@Astyanax : quand on enchaîne beaucoup de problèmes de santé, souvent, c'est que le psychisme au travers du corps lance des signaux d'alarme pour dire : " stop, besoin de repos, faut faire une pause là ! Tu ne veux pas ? Et bien, je vais autoriser un microbe venir s'en prendre à tes paupières ( blépharite ). "
Psychisme et physique sont indissociables, qui aujourd'hui en douterait ?
Je t'envoie une pensée de tendresse .
Il doit y avoir un lien, oui.
Je vais beaucoup mieux. Heureusement, car je reprends demain ! Il me reste 150 copies à corriger !
ADIEU POPCORN.
Pas grand chose à dire sur le sujet. Mais tant pis, j'ai envie de participer, avec mes a priori.
Je n'aime pas du tout les étiquettes. Constantes. Ces étiquettes qui globalisent. Les mots sont rassurants, et parfois excluants.
Sans trop de corrélation, je déteste les "communautés HP", ces zèbres, qui renvoient à la poubelle ceux qui n'ont pas les mêmes codes mais se gaussent d'en avoir des différents. En vérité, ils sont tous différents ; nous sommes tous globalement différents. La frontière est bien fine. Le terme "normo-pensant" me dérange, comme certains par ici. Les critères me dérangent, en fait. Ces listes... Qui proposent des stéréotypes...
Ce n'est que mon avis ! J'ai détesté les rencontres faites, dans mon passé, quand je cherchais une voie qui n'était pas la mienne. Il y avait des soirées classiques, où tout le monde souffrait, et d'autres, réservées aux QI +++, il fallait montrer notre certificat pour y accéder.
Mesurer la sensibilité d'une personne me semble délicate : quelle norme ? Je souris, pleure plus/plus vite que mon voisin ? J'aime les animaux et pas toi ? Je n'aime pas que la télévision m'explose les tympans contrairement à toi : je suis hypersensible. T'apprécies pas la beauté ? Moi si.
Allons, donc, qui adore la laideur s'il ne la transforme pas en beauté ?
Nous sommes tous "hyper" quelque chose. Personnellement, je suis hyperchiante, hypersensible, hyperbordélique et bientôt, je serai hypersexy. Quand je serai motivée. Pas besoin de listes pour le savoir, et le ressentir. Je pose mes critères à force d'observation.
Donc, sinon, à part ça, oui, c'est chiant d'être hypersensible, pour plein de raisons et ça se travaille. C'est surtout un sacré cadeau pour ma part. J'aime bien pleurnicher devant un film, j'aime bien créer, j'aime bien être là pour ceux qui en ont besoin, quitte à m'oublier.
Ps. La pensée en arborescence n'existe pas. Les chercheurs sont en train de démonter le concept. Il n'y aurait pas plusieurs types de fonctionnement pensée. Quelques divergences.
1984 intrigue principale de Terminator
1985 intrigue principale de Death becomes her
1997 activation de Skynet (Terminator)
+aventures de Snake Plissken
2012 fin du monde (acclamée par @Dirty-Cop et @Hornet)
2013 aventures de Snake Plissken
2015 visite de Marty McFly dans le "futur"
2019 intrigue de Blade Runner
2020 Contagion de Steven Soderbergh, "c'est pas 2020, mais le plot est le même"
+Metropolis
+Mission to Mars
2021 intrigue de Mad Max
+"Johnny Mnemonic" : Les disques durs sont implantés dans la tête.
2022 intrigue de Soleil Vert
+scène finale de Death becomes her
2023 intrigue de La Foire aux immortels d'Enki Bilal
2031 Snowpiercer : On se retrouve dans un train qui roule éternellement en se battant contre les pauvres.
+V pour Vendetta : Dictature en Angleterre, unique chaîne de télévision (BNT = BFM ?), les minorités expulsées.
2035 L'Armée des 12 singes : Un virus tue 5 milliards d'humains (en 1993 ?ou 96?), on se retrouve à vivre sous terre.
2070 intrigue d' Equilibrium
Je tiens Paris en estime, quand la ville s'attache à mes souvenirs d'enfant. J'y suis restée 8 ans, dans le 1er et 2e arrondissement.
Petite, mon père m'emmenait dans les cafés, tôt le matin, avant d'aller travailler. Je finissais les tasses. Je voyais les marchands s'activer. La rue semblait nette, les gens joyeux. J'étais trop petite pour cerner une accélération. Il y avait une grosse tête en pierre, tout au bout, j'y faisais du skate avec ma sœur. Un parc, qui nous semblait grandiose. Il était payant, on y allait rarement : c'était notre Elysée.
Je faisais des tours en scooter, derrière mon père, et j'entendais ses discours sur les grands monuments.
À 21 ans, je suis revenue en Ile-de-France. En Seine-et-Marne. J'allais à Paris, de temps en temps, perdue. L'impression de sentir l'urine partout, de donner mes piécettes partout, d'être piétinée ; en vérité, je n'ai connu que le RER, encore et toujours, vers différentes écoles et/ou boulots. Parfois, un moment de grâce, un café, sur une place assez silencieuse. Je suis retournée, il y a deux ans, dans la rue de mon enfance. J'ai pleuré. Tout semblait laid, rapide, la grosse tête était grise, crasseuse.
Puis, emmenant quelques élèves visiter la ville, j'ai vu l'émerveillement de la Tour Eiffel dans leurs yeux. Et j'ai accepté que les grands symboles perdurent ; moins les petits, les intimes, l'odeur de ma rue.