Meilleurs messages postés par Astyanax

Cette fois, je gagne. Je serai là.

@hornet a dit dans Vous avez carte blanche ! :

@astyanax Asty

Je passe en coup de vent. Mais dès que mon année scolaire se termine, je reviens me dorer la pilule à vos côtés.

Merde. Je suis en retard.

@kachina a dit dans Vous avez carte blanche ! :

@astyanax ben alors ! ca fera 2 mensiversaires que tu loupes Contents de savoir que tu vas bien .

Oui ! Des soucis de santé qui sont derrière mois, désormais.
Je bois encore un peu la tasse avec le boulot, mais je suis loin de la noyade.

Contente de vous voir.

@Koursk a dit dans Blind Test Muet - le LIVE Jeudi 08.04.2021 - version confiné(e)s :

Koursk
Koursk 8 avr. 2021 à 21:33

Le classement officiel est disponible:

@Kachina13 9 En confiance
@ivoire 8 A la recherche de la fibre perdue
@want-wish 8 Décapsule une bouteille
@koursk 7 On s'en fou
@Wolfen 1,5 La Louve de la Moselle doit se bouger
@Jonesy 1 En perte de confiance
@Astyanax 0 point Le premier point lors du prochain extrait

Merci de ne pas remuer le couteau dans la plaie. Je n'ai bu qu'une bière pour subir cette offense. Deux fois.

Toujours particulier de répondre à un "Ancien utilisateur"... Paix à son âme. Wakanda pour toujours.

Je passe le plus clair de mon temps à faire des listes.
En voici une :

• Boire.

• Corriger des copies, préparer des cours qui tiennent la route.

• Lire. Quatre heures par jour au minimum. De tout, évidemment, mais surtout de la poésie et de la linguistique. Je pourrais parler pendant des heures du genre poétique que j'étudie actuellement pour ma thèse. Mais... Même les colloques s'en foutent. Je peux parler des heures de mythologie grecque et nordique. De l'Histoire de la langue.

• L'humour de répétition, circulaire.

• Faire des calembours douteux, imaginer des scenarii absurdes pour des nanars inspirés de la vraie vie.

• La philosophie de comptoir.

• L'humour de répétition, circulaire.

• Fabriquer des couronnes, des bijoux.

• Acheter des livres.

• L'humour de répétition, circulaire.

• Dessiner sans talent.

@wolfen a dit dans Blind test années 2010 - Jeudi 6 mai 20h00 :

@icescream Bienvenue. T'as encore le temps de gagner, la moitié des effectifs habituels à préféré rester devant le film de TF1. Je ne savais pas qu'Audrey Fleurot attirait tant de monde...

Le monde se divise en deux catégories. Ceux qui aiment les BT, ceux qui préfèrent Audrey Fleurot.
La crème de la crème est ici. Peut-être même Audrey Fleurot.

Merci à tous pour ces messages qui réchauffent le coeur. Qui ressemble assez loin à un vieux mouchoir dégueulant de morve.
Je vous lis ; je médite.
Je n'arrêterai pas d'écrire dans les bars ; le monde m'inspire, même s'il me laisse pour le moment, la tronche contre le sol. Je me place moi-même dans cette situation, étant réservée comme tout.
Je tenterai les clubs ; j'avais essayé jeune... J'étais sacrément mal à laise.
Comme dit Bertrand Cantat :
Elle se penche parfois de son nid d'hirondelle
Daigne me recevoir, ne me laisse pas de place pour m'asseoir

Bref, merci.

@peri a dit dans Ces films aux idées "qui ne passent plus" :

Ce n'est pas du cinéma, mais dans la catégorie "trucs qui passent encore on-ne-sait-trop-comment mais qui doit être sur la sellette" :

Felindra et ses tigres dans Fort Boyard.

Là on cumule "fauves en captivité" + "la dompteuse qui doit s'y connaitre en fauve parce qu'elle est noi habillée en dompteuse".

A noter qu'il n'y a pas si longtemps c'était encore ça :

Puis, il ne dit même pas s'il te plaît.

Dans le même genre... On ressort les vieux dossiers de Laffont ?
Sa tarte à passe-partout ?
Désolée... Je me marre en voyant cette vidéo. Fouettez-moi.

Je pense m'être enfin débarrassée de cette sorte de manie qui consiste à cristalliser sur n'importe qui. La réalité est plus pesante mais n'est pas si exempt de douceur.

Je serai ta némésis de message.

Anecdote d'une randonnée non voulue.
Dans une forêt en Seine-et-marne. J'accompagnais un monsieur touché d'Alzheimer. Il était certain de son chemin, il l'avait fait plusieurs fois. J'avais confiance en lui.

Depuis ? Et moi ? La randonnée ? Non. Sportive ? Non.

Je me lance...

1 - Le Désespéré de Bloy.
2 - L'Homme sans qualités de Musil.
3 - Les Jeunes filles de Montherlant.
4 - La Jeune Parque de Valéry.
5 - Guignol's Band I et II de Céline.
6 - L'Idiot de Dostoïevski.
7 - Voyage au bout de la nuit de Céline.
8 - L'Eve future de Villiers de l'Isle Adam.
9 - Hécate de Pierre Jean Jouve.
10 - Cyrano de Bergerac de Rostand.
Merde, je dépasse.
1 - Notre-Dame de Paris de Hugo. Juste pour Frollo.
2 - Là-Bas de Huysmans.
3 - Phèdre de Racine.
4 - Le Loup des stappes de Hesse.

Que Dieu me pardonne la flemme de l'Italique en ce jour béni du 31.

Attention aux éléments de langage qui globalisent le propos et en font une forme de vérité générale...
" Quoiqu'on en dise".

Quand on évoque les "petits dealers", "des voleurs", il s'agit finalement d'une sorte de contrepied avec les arguments adverses qui maquillent la réalité en prison en mettant uniquement en avant les profils qui font froid dans le dos. Personne n'a soulevé que ce "n'était rien".

Pensant comme certains sur ce topic, je ne vais pas culpabiliser de ressentir de la compassion pour les incarcérés. Cela ne signifie pas que je ne ressens rien pour les "victimes". "Vous n'avez pas le monopole du coeur."

Merci pour ce sujet très intéressant – et intimiste.

La littérature, de mon côté, m’a apporté autant de peines que de joies. Je lui suis redevable de toute construction.
Elle m’a offert un idéal. Un idéal tourmenté, à la manière d’un romantisme qui voit dans l’Histoire, dans le passé, une noblesse pleine de valeurs… qui s’échoue sur la réalité.
J’ai été élevée avec des bouquins décadentistes, qui haussent le beau, et haussent le non-sens. Adolescente, elle m’a rendue cynique, condescendante, dépressive, caricaturale, attirante. Je me suis alors éloignée de la société.
Léon Bloy, Huysmans…

Puis est venu le temps des idées.
Une fois l’adolescence éloignée, la poésie versifiée un peu mise de côté, j’ai découvert L’Homme sans qualités de Musil. Et par là… un semblant de philosophie.
J’ai commencé à recoller les morceaux d’idées disparates. J’ai commencé à voir de la beauté. Je suis descendue de ma petite montagne, et remontée de mon abîme.

Il y a des pages qui marquent.
Il y a cette sœur, incroyablement enjouée, qui récite Shakespeare et ne sait comment redescendre de son envol sans devenir ridicule. Elle tire la langue.
Ce contraste saisissant, qui joue avec la légèreté des pensées – aussi profondes soient-elles…

Aujourd’hui, je lis principalement de la philosophie.
Cela me canalise, me rend sceptique – pour le meilleur – et m’empêche de tomber dans des convictions excluantes et extrêmes.

@Egon a dit dans Titre. :

@Astyanax a dit dans Titre. :

Hesse, Dosteïovski, Musil

Je valide. °_°

@Astyanax a dit dans Titre. :

Et toi ? Quelles lectures ? Sourire.

J'ai une préférence pour les auteurs germanophones de cette période, mon favori étant Thomas Mann avec La Montagne Magique.
En dehors des classiques de la littérature germanophone, ce qui revient le plus dans ma bibliothèque c'est Proust, Jack London, Tolstoï, Dostoïevski, de la littérature hongroise, de la littérature américaine XIXe et surtout XXe siècles, Vian, des bouquins de socio et de philo.

Nous aurons le temps d'en reparler. Avec grand plaisir.

Merci à tous pour cet accueil. Je ne m'y attendais pas.
Je pars donc en quête de topics.

Ma fille a dit à sa maîtresse : Pascale, face de pipe en bois.
Je n'ai toujours pas compris s'il s'agissait d'une insulte.

Blackwater
Série littéraire

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@Doc-Cranium a dit dans Que lisez-vous en ce moment ? :

Quelqu'un ici connaît la série Blackwater de Michael McDowell ?

Je devais vous faire un rapide retour, je le fais...
En essayant de ne rien spoiler.

Je le conseille à tous les amateurs de Bridgerton et autres intrigues de familles bourrées de fric. Et à ceux qui rêvent d'un mélange de fresques familiales et de fantastique... Faut aimer les descriptions et en même temps... Il faut accepter des personnages sans personnalité profonde.

Bon, là, les familles prennent l'eau ; départ de l'oeuvre suite à une crue phénoménale.

Je ne suis pas allée jusqu'au bout. Autant, j'adore l'épopée familiale sur des générations avec des coups de pute, et des conversations à batons rompus... Autant, là, j'avais la fâcheuse impression de lire le scénario d'une série adolescente. Ce qui n'est pas si idiot car Mcdowell est scénariste.
Je ne l'ai pas lu dans la langue originale, mais l'écriture est moins crispante et légèrement moins plate qu'un roman-fleuve romantique. On sent les effets, quelques éléments qui laissent dans l'attente ; pas assez pour me retenir. On tourne un peu en rond, les dialogues sont évidés.

Le début est pas mal. J'ai tenu une centaine de pages, et j'ai préféré m'attaquer à d'autres mondes modernes...

Allez, j'ai tenté plusieurs jeux avec ma fille, ces derniers temps.
Je vais faire ce retour.

Dongeon & Paper, un roll & Right assez classique — Oui, j'adore les esperluettes — , le but étant de vaincre des sbires, des monstres ; récupérer des gemmes, fabriquer des objets magiques, augmenter le niveau de ses quatre personnages de base, valider le plus d'objectifs "communs", ou personnels. On tire des dés, on les sélectionne, et on remplit une jolie feuille pleine d'icônes.
Je le préfère largement à Cartographer, plus de combos possibles, de possibilités. Pressée d'ajouter une extension pour varier davantage les monstres.

Là, je tente de comprendre les règles de Call to Adventure.

Ce soir, l'extension de Destinies.

Effectivement, horreur pure... Peut-être pas...
Mais... Quelle tension, quelle angoisse... Rien que la tronche de la gamine me glace le sang.
Le rythme, c'est bien à double tranchant. Tu t'endors, et tu sens pourtant que tout peut arriver et te laminer.

Spoiler

Une heure d'exposition, tout de même... Facile de dire qu'on plante le décor...

.

Spoiler

L'absence de jumpscares a réussi à empocher mon cœur.

. Par contre, la fin me semble bien mauvaise.

Spoiler

Pourquoi ajouter ces histoires de diableries qui font frémir un cercle d'américains puritains ? Pourquoi ne pas rester sur les ficelles dès le départ bien exploitées comme la culpabilité, les relations étonnantes et inextricables familiales... J'adorais le côté télévisuel striptease d'une famille de tarés.

Je trouve que les pavés déconstruits rendent beau.
Le caramel beurre-salé aussi.