@artelise : oui à la vaccination pour les personnes fragiles, mais pas obligatoire pour ceux dont le bénéfice-risque est très discutable. Mon souhait : qu'on laisse les médecins et leurs patients en discuter entre eux et faire comme bon leur semble pour eux.
Des gens en bonne santé la voient abîmée par le vaccin. Je ne suis pas vaccinée, j'ai attrapé le covid et j'ai été très très peu malade, juste une grosse fatigue sur seulement 2 jours, alors que le gouvernement veut me faire croire que mon âge est un facteur de risque. Mon médecin me connaît, il sait que le vaccin n'est pas indispensable pour moi.
Tiens, un peu de lecture :
EXTRAIT DE LA LETTRE DE SANTE-CORPS-ESPRIT
En 2020, on a soudainement décidé de vacciner des milliards d’êtres humains avec de l’ARN messager entouré de ces fameuses nanoparticules lipidiques… reconnues comme « toxiques » par le propre patron de BioNTech !
Dès leur mise sur le marché, de très nombreux effets indésirables parfois graves sont apparus.
Exemple, en Israël, pays surnommé la « Pfizer Nation », le nombre d’appels aux urgences pour attaque cardiaque de jeunes âgés de 16 à 39 ans a augmenté de 25 % au moment de la vaccination massive (janvier à mai 2021).
Les auteurs de cette étude ont établi un lien avec la vaccination : « Les appels hebdomadaires aux urgences étaient associés de façon significative au nombre de premières et secondes injections administrées à ces âges-là, mais pas au nombre d’infections covid ».
Cela s’est tout de suite vu dans les chiffres de la pharmacovigilance.
Auditionnée par le Sénat, la directrice de la surveillance de l’ANSM a reconnu ce qu'il se passait :
« À la mi-novembre, nous atteignons 110 000 déclarations d'effets indésirables rien que sur les vaccins contre la covid, contre 45 000 tous médicaments confondus pour une année normale. ».
Au total, sur l’ensemble de l’année 2021, il y a donc eu 3 fois plus d’événements indésirables signalés pour les seuls vaccins anti-Covid que pour tous les autres vaccins et médicaments réunis !
Et 25 % de ces effets indésirables étaient « graves », soit près de 30 000 !
Sachant que la grande majorité des effets indésirables ne sont jamais signalés par le personnel médical (comme l’a reconnu la directrice de l’ANSM lors de son audition au Sénat), cela donne une idée de l’ampleur des dégâts.