Ben, y a tout de même d'autres personnages qui interviennent... mais on ne sait pas ce qu'ils pensent. On les voit agir et on les entends parler mais on a pas leurs point de vue, à eux sur la situation.. sauf quand ils l'expriment à voix haute.
je ne comprends pas ce que tu entends par huis clos mental
Je parle du fait que l'auteur ne nous livre que ses pensées à lui.
comme si nous, en tant que lecteurs, étions enfermés dans son esprit.
On a que son point de vue, l'auteur ne change jamais de point de vue.
Dans le genre laconique, la présentation du jeu sur le site de Netflix :
Envie de mignoncité ? Envie de mignoncité* ? Aidez les chats à préparer la soupe de leurs rêves dans ce délicieux petit jeu tranquille : tranchez, assaisonnez les ingrédients, et régalez-vous !
Et la fiche annonce un jeu de "simulation".
pour un savoir un peu plus et découvrir l'esprit et le fonctionnement du jeu :
*mignoncité... on est d'accord ? il est horrible, le mot !
Bon, je vais m'accorder le point alors. ^^ et au pire, je me déniche les dix petits nègres (car, non, je n'utiliserai pas le titre édulcoré des éditeurs actuels) et je le relis ^^
J'annonce donc :
Huis clos : Phare 23 de Hugh Howey.
- un livre qui ne contient qu'un seul mot dans le titre mais qui ne soit pas un prénom un roman publié avant 1900 - Le portrait de Dorian Gray - Oscar Wilde
un livre aux temps préhistoriques, romancé ou pas
un livre non fiction
un livre avec une couverture très moche un livre sans personnage humain - Flatland de Edwin A. Abbott
un livre qui donne faim (mais pas un livre de recettes)
un livre qu'un popcorner vous a fait découvrir
un livre dont le titre comporte une couleur un huis-clos - Phare 23 - Hugh Howey
une BD adaptée d'un roman
un classique de la littérature étrangère
un livre qui a reçu un prix (Goncourt, Nébula, Fémina.....)
un livre avec le mot "guerre" dans le titre un recueil de poésie - Les plus belles récitations de notre enfance - Marine Alban - Librio un livre qui passe le test de Bechdel, c'est à dire où 1. deux femmes dont on connaît le nom 2. parlent ensemble au minimum une fois 3. à propos de quelque chose d'autre que d'un homme : Judas déchaîné - issu du Cycle de L'étoile de Pandore - par Peter Hamilton
Honnêtement, ce qui m'a amenée à me poser la question, c'est le livre Phare 23 de Hugh Howey. Sans trop dévoiler le contenu.. on est dans l'espace, dans une sorte de Phare spatial (une balise qui aide les vaisseaux à repérer et éviter un champ d'astéroïde). La maintenance est assuré par un homme et un seul (ben, oui, comme dans les vieux phares ^^). Le récit nous raconte ce que vit cet homme. Au début, on est clairement dans un huis clos : le "phare", l'homme, ses pensées, ses actes... Et puis, finalement, d'autres personnages interviennent. Qui ne sont pas, à l'origine, dans le phare et qui n'y restent pas... Ce qui semble nous faire sortir du huis clos.
toutefois, on reste toujours dans le même lieu : le phare et ses environs qui restent, quoi qu'on en dise et malgré l'intervention des autres personnages, coupés du monde extérieur. En outre, jusqu'à la fin du récit, l'auteur ne nous dévoile que le point de vue de son protagoniste principal dans une sorte de huis clos mental.
Dans un premier temps, je vous propose ici, de parler de ce qui défini, dans le cadre de la littérature, de "Huis clos".
Pour pistes de départ, voici quelques définitions :
wikipédia : En art, un huis clos est un roman, une pièce de théâtre, un film, dont l'action se déroule en un lieu unique, dont les personnages ne peuvent sortir.
Wikitionnaire :
Sens figuré) (Cinéma, Littérature) Confrontation entre des personnages qui sont isolés du monde extérieur.
(Sens figuré) Se dit d’une situation dans laquelle il est impossible aux regards extérieurs de constater les faits.
Ensuite, dans un deuxième temps, j'aimerais que l'on liste, si possible, les ouvrages que l'on a lu et qui, selon vous, peuvent entrer dans le cadre d'un huis clos.
après, ça dépend un peu du point de vue selon lequel on se place et de la manière (stricte ou non) dont on considère un huis clos....
Car si dans mon livre, on ne reste pas toujours dans le huis clos physique (le personnage change de lieu une fois ou deux) et il y a des personnages qui vont et viennent.
Mais, on n'a toujours et uniquement que le point de vue du protagoniste principal. Ce qu'on pourrait qualifier de huis clos mental.. enfin, je pense.
J'ai un soucis..
j'ai lu Phare 23 de Hugh Howey (un petit bijou, ce livre) en pensant lire un huis clos.. mais en fait, ce n'est pas vraiment un huis clos.. pas tous le long du livre.
Donc, ben, je peux pas valider mon Item avec ce livre ^^
La Lettonie et le Danemark s'en sortent en effet plutôt bien.
J'attends de voir ce que l'Autriche va proposer, mais il faut attendre le 3 mars, car les chanteuses veulent attendre la journée internationale des droits de la femmes pour dévoiler leur chanson.
Il y a dans ce jeu plusieurs passages où le héros se trouve en équilibre sur des poutres étroites et très haut.
Alors, ça n'a beau être qu'un jeu vidéo, mais j'ai quand même ressenti le vertige
oui, je connais ça aussi !
Quand mes persos longent une corniche, je leur colle le dos à la falaise ^^ Et je retiens mon souffle. Non pas que j'ai peur de perdre (dans Xenoblade quand un perso chute et "meurs" il réapparait simplement au dernier point de repère par lequel il est passé), mais clairement, je souffre de vertiges et je ressens une peur irrationnelle mais pourtant inévitable, me nouer les entrailles ^^
Je viens de finir la lecture de la Saga du Commonwealth de Peter F. Hamilton.
Petite fiche :
La saga comprend deux livres : L'Étoile de Pandore et L'Étoile de Pandore : Judas démasqué
Les éditions françaises proposent un découpage en 4 tomes : l'étoile de pandore et l'étoile de Pandore 2 suivis de Judas déchaîné et Judas démasqué. Auteur : Peter F. Hamilton Genre : Science-fiction / Space Opéra Date de parution : 2004 Pays : Royaume-Uni
En 2380, l'humanité a colonisé six cents planètes, toutes reliées entre elles par des trous de ver. Le Commonwealth Intersolaire s'est développé en une société tranquille et prospère, dans laquelle la « régénération» permet à chaque citoyen de vivre pendant des siècles. C'est alors qu'un astronome est témoin d'un incroyable événement cosmique : la disparition d'une étoile à un millier d'années-lumière. Le Commonwealth décide d'en savoir plus. Contre l'avis d'une partie de l'opinion, il construit le premier vaisseau spatial plus rapide que la lumière : le Seconde Chance. Sa mission sera de découvrir quelle menace pèse sur l'espèce humaine...
The year is 2380. The Intersolar Commonwealth, a sphere of stars some four hundred light-years in diameter, contains more than six hundred worlds, interconnected by a web of transport "tunnels" known as wormholes. At the farthest edge of the Commonwealth, astronomer Dudley Bose observes the impossible: Over one thousand light-years away, a star... vanishes. It does not go supernova. It does not collapse into a black hole. It simply disappears. Since the location is too distant to reach by wormhole, a faster-than-light starship, the Second Chance, is dispatched to learn what has occurred and whether it represents a threat. In command is Wilson Kime, a five-time rejuvenated ex-NASA pilot whose glory days are centuries behind him.
Opposed to the mission are the Guardians of Selfhood, a cult that believes the human race is being manipulated by an alien entity they call the Starflyer. Bradley Johansson, leader of the Guardians, warns of sabotage, fearing the Starflyer means to use the starship's mission for its own ends.
Pursued by a Commonwealth special agent convinced the Guardians are crazy but dangerous, Johansson flees. But the danger is not averted. Aboard the Second Chance, Kime wonders if his crew has been infiltrated. Soon enough, he will have other worries. A thousand light-years away, something truly incredible is waiting: a deadly discovery whose unleashing will threaten to destroy the Commonwealth... and humanity itself. Could it be that Johansson was right?
Nous sommes en 2380. Le Commonwealth intersolaire, une sphère d'étoiles d'environ quatre cents années-lumière de diamètre, contient plus de six cents mondes, interconnectés par un réseau de "tunnels" de transport appelés trous de ver. Aux confins du Commonwealth, l'astronome Dudley Bose observe l'impossible : à plus de mille années-lumière, une étoile... disparaît. Elle ne se transforme pas en supernova. Elle ne s'effondre pas dans un trou noir. Elle disparaît tout simplement. Étant donné que l'emplacement est trop éloigné pour être atteint par un trou de ver, un vaisseau plus rapide que la lumière, la Seconde Chance, est envoyé pour savoir ce qui s'est passé et si cela représente une menace. Aux commandes, Wilson Kime, un ex-pilote de la NASA rajeuni à 5 reprises et dont les jours de gloire sont des siècles derrière lui.
Les Gardiens de l'Individuité s'opposent à la mission, un culte qui croit que la race humaine est manipulée par une entité extraterrestre qu'ils appellent le Starflyer / l'Arpenteur. Bradley Johansson, chef des Gardiens, met en garde contre le sabotage, craignant que le Starflyer n'utilise la mission du vaisseau à ses propres fins.
Poursuivi par un agent spécial du Commonwealth convaincu que les Gardiens sont fous mais dangereux, Johansson s'enfuit. Mais le danger n'est pas écarté. A bord du Second Chance, Kime se demande si son équipage a été infiltré. Bientôt, il aura d'autres soucis. A mille années-lumière, quelque chose de vraiment incroyable attend : une découverte mortelle dont le déchaînement menacera de détruire le Commonwealth... et l'humanité elle-même. Se pourrait-il que Johansson ait raison ?
Mon avis :
Le livre est présenté comme un Space Opéra. On s'attend donc plus ou moins à voyager entre les étoiles, à découvrir des mondes, des cultures et suivre un héro (ou un groupe de héro) en train de.. plus ou moins sauver le monde, voire la galaxie et de défendre une juste cause.. Mais.. en fait, c'est pas tout à fait ça.
Il faut le reconnaitre, c'est un récit complexe, avec de nombreux personnages et on se demande pendant un long moment comment les différents récits vont bien pouvoir se mêler pour nous raconter finalement UNE histoire. Mais c'est justement ça que j'ai apprécié dans ces livres : la richesse de l'univers, la diversité des personnages et le fait que, finalement, on ne se retrouve pas à suivre un seul et unique héros (ou un groupe de héros) mais que, au contraire, l'auteur se soit appliqué à nous tisser un récit ou chaque personnage aura son rôle à jouer (en bien ou en mal) à un moment donné de l'histoire.
Les personnages ne sont pas manichéens. Il ne sont pas caricaturaux non plus - enfin, pas trop. Ils évoluent. Ils ont leurs qualités, leurs défauts, leurs points forts, leurs points faibles. Certains sont courageux, d'autres moins. Et ils sont plus ou moins respectables, également.
L'auteur parvient avec brio à mêler la SF avec le récit policier, la romance (sans sombrer dans le culcul), le thriller psychologique ou encore la stratégie (tant politique que militaire) - et il y a même une touche de mystique (à la limite de la fantasy).
et tout ça fait que j'ai aimé.
ça change des scénarios classiques, je trouve.
Une chose à ne pas oublier lorsqu'on lit les livres : le découpage des éditions française qui proposent 4 tomes au lieu de 2 dans la V.O. Mine de rien, ça change l'approche que l'on peut avoir du récit et de l'évolution de l'histoire. Quand on ferme le tome 1 des éditions française, en réalité, on a pas terminé le livre.. on en est juste à la moitié et la bascule scénaristique, la vraie, n'a pas encore eu lieu.
Un animal lui a "volé" son repas sous le nez.
(Je sais que c'est possible, j'ai vu un goéland voler des crevettes dans l'assiette d'un mec sur une plage des Pays-bas).
J'en pense que c'est du grand n'importe quoi !
Les œuvres littéraires ou les films ou les séries ou les chansons, il suffit de les contextualiser, d'expliquer dans quel culture avait baigné l'auteur, dans quel contexte historique, quels étaient les tournures de pensées de l'époque.. etc. Et non seulement, on enrichit notre culture, mais en plus, on peut se rendre compte des progrès qui ont été faits (ou pas d'ailleurs ^^).
A l’origine, l’Art-thérapie est un outil utilisé par les thérapeutes pour aider leurs patients.
Il s’agit donc d’une expression qui désigne, en tout premier lieu une forme de psychothérapie qui utilise la création artistique (dessin, peinture, collage, sculpture, musique, théatre etc.) pour prendre contact avec sa vie intérieure (sentiments, rêves, inconscient, etc.), l'exprimer et se transformer. On l'utilise comme mode d'intervention en psychothérapie, particulièrement chez les sujets ayant de la difficulté à exprimer ce qu'ils ressentent par la parole, avec les enfants en bas âge ainsi qu'en physiothérapie pour développer une meilleure confiance en soi et favoriser la réadaptation.
Depuis quelques années, toutefois, ce terme s’est élargi à un domaine plus large incluant les loisirs et englobant des approches visant non pas à « soigner » mais simplement procurer un certain bien-être et une certaine paix intérieure. Car, de fait, il a été constaté que certaines activités lorsqu’elle étaient effectuées dans un état d’esprit qui exclut l’idée de performance et de compétition, pouvait apporter de nombreux bienfaits tant physiologiques que psychologique. Ainsi, ces activités seraient favorables à une baisse de la pression artérielle, à réduction du stress et du niveau d’anxiété.
Parmi les activités les plus populaire, on compte le dessin et le coloriage ou encore le scrapbooking.
En marge, certaines applications numériques proposent des activités qui s’inspirent de l’art-thérapie avec du coloriage par numéro ou des puzzles à reconstituer.
J’avoue volontiers passer du temps sur mon application de coloriage par numéro. Lorsque je suis fatiguée et stressée, ça m’aide, à me vider la tête. C’est également un bon moyen, pour moi, de patienter quelques minutes (oui, je ne supporte pas l’inactivité et l’attente – n’avoir rien à faire me stresse énormément). J’aime également, de temps à autres, sortir quelques crayons de couleurs et faire un peu de « vrai » coloriage. Je privilégie alors souvent les dessins de type mandala avec un peu de détails, mais pas trop.
Et vous ?
Que pensez vous de ces activités qualifiées d’« Art-thérapie » ? En pratiquez-vous ?
je crois me souvenir que dans l'une de tes réponses, tu as indiqué qu'elle avait attendu l'homme (le policier) un certain temps dans la rue avant qu'il ne daigne sortir et ainsi lui donner l'occasion de le gifler..
Puis-je en conclure qu'il n'y avait pas de danger immédiat ?
Jouait-elle à une sorte de monopoly grandeur nature ?
elle voulait être arrêtée pour avoir un "casier judiciaire".
Pour avoir l'occasion de passer un coup de fil en pcv ?
Pour échapper à des huissiers de justice ?
Elle avait une grosse somme d'argent sur elle pour acheter un truc le lendemain et elle voulait être en prison pour ne pas devenir la cible de voleurs ?
C'était un vendredi 13, elle avait croisé un chat noir en passant sous une échelle et elle voulait qu'on l'arrête parce qu'elle avait peur de mourir !
Elle voulait qu'on la protège d'un fantôme ?
D'ailleurs, elle voulait être protégée de quelque chose, mais ce danger était-il imaginaire ou concret et les policiers l'ont-ils prise au sérieux ou l'ont-il juste foutu dehors avec une amende pour avoir poussé le bouchon un peu trop loin ?
L'ont-ils considérée comme folle à lier ? et envoyé en psychiatrie ?