@want-wish a dit dans Blind-Test de la Résurrection - DJ Kourski la Tepu - Vendredi 12/02 - 19h54 :
@Koursk Botticelli
Bocelli
Un italien quoi!??!!
Effectivement ! Bingo !
@want-wish a dit dans Blind-Test de la Résurrection - DJ Kourski la Tepu - Vendredi 12/02 - 19h54 :
@Koursk Botticelli
Bocelli
Un italien quoi!??!!
Effectivement ! Bingo !
Bienvenue.
Pour l'instant, ce qui me fait flipper, c'est plutôt toi.
J'enverrai mercredi. Cela ne sera pas trop tard ?
Il me faut du temps pour échauffer ma voix.
C'est dingue. Et intéressant.
Pour ma part, j'ai été émue par cette vidéo qui deviendra probablement... Rapidement virale...
Mince, je dois partir ! Je voulais perdre ! NOOOOOON.
Je mets mon grain de sel, même si je frôle toujours un peu le hors-sujet.
Avec les élèves, nous étudions les récits de création traditionnels d'une vingtaine de pays, les Métamorphoses d'Ovide puis nous embrayons sur la Bible et le Coran. Nous avons également essayé de comprendre le premier mythe humain : Le mythe de l'émergence.
Ces derniers sont au programme de 6e. Nous essayons de trouver des dénominateurs communs entre tous ces récits, et nous déduisons de certains extraits (notamment la création de l'homme), la morale évoquée, les dits et interdits de chaque écrit. Nous voyons donc ces récits sous un œil anthropologique, dont on peut tirer des lignes directrices. La langue complexe (structurée par la syntaxe) a été inventée pour raconter des histoires. Ces histoires éclairent sur les droits et devoirs millénaires. Nous adorons étudier ces "enseignements" ; nous ne sommes pas dans la toile de l'embrigadement ; je respecte infiniment les élèves croyants, qui aujourd'hui, ne sont plus aveugles devant les découvertes scientifiques.
En lisant certains d'entre vous, je sens de l'agressivité des deux côtés. Sciences VS religions. Nous apprenons, avec les élèves, à les voir sous deux facettes différentes, qui répondent à des questions atemporelles. La science, connaissance pure, qui se précise avec le temps, vient également rassurer nos peurs devant le grand vide. La religion apporte, dans le sens, où dans notre société, elle explique les lignes directrices de la morale. La morale évolue, mais ne vient pas seulement d'un "bon sens".
C'est que mon avis. Je ne suis pas croyante, au demeurant, et je l'ai été. Je ne vois pas cela comme un signe de naïveté. J'en avais besoin, et j'avais trouvé une communauté qui semblait exempt des défauts que je constate un peu partout. Un cocon. Une routine. Une bienveillance.
J'ai vécu une vie pleine de rebondissements. C'est vraiment pas mal pour les névroses collées à la peau.
Les rebondissements ne sont pas forcément positifs, même si nous pouvons nous pavaner avec orgueil dans les réunions de [mot au choix] anonymes. J'ai compris, avec le temps, et cela ne concerne que ma perception... Que les rebondissements se font en soi ou en comités réduits. La nourriture spirituelle partagée avec les autres ; et surtout... Le rire. Le rire incarne tout, soulève tout, inonde l'ennui. Ma vie ne sera jamais monotone, malgré un métro-boulot-dodo bien calibré. La vie en soi avec ses déceptions, ses desillusions... et hors de soi, bref... La valse de la vie ne l'est jamais totalement. En cela, je rejoins Egon. Profiter des moments sans chutes. Tomber. Continuer à rire. Remonter. Alors... Fonce dans ton projet. S'il t'ennuie... Pars. Retourne-toi, si besoin ensuite. Vis. Puis reprends. Je ne sais pas quel âge tu as pour espérer vivre des aventures, mais tu les vivras. Sourire.
@Kachina13 a dit dans Blind test Années 80 - Vendredi 19/02/21 - 20h00 :
moi javais les 2 mais je dois apparaitre en invisible sans doute
On ne doit donner que le nom du chanteur, si j'ai bien compris.
Ce débat existe depuis tellement de siècles.
Il me fascine.
Saviez-vous que cette histoire d'accord du participe passé en présence de l'auxiliaire avoir et d'un COD antéposé... Date du 16e siècle... Pour des histoires de rimes féminines en poésie, et de pouvoir royal ? La langue du roi. La langue de la cour. Quelle classe, et quel déni du peuple. Que la pharmacienne était l'aide du pharmacien ?
Il en existe des milliers, d'exemples, qui prouvent que la langue est un miroir sociétal, mouvant, et surtout fascinant.
Pour autant, et ce n'est que mon avis, je ne me projette pas dans l'écriture inclusive, ni dans la féminisation à outrance. Cela me gêne même plutôt, car les mots deviennent garants d'une forme de pression politique qui devrait probablement œuvrer ailleurs... La langue suivra, naturelle, et non pas sous l'auréole de la Sainte Académie française, de scribouillards passionnés à la fac (même si... Je les adore ! Sourire.) mais sous la force même du peuple, de ses habitudes, de ses peurs. La féminisation des mots a débuté il y a déjà plusieurs siècles... Je doute, surtout, que cela améliorera quoique ce soit pour le combat des femmes. Les femmes vulnérables, et sous-payées... Ont-elles peut-être envie de voir le combat glisser vers autre chose que la grammaire ?
Plus personnellement, et mon avis est encore mouvant... Je m'inquiète pour le découpage des mots et les accords. Mes gamins en 6e savent à peine lire. On ne touche pas qu'aux noms. On touche aux pronoms, aux déterminants, adjectifs... Je m'inquiète pour le lien graphie/phonie... Et rien dans ce que j'ai lu, à part dans les thèses de fac totalement écrites en inclusif, ne respecte un système serein et à peu près stable qui puisse être enseigné pour l'instant. D'une logique.
Si quelqu'un m'offre la méthode... Une norme...Je la veux bien... Je me sens démunie.
@aspiegon a dit dans Les études et les classes normalisées VS. l'Inclusion :
Premièrement, est-ce que des personnes qui sont sur ce forum ont été diag ou pré-diag sur la question d'un handicap invisible (dys-, TSA, TED...)?
Dans un second temps, comment avez-vous suivi vos études (au niveau des aménagements, par exemple), et étiez-vous dans une classe "spéciale"?
Troisième question, optionnelle : vous est-il déjà arrivé de passer d'une classe "normale" à une classe "spéciale", ou inversement? Et comment avez-vous ressenti ce changement?
Je répondrai plus amplement bientôt. Je suis pressée par le temps, les valses.
Donc, j'ai été diagnostiquée énormément de choses, et je n'étalerai pas ici les catégorisations effectuées. Je n'en ai pas besoin. Si cela t'éclaire davantage, je suis apte à en parler en MP.
J'ai la trentaine, et je n'ai jamais eu d'aménagements particuliers, j'ai eu la chance de pouvoir compenser, d'avoir mon baccalauréat tôt, de changer de voies plusieurs fois, et de faire mon cursus à distance. Le distanciel est une chance. De ma L1 à ma thèse, j'ai pu approfondir tous les domaines qui me touchaient. Je n'ai pas eu besoin de "classe spécialisée", juste de patience, d'acceptation et surtout de volonté. Je devais bosser à côté de toutes façons.
Je suis enseignante, désormais. Mon concours a été validé avec des 20 à l'écrit, des 2 à l'oral. Je me considère comme une enseignante perfectible, instable, mais j'ai réussi à trouver une place où m'asseoir. Mon hors-piste intrigue, et donne du grain à moudre.
Nous adaptons de différentes manières le travail, les rendus, en fonction des PAP et PPRE. Tout dépend de l'attention de l'enseignant, certes, mais aussi du temps. Le temps permet d'individualiser. Au lycée, tout devient plus compliqué, les classes sont surchargées. Les "dys" sont tellement différents, les profils de vie tellement différents... J'ai l'impression que nous sommes une génération d'handicapés invisibles. Qu'importe la marque déposée.
@Kachina13 a dit dans Blind test Années 80 - Vendredi 19/02/21 - 20h00 :
récapitulons : il faut l'artiste seulement ???
Mais si tu veux faire la snob, mets le titre.
Attention, cependant, évite de marcher sur mes platebandes.
@leo a dit dans Le poids des apparences :
@Astyanax a dit dans Le poids des apparences :
Soit féroce, ne te retiens pas. Il pleut déjà
Je sais à quoi m'attendre sur ce type de sujet, je connais mon époque, non ?
Je crois qu'il y a un combat de l'individu contre un certain holisme si ! Ou du moins contre l'angoisse de la possibilité de celui-ci. Et cela revient à ce dont nous avons déjà discuté. L'enjeu dont relève ce type de discussion est bien la raison de certaines positions très "vives". Il faut défendre l'individu à tout prix !
Je ne vois pas le problème à prôner cette position. Je la trouve même plutôt plaisante, à lire.
Abstraction dans le sens... Généralisation schématisante du sensible. Clairement, j'adore schématiser, mais j'aime aussi toutes les branches qui ressemblent à des cristaux aquatiques, un peu bordéliques. Ton discours semble gêner car il limite l'Homme. Nous avons tous une dalle métaphysique, et tous un lien fort avec l'empirisme, que ce soit inné ou non. Il est peut-être important, de l'avoir et de la maintenir cette dalle.
Je dévie encore. Je n'arrive pas à situer ta recherche d'objectivité. Attends-tu une analyse de la "réalité donnée" ? Et dans ce cas, as-tu besoin de nos petits individualismes pour éprouver un empirisme passif et de notre subjectivisme pour l'illustrer ?
N'y a-t-il pas, justement, un point d'équilibre entre le subjectivisme borgne que tu dénonces et cette abstraction ?
J'aime l'abstraction structurale, je ne te lance pas la pierre pour cela ; par contre, je suis étonnée que tu rejettes alors ton propre terrain d'étude.
Ne ronge pas notre individualisme. Sourire.
@Hornet a dit dans Blind test Années 80 - Vendredi 19/02/21 - 20h00 :
@Kachina13 Je peux ban 2 ou 3 participants au hasard si tu veux !
Wolfen, ce serait le plus simple.
@leo a dit dans Le poids des apparences :
@Mai-Tai a dit dans Le poids des apparences :
@leo oui, et ? C'est toi qui as ramené le sujet des célébrités sur le tapis.
Et donc on est d'accord que la vraie vie c'est pas pareil.
Tu auras toujours des gros lourds qui vont draguer juste sur un physique de bimbo. Mais pour la plupart d'entre nous, il y a d'autres critères qui feront qu'on a envie de séduire quelqu'un.Non, nous ne sommes pas d'accord. Je pense que le fil de célébrité parle justement de l'importance qu'on attache à l'apparence, y compris dans les situations bien réelles de la vie où nous allons, bien évidement, garder ces représentations comme unité de mesure. Et plus particulièrement dans des relations de drague...
Je me permets. Les célébrités, nous cristallisons dessus grâce au personnage qu'il incarne qu'on reconnait ou croit reconnaître. Du moins, certains d'entre nous, j'imagine. On revient à une forme d'idéal. Ici, il y a probablement des Popcorniens qui sont attirés par une forme de physique aux goûts "culturels" marqués ou "empiriques" (rappel d'une relation ratée ? Manquée ? autre... ), et des Popcorniens attirés par le rôle incarné, la ride de l'expérience, le fantasme de connaître quelqu'un dans son intimité... Parfois, les deux.
Le fil des célébrité parle de l'importance qu'on attache à l'apparence formelle et/ou à l'apparence comme réceptacle.
D'ailleurs, j'y retourne.
Y aura-t-il des supers bonus ? J'arrive en retard, l'air de rien, et je gagne 200 points grâce à un énorme coup de bol à ma culture cinématographique vaste et éclectique ?
On ne comprend absolument rien à ce qu'elle dit.
Elle a appris à articuler depuis. Heureusement.
@leo
Je te suis. Partiellement. Notre discussion est bordélique.
J’essaie encore de te comprendre. Il faudrait presque un topic dédié à ta psyché. Ou pourquoi pas, à la philosophie de chacun.
Pour éviter le HS, tu peux me répondre en MP.
J'aime bien les convictions lourdes. J'en suis dénuée.
J'ai l'impression (beaucoup de je, je me réveille ! Confuse !) que nous mélangeons un peu l'ordre anthropologique, moral / l'ordre social et politique.
Il existe bien un individualisme qui valorise l'individu et ne soit pas simple holisme. Celle de l'autonomie personnelle ?
Pour revenir au sujet, mais pas à ton sujet, effectivement, je suis déjà tombée amoureuse d'un homme sans jamais l'avoir rencontré.
Il s'agissait alors d'apparence interne. Mais jamais je n'ai essayé de lui visualiser une forme. Et je suis persuadée... Que si je l'avais rencontré... Je n'aurai pas ressenti de déception. Qu'il soit nain, cul-de-jatte, ou pendu.
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