Je viens de finir la lecture de la Saga du Commonwealth de Peter F. Hamilton.
Petite fiche :
La saga comprend deux livres : L'Étoile de Pandore et L'Étoile de Pandore : Judas démasqué
Les éditions françaises proposent un découpage en 4 tomes : l'étoile de pandore et l'étoile de Pandore 2 suivis de Judas déchaîné et Judas démasqué. Auteur : Peter F. Hamilton Genre : Science-fiction / Space Opéra Date de parution : 2004 Pays : Royaume-Uni
En 2380, l'humanité a colonisé six cents planètes, toutes reliées entre elles par des trous de ver. Le Commonwealth Intersolaire s'est développé en une société tranquille et prospère, dans laquelle la « régénération» permet à chaque citoyen de vivre pendant des siècles. C'est alors qu'un astronome est témoin d'un incroyable événement cosmique : la disparition d'une étoile à un millier d'années-lumière. Le Commonwealth décide d'en savoir plus. Contre l'avis d'une partie de l'opinion, il construit le premier vaisseau spatial plus rapide que la lumière : le Seconde Chance. Sa mission sera de découvrir quelle menace pèse sur l'espèce humaine...
The year is 2380. The Intersolar Commonwealth, a sphere of stars some four hundred light-years in diameter, contains more than six hundred worlds, interconnected by a web of transport "tunnels" known as wormholes. At the farthest edge of the Commonwealth, astronomer Dudley Bose observes the impossible: Over one thousand light-years away, a star... vanishes. It does not go supernova. It does not collapse into a black hole. It simply disappears. Since the location is too distant to reach by wormhole, a faster-than-light starship, the Second Chance, is dispatched to learn what has occurred and whether it represents a threat. In command is Wilson Kime, a five-time rejuvenated ex-NASA pilot whose glory days are centuries behind him.
Opposed to the mission are the Guardians of Selfhood, a cult that believes the human race is being manipulated by an alien entity they call the Starflyer. Bradley Johansson, leader of the Guardians, warns of sabotage, fearing the Starflyer means to use the starship's mission for its own ends.
Pursued by a Commonwealth special agent convinced the Guardians are crazy but dangerous, Johansson flees. But the danger is not averted. Aboard the Second Chance, Kime wonders if his crew has been infiltrated. Soon enough, he will have other worries. A thousand light-years away, something truly incredible is waiting: a deadly discovery whose unleashing will threaten to destroy the Commonwealth... and humanity itself. Could it be that Johansson was right?
Nous sommes en 2380. Le Commonwealth intersolaire, une sphère d'étoiles d'environ quatre cents années-lumière de diamètre, contient plus de six cents mondes, interconnectés par un réseau de "tunnels" de transport appelés trous de ver. Aux confins du Commonwealth, l'astronome Dudley Bose observe l'impossible : à plus de mille années-lumière, une étoile... disparaît. Elle ne se transforme pas en supernova. Elle ne s'effondre pas dans un trou noir. Elle disparaît tout simplement. Étant donné que l'emplacement est trop éloigné pour être atteint par un trou de ver, un vaisseau plus rapide que la lumière, la Seconde Chance, est envoyé pour savoir ce qui s'est passé et si cela représente une menace. Aux commandes, Wilson Kime, un ex-pilote de la NASA rajeuni à 5 reprises et dont les jours de gloire sont des siècles derrière lui.
Les Gardiens de l'Individuité s'opposent à la mission, un culte qui croit que la race humaine est manipulée par une entité extraterrestre qu'ils appellent le Starflyer / l'Arpenteur. Bradley Johansson, chef des Gardiens, met en garde contre le sabotage, craignant que le Starflyer n'utilise la mission du vaisseau à ses propres fins.
Poursuivi par un agent spécial du Commonwealth convaincu que les Gardiens sont fous mais dangereux, Johansson s'enfuit. Mais le danger n'est pas écarté. A bord du Second Chance, Kime se demande si son équipage a été infiltré. Bientôt, il aura d'autres soucis. A mille années-lumière, quelque chose de vraiment incroyable attend : une découverte mortelle dont le déchaînement menacera de détruire le Commonwealth... et l'humanité elle-même. Se pourrait-il que Johansson ait raison ?
Mon avis :
Le livre est présenté comme un Space Opéra. On s'attend donc plus ou moins à voyager entre les étoiles, à découvrir des mondes, des cultures et suivre un héro (ou un groupe de héro) en train de.. plus ou moins sauver le monde, voire la galaxie et de défendre une juste cause.. Mais.. en fait, c'est pas tout à fait ça.
Il faut le reconnaitre, c'est un récit complexe, avec de nombreux personnages et on se demande pendant un long moment comment les différents récits vont bien pouvoir se mêler pour nous raconter finalement UNE histoire. Mais c'est justement ça que j'ai apprécié dans ces livres : la richesse de l'univers, la diversité des personnages et le fait que, finalement, on ne se retrouve pas à suivre un seul et unique héros (ou un groupe de héros) mais que, au contraire, l'auteur se soit appliqué à nous tisser un récit ou chaque personnage aura son rôle à jouer (en bien ou en mal) à un moment donné de l'histoire.
Les personnages ne sont pas manichéens. Il ne sont pas caricaturaux non plus - enfin, pas trop. Ils évoluent. Ils ont leurs qualités, leurs défauts, leurs points forts, leurs points faibles. Certains sont courageux, d'autres moins. Et ils sont plus ou moins respectables, également.
L'auteur parvient avec brio à mêler la SF avec le récit policier, la romance (sans sombrer dans le culcul), le thriller psychologique ou encore la stratégie (tant politique que militaire) - et il y a même une touche de mystique (à la limite de la fantasy).
et tout ça fait que j'ai aimé.
ça change des scénarios classiques, je trouve.
Une chose à ne pas oublier lorsqu'on lit les livres : le découpage des éditions française qui proposent 4 tomes au lieu de 2 dans la V.O. Mine de rien, ça change l'approche que l'on peut avoir du récit et de l'évolution de l'histoire. Quand on ferme le tome 1 des éditions française, en réalité, on a pas terminé le livre.. on en est juste à la moitié et la bascule scénaristique, la vraie, n'a pas encore eu lieu.
Il y en avait plein non loin de notre logement de fonction (quand mon père était chef de gare) et j'aimais beaucoup aller voir les roseaux "en fleur" surtout lorsque, en fin de saison, ils finissaient par "éclore" en million de petites graines que le vent soufflait sur le paysage. ça faisait comme de flocons de neige, j'aimais beaucoup.
Auteur : Anne-Claire Duval
Broché (23 août 2023)
Editions : Ynnis éditions
Nombre de page : 205
Âge de lecture : A partir de 8 ans
4e de couverture :
Le pays du matin calme regorge de récits fondateurs. Depuis des siècles, ils transmettent des valeurs comme la sagesse, le dévouement, le courage et la bienveillance. De la création du monde à la naissance des astres, des frères et sœurs aux destins entremêlés aux créatures fantastiques qui peuplent les montagnes, découvrez ces histoires extraordinaires. Une lecture pour tous !
Mon avis :
Ce livre est un très bon moyen de faire plus ample connaissance avec la culture coréenne. Le livre présente 12 récits toujours accompagnés d'une courte introduction et d'une brève conclusion qui permettent de comprendre à la fois le contexte historique et culturel, et l'impact que l'histoire peut avoir encore de nos jours sur la culture, la société et le mode de pensée des coréens.
Le livre n'est pas très épais, rapide à lire et reste très certainement en surface, mais c'est une belle approche.
Aujourd'hui, notre petite Lara a accepté de monter dans la voiture de son propre gré. Elle est toujours nerveuse et inquiète lorsque l'on roule, mais elle semble s'habituer petit à petit à ce mode de déplacement.
Il n'aura peut-être pas échappé à certains que je participe activement et régulièrement à l'atelier d'écriture du forum, où Kachina aime nous appeler "ses plumes".
Il y a un truc que tu devrais prendre en compte afin de t'aider à avancer :
quand un mec parle des ses conquêtes féminines, ça en fait un mec cool.
quand une fille fait la même chose, ça en fait une salope.
Si elle n'ose pas te parler ouvertement de son passé, du nombre de ses conquêtes, de la façon dont les choses se sont déroulées (avec des ruptures plus ou moins simples et plus ou moins franches) c'est peut-être qu'elle a peur de te laisser une mauvaise impression et que tu "juges" son comportement de manière négative et que ça te repousse.
si tu as tendance à la jalousie, ce que tu avoues d'ailleurs, et qu'elle a su rester en bon termes avec deux ou trois de ses conquêtes, alors peut-être qu'elle n'ose pas t'en parler.
Si tes sentiments pour elles sont sincères, alors laisse-lui son jardin secret, fait preuve de davantage de confiance. La jalousie ne me semble pas une bonne base pour construire un couple et encore moins le faire durer.
ça m'agace !
J'envoie un mail disant expressément : "je suis flexible, pourriez-vous me faire des suggestions de dates pour un rendez-vous?" Et on me répond : "vous pouvez m'appeler à ce numéro pour fixer un rendez-vous."
mais punaise, si j'avais voulu utiliser mon tel pour fixer ce rendez-vous, j'aurais pas commencé la conversation avec un mail.
Je n'aime déjà pas les conversations téléphoniques. Et j'ai toujours un mal fou à comprendre les dates à l'oral.
L'idée étant que chacun de nous propose une question avec ses réponses.
Et chacun de vous devrait me faire une estimation du style : "je pense que ma question est facile / difficile / abordable... et qu'elle obtiendra entre X et Y % de bonne réponses".
Ensuite, moi, quand j'ai obtenu au moins une dizaine de questions/réponses, je fabrique le quiz et j'ouvre un sujet pour que tout le monde y participe (y compris ceux qui n'auront pas posé de questions)
Pour le décompte final et la composition du podium, je prend les résultats du quiz et j'y additionne un bonus en rapport avec la justesse de l'estimation faite au moment de proposer une question.
Une bonne estimation rapporterait 5 points de plus.
Une estimation approchante rapporterait 3 points de plus.
Une estimation complètement à la ramasse : - 3 points.
(ces bonus/malus pourraient être révisés en fonction du nombre de questions composant le quiz)
Vous pourrez aborder les thèmes tels que : la musique, le cinéma, les séries télés, la lecture ou encore les jeux.
Le café – entre tradition et … tradition.
Surtout ne passez pas en Autriche, sans prendre le temps de vous arrêter quelques minutes dans un « Café » (le lieu aussi nommé Kaffeehaus) pour savourer un « Kaffee » (la boisson).
Ne faite pas l’erreur, toutefois de vous contenter de demander un « café » au serveur. En France, évidemment, on comprendrait que vous voulez un espresso. En Autriche, il vous faudra préciser quel type de café vous souhaitez qu’on vous serve entre les différentes appellations suivantes :
Mokka - Café noir sans lait ni sucre, préparé à la machine à expresso
Kleiner Schwarzer (ou kleiner Mokka) Mokka simple dans une petite tasse
Grosser Schwarzer (ou grosser Mokka) Mokka double dans une grande tasse
Kleiner Brauner Un Mokka simple avec du lait ou de la crème fouettée dans une petite tasse
Grosser Brauner Un Mokka double avec de la crème fouettée dans une grande tasse
Melange Moitié café, moitié lait servi avec de la mousse de lait
Häferlkaffee Café filtre avec beaucoup de lait servi dans une « Häferl » (grande tasse)
Franziskaner Melange (moitié café, moitié lait) avec de la crème fouettée à ne pas mélanger avec…
… le Cappuccino venu d’Italie et qui consiste en un espresso surmonté d’une mousse de lait. Il est à noter que dans certains lieux, on vous proposera un peu de * * Schlagober (crème fouetté) à la place de la mousse de lait.
Verlängerter* Kleiner Schwarzer allongé avec la même quantité d’eau chaude
Einspänner Un petit Mokka dans un verre avec beaucoup de crème fouettée (c’est le café que l’on appelle « viennois » en France)
Fiaker Un grand Mokka dans un verre avec beaucoup de sucre et un doigt de slivovitz ou de rhum
Alors, tous les cafés ne proposent pas toute la variété des cafés imaginables en Autriche, évidemment. En cas de doute, fiez-vous à la carte.
Quelques spécialités hors catégories.
les Mozartkugeln (boules de Mozart), une institution. Ces petites confiseries rondes sont faites de pâte d’amande et de nougat à la pistache, puis recouvertes de chocolat noir.
Les liqueurs au chocolat Mozart : Mélange de chocolat, mais aussi de crème, les liqueurs au chocolat Mozart apportent directement des notes fortes de cacao en bouche. Le chocolat d’origine belge se fait bien ressentir. À cela s’ajoutent aussi de légers arômes de vanille et une saveur mielleuse combinée avec l’acuité de l’alcool qui provient d’un distillat de betterave.
L’huile de pépin de courges : mais attention, pas n’importe quelles courges. Celles qu’ils utilisent proviennent de Styrie. Cette huile est traditionnellement servie avec les salades (de mâche – de préférence) avec une pointe de vinaigre de cidre. Elle est consommée, chez les hommes, dans le but de limiter les risques de cancer de la prostate.
Le chocolat Zotter - la fabrique de ce chocolat se situe à moins d’une heure de route de chez moi. Ils y fabriquent toutes sortes de chocolat à croquer ou à fondre (dans du lait chaud). Il y en a vraiment pour tous les goûts : des amateurs de chocolats noirs (voire très noir) à ceux qui préfèrent les chocolats au lait plus doux en passant par ceux qui aiment les goûts exotiques et inhabituels (Caramels, fruits, pâtes d’amandes, alcool divers, piments ou noix).
les gaufrettes Männer - dans le même ordre d’idée que la chocolaterie susmentionnée, vous trouverez également en Autriche des gaufrettes légères et croustillantes : Ces gaufrettes légères et aérées, également appelées gaufrettes napolitaines (Neapolitaner) peuvent être trouvées dans toute l’Autriche et l’Europe, mais Manner Wien est une spécialité typiquement viennoise ; vous remarquerez d’ailleurs sur son emballage rose emblématique, la cathédrale Saint-Étienne comme logo de l’entreprise Manner. Les gaufrettes se composent de 5 couches de gaufrettes et de 4 couches de chocolat à la noisette.
Enfin, en vrac et vous serez peut-être surpris… L’Autriche est la terre natale de la boisson Latella (eh non, ce n’est pas italien ), du chocolat Milka et des Pèz !
Pour info, le niveau de difficulté (estimé par l'auteur de la question) est indiqué à chaque question par un petit smiley.
Facile : plus de 75% des participants devraient trouver la bonne réponse. Moyenne : entre 75 et 50% des participants devraient trouver la bonne réponse. Difficile : entre 50 et 25% des participants devraient trouver la bonne réponse. Très difficile : moins de 25% des participants devraient trouver la bonne réponse.
soit le bienvenue sur ce forum de qualité comme elle a déjà dû te le dire
Ben, en fait, j'ai dû le saouler à parler de truc, de muche et de pouet... du forum popcorn.. et aussi, j'ai dû réussir à éveiller sa curiosité à lui dire "telle série, telle film.. patati patata... je l'ai lu sur popcorn"..
ou alors, il veux absolument pouvoir participer aux quizz de @Shanna
Il a pas de bol, l'animation en cours, c'est sur la musique, c'est pas son fort ^^
Curieusement, ça me fait penser à ma petite soeur.
Mariée depuis des années, elle s'appuyait tellement sur l'affection de son mari que le jour où il a fait un faux pas, elle s'est effondrée. Littéralement. Elle a sombré dans une dépression telle qu'elle ne parvenait plus à manger. Il a fallut l'hospitaliser.
La dépendance affective que cela a révélé m'a laissé pantoise et je me suis posée la question : est-ce vraiment de l'amour ? Le terme de "béquille affective" ne m'étais pas venue à l'esprit, mais est-ce ce là le rôle que le mari de ma soeur jouait (et joue toujours - puisqu'ils sont de nouveau en couple) ? le fait est qu'il s'était déclaré très peu de temps après que ma soeur se soit séparée du père de ses deux premiers enfant (compagnon violent). A-t-il juste servit de béquille ? C'est à méditer, je crois.
Sinon, pour en revenir au sujet de l'animal de compagnie. Je ne sais pas si il existe vraiment des animaux qui nous servent de béquille affective dans le sens qui vient d'être exprimé. Mais je sais, d'expérience, à quel point leur présence peut parfois nous être indispensable sans pour autant que l'on s'appuie sur leur seule affection pour avancer dans la vie. Lorsque je vivais seule avec mon chien, nous nous apportions une affection et un soutien mutuel. Mais s'il m'aidait à mieux supporter ma solitude, il ne comblait pas mon besoin de contact humain.
Je sais ce que c'est que d'avoir des animaux chez soi sans pour autant s'y attacher d'un point de vue affectif. Ma grand-mère avait des chats chez elle. Ils avaient vocation de chasser les souris. Ni plus, ni moins. Et ils n'avaient pas plus de valeur à ses yeux que les lapins qu'elle élevaient à des fins gastronomiques.
Mais mes parents ont adoptés chiens et chats dès qu'ils ont pu et j'ai grandit avec des animaux à la maison. J'ai pu expérimenter très tôt toute l'affection qu'ils sont capable de nous donner, leur empathie et leur absence totale de jugement... quoique ... Fripouille (une chatte) boudait ostensiblement si on la laissait seule à la maison durant plus de 24h. Elle était du genre à attendre notre retour, planter des yeux accusateur dans les yeux de ma mère avant de lui tourner le dos et quitter les lieux d'un pas d'impératrice profondément offensée.
Je n'ai jamais aimé l'expression animal de "compagnie", ça a une connotation de servitude, ça sonne comme "dame de compagnie". Or, pour moi, un animal qui vit dans un foyer, est bien plus que ça. Peut-on parler d'un membre de la famille ? d'une certaine façon, oui.
J'en fais chez moi !
Quelques astuces pour réussir ce plat :
des noix de st jacques fraîches et pas décongelées (et si on a pas le choix, faire décongeler les noix de St Jacques dans du lait).
veillez à ce que les noix de St jacques soit à température ambiante (les sortir au moins 15 mn du frigo avant de les cuisiner)
Mettre une belle noix de beurre au fond d'une poêle. Laisser le beurre fondre puis blondir très légèrement.
déposer les noix de St Jacques sur un côté et attendre quelques secondes. Si on observe bien, on peut voir la progression de la cuisson le long du côté des noix de St Jacques. Lorsque la noix est moitié cuite, on la retourne. On attend quelques secondes et on enlève du feu. Il faut savoir que la noix de St jacques n'aime pas qu'on la remue (on ne les fait donc pas sauter dans la poêle) et elle n'aime pas du tout non plus la surcuisson (sinon, elle devient caoutchouteuse). On surveille donc la cuisson de près.
on déglace au vin blanc ou au jus de citron. On verse la "sauce" sur les noix de st jacques et on consomme dans la foulée !
Pour ceux qui aiment quand c'est relevé, vous pouvez faire griller quelques rondelles de chorizo dans le fond de la poêle avant d'y faire cuire les noix de St Jacques, c'est super bon !
Alors, il faut savoir que en tout premier lieu que je n'ai pas quitté la France parce que je ne l'aimais pas. D'ailleurs, je continue d'être un grande défenderesse de sa culture.
Si j'ai quitté la France, c'est par amour.
Mon mari a perdu son emploi en France et trouvé une belle opportunité professionnelle en Angleterre et je l'y ai suivit. Et c'est exactement le même processus qui nous a conduit en Autriche deux ans plus tard.
Nous ne connaissions de la langue de Goethe que les grandes bases : bonjour, aurevoir, s'il vous plait, merci... On a très vite appris à dire "je ne parle pas allemand" ^^
Heureusement, l'entreprise de mon époux nous a financé à tous les deux des cours pour apprendre les bases. Ensuite, ben, j'ai apprit sur le tas, contrainte et forcée par la nécessité.
au bout de 15 ans, je m'en sors pas trop mal, du moins à ce qu'on me dit.
j'ai encore beaucoup de mal lorsque les gens s'adressent à moi en parlant vite et/ ou avec un accent marqué. Il vaut mieux, également, que ça reste dans des domaines que je connais.
Niveau intégration, nos deux enfants ont toujours été intégrés au système scolaire local.
En ce qui concerne mon cercle social, il est très intimement lié à internet. Mais il faut savoir que j'ai un profil particulier. Mon isolement social dans mon pays d'accueil est donc davantage lié à mon caractère et ce que je suis qu'à des difficultés qui pourrait être lié à la culture autrichienne. Les gens y sont relativement accueillant et les lieux de rencontre ne manquent pas.
Une des difficultés auxquelles il faut faire face et à laquelle s'attendre, surtout si on souhaite une expatriation sur le long terme, comme c'est le cas pour nous, est liée au système bancaire qui exige un passif assez long pour pouvoir accéder aux systèmes de crédit. Sinon, ben, l'Autriche étant un pays européen, il n'y a pas vraiment de choc des cultures et de soucis de compréhensions ou d'a priori négatifs.
Voilà pour un bref aperçu de mon expérience personnelle sur le sujet.
Je me doutais bien que j'étais pas bien douée pour poser des énigmes^^
Je vais vous donner la réponse et on va passer à autre chose.
Ce tripoint est particulier et insolite parce qu'on y a installé des tables de camping de telle sorte qu'il est possible d'y partager un picnic tout en restant chacun dans son pays. Il s'agit du tripoint que partagent l'Autriche, la Hongrie et la Slovaquie.
toujours faire preuve de tact, surtout aucun mépris, quand on veut dire à quelqu'un qu'on n'apprécie pas ce que lui aime.
Je passe d'ailleurs énormément de temps et d'efforts pour expliquer à mes enfants que lorsqu'on aime pas quelque chose, il ne faut pas dire : "c'est pas bon / beau" ou "c'est nul, c'est moche, c'est pas intéressant..." mais plutôt "moi, je n'aime pas" ; "ça ne me séduit pas" ; "ce n'est pas à mon goût" ; "ce n'est pas mon genre"... etc.