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@Shanna

aurait-elle voulu aller vérifier une réponse par elle-même en se rendant dans un lieu proche de chez elle et elle se serait retrouvée coincée (dans une grotte, par ex.) ou elle se serait perdue ?

@Kallindra

faut dire qu'on est client chez eux depuis qu'on est installé en Autriche. Ils nous aiment bien, je crois.

@Kallindra

La différence de taille entre les partenaires ne rend pas toujours l'exercice aisé, cela dit.

@Shanna

très honnêtement, j'avoue craindre terriblement, ce genre de livre.
Il fut un temps, j'aimais lire les livres de Pierre Bellemare, ça donnait des frissons, surtout que je savais que c'était des faits réels. Mais voilà, au bout d'un moment, j'ai fini par me faire "peur", à ne plus être capables de sortir dans la rue sans me demander si le mec / la gonzesse que je venais de croiser n'était pas, en réalité, un.e psychopathe sanguinaire; Bref, j'ai arrêté. ^^

Mais sinon, je pense que quitte à vouloir lire une histoire policière, c'est effectivement un auteur à lire en priorité. C'est toujours intéressant quand l'auteur sait de quoi il parle.

Je vote pour Shanna.

@Shanna

alors.. est-ce dans un état excentré ? Hawaï ou Alaska.

Trouver la profession de la mère est-elle importante ? Est-ce que c'était la maitresse ?? Et du coup, la fillette aurait "triché", en demandant de l'aide à sa mère. ça se serait su et ... hop scandale.

@Cuillère

Et moi, grâce à toi, j'apprends que l'expression que j'utilisais n'était pas complète, puisque je ne connaissais que "on est pas rendus". ^^
Merci du partage !

Oh ! j'avais pas vu passer ce sujet !

Hop, rattrapage !

Comment s'appelait-il/elle ?
Il s'appelait Pierre, c'était le fils de notre médecin traitant de l'époque. Nous étions dans la même classe au lycée.

Pourquoi cette personne vous a-t-elle plu ?
je trouvais son physique attrayant mais surtout, il est était bon élève et intelligent.

Avez-vous tenté de lui déclarer votre flamme ?
Non !!

A-t-il/elle découvert vos sentiments autrement ?
Non, je ne crois pas.

Ce crush était-il réciproque ?
En réalité, je ne sais pas. C'est possible. Il m'a fait parvenir un compliment, une fois. Par transmission d'un message à travers la classe. Il me disait que le pull rouge que je portais ce jour-là m'allait bien. Mais je n'ai jamais su s'il voulait se moquer de moi ou s'il était sincère. Je n'ai pas su quoi répondre. Je n'ai rien répondu à part un "merci" très timide.

Est-ce un bon souvenir ?
pas vraiment.
C'est un souvenir emprunt de gêne, de malaise et de doutes.

@icescream

je pense que ça pourrait intéresser ma maman.

Je vote pour Guizmo.

@jool

on pourrait avoir un récapitulatif de ce qui a été trouvé ? stp.

Je suis une panne d'électricité.

@Esperluète a dit dans Le consentement (dans tous les types d'interactions) :

As-tu des infos sur l’aspect révocable de ce consentement ? Il y a un délai de précisé au delà duquel on ne peut plus révoquer le consentement ?
Parce que des oui à l’instant T qui se transforme en non le lendemain ou qqs heures/ jours/semaines/mois voire années, ça c’est déjà vu.

Alors, déjà, il faut bien comprendre un truc :
Le consentement, ce n'est pas un contrat à long terme. Si une personne te dit UNE fois "oui" pour un baiser, ça ne te donne pas le droit de l'embrasser la fois suivante. Lorsque l'occasion se présente à nouveau, tu dois t'assurer à nouveau du consentement de l'autre.

Même dans un couple établi de longue date, même dans le cadre du mariage.

Le terme révocable, dans ce cadre-là, implique simplement que si un couple débute quelque chose (embrassades passionnées, par ex. ) et que, finalement, dans le feux de l'action, l'un des deux partenaires souhaite arrêter, il n'a qu'à le faire savoir et l'autre partenaire doit, séance tenante, cesser ce qu'il était en train de faire ou ce qu'il s'apprêtait à faire.
C'est ça "révocable".
Et ce sans avoir à se justifier.

@LeaPierce

J'ai été creuser un peu au sujet de l'auteur (Marshall B. Rosenberg).
Le livre dont tu parles est loin d'être son unique ouvrage. Il y en a pléthore, toujours sur le thème de la communication non violente - qui est son cheval de bataille et même le thème central du centre qu'il dirige aux US. Il est psychologue. Ce qui donne de l'intérêt à ses écrits. Toutefois, je pense qu'il faut garder à l'esprit, en lisant ses bouquins, qu'il s'agit d'une approche, une façon de voir et de faire et que ce n'est pas forcément la panacée. Qu'il y a sans doutes d'autres approches possibles et d'autres ouvrages, d'autres auteurs qui pourraient apporter des nuances, une vision différentes, des approches différentes.
A lire, sans doute, mais en complément d'autres sources.

Je vote pour Angelina.

La Foule n'est, à la base, pas une chanson que j'apprécie d'écouter. Et cette interprétation ne m'a pas fait changer d'avis. En outre, j'avoue avoir été très séduite par la douceur de la chanson en finnois.

@Shanna

s'agirait-il de la fille du président ?
Dans la ville de Washington DC, donc.

Nos vacances viennent de tomber à l'eau. Littéralement. La météo qui se maintenait jusqu'alors en temps couvert avec risque de pluie, vient de virer à la menace orageuse. Résultat les gorges de Vintgar et de Tolmin (en Slovénie )seront fermées demain.... c'était notre principal objectif. Et nous ne serons sur place que demain.

@Esperluète a dit dans Le consentement (dans tous les types d'interactions) :

Au civil sans aucun doute, pour d’autres codes peut-être, en revanche le code pénal est d’interprétation strict : si un délai pour révoquer le consentement n’est pas précisé, alors il n’y en a pas.(on est dans le cadre pénal avec cette ppl).

Puisque tu demandes des précisions :

Rappelons d’abord que le mot révocable signifie en droit (et en français courant) que ce qui a été accordé peut être retiré à tout moment.
Le texte de loi, tel qu’adopté en avril 2024, est donc suffisamment clair et précis sur ce point.

Il est essentiel de ne pas confondre deux choses :

• La révocation du consentement pendant l’acte (par exemple, si une personne commence une relation intime et change d’avis en cours de route)
• Et le retour en arrière après l’acte, lorsqu’une personne revient sur une décision qu’elle avait librement consentie, mais qu’elle regrette ensuite.

Ces deux situations sont fondamentalement différentes :

• Si le refus est exprimé pendant l’acte (verbalement, par gestes, ou de manière manifestement non équivoque), et que l’autre personne poursuit quand même, alors il y a viol ou agression sexuelle.

• En revanche, si le consentement a été libre et éclairé au moment des faits, le regret ultérieur ne requalifie pas l’acte a posteriori.

Le sens de cette réforme est précisément d’ancrer la définition du viol et des agressions sexuelles dans la notion de consentement, et non plus exclusivement dans la violence, la menace, la contrainte ou la surprise.
Ce changement est cohérent avec la jurisprudence européenne, notamment celle de la Cour européenne des droits de l’homme, qui insiste sur un consentement actif, volontaire et continu. La France s’aligne ainsi sur ces standards.

Enfin, concernant la prétendue "imprécision" du texte :
Le "flou" dont parlait @Kallindra peut parfois exister en droit civil, en raison de formulations générales qui laissent place à l’interprétation.
Mais même en droit pénal, il revient au juge d’interpréter la loi au regard des faits concrets : il doit évaluer si le consentement était réellement présent au moment de l’acte.
Le fait qu’un texte n’énonce pas tous les cas particuliers ne signifie pas qu’il est imprécis — c’est justement le rôle de la jurisprudence de compléter, dans le cadre posé par la loi.

j'ai terminé la lecture de ce petit livre, hier.
j'ai apprécié croiser ces gens, faire leur connaissance, me reconnaitre dans certaines de leurs peurs, leurs doutes, leurs émotions. Le récit est court, les rencontres brèves, mais riches et instructives.

Je vote pour Guizmo.