Une partie du personnel travaillant au ministère de la Justice ne se trouve plus à la place Vendôme, où se trouve le siège du ministère, mais vers la porte d’Aubervilliers, dans les locaux du bâtiment Millénaire.
Ce quartier est également surnommé “la colline du crack” et frappe par son insécurité.
Alors, pour protéger ses salariés, le ministère a vu les choses en grand !
Deux agents de sécurité sont ainsi régulièrement postés devant la station de métro et contrôlent les voyageurs sortant du RER.
En tout, six agents sont mobilisés vers l’immeuble et les rues avoisinantes.
Ironie du sort : il semble que l’appel à une société privée pour protéger les salariés soit dû au manque d’une police de proximité.
Au final, ce sont pas moins de 250 000€ qui sont employés à cette surveillance de tous les jours, voire de tous les instants.
Un employé du bâtiment a, en effet, affirmé : “La sûreté se dégrade au fil de la journée. Le soir, c’est le no man’s land, il y a une ambiance de guerre civile”. 9 janvier 2023 Marie Berginiat pour " Juste Milieu ".
Mais qu'ils sont généreux, au gouvernement, avec notre argent !
@Hilda-1 : bien sûr qu'il faut rappeler aux parents ce que signifie le mot éduquer. Mais ce n'est pas le seul problème : quand les jeunes voient leurs parents faire un boulot difficile pour un salaire de misère qui leur permet à peine de pouvoir manger, ça ne leur donne pas envie de reproduire ce shéma .
Je n'excuse pas pour autant leurs violences, je veux juste analyser toutes les données du problème, pas qu'une seule.
@apis-32 : ah mais faut que tu donnes envie de le lire, parce que m'est avis qu'il vaut le coup !
" Plus de 110 témoins de premier plan parlent, à visage découvert, crûment.
Ils confient aussi leurs documents. Les auteurs racontent le pouvoir solitaire d’un homme suprêmement habile,
éperdu de lui-même. Ils révèlent les dessous de la conquête de l’Élysée, puis l’exercice
de la toute-puissance, et la vaine quête d’une idéologie. La trahison a enfanté le néant ".
•Guillaume Tabard, rédacteur en chef du Figaro
•François Fressoz, éditorialiste au Monde
•Dominique Seux directeur délégué des Echos et éditorialiste sur France Inter
•Nathalie Saint-Cricq de France Télévision
•6 autres journalistes complètent la liste, dont les noms ne sont pas encore connus…
On parle des journalistes les plus influents du pays, ceux que l’on retrouve dans les plus gros médias.
Tout s’est passé il y a quelques jours seulement.
Le plan était presque parfait. Nous sommes le 17 janvier 2023. Deux jours avant la mobilisation nationale contre la réforme des retraites.
Le service de communication de l’Elysée est en ébullition.
Les Français vont manifester en masse et la moitié du gouvernement sera à Barcelone pour un sommet franco-espagnol !
Les médias doivent tenir le couvercle sur la marmite et tout faire pour calmer le jeu.
Emmanuel Macron a une idée : inviter nos fameux 10 journalistes à déjeuner pour leur dire de minimiser l’ampleur de la mobilisation populaire !
Objectif : “distiller la bonne parole” et donner les “éléments de langage” aux 10 journalistes les plus influents de la “place parisienne”.
Il faut influencer l’opinion publique sur les manifestations qui approchent.
x Relativiser l’importance de la mobilisation
x Focaliser sur les faits de violence dans les cortèges
x Décrédibiliser le mouvement au maximum
Sans le vouloir ou par naïveté, c’est la journaliste Eve Roger qui a vendu la mèche en direct sur France 5 le 23 janvier.
Mieux : l’éditorialiste révèle que le président a interdit aux 10 journalistes de dire qu’ils l'avaient rencontré !
Et voici le résultat, le lendemain de ce déjeuner au sommet…
Vous avez dit propagande ?
Qu’Emmanuel Macron se comporte comme un tyran éclairé, nous le savions déjà, mais que nos journalistes se soumettent aussi grossièrement... !
Covid-19, guerre Russie-Ukraine, élections présidentielles…Combien de fois l’Elysée a convoqué les médias pour distribuer “les éléments de langage” ? Une telle soumission médiatique est-elle compatible avec la démocratie ?
( article de Rémy de Juste Milieu ) .
La Lettre de " Santé-Corps-Esprit ". Sait-on vraiment ce qu’on fait, quand on interfère avec notre précieux système immunitaire ?
Dans un cours de vaccinologie donné à l’Hôpital d’instruction des armées du Val-de-Grâce, l’enseignant, Jean-François Saluzzo, virologue et expert auprès de l'OMS, pendant plus de 10 ans directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi-Pasteur, dit ceci : « historiquement, un vaccin qui ne marche pas dès le début, on n’arrive pas à le faire marcher par la suite. Le paludisme, cela fait x années. L’herpès, cela ne marche toujours pas. Idem pour la syphilis. Sa conclusion :
si l’on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie, il faut étudier la réponse immunitaire.
Le vaccin causerait une sorte d’infection atténuée qui conduit notre organisme à garder en mémoire le microbe dangereux (via la fabrication d’anticorps), ce qui lui permettra de se défendre efficacement par la suite en cas de véritable infection.
S’il était si simple de créer un vaccin sûr et efficace, on aurait depuis longtemps créé un vaccin contre le virus respiratoire syncytial qui cause tant de bronchiolites infantiles parfois mortelles. Sanofi aurait réussi à mettre au point un vaccin contre la dengue sans causer la mort d’enfants philippins.
On n’aurait pas besoin de mettre dans les seringues, même à des doses supposées « sans danger », des substances aussi toxiques et controversées que le formaldéhyde ou l’aluminium.
Il y a notamment une difficulté fondamentale et insoluble : plus le vaccin se rapproche de l’infection naturelle, plus il est efficace, mais aussi potentiellement dangereux comme peut l’être l’infection.
Et plus le vaccin s’éloigne de l’infection naturelle (avec des microbes tués ou des petites parties isolées du microbe), moins il stimule le système immunitaire, et plus il requiert d’ajouter d’autres substances potentiellement risquées (des adjuvants, comme l’aluminium). Ce que la plupart des gens ignorent, c’est que le système immunitaire est probablement la partie de notre physiologie la plus mal comprise en médecine.
Le Pr Mark Davis, directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Stanford :
« le système immunitaire est d’une complexité inouïe, comprenant au moins 15 types de cellules différentes en interaction qui crachent des dizaines de molécules différentes dans le sang pour communiquer entre elles et se battre. Et nous ne savons pas vraiment ce que font la majorité d’entre elles ou ce qu’elles devraient faire ».
Les risques à long terme des vaccins ont-ils réellement été évalués ? Et cela ne devrait-il pas rendre modeste sur l’efficacité des vaccins dans la durée ?
Car les conséquences de la vaccination sont infiniment plus complexes que ce que l’on imagine. Prenez les fameux anticorps : contrairement à une idée répandue, on peut en avoir beaucoup sans être protégé de la maladie. Cela a été reconnu par le Pr Delfraissy devant le Sénat : « Vous pouvez avoir des anticorps à un niveau élevé et faire un Covid.
Et vous pouvez, après vaccination, avoir peu d’anticorps et ne pas l'attraper. En pratique opérationnelle, il ne faut surtout pas laisser s’installer l’idée que les anticorps servent à quelque chose ».
Certains vaccins favorisent les infections : comme on l’a vu avec le Covid, il y a des anticorps « facilitants », qui non seulement ne protègent pas, mais risquent de faciliter l’infection.
Plusieurs études ont ainsi suggéré que les vaccins contre la grippe augmentent le risque d’être infecté par d’autres virus respiratoires comme les coronavirus.
Était-ce prudent, pendant la crise Covid, d’inciter fortement la population à se vacciner contre la grippe ?
Tout ceci pour vous dire qu’il y a beaucoup moins de certitudes qu’on le croit avec les vaccins.
C’est pourquoi je prépare un livre sur le sujet qui promet d’être assez « explosif ».
Xavier Bazin, journaliste d'investigation scientifique passionné de médecine naturelle ( un complotiste donc pour certains ), auteur avec le Dr Eric Ménat du livre :
" Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la face noire de notre système de santé " .
@Jabba-the-Hutt : faudrait arrêter de citer nos cas personnels parce qu'autres temps, autres moeurs. Je pense que la misère était moins noire avant, que l'espoir y était encore permis, que les parents n'étaient pas autant épuisés, qu'il y avait moins de familles mono-parentales, etc : tout cela explique en partie leur lâcher-prise éducatif...
@Biquette : le problème, c'est qu'elles travaillent en rythme scolaire, donc pas le mercredi, tout comme les enseignants. Il faudrait alors qu'elles puissent travailler en centre aéré le mercredi. .
La CC que je suis ( on aime bien les sigles ici , donc vous devinez ce que ces 2 initiales veulent dire ), donc la CC que je suis revient avec cet extrait .
Pour ceux qui ne savent pas et n'oseraient pas demander = Casse Couilles.
" Ce qui nous attend avec Brigitte Autran, placée à la tête du nouveau « conseil scientifique ».
Mais pourquoi Macron a t'il « viré » Delfraissy pour le remplacer par Autran ? Parce que, de temps en temps, il a osé exprimer quelques nuances critiques. Extrait de sa tribune rédigée en février 2021 pour The Lancet :
« Au niveau de la population, ces vaccins pourraient induire une sélection virale et un échappement immunitaire, ce qui rendrait encore plus éloignée la perspective d’une immunité collective ».
C’était un fait évident pour les experts, mais bizarrement passé sous silence pendant la crise. Il n’y a guère que le généticien Axel Kahn, par ailleurs grand défenseur des vaccins anti-Covid, qui l’avait déclaré honnêtement à la télévision : « Il est assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés ».
Brigitte Autran adore les vaccins. Professeur d’immunologie, elle a une longue histoire d’amour avec les entreprises multinationales qui vendent les vaccins.
C’est ainsi que dans les années 2000, elle a travaillé avec Sanofi Pasteur sur des essais cliniques du vaccin contre la variole, une maladie éradiquée depuis 1979. Elle a fondé en 2012 Corevac, un consortium visant explicitement à « lier la recherche académique à l'industrie du vaccin ». Mais le pire, c’est ce qu’elle a expliqué publiquement sur les vaccins anti-Covid.
Interviewée sur le site du gouvernement en juin 2021, elle incitait les jeunes à se vacciner en expliquant que la vaccination de masse permet de freiner la circulation du virus et de « diminuer le risque de voir émerger des variants ».
Or c’est l’inverse qui est vrai : ce genre de vaccins favorise les variants (et on a rapidement vu qu’il n’empêchait pas la transmission).
Pour sa grande interview de rentrée, dans le Parisien, elle enchaîne avec cet entretien du 17 août où elle commence par un grand regret :
« Il y a encore trop de personnes non vaccinées ou non revaccinées. Le comité va agir et conseiller le gouvernement en ce sens, pour élargir l’accès aux vaccins.
C’est important car l’épidémie de Covid n’est pas derrière nous ».
Donc, au moment où les vaccins anti-Covid ont largement perdu de leur crédibilité et que leur dangerosité est désormais évidente, elle veut continuer à vacciner et revacciner. Elle se félicite aussi de l’arrivée du « nouveau vaccin » de Moderna :
« Ce vaccin est une très bonne nouvelle, car il est bivalent, c’est-à-dire qu’il cible à la fois la souche originale du virus dite de Wuhan et Omicron. » Mais la souche de Wuhan a totalement disparu depuis près de 2 ans et la souche Omicron contenu dans ce vaccin, BA.1, ne circule plus ! On est même sur la fin de la vague des sous-variants BA.2, BA.4 et BA.5, et nul ne sait ce qui va arriver après.
Il n’y a donc pas le moindre début de preuve que ce nouveau vaccin Moderna pourrait avoir la moindre utilité. Le comble du ridicule, c’est qu’elle continue quand même d’inciter à se vacciner avec les 1ers vaccins, ceux qui contiennent uniquement la souche de Wuhan, disparue depuis longtemps :
« il ne faut pas attendre l’arrivée de ce nouveau modèle pour se faire vacciner, ce serait contre-productif et dangereux pour les plus fragiles. L’ancienne » version reste très protectrice. »
Une vraie contre-vérité ! Depuis des semaines, on voit que les vaccinés ont plus de risques d’être testés positifs que les non-vaccinés, sans doute parce que le vaccin est devenu contre-productif – pas seulement inefficace, mais bien contre-productif – face aux nouveaux sous-variants d’Omicron. Et puis, interrogée sur la variole du singe, Madame Autran a la solution toute trouvée : le dieu Vaccin !
« Il y a une nécessité absolue à vacciner les populations cibles » alors que le vaccin dont il est question n’a jamais fait l’objet du moindre essai clinique prouvant son efficacité.
Bref, pour elle, la science doit s’effacer devant la religion vaccinale. Attendez-vous à une propagande vaccinale TOTALE ".
Extrait de la revue " Santé-Corps-Esprit " de Xavier Bazin.
@Hilda-1 : ah ok, excuse-moi, j'avais mal interprété ta phrase.
J'en viens à penser que les jeunes qui ont " peur de se faire tuer pour un refus d'obtempérer ", ont en 1er lieu l'envie de faire monter l'adrénaline comme on dit. On sait que les jeunes aiment flirter avec le danger, certains beaucoup plus que d'autres : ils ne placent pas le curseur au même niveau. Ajoutons à ça que la notion de bien et de mal est chez ceux-là très floue + l'exaspération de la police de voir que les peines applicables sont trop rarement appliquées : voilà à mon avis les raisons pour lesquelles on en arrive à de tels drames comme celui de Nahel.
@want-wish : t'as raison, ça doit être l'âge, parce que moi itou.
Ce we, mon frère et ma belle-soeur sont venus manger chez mon père chez qui j'étais pour 3 jours :
on a festoyé comme il se doit le samedi.
Le lendemain, nous avons mangé chez mon frère. En fin de repas, il nous a sorti une absinthe
faite maison par l'un de leurs amis.
Oh purée, quel délice. Eux n'aiment pas, du coup, mon père et moi, nous avons bu leur part en plus, éhé.
Et bien, nous étions quand-même en bon état, mon vieux père et moi : on est des winners ou on ne l'est pas.
@icescream : je crois que le problème vient de ce que les rappels sont très éloignés et les gens finissent par ne plus y penser. Pour mémoire : de nombreux vaccins nécessitent des rappels réguliers pour être efficaces, notamment ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP). Pour les adultes, un rappel deTP est nécessaire tous les 20 ans : à 25 ans, 45 ans, 65 ans, puis tous les 10 ans à partir de 65 ans.
Cela me fait penser que moi-même ai zappé le rappel de 65 ans.
Je dois aller chez mon toubib pour certificat autorisant la pratique du sport, je lui en parlerai.
Merci à toi, sans ton com, je me serais octroyer un délai supplémentaire de quelques mois voire années !
@Jabba-the-Hutt : cela n'exclue pas que ce que je dis est également une réalité. Car certains ont eu un cadre et ils n'ont qu'une idée en tête : transgresser les interdits parce qu'ils trouvent ça excitant.
@apis-32 : t'inquiète, j'avais bien compris ta boutade et j'ai ri intérieurement en imaginant une centaine de vaccins à recevoir, de quoi transformer notre peau en passoire.
Pour ta migraine, yeah : tu vas gagner la guerre :).
@apis-32 : tu es hors-sujet là avec ta flotte quand nous parlons d'un autre genre d'excès...
celui qui n'est que liquide pouvant en cas d'abus induire ce que l'on nomme la gueule de bois.
Sinon, tu as fait des progrès en ...tenue de route hors parties de danses ? .
@Guizmo : profite, l'ami, faut bien que jeunesse se passe .
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