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Artelise
on doit respecter un délais de 24h entre deux propositions.
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Artelise
pour la 5, je tente : dernière pub avant la fin du monde.
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Artelise
Honnêtement, c'est ce que je craignais.
Sans parler du fait que la plupart me semble tout de même s'adresser prioritairement à des tâches professionnelles. -
Artelise
Jamais testé aucune appli, mais, voici une liste qui répertorie les 10 meilleures :
https://www.canva.com/fr_fr/decouvrir/to-do-list/
J'avoue que j'aime bien le principe de la toute dernière qui transforme les tâches quotidiennes en jeu. lol.
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Artelise
ça à l'air très intéressant pour s'intéresser à l'art pictural et se former un peu sur le sujet.
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Artelise
Je pense qu'il faut d'abord comprendre et adhérer à l'approche conceptuelle du cuisinier pour réussir à faire abstraction de l'aspect du plat.
Mais oui, clairement, il y a des chances pour que ça me pose un gros soucis. L'aspect du plat étant important à mes yeux pour me mettre en appétit.
Par ailleurs, je ne vais pas au restau pour recevoir une leçon de morale ou pour qu'on me fasse passer des messages écologico-économico-je-ne-sais-pas-quoi.
je suis sensible à certaines démarches (mise en avant des produits locaux, optimisation dans l'utilisation des ingrédients, etc). Mais quand je vais au restau, c'est pour passer un bon moment gastronomique, pas pour qu'on me livre une leçon dans mon assiette.
Quant au côté "provocateur" dans le genre "pipi de pleurote dans la neige"... euh, non. Je ne commanderais même pas !! -
Artelise
J'ai terminé "IRL Chroniques de mes Improbables Rencontre en Ligne". Que j'ai adoré.
j'entame une anthologie : afrofuturisme
Un recueil de vingt nouvelles dans le cadre des vingt ans du festival des imaginales session de 2022Comme d'habitude avec les anthologies, les textes sont plus ou moins à mon goûts et plus ou moins intéressants. Mais ça a l'avantage de me permettre de faire connaissance avec certains auteurs. Par ailleurs, la thématique a de grande chance de me confronter avec des cultures avec lesquelles je ne suis pas familières. Et ça, c'est bien.
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Artelise
@ImNeverBeFirst a dit dans J'ai besoin d'aide par rapport a ma mère :
Mais comment vous pouvez trouver ça normal sérieux ??
J'ai lu ton sujet et je n'y est pas encore répondu, faute de temps.
Non, je ne trouve rien de normal dans ce que ta mère a fait.
Même si les vêtements avaient été acheté et financés par ses soins, je pense qu'elle n'avait pas à te les confisquer. Donner, c'est donner, reprendre c'est voler. Voilà ce qu'on m'a apprit. Donc, ben, en effet, ce chantage était ridicule au départ et il l'est encore plus maintenant que tu as corrigé ton comportement.Toutefois, je rejoins le questionnement que @Barbouille t'encourage à te poser: on te sens profondément blessée, mais elle vient d'où cette blessure ? elle prend ses racines, où ? tu veux juste récupérer tes biens ou est-ce que tu souhaites surtout que ta mère te traite enfin comme l'adulte que tu es en train de devenir ?
Parce que si c'est "oui", à la seconde proposition alors, j'aurais tendance à t'encourager à lâcher du lest au sujet des vêtements, voire à tirer un trait dessus. Tu te trouves au beau milieu du problème et tu manques donc du recul nécessaire pour dénouer les noeuds. Je pense que le fait que tu sois venue ici exposer ta colère, ton désarrois et nous parler de ton sentiment d'impuissance est un moyen de chercher à prendre enfin du recul. Ce que je vois, moi, depuis ma petite lorgnette et ce que je comprends au travers de tes mots, c'est que tu te focalises finalement sur un détail. Oui, ta mère t'a volé tes vêtements. Mais même si elle finissait par te les rendre, le vrai problème ne serait pas résolu.
car toi, en réalité, tu avances. Tu suis tes études, tu a apprit à gérer ton argent, tu passes ton permis... bref, tu entres dans ta vie d'adulte. Mais ta mère, elle, elle stagne très visiblement. Nous n'avons que ton témoignage et ton ressenti. Tu as mis dans les Tags "relation toxique". Tu penses à toi et à ta mère, je pense. Mais n'est-ce pas ta mère qui, en tout premier lieu, vit une relation toxique avec cet homme qu'elle ne parvient pas tout à fait à quitter ?
alors, non, je ne vais pas te dire que c'est à toi d'aider ta mère. Ce n'est pas ton rôle. Mais peut-être pourrais-tu essayer de prendre les choses de manière plus globale, de cesser de te focaliser sur ce que tu vis comme un drame et qui (selon moi) n'en est pas vraiment un ? Peut-être pourrais-tu essayer de te dire "oki, ma mère ma volé mes vêtements, ce n'est pas normal, elle n'aurait pas dû, mais si je veux continuer d'avancer dans ma vie (ce qui me semble plus important que de récupérer quelques fringues), je vais laisser cette affaire derrière moi".
Après si c'est vraiment important, oui, essaie de contacter les autorités compétentes ou de trouver de l'aide auprès d'une association / organisme d'aide qui pourront tenter de faire valoir tes droits et/ou de t'aider à quitter le domicile de ta mère - c'est peut-être ce dont tu as besoin (je n'oublie pas que nous n'avons pas toute l'histoire) et ce dont ta mère a peut-être besoin aussi, d'ailleurs.
Bref, l'aide que nous pourrons t'apporter ici, ne peux se résumer qu'à un soutien moral. On peut t'écouter, on peut te donner nos avis (qui ne correspondra pas toujours à ce que tu souhaites entendre), mais on ne pourra jamais t'apporter de réponses définitives, ni prendre de décisions pour toi, et encore moins agir pour toi.
je te souhaite bon courage.
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Artelise
Une forme de politesse, comme le dit @Gaip. Et un moyen de montrer que l'on s'intéresse à l'autre aussi, explique-t-on à mes enfants.
Moi, ce qui me gène, c'est lorsque ça devient une forme d'automatisme dépourvu de sens. Lorsqu'on souhaite le bonjour, par réflexe et par habitude, à quelqu'un qui nous est en réalité indifférent. Ou lorsqu'on demande à quelqu'un "comment ça va?" et qu'il répond un poncif du genre "ça va" sans en penser un mot. Et pire, lorsque la personne attend qu'on réponde à son retour de politesse par un "ça va" alors qu'on ne va en réalité pas bien et qu'on meurt d'envie de répondre qu'en réalité, non, ça va pas, mais on sait que ce n'est pas ce que l'autre veut entendre, alors on se sent obligé de faire preuve d'une forme de mensonge et d'hypocrisie "diplomatique".Je suis d'accord aussi avec le fait que pour débuter une conversation et briser la glace, c'est une approche qui se tient - neutre et tout.. mais personnellement, j'ai un mal fou à le faire. Il y a toujours tout un tas de questionnement derrière "est-ce que la personne veut aussi parler un peu ? vais-je déranger ? quelles questions, quel sujet de conversation va être le plus pertinent ? ... Et avec les gens que je connais déjà, parfois, c'est pire avec des réflexions intimes du genre "on déjà parlé de ça la dernière fois, j'ai pas envie de radoter^^ ; ça va agacer la personne..."
Pour ceux qui sont à l'aise avec le small talk, quels conseils vous donneriez à ceux qui le sont moins et qui ne parviennent pas à trouver l'inspiration ?
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Artelise
Je viens donc, de ce pas, confirmer que je souhaite faire partie de l'aventure avec mon pseudo : Artelise.
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Artelise
Ce matin, j'avais envie de créer un nouveau sujet sur le forum pour parler de ce biais social qu'on appelle le small talk. Sagement, je vérifie s'il n'existe pas déjà un sujet sur le thème et je tombe sur ce sujet... Je le déterre donc et je relance la conversation :
Ce qui me motivait, moi, pour la création d'un sujet sur cette thématique, c'est le fait que lors de leurs séances de thérapie de groupe, mes enfants ont tous deux été très fortement encouragé à s'entrainer au Small Talk. Ce que je trouve plutôt normal, vu que chez les personnes autistes, c'est loin d'être une évidence. Avoir envie de briser la glace et ne pas savoir comment procéder peut-être source de frustration. Mais je me rend compte, à lire les différents commentaires (pardon, ça date un peu, malgré tout), que ça semble loin d'être évident pour plus de monde que je ne le pensais^^
Il y a vraiment tant de gens que ça que le small talk rebute ? Ou bien est-ce surtout l'hypocrisie qui se cache derrière ? Et quand bien même, est-ce que vous pensez que ça reste utile dans certaines circonstances ? Ou bien, c'est vraiment, à vous yeux toujours du temps perdu ?
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Artelise
oki.
alors, peux-tu me faire un tirage concernant mon avenir financier ?on notera au passage l'ordre de mes préoccupations du moment ^^ lol
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Artelise
si c'est pour le fun, je veux bien voir quel tirage tu pourrais bien me faire au sujet de l'avenir de mes enfants et de ma petite famille.
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Artelise
ben, en fait, avec ma fille, on a composé un poème en allemand.
Heureusement qu'on avait le droit de faire appel à un ami (merci ChatGpt)
On y a tout de même passé plus d'une heure.
Et révision de l'exam de géo qui aura lieu demain.
donc, ben, j'ai presque plus bossé que d'habitude (en terme de soutien scolaire, en tout cas).mais ça fait tellement plaisir de voir que ma fille me fait confiance pour l'aider à faire ses devoirs
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Artelise
c'est en forgeant qu'on devient forgeron.
je rempile en espérant mieux m'en sortir ! -
Artelise
@Cynthia80 et @Marcel
Lorsque vous cliquez sur le lien, vous tombez sur un avertissement. Il faut confirmer que vous êtes en âge de supporter de voir un petit bout de sein sans tomber dans les pommes...
Je tente : 17 : la marche de l'empereur
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Artelise
@Nyanne a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
j'entend souvent ce genre de choses, des personnes qui se projettent à un certain âge, en disant que là elle arrêteront de se teindre, comme si à un moment, "on pouvait" parce qu'on n'avait plus beaucoup de valeur.
C'est une réflexion intéressante.
Mais elle ne me correspond pas. Si je dis que je laisserais peut-être apparaitre mes cheveux blancs passé le cap de la 50aine, c'est plus parce que finalement j'aurais atteint l'âge qui, dans mon esprit, correspond à ce moment de l'existence où ils commencent à être valorisants.
j'ai envie, un jour, de pouvoir porter ma chevelure blanche avec fierté, comme un flambeau annonçant que j'ai bien vécu. Mais pour moi, ce moment n'est pas encore venu.Mais vos réflexions à tous/tes sont super intéressantes. Elles me font prendre conscience que finalement, si j'ai réussi à me détacher du regard de la société concernant mon embonpoint et ma façon d'être, je n'ai pas encore su m'en détacher par rapport à la couleur de ma chevelure. Peut-être parce qu'on m'a longtemps dit que c'était ce qui me rendait belle. Je me souviens encore de ce coiffeur qui avait dit à ma mère, quand j'avais 10 ou 11 ans : "mais elle a une si belle chevelure ! pourquoi la couper ?"... ça m'a tellement impacté que je n'ai pas fait couper mes cheveux sur plus de quelques centimètres avant mes 40 ans !