Un roman ou un essai qui a pour thématique l'océan/la mer : Océan mer de Alessandro Baricco.
( éhé, j'ai trouvé un livre comportant les 2 mentions : océan et mer 
) .
J'ai eu un peu de mal au début à rentrer dans l'histoire ( sans doute parce que c'était tard le soir et que je devais être fatiguée ). Mais après, la magie a opéré : des histoires d'hommes et de femmes très émouvantes, la vie est bien cruelle parfois.
@carl_jung : je vais à Perpignan, ma ville de naissance, enfin juste à côté, chez mon père,
et on va faire la fiesta avec mon frère et ma belle-soeur ( agapes un tantinet abusives au programme ).
Faudra que je me mette au vert en rentrant. 
Allez, j'vous aime bien, mais faut que j'y aille 
.
@barbouille : puisque tu m'as sollicitée, je réponds avec plaisir.
Le président, élu pour 5 ans, possède l'ensemble des pouvoirs sans jamais en répondre devant qui que ce soit. C'est indécent !
Si j'étais présidente :
1 - bye bye la 5e, elle a fait son temps, vive la 6e.
2 - Un Parlement réduit de moitié, vu que la moitié régulièrement n'assiste pas aux assemblées et une bonne partie y dort !
3 - le Parlement, qui ne serait plus inféodé au Président, pourrait ainsi opérer un contrôle permanent du gouvernement.
Il y aurait une vraie balance équitable des pouvoirs.
4 - Il y aurait davantage de transparence de la vie politique. Et pour ce faire :
5 - création d'une Agence indépendante du gouvernement chargée de publier la totalité des informations
des administrations publiques, y compris celles relatives aux dépenses publiques,
non couvertes par le secret lié aux intérêts de la défense nationale, la diplomatie, les enquêtes judiciaires, la vie privée.
6 - Il y aurait des représentants d'horizons vraiment divers, pour que les voix plurielles des citoyens soint entendues.
7 - Et la possibilité de remettre le mandat d'un élu en jeu, si la moitié des électeurs le demande, par exemple.
8 - Halte au chantage de la fuite des capitaux si on ne satisfait pas les exigences patronales. Comment ?
Les électeurs seraient consultés, certains auraient sûrement de très bonnes idées.
9 - Bien sûr : mise en place du revenu universel.
Cela permettrait à tous de le toucher et aux fraudeurs aux allocations diverses de ne plus pouvoir frauder.
10- Beaucoup plus de TIG ( travaux d'intérêt général ) pour les primo-délinquants au lieu de les mettre en prison.
Au cours de ma balade d'hier à Millau-plage ( oui, Millau a des plages ), j'ai admiré le beau contraste des couleurs de ce prunus en fleurs et du sapin devant la montagne ourlée d'un ruban de pierre.
Un roman ou un essai sur ou aux temps de la Rome antique.
V- Un roman ou un essai qui a pour thématique l'océan/la mer : " Océan mer " de Alessandro Baricco.
Un livre d'au moins 300 pages
V- Un livre inclusif : " Nous les filles de nulle part " de Amy Reed.
Un tome 2 qu'on n'a pas pris le temps de lire.
V- Des contes ou légendes étrangers : " les contes d'Amadou Koumba " de Birago Diop.
Un livre d'un auteur espagnol.
V- Un recueil de nouvelles : " 10 nouvelles fantastiques de l'Antiquité à nos jours " de Alain Grousset.
V- Un tome d'un manhwa : " Mijeong de Byun Byung Jun ".
V- Un livre avec une femme en héros principal : " Bethsabée " de Torgny Lindgren.
V- Un livre avec une créature imaginaire : " Les oiseaux du temps " de Amal Em-Mohtar et Max Gladstone.
Et " La grande déesse mère : création, fertilité et abondance : mythes et archétypes féminins " de Shahrukh Husain.
V- Un livre où il y a des animaux : " la ferme des animaux de George Orwell ".
V- Un livre avec pour toile de fond la seconde guerre mondiale : " La race des orphelins " de Oscar Lalo.
Un livre dont le titre commence par "Le".
V- Histoire dans un pays que l'on souhaite ou que l'on a visité :" Le roman de la momie " de Théophile Gautier.
J'en suis à 10/15. J'attaque maintenant des romans presque tous de plus de 300 pages ( celui que j'ai choisi pour livre d'un auteur espagnol fait 889 pages ! ).
@marie-thérèse : les pavés ont été utilisés lors des grandes manifs de mai 68 .
@marie33 : pour casser le cercle vicieux, il faut appliquer les fondamentaux :
.1: le fameux " connais-toi toi-même " pour comprendre notre part de responsabilité dans nos inter-actions avec les autres.
.2: être conscient de l'effet boomerang : action => réaction. Et comme le dit si bien @Kachina :
" renvoyer une image négative ou stagner dans la négation génère du négatif de la part d’autrui ".
.3: savoir remettre en cause nos croyances : on sait combien les a-priori polluent notre perception des gens et des évènements.
.4: savoir compter sur le temps = se poser avant de réagir impulsivement sous le coup de la colère
ou de la frustration qui ne sont jamais de bonnes conseillères .
Une quadrature du cercle, voili-voulou.
En 11e sur 15, j'ai choisi :
Un roman aux temps de la Rome antique : " Les deux visages de Janus " de André et Michèle Bonnery. 444 p.
@sylareen : faut se coller à eux et écouter ce qu'ils se disent. Ils vont vite te laisser les doubler .
@heidi : il y a le libre-arbitre et la liberté de conscience, ce sont 2 choses bien différentes.
@Jabba-the-Hutt et @Jonesy ( pardon de t'avoir oubliée, je n'ai vu ton com qu'après avoir écrit le mien )
ont envisagé ce concept dans son aspect sociétal.
Je vais l'envisager au niveau individuel : il faut tenir compte pour parler de libre-arbitre de paramètres incontournables
comme l'éducation dans tel milieu avec telles valeurs mais aussi tels tabous enseignés,
et les expériences vécues, surtout les malheureuses qui laissent des traces et influencent nos réactions face à ces situations
quand elles se reproduisent ne serait-ce qu'en partie.
Enfin, quel libre-arbitre est-il possible quand la peur paralyse ou engendre des conduites d'évitement ou de fuite ?
Peur de l'inconnu, peur de la violence et des agressions, peur de la mort...
C'est flagrant à notre époque avec les conjonctures que nous connaissons : crise sanitaire, immigration,
augmentation des violences faites aux femmes ( + 30% en 2021 par rapport à 2020 ).
Je pense donc que, si nous avons bien une part de libre-arbitre, elle est limitée, tout comme le sont nos libertés
. dans une société démocratique qui comporte certes des droits mais aussi des devoirs,
. dans un groupe où il est bien vu de se comporter de telle façon pour se conformer au consensus admis :
y déroger expose à la critique voire au rejet.
Pas de libre-arbitre quand on agit pour plaire aux autres en se fondant dans la masse.
Au contrevenant, on lui expliquera que c'est pour l'harmonie du groupe..
On préfère alors se taire et/ou se conformer, contraint par la crainte, non seulement de ne pas être reconnu =
compris dans notre " je suis ce que je suis ", mais aussi et surtout d'être rejeté.
Quid du libre-arbitre, de la libre volonté d'agir en accord avec nos valeurs, nos désirs ou nos besoins ?
Faire des compromis ou des concessions, c'est déjà une entrave à ce fameux libre-arbitre.
Certains disent que le L-A est un cadeau empoisonné de la part du Principe 1er.
On peut faire le choix de vivre + ou - en ermite pour subir le moins possible la pression des autres et ainsi,
avoir un peu plus de libre-arbitre.
Mais là aussi, cette réaction n'est pas totalement libre puisque la conséquence résulte d'une cause.
J'ai donc terminé le 2e volume de la trilogie du loup-garou : " Tallula ". Petit résumé .
" Enceinte, elle se réfugie en Alaska où elle vit loin de tout. Attaquée par un petit groupe de vampires alors même qu'elle est en train d'accoucher, Tallula, grièvement blessée, voit son fils lui être enlevé...Ce que la mère veut, retrouver son fils, c'est la louve en elle qui va s'en charger ".
Pleine de suspense et de rebondissements, l'histoire nous tient en haleine du début à la fin.
Je ne mets qu'un seul extrait, sans rapport avec l'histoire, il s'agit d'une réflexion que Tallula écrit dans son journal intime.
Il m'a fait faire une pause pour méditer dessus.
" Nous sommes seuls dans le noir. C'est pour nous rassurer les uns les autres que nous nous tenons la main et nous racontons des histoires sur le bien et le mal.
La tactique fonctionne un certain temps, le temps d'une vie, d'une civilisation, peut-être même le temps d'une espèce. Mais il ne faut pas se bercer d'illusions : ça ne change rien à lobscurité qui nous entoure.
Elle nous engloutit tous, les bons comme les méchants, avec une indifférence monolithique ".
L'un de mes chanteurs préférés, qui m'émeut jusqu'aux tripes avec ses chansons.
Beaucoup ont été à l'époque censurées sur les antennes.
Jean Ferrat, chanteur engagé, censuré -
@alifidan : bienvenue Alifidan. Tu es bien tombé ici : on est parfois sérieux, parfois déconnards,
on s'écoute et parfois on s'engueule ( jamais méchamment ) , comme dans la vraie vie quoi .
N'hésite pas à nous interpeler sur les sujets qui t'intéressent, il y aura du répondant .
L'haïku est un exercice très difficile, avec des règles strictes :
c'est un poème très court, composé de 3 phrases :
la 1e et la 3e de 5 syllabes, la 2e au milieu de 7 syllabes. La présence d'un verbe n'est pas indispensable.
Son but est de traduire " l'évanescence des choses et les sensations qu'elle suscite ".
De nos jours, un peu plus de souplesse est acceptée : on peut aborder n'importe quel thème.
Voici le mien, pondu tout frais de ce matin :
Lune de printemps
ombres habillées d'argent
loup est amoureux.
@pompon : je sais pas à quoi tu carbures en ce moment, mais c'est d'la bonne pour t'inspirer si bien .
@sisi a dit dans Le ras-le-bol des femmes :
Autant vous dire qu'il aura bientôt une belle surprise de l'inspection du travail.
Il pense qu'il t'a mis la pression et que tu n'oseras pas réagir. Bravo pour ta démarche de signalement à l'inspection du travail : ce qu'il a fait est illégal !
@delnis : j'aime, que dis-je, j'adore la chanson française, j'adore ma langue maternelle.
Mais cela ne m'empêche pas de trouver l'anglais " fun " et sympa à parler.
Voilà, c'est dit. Alors, en chanson francophone connue à l'international, il y a l'incontournable Céline Dion...
bin je la contourne, je préfère Isabelle Boulay .
Cette reprise d'une chanson de Barbara me donne des frissons.
@pompon Et Drake préfère l'océan. Je suis pourtant en partie méditerranéenne, mais je préfère aussi l'océan ( mon chromosome paternel breton sans doute ) .
@Drake : je connais Trégastel et je me suis promenée dans les Traouïéro, un lieu magnifique, ressourçant, zénifiant, bref, magique. Je rêverais aussi de partir m'établir dans cet endroit ( perso, j'avais flashé sur Lannion ).
Les livres, ils sont pour moi des amis : ils me réjouissent, me consolent aussi des vicissitudes de notre bas-monde.
Grâce à eux, je ne souffre jamais de solitude.
Mais quand j'arrive à la fin d'un livre, j'ai un moment de cafard, car j'ai comme l'impression de perdre un ami.
Alors vite, je me précipite sur un autre pour maintenir un lien affectif qui m'est vital.
