@delnis a dit dans Blind test années 2010 - Jeudi 6 mai 20h00 :
Hey les mecs vous êtes où ? , j'ai peur moi là
@delnis a dit dans Blind test années 2010 - Jeudi 6 mai 20h00 :
Hey les mecs vous êtes où ? , j'ai peur moi là
@icescream a dit dans Blind test années 2010 - Jeudi 6 mai 20h00 :
@wolfen oui le fameux HPI.... ça me laissera peut être une petite chance
En remontant un peu le fil ça a l'air chaud quand même, sur les 3 derniers j'en connaissais 2 dont 1 seul ou j avais a peu pres le nom.
Forme un binôme avec @Doctor-Mox . Alliez vos demi-cerveaux.
@laetie1804
Je vais un peu mieux, oui ! Merci à vous deux.
Plus de migraine, et maintenant, je dois éviter de manger encore quelques temps, car mon estomac et mes intestins ont été éprouvés !
Parfois, la réponse est bien loin de ce qu'on pouvait attendre !
C'est vrai qu'elle est super.
J'ai fait soigner ma carie. Je suis de nouveau bonasse. Entre le cou et le philtrum.
Florent Pagny, Anggun.
Putain. C'EST NUL.
Mon coup de gueule se porte sur la moraline des deux côtés.
On n'est pas là pour se faire engueuler, on est là pour voir le défilé.
Facile pour ma part.
L'Homme sans qualités de Robert Musil.
Le Désespéré de Léon Bloy.
La Jeune Parque de Paul Valéry.
Faut-il expliquer pourquoi ? Sourire.
Et toi, @15h59 ?
Hush, hush, Asty, déconne pas.
Merde. Je suis amoureuse. Cela m'arrive jamais.
@Jonesy , passe-moi le Rhum et ta stabilité émotionnelle. Merci.
Je vous partage un poème idiot. Terriblement, idiot. Parce que mes doigts sont terriblement idiots. Terriblement, cet adverbe si passionné.
Je me sens perdue, ce soir. Vous aimez les vers ? Les vers sont ma vie, et j'y ajouterai bien des verres.
Edit : Non, en fait. Faut pas. Carapace, café par perfusion, et sourires.
@cygoris Dead Can Dance restera toujours mon "groupe" fétiche.
@leapierce a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
@delnis a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
@jonesy courage , y'a des moments où on a envie d'être sur Mars... (...)
**Une bonne fois pour toute: (...)
2e plaie: la plus répandue c'est "Sa" sa chaussette, sa voiture, sa mémoire, Etc...Un espace après la virgule, mais pas avant. Un espace avant et après les doubles points. On choisit entre etc. ou les points de suspension. Pas de mélange entre les deux.
Il n'y a que ça ici !
Et on dit une espace.
Rire.
@agathe Enseignante de français en collège. J'ai notamment des 6e. Une thématique au programme : les contes.
Je forme les élèves à devenir conteurs puis nous allons en primaire régulièrement pour leur faire la lecture.
@ronchon a dit dans Vous avez carte blanche ! :
Oula, petite mise au point. Je me permet de blaguer salement sur les lgbt+ car j'en fais parti pour ceux qui n'etaient pas au courant.
N'oubliez pas que la plupart des trucs que j'écris ne sont pas à prendre au serieux, même quand je trashtalk
Mince. Je pensais que tu étais homophobe. Je sens poindre un filet de déception.
Je racontais beaucoup de bobards, jeune, vers 13 ans. J'en ai souffert, retour de flammes. Il y avait évidemment des liens avec les situations difficiles vécues. Si j'avais causé la mort de quelqu'un à cause de ces bobards, je crois que je ne serais plus avec vous, à l'heure actuelle.
La culpabilité finira probablement par la ronger.
@apis-32 a dit dans Mots de vos enfants ou de ceux des autres... :
@Astyanax
Les enfants aiment jouer avec les mots, parfois pour leur sonorité, sans s'attacher au sens ( ou parfois en en réinventant un ).
Peut-être qu'il faudrait que tu discutes avec la maîtresse, qu'elle n'aille pas chercher un problème de comportement là ou il n'y en a pas, et que tu sois informée s'il y a un souci avant que cela se fixe.
C'est prévu. Et j'espère qu'elle le sent bien ! Sourire.
Plusieurs découvertes.
Nidavellir. Rapide, esthétique, complètement calculatoire. Type "collection" avec des paris mignonets. Bon, si je calcule mieux que mon adversaire, je gagnerai à tous les coups. C'est toujours la limite de ce jeu... Varier l'adversaire pour ne pas reproduire des parties quasi-identiques.
Carnival of monsters. Thématique agréable, facile à prendre en main. Jeu de "collection" et de draft.
Ce débat existe depuis tellement de siècles.
Il me fascine.
Saviez-vous que cette histoire d'accord du participe passé en présence de l'auxiliaire avoir et d'un COD antéposé... Date du 16e siècle... Pour des histoires de rimes féminines en poésie, et de pouvoir royal ? La langue du roi. La langue de la cour. Quelle classe, et quel déni du peuple. Que la pharmacienne était l'aide du pharmacien ?
Il en existe des milliers, d'exemples, qui prouvent que la langue est un miroir sociétal, mouvant, et surtout fascinant.
Pour autant, et ce n'est que mon avis, je ne me projette pas dans l'écriture inclusive, ni dans la féminisation à outrance. Cela me gêne même plutôt, car les mots deviennent garants d'une forme de pression politique qui devrait probablement œuvrer ailleurs... La langue suivra, naturelle, et non pas sous l'auréole de la Sainte Académie française, de scribouillards passionnés à la fac (même si... Je les adore ! Sourire.) mais sous la force même du peuple, de ses habitudes, de ses peurs. La féminisation des mots a débuté il y a déjà plusieurs siècles... Je doute, surtout, que cela améliorera quoique ce soit pour le combat des femmes. Les femmes vulnérables, et sous-payées... Ont-elles peut-être envie de voir le combat glisser vers autre chose que la grammaire ?
Plus personnellement, et mon avis est encore mouvant... Je m'inquiète pour le découpage des mots et les accords. Mes gamins en 6e savent à peine lire. On ne touche pas qu'aux noms. On touche aux pronoms, aux déterminants, adjectifs... Je m'inquiète pour le lien graphie/phonie... Et rien dans ce que j'ai lu, à part dans les thèses de fac totalement écrites en inclusif, ne respecte un système serein et à peu près stable qui puisse être enseigné pour l'instant. D'une logique.
Si quelqu'un m'offre la méthode... Une norme...Je la veux bien... Je me sens démunie.
Je vous fais part d'une pensée comme ça. Peut-être parce que j'en ai besoin. Je me sens un peu fanée, ce soir.
Je me sens triste, car je ne comprends pas le monde. J'ai l'impression d'être un carrefour perpétuel. Un phare...Toujours trop lumineux, toujours trop terne. Un merci, et s'en va. Rien ne s'accroche. Rien ne s'avoue tout à fait. Ou au dernier moment. Sur la lame. Comme un sanglot. Juste une main. Un divertissement. L'éternel divertissement.
Mon passage préféré de La Reine Morte de Montherlant.
Pour moi, tout est reprise, refrain, ritournelle. Je passe mes jours à recommencer ce que j’ai déjà fait, et à le recommencer moins bien. Il y a trente-cinq ans que je gouverne : c’est beaucoup trop. Ma fortune a vieilli. Je suis las de mon royaume. Je suis las de mes justices, et las de mes bienfaits; j’en ai assez de faire plaisir à des indifférents. Cela où j’ai réussi, cela où j’ai échoué, aujourd’hui tout a pour moi le même goût. Et les hommes, eux aussi, me paraissent se ressembler par trop entre eux. Tous ces visages, ensemble, ne composent plus pour moi qu’un seul visage aux yeux d’ombre, et qui me regarde avec curiosité. L’une après l’autre, les choses m’abandonnent; elles s’éteignent, comme ces cierges qu’on éteint un à un, à intervalles réguliers.