Je vais encore me faire traiter de complotiste, mais bon sang, posons-nous des questions au lieu de gober tout cru les diktats imposés par les labos pharmaceutiques qui ne pensent qu'à faire des profits, notre santé n'étant pas leur réelle préoccupation !
Actualité concernant cette vaccination revenue sur le devant de la scène, début mars, après les propos d’Emmanuel Macron.
Le laboratoire pharmaceutique Merck (MSD) à l’origine du 1er vaccin anti-HPV, le Gardasil, fait l’objet d’un procès aux Etats-Unis. En cause : une mise sur le marché, suite à l’approbation de la FDA en 2006, “basée sur des recherches trompeuses et des essais cliniques qui ont déformé l'efficacité du vaccin tout en dissimulant ses effets secondaires”. Des effets secondaires graves dissimulés aux utilisateurs. Des bénéfices exagérés quant à la réalité des faits.
Des recherches trompeuses parce qu’elles n’ont pas été menées par des scientifiques indépendants mais par des chercheurs directement sponsorisés par les laboratoires pharmaceutiques.
Les chercheurs financés par Merck se sont intéressés à l’apparition de lésions précancéreuses, signe avant-coureur d’un futur cancer dont on sait qu'ils disparaissent dans 75 % des cas, au bout d’1 an, 90% dans les 2 ans.
Les études en question n’étant pas suffisamment longues et les lésions en question pouvant disparaître spontanément, il est, là aussi, concrètement impossible d’établir l’influence du vaccin sur leur non-apparition ou disparition.
Pourtant, les scientifiques se sont contentés de cela pour conclure à une efficacité de 90 %, quasiment aussi miraculeux que les vaccins anti-Covid !
Propos de la Haute Autorité de Santé : “Près de 80 % des personnes seront infectées par le virus HPV au cours de leur vie. La plupart des infections ont lieu lors des premiers rapports sexuels. Dans environ 90 % des cas, le virus HPV aura disparu dans les 2 ans, et l’infection sera sans conséquence.”
De plus, si lésions précancéreuses il y a, ce n’est qu’au bout de plusieurs, voire dizaines d’années, qu’elles évolueront “peut-être” en cancers, laissant un temps suffisamment long pour se faire dépister et traiter si nécessaire.
Ainsi, avec un dépistage fréquent et un suivi adapté, la vaccination n’était pas une nécessité au début des années 2000.
Pourtant, à la manière d’un bon commercial, Merck a créé de la demande pour son produit, là où quelques mois auparavant il n’y en avait pas, et ce, à grands renforts de campagnes de “ sensibilisation ”, jugées “ alarmistes ” par les avocats des plaignants. En quelques années, le cancer du col de l’utérus est ainsi devenu “ un véritable tueur de jeunes femmes ”.
Tandis que le vaccin était présenté comme le seul moyen de s’en prémunir… négligeant au passage la prévention et le dépistage par frottis. Puisque, rappelons-le, quand bien même le vaccin serait efficace, il ne protège que contre quelques-uns (4, puis 9 dès 2015) des HPV potentiellement cancérigènes (une vingtaine sur les 200 connus actuellement).
De graves effets secondaires dissimulés au public ?
Selon les avocats des plaignants, le Gardasil aurait augmenté, voire induit, le risque de maladies auto-immunes...( je vous les passe ). Depuis 2020, de plus en plus de plaintes ont été déposées à la suite de tels effets secondaires.
Des effets qui ont même été observés lors de précédentes recherches, notamment en 2014, lors d’une étude conjointe de l’ANSM (Agence nationale française de la sécurité des médicaments) et de l’Assurance maladie. Mais qui ont été jugés minimes comparé aux “ bénéfices ” de la vaccination.
Des bénéfices exagérés, car l’incidence du cancer du col de l’utérus ne diminue pas dans les pays qui vaccinent le plus. Aux dernières nouvelles, toutes les dates de procès ont été regroupées et repoussées à septembre 2024.
Avec un tel dossier au tribunal, le gouvernement français ferait mieux d’en attendre le verdict avant de se hâter vers une campagne de vaccination aux risques non mesurés.
Mellie pour Santé Non Censurée.