Brightburn : L’Enfant du mal (Brightburn)
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Brightburn est un film américain réalisé par David Yarovesky, et produit et scénarisé par la famille Gunn (responsable par exemple de Guardians of the Galaxy). Le film sortira en France le 26 juin 2019.
Peach pit : Une capsule spatiale s'écrase près de la maison d'un couple de fermiers. Un bébé est à bord et le couple l'adopte et l'élève (malin
). L'enfant a l'air normal comme ça, mais en fait pas du tout.
Le film mélange trois genres : science-fiction, super-héros, et horreur.Ça vous tente ?
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Damien Meets Superman
Every decade gains its identity around the third year. 1990 is actually the last year of the 80s.
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Ce film devrait me plaire et je pense s' il passe chez moi aller le voir .
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@Doc-Cranium Oui c'est carrément ça, visuellement au moins ! J'ai lu quelque part que les premières images étaient inspirées du film Man of steel, mais comme je l'ai pas vu je me rends pas du tout compte...
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Le concept me tente beaucoup ! Par contre, film d'horreur oblige, ce sera forcément en streaming sur le canap et pas dans une salle de ciné.
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@KypDurron a dit dans Brightburn : L’Enfant du mal (Brightburn) :
Par contre, film d'horreur oblige, ce sera forcément en streaming sur le canap et pas dans une salle de ciné.
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@Shanna Parce que j'aime pas les films d'horreur. Non pas qu'ils me fassent peur, au contraire, je m'ennuie profondément quand je suis forcé d'en regarder un avec des potes. Donc jamais de la vie j'irai me payer une séance au ciné pour un film de ce genre.
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@KypDurron Un argument valide.
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pour la sortie ! -
Film vu.
Je suis assez dubitatif.
Le film ne fait pas si peur que ça. Quelques jumpscares semi-efficaces et deux, trois effets de gore n'y suffisent pas. Ce n'est qu'une succession de gens qui se font étriper, chaque fois par un pouvoir différent de Superman.
Ensuite les personnages sont assez pauvrement développés. L'idée d'un superman devenu méchant avait de quoi séduire, mais il aurait fallu que ce cheminement soit travaillé, avec -imaginons- l'enfant qui découvre ses pouvoirs, en ressente de la curiosité, de l'enthousiasme comme de la crainte. Qu'il en fasse maladroitement usage dans un but innocent, mais que, confronté à la peur et l'hostilité grandissante de son entourage, il finisse par perdre pied.
Au final j'en ressors avec l'idée que c'est trop long, que cette 1h30 de succession de meurtre par un super-gamin aurait pu être condensée dans la première demi-heure d'un film de 2h qui aurait couvert jusqu'à la vie d'adulte de notre super-psychopathe,
