@Cynthia80
Mon expérience, dans l'enseignement privé, c'est d'avoir profité de beaucoup de liberté.
Cela nous a permis, avec mes collègues spécialisées de déployer ( à moyens constants ) nos postes sur toutes l'es écoles du département, pour qu'aucun enfant à besoin particulier de bénéficie pas d'une aide.
Nous avons, avec l'aval de notre hiérarchie organisé notre formation et notre politique de fonctionnement.
@Cynthia80
J'ai personnellement fait toute ma carrière d'enseignante dans l'enseignement privé, ce n'est pas la question.
La question, c'est l'équilibre à trouver entre ses propres intérêts et le bien commun.
Quand on travaille dans un établissement privé participant du système public on reste guidé dans ses objectifs et sa pratique par le bien commun.
A fortiori quand on occupe un poste de responsabilité à la tête de l'état, qu'on soit élu ou nommé.
De plus en plus nos dirigeants sont tellement "hors sol" qu'ils n'ont plus aucune idée de ce que peut être le bien commun. C'est cela qui est problématique.
@Jabba-the-Hutt a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :
Une des caractéristiques sociétales de l'élite est de s'extraire facilement des règles communes. Et une des conséquences de cela est une sorte de mépris pour le respect des règles et de ceux qui les respectent.
Et pour moi, ça devient franchement insupportable.
D'autant que la désobéissance civique, elle n'est pas tolérée.
Je n'espérais rien, mais je suis très triste pour mes amis enseignants et artistes.
Le son, l'expression, la grâce à l'état pur...
@Cynthia80
Je ne te connais pas bien, mais je ne suis pas sûre que tu leur ressembles : En particulier tu sembles ne pas avoir leur confiance en eux mêmes. Et je suis sûre que tu es plus capable d'empathie que tu ne le dis.
Pour ce qui es de la dissonance entre les résultats scolaire et l'adaptation à la vie réelle, j'ai bien peur que ce soit le gros problème du système scolaire...
Un peu plus jeune, c'est tout de même son clone :
Deux premiers de la classe, brillants à l'école, mais complètement ignorants de la vraie vie et aussi empathiques qu'un dictionnaire ou une machine à calculer...
J'ai pas tout suivi mais... Macron s'est bien nommé premier ministre ?
En vrai, c'est chouette aussi...
Nous en rencontrons souvent, de plus ou moins loin, en promenant les chiens ou en conduisant...
Ça se passe toujours pareil : Ils s'éloignent un peu, s'arrêtent, nous observent un moment puis se sauvent en faisant leurs drôles de bonds...
Ils sont seuls, en petits groupes de 2 ou 3 ou plus nombreux, suivant les époques de l'année, et c'est toujours magique.
je n'ai jamais réussi à prendre une photo ! Mais je profite à fond de l'instant, à chaque fois !
Bravo d'avoir réussi à capturer son image !
Sur quelle route du Gers ? ( oui, je sais, il y en a beaucoup ! )
Je n'ai aucun talent de cuisinière, mais à midi, mon compagnon "tout patraque" a bien apprécié ma soupe grecque collectée... sur un autre forum il y a longtemps et un peu revisitée :
Je jette du riz dans de l'eau bouillante salée.
Quand le riz commence à cuire j'y ajoute un filet de poulet coupé en dés.
Quand c'est cuit, j'éteins le feu.
Je monte 3 blancs d'oeuf avec du jus de citron en neige.
j'y rajoute doucement les jaunes en continuant à battre , puis je verse doucement le mélange dans la soupe.
J'adore ça et c'est vraiment très digeste.
Le chant n'est pas nouveau ( je l'ai déjà dansé en bal ) mais nouvelle vidéo de Arredalh, qui chante l'amour de leur Comminges.
Le son, la langue, les images... du pur bonheur...
Inspiré par un réveillon mémorable :
Une nuit très, très courte, un petit déjeuner chargé en cafés, une route du retour agréable, ensoleillée et en musique, et me voilà affalée sur mon canapé avec mes chiens dans un semi éveil confortable.
J'ai suffisamment dansé pour sentir que mon corps est bien vivant sans être réellement endolorie.
Hier, pour sauter d'une année à l'autre, nous sommes une fois encore allés participer au réveillon organisé par le Cercle Occitan Commingeois, à Saint Gaudens.
Comme d'habitude, tout était parfaitement organisé et l'accueil chaleureux.
L'apéritif généreux s'est déroulé en cantère, de quoi commencer à nous mettre dans l'ambiance.
Une déception nous attendait au début du bal : Arnaud Bibonne, souffrant, n'était pas là. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement et espérons le retrouver prochainement dans un bal.
Lolita Delmonteil Ayral, Maider Martineau Zubieta et Vianney Desplantes se sont multipliés pour atteindre leur objectif, satisfaire en même temps danseurs trads, danseurs folks et danseurs débutants.
Ils ont réussi avec brio. Ils nous ont fait danser d'une année à l'autre, ils nous ont tour à tour charmés, amusés, enchantés, fait rire aux larmes...
Leur énergie semblait inépuisable et ils nous l'ont transmise jusque très tard, enfin, assez tôt... Ils ont même participé, après la soupe à l'oignon, au boeuf qui a encore réuni les derniers danseurs irréductibles, avant d'aller ranger leur matériel.
Un immense merci aux organisateurs et aux artistes pour ce magnifique moment duquel je n'ai pas encore complètement émergé...
@ayamé
Oh ! Si âgé que ça !
Je pense parfois à lui... Peut-être que s'il s'était décidé à se présenter aux élections présidentielles...
@Cygoris
Un mois ( un peu plus, j'avais envoyé le chèque en avance ) pour faire parvenir un courrier je trouve que c'est... un peu long, tout de même ...
Et comme mon inscription aux ateliers danse sera validée quand ils auront reçu le paiement, j'espère que cette fois ce sera plus rapide !
J'ai travaillé ce cantique de Noël en cours de chant, je l'ai dans la tête et je voulais vous en trouver un enregistrement. j'en ai trouvé un très, vraiment très original, par la famille Artus !
Une particularité de ces cantiques, c'est que les paroles sont à moitié en latin, à moitié en gascon.
Mail du COMDT ( centre occitan de musiques et danses traditionnelles ) : Ils viennent de recevoir ( et déchirer ) le chèque que j'avais envoyé pour le concert du ... 18 novembre !
On avait payé nos places en liquide, vu qu'ils n'avaient pas reçu le chèque et promis qu'ils le déchireraient à réception. J'avoue que j'avais oublié...
Par contre, je leur ai répondu : je leur ai aujourd'hui même renvoyé un chèque pour les ateliers du 28 janvier...
Je les appellerai après les fêtes pour vérifier...
Comme ce n'est pas facile de se remettre au carillon après avoir passé au moins 10 ans sans y taper du poing, j'ai demandé conseil à notre carillonneur local qui a été un de mes premiers élèves à L'isle Jourdain, en GS, il y a... bien longtemps .
Il m'a gentiment proposé de monter dans le clocher pour le voir carillonner le Nadalet.
C'était super, et bien plus sportif que le carillon d'étude !