exempte des maux qu'il souffre et que l'autre nous ôte les biens dont il jouit."

                                In L'Emile ou de l'éducation de Rousseau.

                                Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                • Noodle
                                  Noodle dernière édition par

                                  Chacun sait bien, dans un recoin de son âme, que le suicide représente une issue, mais que celle-ci n'est qu'une solution de fortune, un peu mesquine et illégitime. Au fond, ils est plus noble et beau d'être vaincu et abattu par la vie que par soi-même

                                  Le loup des Steppes, Hermann Hesse

                                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                                  • loutre
                                    loutre dernière édition par

                                    Extrait de jane eyre.

                                    Ce n’était pas un fantôme, et pourtant je me sentis faiblir un instant ; pendant une minute, je ne fus pas maîtresse de moi. Qu’est-ce que cela signifiait ? Je ne pensais pas trembler ainsi en le voyant, et je ne croyais pas que sa présence me ferait perdre la faculté de remuer ou de parler. « Dès que je pourrai marcher, me dis-je, je retournerai sur mes pas, je ne veux pas devenir complètement idiote ; je connais un autre chemin qui me conduira au château… »

                                    Mais quand même j’en aurais connu vingt, cela ne m’aurait servi à rien, car il m’avait vue.

                                    « Holà ! s’écria-t-il en déposant son livre et son crayon ; vous voilà donc ! Venez ici, s’il vous plaît. »

                                    Je pense que je m’avançai vers lui, quoique je ne puisse pas dire de quelle manière ; j’avais à peine conscience de ce que je faisais, et tout ce que je désirais c’était paraître calme, et surtout dominer les muscles de ma figure, qui, rebelles à ma volonté, s’efforçaient d’exprimer ce que j’avais résolu de cacher.

                                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                    • loutre
                                      loutre dernière édition par

                                      Les drames ne se combattaient pas, ils s'encaissaient, on en tirait de la force ou une bonne épaisseur de couenne en plus, pas une médaille.

                                      Maxime chattam le signal

                                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                      • loutre
                                        loutre dernière édition par

                                        Non, le pire n'est pas d'attendre, c'est de sentir que cette attente se justifie de moins en moins

                                        Claire berest, rien n'est noir

                                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                        • loutre
                                          loutre dernière édition par

                                          Je suis allé à Lourdes avec ma femme.

                                          Il n'y a pas eu de miracle.

                                          Je suis revenu avec.

                                          Nadine monfils, la vieille qui voulait tuer le bon dieu

                                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                          • WatchTheCat
                                            WatchTheCat dernière édition par

                                            "Les hommes pouvaient fermer les yeux devant la grandeur, devant l'horreur, devant la beauté, et ils pouvaient ne pas prêter l'oreille à des mélodies ou à des paroles enjôleuses. Mais ils ne pouvaient se soustraire à l'odeur. Car l'odeur était sœur de la respiration. Elle pénétrait dans les hommes en même temps que celle-ci ; ils ne pouvaient se défendre d'elle, s'ils voulaient vivre. Et l'odeur pénétrait directement en eux jusqu'à leur cœur, et elle y décidait catégoriquement de l'inclination et du mépris, du dégoût et du désir, de l'amour et de la haine. Qui maîtrisait les odeurs maîtrisait le cœur des hommes."

                                            Le Parfum, Suskind.

                                            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                            • 1
                                            • 2
                                            • 3
                                            • 4
                                            • 2 / 4
                                            • Premier message
                                              Dernier message

                                            NodeBB | OVHcloud

                                            Nous contacter