Parfois, je me contente de rentrer chez moi...
une petite centaine de marches à grimper (j'ai pas le choix, y a pas d'ascenseur), ça aide à garder un minimum de forme.
Sinon, quand j'ai le courage et que je suis motivée (ce qui n'est pas toujours le cas^^), je pratique un peu de vélo d'appartement ou je sors le Ring Fit.
@chouchou13
les touches rémanentes a priori, si tu n'as pas de difficultés particulière d'ergonomie et de manipulation de ton claviers, tu n'as pas besoin de les activer :
Lors d'un voyage en avion, mon homme a survolé le Groenland :
En l’occurrence ce n'est plus le cas, les vidéos ne sont plus disponibles depuis quelques mois, France ou pas.
@kallindra a dit dans Diablo III :
Donc c'est lié au bonus de temps ?
oui !
As-tu déjà remarqué que tu avais une barre de progression dans la partie droite de l'écran (là où apparaissent les différentes infos de quête et tout ça) ?
ça ressemble à ça :
Le curseur avec la tête de mort d'informe sur ta progression. Lorsque ce curseur atteint le bout de la ligne, le boss final apparait.
le curseur avec le petit sablier progresse de manière régulière et t'indique le temps qu'il te reste avant la fin du temps qu'il t'es imparti pour valider, en bonne et dûe forme, la faille en cours.
Comme indiqué sur l'image, l'idéal, c'est lorsque le curseur "tête de mort" a de l'avance sur le curseur "sablier".
Pour faire progresser le curseur "tête de mort", il y a deux moyens : tuer des monstres et surtout, surtout, bien penser à récupérer les boules violettes que les élites (nom indiqué en bleu ou jaune) laissent tomber lorsque tu achèves le dernier du groupe.
Penses donc bien à les récolter.
Bonne chance !
:
@kallindra a dit dans Diablo III :
J'ai bien fait une faille nephalem en tourment 4 pour l'équivalence de niveau.
Puis après j'ai fait 2x la faille supérieure en sélectionnant niveau 20 et ca me valide pas l'item.
Alors, il y a donc deux types de faille.
Les failles Néphalem dont le niveau de difficulté va dépendre du niveau de difficulté du jeu.
Si tu as sélectionné un niveau de difficulté de niveau 4 au moment de créer ta partie, alors la faille Néphalem aura une difficulté de niveau 4.
Les failles supérieures : elles sont accessibles lorsque ton personnage atteint le niveau 70. Pour y accéder, il faut il faut au préalable avoir collecté une clef de faille supérieur en tuant un boss à la fin d'une faille Néphalem.
Le niveau de difficulté de la faille supérieure ne dépend pas du niveau de difficulté que tu as définit en créant la partie. Tu décides du niveau de difficulté lors de la création de la faille supérieure.
Jusque-là, tout est clair pour toi ?
Quand tu réalises le périple on te demande de réaliser une faille supérieure de niveau 20.
La question que je me pose : es-tu parvenue à tuer le boss avant la fin du temps imparti ?
Car pour valider cette étape, il ne suffit pas de tuer le boss. Il faut le faire dans un temps limité.
On oublie assez facilement et trop souvent que Elon Musk est autiste (syndrome d'Asperger).
Ce qu'il fait que sa logique est décalée, qu'il ne voit pas les choses comme la plupart des gens ; que sa logique sort du cadre des logiques habituelles.
Ce qui influence également sa façon d'exprimer et dire les choses.
Lorsqu'il a déclaré vouloir acheter tweeter, on lui a aussitôt attribué des motivations correspondant à la logique et à la manière de faire et/ou de penser de la plupart des gens. Alors qu'il avait peut-être (même sûrement) en tête bien autre chose.
Se mettre dans la tête des gens est déjà difficile, comprendre et prendre la juste mesures de leurs intentions et motivation est déjà particulièrement compliqué. Essayer de comprendre ce qui se passe dans la tête d'une personne autiste me semble un exercice bien plus périlleux encore.
Pour ma part, je suis d'avis de lui accorder le bénéfice du doute et de croire qu'il n'a jamais pensé à mal lorsqu'il a décidé de manifester son désir de racheter Tweeter.
@fred88
la seule lettre qui m'interpelle, c'est le dernier L.
Je pense qu'il est issu du jeu : Citadelle.
le diffuseur de Kaamelott a choisi de rendre la série gratuite sur YouTube pour tout internaute se connectant hors de France.
Bon, ben pour les fans de Kaamelott, vous serez les bienvenus chez moi pour qu'on se fasse un marathon de la série en toute légalité ! 
@hornet ah !! ce serait parfait pour ma poucinette ça !
En plus, elle nous tanne pour avoir Splatoon 3 !
Ah ben, justement, avec Zhom, on se disait il y a peu qu'il n'y avait plus trop de séries de ce genre. J'entends par là un cadre et un contexte prétextes à aborder différents thèmes avec des épisodes indépendants les uns des autres.
Je lui donnerais certainement sa chance.
j'adore quand les réalisateurs de films se prennent la tête avec les boucles temporelles et les paradoxes qui vont avec.
Je pense que je vais essayer de le voir. 
@barbouille a dit dans L'amitié entre un homme et une femme hétéro est-elle possible ? :
je dis simplement qu’inéluctablement si tout les paramètres sont réunis il y aura plus que de l'amitié dans le temps.
J'imagine difficilement comment rendre cette phrase plus concise.
tout les paramètres sont réunis : quels paramètres ?
Il y aura plus que de l'amitié dans le temps ? du coup, il y aura quoi ?
tu apportes ton argument, je contre-argumente (ça s'appelle un débat).
Si tu penses que, entre un homme et une femme l'amitié finit forcément soit par se déliter, soit par se transformer en "plus que de l'amitié", alors que fais-tu des deux exemples que je t'ai donné (moi et mon beauf - mon mari et son amie (qui et ma meilleure amie) )?
Ici, soit tu assumes ton opinion (c'est ton droit), soit je t'aurais amenée à réfléchir sur ton point de vue (ce qui est parfois le résultat d'un débat).
Note bien que, de mon côté, j'ai révisé mon propre point de vue, dans le sens où, alors que je pensais que c'était assez évident, je me suis rendue compte que ça ne l'étais pas forcément aux yeux de tout le monde (surtout, il me semble, aux yeux des mecs).
@barbouille a dit dans L'amitié entre un homme et une femme hétéro est-elle possible ? :
@Artelise en fait tu as déjà ta réponse dans tout ce que j'ai écris, tu es libre d'y faire tout les raccourcis que tu veux, je m'ennuie à me répéter et je vis très bien le fait que l'on pense pas comme moi , j'ai plutôt l'impression de vous avoir outré plus qu'autre chose ce qui a mon sens signifierais beaucoup.
Je suis vraiment désolée que tu le prennes comme ça.
J'ai réalisé à un moment de notre discussion que j'étais semble-t-il passé à côté de ton argumentation et de ce que tu cherchais à nous dire. Je te poses donc des questions, certes simples, afin d'obtenir des réponses simples. Je ne cherche pas à faire des raccourcis. Je cherche à obtenir des réponses plus claires. Libre à toi, dans le fond, de renoncer à te faire comprendre.
Je ne cherche à convaincre personne. Juste à échanger des avis et des opinions. C'est le but de mes questions : je ne cherches pas à te convaincre que tu as tort et moi, raison. Je cherches à comprendre ton point de vue que j'ai échoué à comprendre jusque là.
Et dans mon argumentaire, je ne cherches pas de raccourcis. Je cherche à poser des exemples concrets.
Maintenant la question que je me pose, avec tout le respect que je te dois (mais bon je suis du genre franche et honnête) : les questions que je te pose te mettent-elles mal à l'aise ? ou bien ne serait-elle pas de nature à te contredire toi-même ?
Comme je le disais, je vois ton point de vue.
Mais comme j'essayais de le dire plus tôt, ça remet en cause sa durabilité, pas son existence.
Le sujet, il ne faut pas l'oublier, c'était :
@shanna a dit "
serait-ce si grave ou si triste de réaliser que l'amitié entre hommes et femmes hétéro est potentiellement un leurre ?
Ainsi, si on s'accorde à dire que rien d'extérieur ne s'y oppose, la question revient à se demander s'il est vraiment possible qu'une relation amicale entre un homme et une femme soit possible sans qu'il y ait d’ambiguïté sexuelle.
Ce à quoi je répond : oui.
Dans l'interview, il y a un moment critique où l'interviewer met le doute dans l'esprit d'une de ses interlocutrices.
Le truc, c'est qu'en faisant cela il dénature l'expression "être ami" et le mot "amitié".
En outre, il mélange deux notions qui peuvent aller ensemble, mais pas obligatoirement : désirer et aimer. (Certain d'entre nous, dans ce débat on expliqué comment on pouvait très bien désirer sans aimer. Certains d'entre vous on même admis qu'on pourrait très bien coucher avec un.e ami.e sans briser l'amitié).
Par ailleurs, il parle d' "amitié à sens unique" et semble vouloir dire que si l'amitié est à sens unique, alors ce n'est plus de l'amitié. Ce qui me semble faux. Que les émotions et sentiments que l'on éprouve soient réciproques ou non, ils n'en restent pas moins réels. Et même dans le cas, où l'autre partie pourrait éprouver des sentiments plus forts, mais que, par respect et/ou pour conserver l'amitié qui existe entre les deux parties, il décide de les mettre en sourdine, n'y a-t-il pas encore amitié ?
Je crois, finalement, que la grande question qu'il faudrait qu'on se pose, ici, c'est : "c'est quoi l'amitié?" je crois que si chacun donnait sa définition, on pourrait avoir des surprises. 
@koursk Bon courage ! J'espère que tu te remettras vite.
@jabba-the-hutt
je pense que je vois ton point de vue. Et pourquoi tu parles de différents paramètres.
Affronter le regard des autres, ça peut être compliqué, je veux bien.
L'amitié en elle-même, non.
(selon moi, évidemment)
mais je crois que, à un moment donné de ma vie, il y a bien des choses que j'ai laissé tomber et l'une d'elle, c'est l'habitude de me demander ce que les gens, autours de moi (au sens large), peuvent bien penser. J'ai apprit à vivre en accord avec moi-même, mes principes, mes priorités et sans plus tenir compte du regard des autres. Et crois moi, d'un coup, il y a beaucoup de choses qui deviennent très simples.
@jabba-the-hutt a dit dans L'amitié entre un homme et une femme hétéro est-elle possible ? :
De ce fait, ça reste donc relativement rare.
Je pense que l'amitié, la vraie (quelque soit les intervenants) est rare.
On a plus souvent des potes, des copains/copines, des connaissances, des accointances, etc. que de vrais ami.e.s
Mais ce n'est pas compliqué. Les seuls prérequis ce sont : l'honnêteté, la franchise, la loyauté et la confiance. Et la volonté de faire quelques efforts pour entretenir la relation.
Mais évidemment, dans la société actuelle où l'honnêteté et la franchise sont reléguées au second plan derrière ce qu'on appelle le "tact" ou la "diplomatie" ; où la loyauté passe souvent derrière son propre intérêt et où la confiance semble vouloir disparaître, oui, ça peut paraître compliqué.
Mais la vraie amitié, sincère et honnête, se fout pas mal des genres.