@Delnis a dit dans La gestion de notre Santé :
=> 20 000 lits de réa en Allemagne pour 5000 en France, les comptables depuis 20 ans qui détruisent l’hôpital doivent rendre des comptes !!!
Mais ce n'est pas que la Réa, voyons les lits d’hôpitaux pour 1000 habitants:
- 6 pour la France
- 8 pour l'Allemagne
- et tenez vous bien 12 pour la Corée du sud !!!
Chiffres INSEE de février !
D'ailleurs on le sait tous que les hôpitaux sont sous dimensionnés depuis 10-15 ans, c'est une galère pour un rendez-vous, une hospitalisation et que dire des Urgences.
Alors les choix des ARS, des présidents et ministres successifs, d'écrabouiller notre système pour faire des économies, on voit au désastre où ça aboutit, être obligé de confiner un pays , et ça coute combien ? elle est où l'économie bande de baltringues ? Macron ne fait que récupérer le désastre final.
Ces technocrates au cerveau de piaf qui dirigent ce pays avec comme seul cap l'économie à court terme doivent être remis à leur place, celle d'exécutants, car seule la vision et l'anticipation des crises permettent la gestion intelligente d'un pays, qui au final coute largement moins cher.
Jusque là, je suis assez d'accord avec le constat.
Oui on doit dégraisser le Mammouth, supprimer des dizaines de structures administratives et instaurer le septennat non renouvelable, on aura alors peut-être quelqu'un qui prendra de vraies décisions d’intérêt général et pas de la politique à la bricole pour rentrer dans les clous du budget annuel et surtout préparer sa réélection.
On sait aussi que la France est emprisonnée dans l'UE et par leur dogme du 3% et que du coup rien d'ambitieux ne peut être décidé. Se pose encore une fois la question du FREXIT, doit on retrouver notre pouvoir perdu, en gros confié à l'Allemagne et à la BCE ?
Par contre, dans la seconde partie, je ne vois pas le rapport, ni avec la choucroute, ni avec le constat énoncé plus haut. J'y vois plutôt une profession de foi, entendue ailleurs et qui me dérange.
Plutôt qu'un quelqu'un ( ou même une quelqu'une ) providentiel(le), j'opterai sur une réflexion et une refonte de la démocratie où la concertation entre politiques, scientifiques et citoyens ne se réduiraient pas à un dialogue de sourds.