Meilleurs messages postés par Artelise

Artelise

@Shanna

un truc flippant.

Artelise

@Marcel

Perso, je pensais surtout à

C'est un passage qui, même en tant qu'adulte continue de m'angoisser. ^^

Artelise

Lady Astronaut est le titre d'une série de livre écrite par Mary Robinette Kowal.

Les 3 tomes qui composent la série sont :

Vers les étoiles 2020 - (The Calculating Stars, 2018)

Vers Mars - 2021 - (The Fated Sky, 2018)

Vers la lune - 2022 - (The Relentless Moon, 2020)

Il s'agit de livre de Science Fiction uchronique.

Le point de divergence avec notre monde actuel est situé en 1952, lorsque l'auteur imagine qu'un météore s'écrase sur terre ; ce qui, outre la catastrophe immédiate, provoque un profond dérèglement climatique qui rendra en quelques décennies, la planète inhabitable.

Dans le tome 1, vers les étoiles : La décision de partir à la conquête de l'espace est prise (entre autres décisions). Les états se coordonnent. Et les projets fleurissent. Pourtant, époque oblige, ce n'est pas sans discriminations en tout genre que cette évolution et ces progrès s'effectuent. Et Elma York - ancienne pilote de guerre, mathématicienne de génie et calculatrice de métier - va tout faire pour devenir astronaute.

Je mets les autres synopsis sous spoiler, parce que, mine de rien, ben, ça spoile un peu ^^

Mon avis.

Je n'ai lu, jusqu'à présent que le tome 1.
Je l'ai beaucoup apprécié et j'ai clairement compris pourquoi ce récit avait réussi à récolter autant de prix.

Prix Hugo - 2019
Prix Locus - 2019
Prix Sidewise - 2018
Prix Julia Verlanger - 2021
Prix Nebula - 2018

J'ai quelque peu retrouvé l'esprit du livre de Margot Lee Shetterly, Les Figures de l'ombre. J'ai lu cette critique : "Récit d'une conquête spatiale digne de L'étoffe des héros" et je suis assez d'accord. La plume est belle et agréable à lire et les bases scientifiques nous sont servies avec intelligence sans rendre l'ouvrage indigeste.

Bref, un très bon ouvrage.
Je pense que je ne tarderai pas à m'offrir (ou me faire offrir ) les tomes 2 et 3.

Artelise

Honnêtement, de toute façon, les différents gagnants des saisons précédentes l'ont tous prouvés à leur façon: ils n'ont pas besoin d'une étoile michelin pour faire la carrière dont ils ont envie. ça me semble clairement être du pur marketing de la part du Guide Michelin. Ils veulent juste redorer et rajeunir leur image.

A noter que ce n'est pas cette démarche qui me fera consulter leur guide plus souvent. ^^

Artelise

@Lapin

je plussoie, sur le coup.
D'autant que à l'origine, le mot Lasagne désigne d'abord les pâtes et seulement ensuite, le(s) plat(s) que l'on fait avec en respectant le principe des différentes couches superposées et une sauce pour lier le tout.

Même principe avec les ravioles / raviolis et les Cannellonis

Artelise

@Shanna

ça fait peur... ^^

Artelise

@Jed a dit dans Avengers : Endgame :

Stark qui veut bien changer les choses mais bon au final pas trop
Piper en mode avoir un seul enfant de toi, ça faisait longtemps que j'attendais mais bon maintenant tu peux aller risquer ta vie et notre famille! pas grave.

C'est une critique que j'entends souvent par rapport aux personnages de Marvel et je pense aussi à Wanda dans le film "a multivers of Madness". Je crois surtout que finalement, les personnages sont moins basiques que ce que les gens en attendent. Ils ont des personnalités complexes avec une vraie évolution, des motivations qui changent, un sens du sacrifice que certains ne sont pas capables de comprendre. Non, Piper ne s'en fout pas de voir Tony Stark aller risquer sa vie. Non, elle ne le laisse pas partir le coeur léger. Juste, elle respecte son choix. Juste, elle comprend qu'il y a une cause, un combat qui va au-delà des ses désirs et besoins propres et que malheureusement, l'homme qu'elle aime fait partie de l'élite qui, seule, reste capable d'aller mener ce combat.
Et la personnalité de Tony Stark est également l'une de celle qui sont les plus complexes de l'univers Marvel. On est face à un personnage bien plus fragile que son attitude le laisse penser. Il est bourrés de doutes, de manque de confiance en lui, ce mec et son arrogance perpétuelle et sa morgue sont des masques qui, à l'instar de ses armures, lui permettent de donner le change. Et oui, parfois, malgré ses grandes idées, ses grandes théories et son désir de faire avancer / changer les choses, il reste humain et il lui arrive de douter et de finalement hésiter.

Thanos... par contre, lui, je suis d'accord, sa philosophie est tordue. Et c'est peut-être bien ce qui le rend si dangereux puisqu'il est convaincu que ce qu'il fait, c'est pour le bien de tous ^^ Un terroriste dans toute sa splendeur quoi ^^.

Pour Captain America... euh.. je ne me souviens même pas de son rôle dans le film.. c'est dire à quel point, pour le coup, je suis d'accord avec toi !

L'humour... euh.. oki, sur cet opus, c'est moins réussi que dans certains autres films.

Artelise

Fiche de présentation :

Titre : Les figures de l'ombre.
Titre original (anglais) : Hidden figures - The american Dream and the untold story of the black women who helped win the space race.
Auteure : Margot Lee Shutterly

Edition originale chez William Morrow and Company en sept. 2016
Edition française chez Harper Collins en févr. 2017

text alternatif

Sujet :

Ce livre, rigoureusement documenté et ancré dans les faits historiques, nous transporte à une époque marquée par la Grande Dépression, la Seconde Guerre mondiale, et les années tumultueuses qui ont suivi jusqu’en 1969. Il relate l’histoire de la création de la NACA – ancêtre de la NASA – et l’essor de l’aviation, avant de plonger dans la course à l’espace, le tout sur fond de luttes sociales et civiques.

Au cœur du récit se trouvent celles que l’on surnommait les « human computers » – littéralement « ordinateurs humains », ou « calculatrices humaines ». Ces femmes avaient pour mission de réaliser, à la main, des calculs complexes basés sur les équations élaborées par des ingénieurs, un métier alors exclusivement masculin.

Le livre s’attarde sur les destins croisés de quatre figures emblématiques :

Katherine Johnson : Mathématicienne de génie, elle a su s’imposer dans un univers masculin malgré les discriminations liées à son genre et à sa couleur de peau. Ses calculs furent cruciaux pour le succès des missions spatiales de la NASA.
Dorothy Vaughan : Pionnière en informatique, elle a pris l’initiative d’apprendre le langage Fortran et a brillamment dirigé l’équipe des « West Area Computers ».
Mary Jackson : Déterminée et courageuse, elle a surmonté des obstacles bureaucratiques et éducatifs pour devenir la première femme noire ingénieure de la NASA.
Christine Darden (évoquée plus brièvement) : Elle s’est distinguée par une carrière exceptionnelle dans l’aérodynamique et le design supersonique.

Si Hidden Figures parle de conquête spatiale, il aborde également des thématiques profondément humaines : la ségrégation raciale, les préjugés sexistes, et les nombreuses luttes que ces femmes ont dû mener pour accéder aux mêmes opportunités universitaires et professionnelles que leurs homologues masculins.

Mon avis :

Il faut le savoir, le livre est un roman dit "non fictionnel".
L'auteur n'est pas une écrivaine de métier. Et cela se sent parfois dans le style de son récit.
Elle nous raconte les destins de ces femmes, elle nous parle de leur luttes, de leurs rôle dans la conquête spatiale, mais de manière plutôt brute. ça peut paraitre déroutant au début, mais on se fait rapidement à son style très factuel et on se retrouve vite captivés par son récit.

c'est un livre que j'ai particulièrement aimé et que je recommande aux lecteurs passionnés d'aéronautique et par la conquête spatiale, mais également à toutes celles et ceux qui souhaitent mieux comprendre les bouleversements sociaux qui ont secoués les états unis à cette époque.

Artelise

@LeaPierce et @Hornet
Je pense qu'il s'agit d'un double problème.
Le premier, c'est que les créatrices de contenu françaises sur youtube peinent à se faire connaitre et pourtant, elle existent bien : Dooms, Pressea, Maghla, Shera Kerienski, Natoo, EnjoyPheonix... etc.
Et le second, comme l'a fait remarqué @Cuillère, c'est que ce genre de jeux et, par extension, de contenu, ne correspondent pas toujours à leur image, leur personnalité ou ce qu'elle ont envie de proposer et/ou mettre en avant.

Donc, l'un dans l'autre, que Squeezie ai réussi à obtenir la participation de deux youtubeuse, c'est pas mal, je trouve.

Ceci dit, il reste vrai de dire que la création de contenu reste encore un domaine où les hommes sont plus présents que les femmes. La proportion homme/femme lors de Zevent 2025 en témoigne.

Artelise

@Jed a dit dans Le meilleur plat de l'univers (selon nous) - Le résultat de vos votes ! :

J'espère que c'est pas tous les fromages

je connais ça... mon fils n'aime pas le fromage, au point d'être indisposé par l'odeur - ça lui coupe l'appétit. Quand on fait une raclette à la maison, c'est fenêtres ouvertes pour évacuer l'odeur et il mange autre chose dans sa chambre ou le salon.
Et pour les autres plats (tartiflette, par ex) c'est pareil ou alors, on s'arrange pour en manger lorsqu'il n'est pas là.

Sinon... pour la raclette : quand on recherche la saisonnalité, on peut aussi faire varier les pommes de terres et certaines charcuteries, c'est la (re) découverte assurée à chaque fois, surtout si on s'amuse à faire un raclette dédié à une zone géographique donnée - charcuteries corses / allemandes / italiennes / espagnole...

Artelise

A= Angel's last mission : Love.
B = Beyond your touch
C = Coffee Prince
C = Demande aux étoiles (en cours).
E = Eve
F = Flower crew
G = Glitch (en cours)

Artelise

@Shanna a dit dans Everything Everywhere All at Once :
Perso j'en ai rien eu à secouer du msg

"il faut faire des câlins à sa fille"

Je trouve que ça va bien au-delà de ça.
Mais comme toi, je respecte que l'on soit tous sensible, finalement à un ou l'autre aspect du film.
Moi, j'avoue que j'aime qu'ils aient simplement osé le concept et qu'ils aient assumés, jusqu'au bout le côté absurde de certaines scènes.

Artelise

Titre : Le voyageur d'Histoire
Auteur : Bruno Solo
Edition du Rocher
Année de parution : 2023

text alternatif

J’ai entamé Le voyageur d’Histoire de Bruno Solo un peu par curiosité, un peu par affection pour son auteur.

Bruno Solo, que l'on connaît surtout comme acteur et scénariste (Caméra Café ; La vérité si je mens! - film que je n'aime pas particulièrement personnellement, mais qui reste un incontournable), est aussi un passionné d’Histoire. Depuis plusieurs années, il la partage à travers des documentaires et des émissions comme La guerre des Trônes sur France Télévisions.

Ce qui m'a plu et convaincu en premier lieu : c'est le format du livre. Car il est relativement court, avec des chapitres concis, parfaits pour une lecture en mode “un petit moment pour moi” ou "j'ai du temps à tuer". On peut facilement lire un portrait par jour ou se laisser tenter par plusieurs à la suite sans se sentir submergé.

Ensuite, et je l'avoue je l'ai découvert seulement une fois le livre en main, l'un des ses principaux atouts c'est le choix des personnalités qui est étonnamment hétéroclite – et c’est ce qui fait tout le charme du livre. De Cléopâtre (la “divine-reine”, rien que ça) à Suétone (franchement, qui le connaît vraiment, celui-là ??? ), en passant par Artemisia Gentileschi. Son tableau Judith décapitant Holopherne m’était familier, mais je réalise maintenant que j’aurais dû retenir son nom… et son histoire. Grâce à Bruno Solo, c’est chose faite.

Par ailleurs, Bruno Solo adopte une approche originale et respectueuse, sous la forme d’interviews fictives. Il s’adresse aux figures historiques avec tact et finesse, choisissant des mots et des thématiques qui nous permettent de les rencontrer “en vérité”, dans ce qu’ils et elles ont d’essentiel. C’est presque intime, et surtout très humain.

Autre point fort : ces “entretiens” ont lieu dans des contextes historiques reconstitués, ce qui donne un charme fou à la lecture. On ne rencontre pas seulement un personnage, on voyage avec lui dans son époque, dans son “jus”, si je puis dire.

Le ton employé par Bruno Solo est à la fois respectueux, naturel et ponctué de petites touches d’humour – toujours bien dosées. C’est agréable à lire, jamais pédant, et ça donne envie d’en apprendre plus.

Alors certes, j’avoue ne pas avoir tout saisi de la personnalité de Hildegarde de Bingen (un esprit un peu trop mystique pour moi ?), mais il a réussi à me donner presque envie de lire Rabelais – presque, hein ^^ – et j’ai mieux compris comment et pourquoi l’Ordre des Templiers a été réduit à néant, et son grand maître brûlé vif.

En résumé, même si je ne l’ai pas encore terminé, ce livre m’a déjà beaucoup appris. Il aura une place de choix dans ma bibliothèque. Un vrai coup de cœur pour les amoureux et amoureuses d’Histoire, curieux de rencontres inattendues.

Et vous ?

Est-ce un style de livre qui vous intéresse ?
Même si vous n'êtes pas un féru d'histoire, pensez vous que ce format et cet approche pourrait vous séduire et vous réconcilier avec l'histoire, ne serait-ce qu'un peu ?
Et si vous êtes, au contraire, un passionné d'histoire et d'Histoire, pensez vous que ce livre pourrait vous apporter quelque chose ?

Artelise

Y a des marques qui ne manquent pas d'imagination ..

Pedigree, la célèbre marque d'alimentation pour chien, a imaginé un concept plutôt original : utiliser le mouvement de la queue des chien pour diriger un orchestre !

Le résultat est disponible sur

.

Artelise

@Lapin

ahhh oki.
Et je confirme, c'est pas le truc le plus drôle à faire en cuisine, ça et farcir des cannelonis .. brrr.

Artelise

A = Angel's last mission : Love.
B = Beyond your touch
C = Coffee Prince
D = Demande aux étoiles.
E = Eve
F = Flower crew
G = Glitch !
H = Hello Monster !
I = Itaewon Class
J = J'irais te voir dans ma prochaine vie ou Joseon Attorney : a morality..
J'ai pas encore décidé.

Artelise

@Hilda-1 a dit dans Star Wars (série de films) :

Tous les jedis doivent mourir pour laisser la place à leur apprenti(e).

euh.. ^^ et comment et pourquoi ?
On peut passer le relais sans forcément y rester.
Si Disney a fait mourir les personnages et les icônes, des trilogies précédentes, c'est par fainéantise scénaristique. Les 3 derniers films, c'est bêtement au niveau dynamique, du copié coller de la trilogie originale. Pire, c'est du copié / collé sans justification. Luke se retrouve au fin fond d'un coin de la galaxie encore inexploré ou quasi complètement ruiné (tant physiquement que moralement) et tout ça sans qu'on est le moindre début d'explication. Qu'il soit parti en quête du savoir originel, oki. Mais pourquoi ne pas être revenu ? C'est une loque quand on le retrouve et on a aucune explication. Pourquoi détruire ce héro ? Non pas seulement le tuer comme ils l'ont fait de manière totalement conne pour Han Solo, mais le détruire, fouler au pied le personnage et tout ce qu'il représente (acceptation de sa part d'ombre pour mieux la dominer, courage de faire face à la mort plutôt que de basculer du côté obscur comme son père l'avait fait, courage d'aller affronter un ennemi alors même que sa formation n'était pas terminée car sa loyauté envers ses amis avait la priorité à ses yeux...)
A la limite, il aurait pu la rencontrer en fier mais vieillissant jedi, et lui faire comprendre que ce qu'il avait apprit au cours des ses voyages et ses recherches l'avait conduit à penser que l'ordre Jedi tel qu'il avait existé jusqu'alors avait des failles, avait mal évolué ou avait été bâties sur de mauvaises bases ou que sais-je d'autre encore. Il aurait pu lui apporter un soutien moral, lui transmettre deux trois idées / partager deux trois point de vue, discuter philosophies un moment et l'aider à comprendre la nature de la Force, avec ses limites, ses contraintes, ses dangers et la renvoyer dans le monde en lui expliquant que si elle restait près de lui trop longtemps, il risquait de trop l'influencer alors que, en réalité, il fallait qu'elle trouve une nouvelle voie par ses propres moyens...
Bref, il y avait d'autres choses à imaginer et penser. Et le personnage de Rey aurait pu prendre son envol et s'enrichir / s'épanouir autrement. Mais non, le personnage manquait tellement d'intérêt que pour la mettre un minimum en valeur et pour donner l'impression qu'elle était vraiment le seul et ultime espoir de la galaxie (tiens, on l'aurait pas déjà entendu ce couplet ??!!) il fallait décrédibiliser puis tuer le seul et unique Jedi encore en vie ^^

Et on en parle de comment l'empire a réussi à réunir les moyens nécessaire à construire une nouvelle super arme tellement puissante et menaçante ? Comment il n'est pas crédible que personne n'arrive à convaincre personne de la menace imminente et de comment une armée régulière en vient à ne finalement avoir pas plus de moyens, de ressources, de soutien et de renfort qu'une armée rebelle ? Sérieux ?

Aucune imagination, incapacité totale à renouveler la dynamique et à imaginer une suite cohérente. Et incapacité à créer des personnages avec un minimum de potentiel sympathique.

Artelise

Titre original : 忘れられたレシピ (Wasure rareta reshipi)
Auteur : Hisashi Kashiwai
Genre : Contemporain, tranche de vie, gastronomie.
Éditeur français : Nami / Actes Sud (collection Picquier)
Date de publication en France : à partir de 2024
Nombre de pages : Environ 300 (à adapter selon édition)

A ce jour, la série de livre compte 7 tomes au Japon.
En France, si j'en crois Babelio, il y a 3 tomes disponibles

le restaurant des recettes oubliées - celui que j'ai lu et dont je vous parle ici.
le restaurant des recettes oubliées : deuxième service
le restaurant des recettes oubliées : à la carte.

text alternatif

synopsis du tome 1 :

Dans ce roman apaisant et profondément humain, l’auteur nous invite à pousser la porte d’un restaurant un peu particulier, niché dans une ruelle discrète de Kyoto. On n’y vient pas pour découvrir des plats à la mode, mais pour retrouver le goût d’un plat dont on se souvient parfois à peine… et sans doute, sans s’en rendre compte, tout autre chose qu’un souvenir culinaire.

Mon avis :

Le format du roman peut déstabiliser un peu car, bien que le lien soit évident puisqu’on retrouve toujours Nagare et sa fille Koishi ; dans la forme, on est presque plus proche du recueil de nouvelles que d’un roman à part entière. Les récits font la part belle à la gastronomie japonaise avec des recettes parfois très détaillées. Toutefois, c’est un livre qui nous amène toujours au-delà. Le voyage n’est donc pas uniquement culinaire, mais aussi intérieur, car il nous aide à percevoir les liens invisibles entre la cuisine et l’âme.

Je vous le recommande surtout si vous aimez les romans dits « Feel-good », les ouvrages qui parlent de gastronomie ou les livres qui nous transportent vers d’autres horizons culturels.

Alors, prêts pour le voyage ?

Artelise

@Shanna

C'était également le point de vue que j'avais sur les (télé)films de Noel. Jusqu'au jour où j'ai décidé, simplement, de lâcher prise. C'est similaire aux "films d'actions" qui n'ont d'intéressant que les scènes d'actions et les cascades. Ce ne sont pas des films conçus pour émouvoir ou réfléchir. Ce sont des films défouloir. Le scénario ne tient pas la route ? Les dialogues sont pourris ? Même les cascades sont improbables ? On s'en fout, tant que ça en jette, ça matche !
Les films de Noël, ne sont faits ni pour être crédibles, ni pour être des chef-d'oeuvres. Ils sont là pour réconforter, pour rassurer, pour nous aider à confirmer ce en quoi, parfois, on arrive plus à croire : que le monde n'est pas entièrement sombre et que le bien peut continuer de l'emporter sur les difficultés de notre quotidien. Ce sont des phares dans la nuit.

Edit pour Add-on :
Ceci dit : je crois aussi qu'on a tous nos propres sensibilités et besoin. Sensibilités et besoin qui peuvent changer avec l'âge / les circonstances / le vécu... et c'est peut-être pour ça, avant, les téléfilms de Noel me donnaient des nausées ^^ et que maintenant, si j'ai l'occasion d'en voir un de qualité (car oui, c'est comme pour tout, il y a forcément du bon et du moins bon), ben, je ne dis pas forcément non (surtout si je m'accorde le temps de me mettre dans l'ambiance cocooning idoine).

Artelise

@Elenwey

bah.. racontes !
comme dit Mai-Tai, si c'est insolite, c'est hors charte du jeu, lol.
Et puis je suis curieuse.