@chouchou13
Si, comme moi, tu aimes acheter en vente directe, sur un marché de producteurs, cela permet d'acheter bio en confiance, même parfois chez certains qui n'ont pas le label mais respectent plus que le cahier des charges.
Mes oeufs sont bio, parce que c'est ma poule à qui j'achète du grain bio qui les pond. C'est aussi un bon moyen !
Je peux ranger mes bottes à bretelles !!!
Pour la première fois cette année, nettoyage de piscine avec les pieds dans l'eau !
J'ai ramassé pas mal de déchets végétaux, et je les ai utilisés pour planter 2 kimis et deux groseillers...
L'eau est encore un peu fraîche, mais rien que les pieds, ça va ...
C'est le moment où je recommence à espérer avoir ma piscine à peu près propre pour les baignades ...
Je ne sais pas quand on va la remettre en route, cette année, parce qu'on doit refaire le ponton.
@Wolfen a dit dans Faut-il légaliser l’euthanasie en France ? :
La dépression, on peut toujours réussir à en sortir, ce n'est jamais irrémédiable, donc on ne va pas aider à mourir des gens sous le seul prétexte qu'ils ne supportent pas leurs vies.
C'est rare, mais il existe des formes sévères de dépression chronique.
Je n'ai plus la source, mais j'avais lu un article sur un de ces malades qui avait fait une demande d'euthanasie, dans un pays ou s'est légalisé.
@Myra-flore
Ce matin, corvée de pendules à remettre à l'heure folle ...
Sauf pour celle de la cuisine qui reste à "l'heure vieille", celle du soleil, qui était encore en concurrence avec " l' heure légale" dans le petit coin d' Armagnac où j'habitais, jusqu'au moment où l'heure Giscard est venue perturber les enfants, les poules et les vaches !
@Wolfen a dit dans Faut-il légaliser l’euthanasie en France ? :
Et quoi qu'il en soit, la personne n'est pas condamnée à souffrir physiquement. Pour moi on ne peut pas lui accorder l'euthanasie juste pour un mal-être purement psychologique, ce n'est pas justifié.
Quand mon fils a été hospitalisé pour la première fois, ma hantise était qu'il soit schizophrène ( en fait il ne l'est pas mais souffre d'une autre forme de psychose ).
L'infirmière du CMP m'avait alors dit qu'on ne savait pas encore quelle "étiquette" mettre sur son mal être, mais qu'une dépression sévère, quand elle était installée était plus difficile à traiter qu'une psychose.
Vivre dans l'angoisse perpétuelle, c'est l'enfer aussi.
D'ailleurs, l'angoisse engendre une douleur physique.
Quand on ne l'a pas vécu de près, je crois que ne peut pas l'imaginer.
Et je peux imaginer que quelqu'un qui vive cette situation depuis de longues années, sans qu'aucun traitement n'arrive à les apaiser préfère tout arrêter.
@Jonesy
Autour de l'enclos de nuit, il y a une protection enterrée à 50 cm tout autour. j'espère que ça ira !
Connaissez vous Josef Schovanec ?
Grace à lui, en fin de carrière j'ai eu la chance de pouvoir remettre en question une partie de ce que j'avais appris plus tôt et de passer des moments d'apprentissage d'échange et de bonheur avec des enfants autistes et trisomiques.
Encore maintenant, il n'a pas fini de m'ouvrir de nouvelles perpectives sur la différence et l'inclusion.
Une nouvelle pépite :
Hier, ici, c'était Pâques, l'anniversaire de ma mère, ( oui, on aime bien faire les choses un jour avant) , et remise du diplôme de "lecteur expert " à mon petit fils .
Le petit Aaron regarde tout ce qui se passe en ouvrant des yeux grands comme des soucoupes.
Je profite de ces journées à 4 générations, avec mes petits, les petits de ma petite, et ma mère qui démarre alertement sa 94 ième année.
Bon, le poulet ( ça faisait un moment que je n'avais pas mangé de viande), le champagne et le chocolat m'ont un peu gâché la soirée, mais peu importe... c'était une belle journée, et en jeûnant le soir, j'ai finalement survécu...
@Marie-Thérèse a dit dans Petites arnaques du quotidien :
N'obtempérez surtout pas.
OK.
Et si c'est des vrais ?
Depuis quelques années, sur le tard, j'ai essayé d'apprendre à penser global, dans la complexité. c'est un lent travail, avec des avancées et des "rechutes", qui demande une vigilance constante.
Dans le même temps, je vois les politiques et les médias nous enfermer dans une réflexion binaire : pour ou contre, républicain ou terroriste, citoyen ou complotiste, omnivore ou dénutri...
Entrainant ainsi les "opposants" à se situer à l'autre pôle de cette simplification du monde : contre ou pour, révolutionnaire ou attentiste, insoumis ou mouton, végan ou meurtrier...
Comment, dans ces conditions, pourrait-on résoudre les problèmes complexes auxquels nous sommes confrontés ?
C'était mon petit coup de gueule du dimanche pluvieux, et je vais relire Edgar Morin ...
@Jami
Je ne convoque plus les croyances, que ce soit religieuses ou ésotériques.
Par contre, j'essaie de vivre les expériences qui se présentent à moi et effectivement, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas... il est inutile d'insister : Il ne te fallait pas de café ce matin !
@myra-flore
Un formateur en permaculture, près de chez moi, termine tous ses messages en nous disant :
Vous êtes une partie de la solution.
Je ne crois pas non plus que le salut viendra des politiciens...
Pour moi, la taquinerie est associée à une certaine complicité.
Mon chanteur préféré, samedi, m'a dédicacé spécialement un morceau au fifre le plus aigu, parce qu'il sait que je n'aime pas du tout ce son.
En retour, après un commentaire très élogieux sur son spectacle ( que j'adore ) je l'ai traité de crapaud pour cette dédicace. On se permet ces taquineries parce qu'on se connait bien et on s'aime bien.
La taquinerie ne contient pas d'agressivité.
Quand les enfant se chamaillent, il s'agit en général, au départ, d'un petit conflit sans gravité, mais qui généralement prend vite de l'ampleur. Et c'est pareil chez les adultes. La seule différence étant que les enfants, après s'être sérieusement fâchés la veille peuvent rejouer ensemble le lendemain sans difficulté. Les adultes.plus difficilement.
@peri
Merci ! Mais je ne mets pas de chlore dans ma piscine, juste des bactéries et de l'oxygène actif pour lutter contre les algues quand c'est nécessaire.