mais les hôtels sur Skye sont tous très chers et vite bookés)
C'est clair !
Nous, nous avions opté pour un gite (une maison). ça impliquait de devoir se faire à manger et de penser à faire des courses. Mais c'était moins cher que l'hôtel ^^
Tout dépend du genre de touriste que l'on est.
Si on est dans la catégorie : on va d'un point A à un point B en profitant du paysage depuis l'habitable de la voiture et je profite à fond du point B avant d'aller au point C... alors, les temps de trajets sont tout à fait gérables et pas si longs que ça.
Si on est dans la catégorie : on va d'un point A à un point B tout en s'arrêtant tous les 5 km pour profiter / photographier le paysage parce que c'est carrément trop beau ... là, le temps de trajet peut devenir problématique et il va falloir commencer à compter avec sérieusement.
@Mnemmeth et moi faisons partis de la deuxième catégorie.. C'est aussi de cette façon que nous nous sommes retrouvé avec un peu plus de 11000 photos en 2 semaines ^^
Je ne connaissais que Take me to church et encore sans savoir de qui c'était donc déjà merci de m'avoir éclairé, les autres titres postés ici sont agréables à écouter
Voilà ! c'est exactement ce que je m'apprêtais à dire !
il ne faut pas mélanger grignotage et le fait de fractionner ses repas.
L'important, en réalité, étant de manger ce dont ton corps a besoin au moment où il en a besoin. D'ailleurs un "bon" petit déjeuner, n'est pas forcément synonyme de repas copieux et riche. "bon", c'est d'abord et avant tout trouver un équilibre entre des apports nutritionnels utiles et le plaisir. Si ni ton fils, ni toi n'êtes motivés pour manger le matin, c'est peut-être que votre corps n'en ressent pas le besoin. Ce n'est pas grave si vous mangez peu à ce moment là de la journée. Surtout si vous avez l'occasion de manger quelque chose plus tard dans la matinée (un fruit - pomme par ex ou une poignée de fruits secs) pour vous aidez à attendre le repas de midi.
Par contre, évidemment, si au final, à 10h du mat', c'est une barre chocolatée que vous êtes tentés d'avaler, ça devient nettement moins "bon".
Mon gamin, j'ai essayé, durant longtemps de le forcer à boire au moins un verre de lait chocolaté avant de commencer sa journée.. puis j'ai lâché l'affaire et au final, ce qu'il trouve plaisir à manger le matin c'est ... du saucisson ! Il mange peu aussi le midi, c'est le soir, souvent, qu'il mange le mieux et avec le plus d'appétit.
Pour ce qui est de la coupure de 16 heures sans manger.. je n'ai jamais essayé, je l'avoue, mais j'ai constaté que je digère mieux depuis nous avons décidé de manger tôt (18h30) et que nous nous retrouvons naturellement à faire notre petit déjeuner à 6h30 le matin (horaires scolaires), voire 8h30 ou plus tard (horaires estivales). Ce qui fait une pause de 12, voir 14 heures pour nos estomacs.
je suis tout à fait d'accord avec toi.
Je pense que c'est d'abord et avant tout lié à notre capacité à nous accepter pleinement tels que nous sommes avec nos qualités et nos défauts... et surtout, avec nos différences. Car en réalité, avec du poil au pattes, être gros(se), maigre, grand(e), petit(e), etc. ou avoir des oreilles qui nous mettent mal à l'aise.. avant que ce soit perçu comme un "défaut" par soi-même et/ou par les autres, c'est d'abord et avant tout quelque chose que l'on perçoit comme une différence.
Or, on ne nous apprend pas forcément à accepter les différences (les nôtres ou celles des autres). On a besoin, c'est humain, de se sentir appartenir à quelque chose de plus grand que soi pour se sentir accepté et aimé. Et il suffit de peu, parfois, pour perdre ce sentiment d'appartenance et la confiance qui va avec.
Je pense qu'il est possible de faire un travail sur soi pour améliorer ce rapport difficile que nous avons avec nous-même et tenter de mieux nous accepter nous-même, même avec ce que nous percevons de différent / comme un défaut / une mochitude chez nous. Mais je pense aussi que cela à ses limites et que finalement, plutôt que de chercher à ne plus avoir de complexe, il faut parfois apprendre à vivre avec.. puisque, d'une certaine façon, ça fait aussi parti de nous-même, de notre personnalité, de ce que nous sommes. Tant que le complexe en question ne nous empêche pas d'être heureux(se).
J'ai toujours considéré le vin comme une sorte de bonus pour accompagner un bon repas ou pour fêter un évènement. Un bon vin, reste donc, pour moi d'abord et avant tout un vin qui va bien se marier avec ce que l'on mange. Ceci dit, j'ai pu constater, au fil des années que j'avais tendance à préférer les vins rouges fruités et rond, qu'ils viennent de Bourgogne ou de la région bordelaise. J'aime les vins blancs et les rosés lorsqu'ils sont légèrement sucrés. Quant aux pétillants, c'est un peu la même règle : j'ai du mal à apprécier ceux qui sont qualifiés de "sec".
A noter aussi que j'aime les vins rouges lorsqu'ils ont eu le temps de vieillir un peu. C'est d'ailleurs l'un des critères qui guideront mon choix lorsque je vais acheter une bouteille de vin rouge : son âge.
J'ai conscience, ensuite, qu'une bonne bouteille va beaucoup dépendre de son terroir d'origine et son millésime. Mais là, j'avoue manquer d'informations utiles pour faire un choix pertinent. Je me fie donc souvent aux noms que je connais un peu pour les avoir goûté et souvent apprécié.
J'aime souvent les St Emilion ; Les châteaux-neuf du pape; les chablis ; les Montbazillac, les Prosecco.
La meilleure bouteille que j'ai eu en main : un Croze l'hermitage - si mes souvenirs sont bons, c'était un noble rive de 1998 (On me l'a offerte en 2005)
C'est une chose que je craignais aussi.
D'ailleurs, j'avais fait savoir à Mnemmeth que je craignais ne plus trouver de plaisir à regarder l'émission si c'était Jarry qui se retrouvait aux commandes.
Mais je lui ai laissé sa chance et je trouve qu'il ne s'en sort pas trop mal. J'aime plutôt bien l'ambiance qu'il arrive à générer sur le plateau.
Niveau complexes, j'ai longtemps été "gâtée".
Je n'ai jamais eu un physique disons "avantageux" et j'ai longtemps été la proie des médisances et des moqueries (poils aux pattes, surpoids) et mon psoriasis a rajouté une jolie dose de méfiance et de dégoût de la part de mes camarades de classe. J'étais par ailleurs du genre "timide" et "réservée" et j'ai naturellement développé un cruel manque de confiance en moi.
Mais le pire, en vrai, ce n'était pas tellement mes camarades de classe. Le pire, c'était ma propre soeur qui se moquait de moi et me mettait à l'écart. Quand elle ne m'accusait pas d'hypocrisie (parce que pour elle, mon côté calme et gentil c'était quelque chose de calculé de ma part, pour que nos parents la trouve, par comparaison, méchante), elle m'accusait d'être la honte de la famille. ^^ Quand elle a commencé ses études d'infirmière et qu'elle a suivit quelques cours de psychologie, elle m'a "diagnostiquée" comme étant "hystérique"..
ça a longtemps pesé sur mon mental et la façon que j'avais de me considérer moi-même. Il m'a fallut des années (et un millier de kilomètres) pour me libérer de mes doutes et de mes complexes.
Enfin, je parle de libération, mais... certes, je ne crains plus d'aller à la piscine / plage sans m'être rasée au préalable. Nafoute de celles et ceux que les poils rebutent. Mais, je porte toujours des jupes extra-longues ou des pantalons... je trouve ça confortable et joli.. mais je ne pourrais pas réfuter catégoriquement l'idée que je cherche encore, inconsciemment, à cacher mes jambes.
Et pour le manque de confiance en moi... j'assume bien mieux, surtout depuis que j'ai comprit certaines choses à mon sujet .. mais j'avoue rester fragile à ce sujet.
Tablequest : mon fils aime beaucoup. Je ne sais pas comment il est tombé dessus, mais c'est grâce à leurs facéties qu'il a eu envie de tenter l'aventure du jeu de rôle et que je me suis retrouvée propulsée MJ... (faut que je fasse avancer mon scénario d'ailleurs ^^)
ce n'est pas un effet "coquin".
C'est un phénomène médical qui porte un nom : le priapisme
La plupart des cas d’érection persistante sont dus à une absence de débit sanguin du pénis. Le sang reflue, empêchant que du nouveau sang riche en oxygène n’entre dans le pénis. En conséquence, le pénis peut se trouver privé d’oxygène. Cette maladie est connue sous le nom de priapisme ischémique ou priapisme à bas débit. Une forte douleur est ressentie si une érection dure plus de 4 heures. Le pénis peut être en érection alors que le gland du pénis peut être mou. Un priapisme prolongé peut être la cause d’une dysfonction érectile ou même de la mort du tissu pénien.
C'est une bonne question. Mais honnêtement, j'avoue que c'est un univers qui m'horripile tellement que c'est limite épidermique.
Top chef est la seule exception.. sans doute parce que l'émission, bien que cataloguée dans la catégorie "télé-réalité" reste centré sur la cuisine et la gastronomie et non pas sur la vie (celle qu'on veut bien nous vendre et nous montrer) des candidats.
Mystic Pop up Bar est une série télévisée sud-coréenne (K-drama) basée sur un webtoon (Twin Tops Bar). Elle a été diffusée sur JTBC entre le 20 mai et le 25 juin 2010. C’est une comédie dramatique fantastique*. Il faut y rajouter, également une touche de romance.
Fantastique parce qu’elle met en scène des phénomènes surnaturels et fantastiques ; mais aussi parce que, de mon point de vue, elle est fantastique.
Les acteurs principaux sont Hwang Jung-eum, Yook Sung-jae et Choi Won-Young.
La série compte une saison de 12 épisodes.
Le postulat de départ prend racine dans la culture coréenne animiste. Dans cette série, on part du principe que les esprits existent et que la réincarnation est une réalité concrète.
Dans le premier épisode, on fait connaissance avec Weol-ju et Guibanjang. Ensemble, ils gèrent un bar éphémère. Très vite, on comprend que Weol-ju a pour mission d’apaiser les griefs / rancœurs / regrets de 100 000 personnes. Pour parvenir à remplir sa mission, Weol-ju utilise son don : elle a en effet le pouvoir d’entrer dans le monde des rêves et d’influencer, par ce biais, l’état d’esprit de ses clients ou de ses « victimes ». Reste alors aux gens à concrétiser dans la vie réelle ce qui reste à accomplir pour avancer et changer ce qui doit être changé.
Ça fait 500 ans qu’elle y travaille, il lui reste une dizaine de cas à régler mais, d’une part, le temps qui lui a été accordé arrive à son terme et d’autre part, il s’avère que c’est une mission de plus en plus difficile à remplir. Les gens se confiant de moins en moins facilement, que ce soit par méfiance, prudence ou, le plus souvent, par pudeur.
C’est alors qu’elle croise le chemin de Kang-Bae qui est doté (pour son plus grand malheur), d’une capacité qui pourrait s’avérer bien utile à Weol-ju. En effet, il suffit qu’il touche une personne pour que cette dernière se confie à lui, lui faisant part de ses peines, souffrances et doléances. Weol-ju décide alors de mettre tout en œuvre pour qu’il entre à son service…
Mais, bien évidemment, la série ne se contente pas de mettre en scène une série de situations qu’il faut aider à résoudre, l’histoire est plus complexe que cela. Et au fur et à mesure que l’on fait connaissance avec les personnages et leur histoire, on découvre une histoire d’amour complexe sur trame des destins croisés.
Mon avis :
C’est une très belle série.
Les personnages que l’on pourrait croire très caricaturaux au départ, sont en réalité assez complexes. Et si l’histoire des personnages principaux restent toujours au cœur de la série comme une sorte de fil rouge, on se rend vite compte que les scénaristes gardent malgré tout à cœur de dénoncer certaines situations sociales et comportements typiques de la société coréenne, encourageant son public à faire bouger les choses. Autre atout : les épisodes se suivent mais ne se ressemblent pas. Il y a de l’humour, de l’action, de l’émotion, le tout dosé de belle manière.
Atout bonus : c’est une rencontre inattendue avec la gastronomie coréenne.
Une belle série donc, que je qualifierais, s’il s’agissait d’un livre, de « feel good ».