@Jabba-the-Hutt

Ben non, justement !
Le jeu, c'est de commencer les travaux au plus vite et de mettre ensuite devant le fait accompli.

De plus, il me parait évident qu'il faut revoir complètement notre façon de fonctionner, de nous déplacer et de construire. Faisons avec l'existant, continuer de construire des autoroutes n'a plus de sens...

@Jabba-the-Hutt

Tu es sûr ?
reporterre.net/A-Strasbourg-la-justice-donne-raison-aux-opposants-alors-que-l-autoroute-est-quasi-finie

Attendons la suite... la police de l'environnement vient d'arriver sur le site...

@agathe
C'est important de diffuser ce qu se passe là bas : Au début, c'était une simple lutte de militants écologistes pour les pouvoirs de l'argent, mais ça devient vraiment inquiétant... pour la démocratie !

Avez vous suivi a lutte du groupe national de surveillance des arbres et de la voie est libre pour défendre un site classé à haut enjeu écologique ? ?

Depuis 3 jours que je jeûne, je les suis le plus possible en direct sur Instagram.

Ce matin, un "écologue" est rapidement passé après des nuits de tintamarres et d'illuminations nocturnes pour empêcher les écureuils ( militants perchés dans les arbres ) de dormir, après des jets de gaz lacrymogènes pour éloigner les militants à terre et au son des tronçonneuses.

Un écureuil a commencé une grève de la soif.

Les "forces de l'ordre" ont effectué des coupes ( illégales ) en mettant leur sécurité et celles des écureuils en danger. Ils continuent.

Les journalistes ne peuvent pas filmer, les CRS ont placés leurs camons devant les écureuils et ont installés des barbelés pendant la nuit.

Heureusement, les écureuils arrivent à faire des vidéos régulièrement.

Je suis anéantie de constater les atteintes à la démocratie qui se multiplient et pleine d'admiration pour ces jeunes déterminés, non violents et conscients des enjeux écologiques actuels...

Essayez d'aller les voir et les écouter et si vous avez des idées pour les aider... je me sens tellement impuissante !

@ayamé a dit dans L'hypersensibilité :

Bon, plus sérieusement : je crois qu'en vieillissant, on devient de moins en moins hypersensible. Tout passe, tout casse, tout lasse ?

Ça, j'en ai longtemps rêvé...
Mais maintenant je n'y crois plus trop.
Je gère mieux, oui, mais il m'arrive encore de me faire surprendre, et ça peut être douloureux un moment.
Heureusement, les enthousiasmes aussi restent démesurés...

@icescream
Pas grave, contrairement à mes chiens, il ne doit pas se sauver si on arrive avec l'aspirateur...

@Cygoris
Mais moi je le veux MAINTENANT !

D'une génération où le concept n'existait pas encore, je me suis entendu reprocher d'être "trop sensible" toute mon enfance et mon adolescence.
Du coup, c'est une question que je refuse de me poser.
Quand une émotion négative me submerge, je préfère me retirer un moment pour observer cette émotion et l'apprivoiser.
Et les émotions positives... j'en profite à fond...

@Kachina
Pour moi, c'est le contraire : Le peu de poulet et de porc que je consomme, je les achète directement à des producteurs bios qui viennent sur le marché de temps en temps et me préviennent avant. On restaurant, on ne sais pas trop la provenance des ingrédients...

@Mayhem
Avec le temps, je n'en ai plus envie : C'est si bon un plat peu salé mais très parfumé où se rejoignent légumes frais, légumes secs et céréales...

@Chloé
Cet article répond en même temps à ta question.
Si tu trouves un petit non sevré, c'est du lait maternisé pour chiot ou chaton qui conviendra.
https://www.lpo.fr/decouvrir-la-nature/conseils-biodiversite/conseils-biodiversite/accueillir-la-faune-sauvage/faut-il-donner-a-manger-aux-herissons

@Chloé
Ne JAMAIS donner de lait aux hérissons : oui, ils le boivent, mais y sont intolérants...

Ce week-end, au CMDT à Toulouse, ce sont les rencontres quelles danses pour quels bals. Cela m'a inspiré une réflexion sur ma proppre pratique de la danse...

Les rencontres autour de la danse, c'est ce week-end... et j'ai hâte d'y être, d'entendre toutes ces personnes qui nous font ou nous apprennent à danser...
Du coup, je me pose la question : Pourquoi la danse occupe-t-elle, depuis toujours, une telle place dans ma vie ?
Les premiers pas dont je me souviens, j'avais 4 ans, c'était à Clermont Ferrand dans une école dont le nom de la directrice me faisait rêver. Titane Saint Hubert...
Il y a eu ensuite plusieurs cours, plusieurs professeurs, au fil des déménagements : rythmique, classique, méthode Irène Popard...
En 1974, je suis arrivée dans le Gers et, moi qui n'étais de nulle part j'ai voulu y planter des racines.
C'est donc naturellement que j'ai très vite rencontré les danses traditionnelles, dans un atelier... à la prison de Condom !
Puis, à l'Isle Jourdain j'ai découvert les bals mensuels de la Maisoun Mjc et c'est finalement là que je me suis posée...
J'ai appris à danser, en dansant et j'ai beaucoup dansé, beaucoup tourné, beaucoup sauté... jusqu'au jour ou je me suis fait semoncer par Léa Saint-Pé pour avoir sauté la polka alors qu'elle jouait sous la halle de l'Isle Jourdain qui n'était pas encore le musée campanaire.
La danse a été le premier vecteur de mon intégration en Pays Gascon.
J'ai renoncé aux bals quelques années : Mon compagnon n'était pas danseur, les enfants étaient petits. Je retournais à la MJC un soir par semaine pour de nouvelles découvertes : modern jazz, contemporaine, africaine...
Je suis revenue au trad grâce au Carnaval Gascon qui a mis en place un atelier avec Paulette... et j'ai réappris à danser. Plus précis, plus glissé... et le plaisir s'en est encore accru.
Le retour au bal a été... thérapeutique.
En 2003, au décès du père de mes enfants, j'étais triste et fatiguée. Le sommeil me fuyait... Danser jusqu'à épuisement, tous les samedi soir me vidait la tête et m'offrait une nuit de sommeil réparateur. Je crois que c'est grâce aux bals trad que j'ai pu faire face, m'occuper de mes enfants, continuer à travailler.
Le goût de vivre est petit à petit revenu, le goût du bal est resté, redevenu joyeux.
Depuis, je n'ai pas arrêté de danser...
Danser, c'est me laisser porter par la musique, guider par un partenaire, envelopper par un groupe.
C'est me référer à un code, à des règles qui offrent les bases d'une merveilleuse liberté de mouvement.
C'est vibrer aux mêmes fréquences que les musiciens.
C'est rencontrer des gens de toutes générations et d'innombrables façons de danser .
Pour moi, j'aime à connaître les différentes formes collectées, et j'aime aussi m'en évader.
Et, encore à mon âge, j'aime glisser, virevolter, tournoyer, au même rythme que les musiciens et les danseurs.
Si je vis longtemps, peut-être qu'il faudra m'inventer un déambulateur à roulettes, pour que je puisse danser encore...

Ce soir, cours d'occitan.
Comme la dernière fois j'avais fait remarquer que c'était vraiment difficile pour les débutants de s'exprimer oralement au milieu de ceux qui étaient déjà un peu locuteurs, le prof nous a proposé des situations à préparer, puis à "jouer" à lire, en fait, pour l'instant.
Dans mon groupe, nous nous sommes beaucoup amusés à rédiger et avec une autre vraie débutante nous avons présenté aux autres... qui ont compris ce que nous disions !
Cela m'a bien encouragée !

@wawa007
Alors ça, je n'aurais pas confiance...
Une bonne couette, maintenant en en fait de légères, et des draps en flanelle l'hiver, ça suffit !

@Marcel
Je crois aussi que les possibilités de confort nous ont donné des habitudes... contre nature.
Quand j'ai pris ma retraite, j'ai décidé

• de faire attention à mes dépenses énergétiques
• de ne pas vivre dans l'inconfort.
  Au début, je chauffais à 16 degrés les pièces où je n'étais pas.
  Je montais à 18 degré dans la cuisine quand j'y étais, à 17 dans la chambre, à 20 dans la salle de bain pour prendre la douche.
  Au bout de 7 ans de retraite ( j'ai donc vieilli d'autant ), je suis bien pour dormir à 16 degrés, pour prendre la douche je monte à 19 degrés mais je n'attends pas que ça ait beaucoup chauffé pour commencer à me doucher.
  Dans la cuisine, on ne monte plus qu'à 17. Dans le salon, le poêle fonctionne bien et le soir il fait 17 ou 18 degrés, avant moins mais cela m'est égal puisque je bouge, sinon, je mets une couverture...
  Je n'attrape ni angine ni bronchite, parfois des petits rhumes qui ne résistent pas aux tisanes thym-miel...

Avant l'électricité je pense qu'on ne chauffait pas autant qu'aujourd'hui, et je pense qu'il va falloir y revenir, tant pour la santé que pour l'énergie...

@Marcel

C'est drôle, parce que même en période de grand froid, comme ces jours ci, c'est... rien du tout, avec un peignoir sur le lit pour me lever .
Et dans la chambre, on maintient la température à... 16° !
Par contre, dès que je jeûne, j'ai froid : je me suis acheté un pyjama chaud. Et s'il ne fait pas très chaud, il me faut des chaussettes ( alors que depuis que je suis à la retraite je n'en porte plus, je suis pieds nus la plupart du temps.)

Hier, soirée dans la bastide de Pavie ( dans le Gers, bien sûr ).
Histoire des lieux, histoire de la forme gasconne de l'occitan ( créolisation du proto basque et du bas latin ) qui se serait "fixé" vers l'an 1000, et toponymie.
C'était passionnant et je me suis noté plein d'informations...

Ce matin, c'était l'anniversaire de mon musicien chanteur préféré, Guillaume Lopez, et je me suis lancée : J'ai rédigé mon message en gascon . ( Bon, lui parle plutôt languedocien, mais on se comprend ! )
Il m'a remerciée en occitan.
Parler, je ne suis pas encore prête, mais écrire, dictionnaire du tel d'une main et fiches de grammaire de l'autre, ça me prend un peu de temps, mais j'y arrive !
Je suis trop fière d'arriver à faire ça à presque 70 ans, moi qui ai toujours été nulle en langues...

@Mnemmeth
Ah zut ! Tu as un PC qui n'aime pas les souris...