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    Meilleurs messages postés par ayamé

    • RE: Je ne veux pas aller dans un ehpad

      @carl_jung : on peut être famille d'accueil pour les personnes âgées : il faut que le logement soit conforme et obtenir l'agrément.
      C'est un travail, donc rémunéré : " selon les taux de 2020 et la politique d’action sociale du RDAS, le salaire net et les différentes indemnités représentent une rémunération mensuelle brute comprise entre 1 500 € et 1 800 € par personne accueillie ".
      Mais à ce salaire, s'ajoutent d'autres frais ( logement, nourriture, etc ) : il faut avoir une retraite confortable.
      Des aides sont peut-être possibles.
      https://www.cettefamille.com/accueil-familial/devenir-accueillant-familial/salaire/

      posté dans Bien-être
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      ayamé
    • RE: Les animaux chez le vétérinaire

      @Lapin : ma chienne a eu des ulcères aux yeux à cause d'une production insuffisante de larmes + soleil de printemps et d'été => 4 mois de traitement et maintenant larmes artificielles 2 fois/jour à vie. Ele a un léger voile sur les yeux, ce serait les cicatrices des ulcères mais heureusement cela n'affecte pas sa vue.

      posté dans Animaux
      ayamé
      ayamé
    • Changer l'eau des fleurs

      Née à Gueugnon en 1967, Valérie Perrin est une photographe, scénariste et écrivaine.
      Elle travaille aux côtés de son mari, le réalisateur Claude Lelouch (1937).
      Son 1er roman, « Les oubliés du dimanche » (2015), a reçu de nombreux prix.
      En 2018, elle a reçu le prix Maison de la Presse pour son 2e roman : « Changer l’eau des fleurs ».

      Un roman de 664 pages en livre de poche, mais qui se lit comme qui rigole.
      Car Violette, l'héroïne, un ptit bout de femme très ordinaire, nous autorise à rentrer dans sa vie et même dans sa peau.
      Du coup, on n'est pas seulement témoin, on se fond en elle pour ressentir ses émotions, des douces et des mélancoliques aussi, mais comme je l'ai dit : sans pathos, sans dolorisme.
      On vit sa vie pas si facile, tellement humble, et au-delà, on se laisse porter par sa formidable énergie de vie.
      Les autres personnages du roman, ce pourrait être nous aussi tant leurs histoires, leurs secrets,
      leurs interrogations et toutes les petites choses de la vie pourraient être les nôtres.
      Il ne faut pas se fier au titre : un peu cucu la praline, on peut le dire, et ne pas croire qu'il s'agit d'un feel-good
      ( = pour se sentir bien ). Non : c'est un roman qui parle non seulement de la mort et de la perte d'êtres chers,
      mais bien plus de la vie, la vie quand-même belle à vivre.
      Ce livre est comme un pansement sur nos blessures, un doux coup de pied au cul pour nous faire avancer
      quand on sombre dans le pessimisme, et la démonstration qu'il y a du bonheur dans les petites choses de la vie.

      Avis de j'sais pas qui : " Gardienne de cimetière ? A priori pas folichon… Mais ce livre rayonne d’humanité.
      Violette est l’élément qui dédramatise la mort et la vie par la même occasion. Elle est là, elle vous écoute, elle est humaine.
      Et pourtant sa vie est parfois à pleurer ! Elle nous fait du bien, nous pousse à faire un pas après l’autre,
      à croire au positif et en l’avenir. Et il n’y a pas de mélodrame, pas de tristesse même s’il y a des drames.
      La vie est faite de rencontres, de coïncidences, de choix, de croisements…
      Saisissez les occasions d’etre heureux quand elles passent… Et pour croire en la vie, les petits plaisirs simples,
      les amis, la chaleur humaine, les livres, la compagnie des animaux, la nature…"

      Un extrait : " Que veux tu que je devienne si je n’entends plus ton pas, est-ce ta vie ou la mienne qui s’en va, je ne sais pas.
      Le sang des vignes de Porto. Je ferme les yeux. Et je savoure. Une seule gorgée suffit à égayer ma soirée.
      Deux dés à coudre parce que j’aime l’ivresse mais pas l’alcool.
      Mais comme je n’ai jamais eu le goût du malheur, j’ai décidé que ça ne durerait pas.
      Le malheur, il faut bien que ça s’arrête un jour.
      Moi, il n’y a qu’une étoile que je voulais attraper : la bonne.
      C’est sans doute pour cela qu’il y a des épitaphes plein les cimetières. Pour conjurer le sort du temps qui passe.
      S’accrocher aux souvenirs...."

      Comme un bonus, il y a une petite phrase au début de chaque chapitre, par exemple :
      Ch 4 : " L'être est éternel, l'existence un passage, la mémoire éternelle en sera le message ".
      Ch 53 : " ne pleurez pas ma mort, célébrez ma vie ".
      Ch 57 : " le destin a fait son chemin mais il n'a jamais séparé nos coeurs ".
      Ch 69 : " rien ne peut la faner, rien ne peut la flétrir, cette charmante fleur se nomme souvenir .

      Voilà : vous l'ai-je bien vendu ? Perso, j'achète beaucoup de mes livres en version livre de poche pour quelques euros,
      pour pouvoir en acheter plus 😉 .

      changer l'eau des fleurs.jpg

      posté dans Littérature
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    • RE: Le Bonheur du jour !

      @kachina : comme toi, en vacances H-24 environ pour 8 jours et sans mes chiens.
      Ils ont de la chance, c'est mon plus jeune fils ( qui vit dans la même maison que moi, mais ça, tu le sais déjà ) qui va s'en occuper et ces 3-là s'entendent comme larrons en foire. Je partirai l'esprit serein 🙂 .

      posté dans Carte blanche
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    • RE: Faut-il légaliser l’euthanasie en France ?

      Perso, j'aurais un peu de mal avec la piqûre qui tue ( pour mes proches et moi-même ). Mais les perfs très chargées en morphiniques, dans un protocole bien défini, ( DLP à mon époque ), qui permettaient au patient de partir tranquillement en + ou - 3 jours, j'en ai posées beaucoup en cancérologie et en soins palliatifs et ça, c'est vraiment beaucoup moins traumatisant pour les proches et pour les soignants.
      Heureusement car elle avait de plus en plus de mal à respirer avec sa pneumonie bilatérale, ma mère ( 86 ans ) y a eu droit aussi . Ce fut un confort pour elle, mais pour nous aussi.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
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    • RE: Musiques & danses country

      Voici une chanson de Johnny Cash plusieurs fois reprise. Je mets 2 versions. J'ai une une petite préférence pour la 2e bien que les arrangements musicaux soient moins country .

      posté dans Parler Musique
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    • RE: La vieillesse c'est nul

      @pompon : et puisqu'il faut faire avec, autant le faire le mieux possible et faire ce qu'il est bon de faire 🙂 .
      Faut-il le rappeler ? Un peu de sport, une hygiène alimentaire, un sommeil suffisant, ne pas stresser à tout bout de champ :
      voilà les clés pour bien vieillir, et je le dis en connaissance de cause 😉 .

      posté dans Bien-être
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    • Les Louves

      les louves.jpg
      Aujourd'hui, je propose : " une lecture publiée l' année de votre naissance " ( 1955 ) : " Les louves " de Boileau-Narcejac.
      Elle pourrait aussi aller dans " une oeuvre qui a été adaptée en film " car elle le fut par Luis Saslavsky en 1957.
      J'aimerais beaucoup maintenant voir ce film.

      " Le "héros" raconte ses pensées les plus intimes ainsi que ses émotions.
      Le tandem Boileau-Narcejac entraine le lecteur en une descente aux enfers, en un enfer psychologique,
      vers une fin qu'on peut subodorer mais qui n'en est pas moins cauchemardesque ".
      Dit comme ça, ça paraît glauque, mais c'est quand-même très plaisant à lire.
      Au fil des pages, on voit l'étau se resserrer autour de lui.
      J'en suis à la moitié, j'ai hâte de finir la lecture pour savoir ce qu'il advient de lui.

      Extrait en 4e de couverture : " La porte se referma. J'étais seul avec ces 3 femmes qui tenaient ma destinée entre leurs mains
      et pouvaient, à chaque minute, me détruire. Maintenant, il n'y avait plus rien à tenter. J'étais leur chose ".

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      posté dans Littérature
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    • RE: Plaisirs minuscules

      @Shanna : je pense que cet homme avait besoin d'aide, mais que malheureusement, il ne t'a pas crue. Les SDF sont tellement habitués à l'indifférence et au mépris.
      A un SDF que j'aime bien et avec lequel je discute quand je le vois, il manquait 5 euros pour un voyage en train important. Je les lui ai donnés, il en a pleuré ! Il m'a tiré les larmes aussi.

      posté dans Carte blanche
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    • RE: Musiques & danses country

      Voici une chanson toute douce que nous offre la divine Shania Twain accompagnée de l'incontournable Willie Nelson, âgé de 89 ans maintenant ( non, il n'est pas mort, contrairement à ce qu'affirment de fausses rumeurs ). 🙂

      posté dans Parler Musique
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    • RE: La maladie, le mal a dit

      @cynthia80 et @ytica : au-delà de la prédisposition génétique et des facteurs extérieurs, il y a ce que la maladie dit de nous-mêmes, de ce que nous avons refoulé dans l'inconscient : ce qui fait trop mal ou peur, comme le dit très justement @IRIS-0.
      Ce que la médecine occidentale n'envisage pas, ce n'est pas dans sa culture.
      Que sait-on, vu de l'extérieur, des blessures cachées de gens qui mènent une vie saine et heureuse ? Le mal a dit en maladie.
      Quant aux gens qui fument et se nourrissent mal et sont quand-même en bonne santé ( mais pour combien de temps ? ), cela dit qu'ils possèdent une bonne énergie vitale qui circule sans blocage dans tout leur corps.

      Généralement, les maladies dégénératives et de longue durée sont la conséquence d’un choc ou d’un conflit du passé non compris et non résolu.
      Elles sont le fait d’énergies dites perverses, stockées dans le psychisme et dans le corps, qui perturbent à la longue complètement la circulation harmonieuse des énergies dans le corps, voire les bloquent.
      Certaines autres maladies encore sont déclenchées par la pollution dans l’air ou les aliments ingurgités. Et si le corps est trop faible en énergie, il n’aura pas la force de rejeter ces éléments intrus et non naturels hors du corps, d’où son empoisonnement, comme c’est le cas dans la plupart des maladies.
      A l’origine de toutes les maladies : les énergies perverses, pensées et émotions comprises, qui créent un déséquilibre ou un manque d’énergie.
      Il en existe d’autres comme les maladies génétiques : elles font intervenir toute une chaîne de causes à effets concernant nos ancêtres.

      J'avais une collègue qui n'arrivait pas à exprimer son mal-être au travail. Conséquence : eczéma en collier autour du cou ( le siège de la parole ). Elle est allée voir un magnétiseur : il lui a enlevé son eczéma mais il lui en a aussi expliqué la composante psycho, il lui a parlé de son mal-être qu'elle n'osait confier à personne. Il lui a permis de reprendre confiance en elle.
      Son eczéma n'est jamais revenu.

      Je ne cherche à convaincre personne. Je donne quelques infos qui peuvent aider à comprendre pourquoi on souffre de telle maladie et à mieux l'accepter.
      Perso, je pense que l'acceptation ( qui ne signifie nullement résignation, entendons-nous bien ) aide beaucoup à mieux vivre avec sa maladie, surtout si elle est chronique.

      posté dans Bien-être
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    • La Nuit de feu

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      Phrase sur la couverture du livre de poche : " Sur terre, ce ne sont pas les occasions de s'émerveiller qui manquent, mais les émerveillés ".

      Ce livre ne peut se décrire, on ne peut en faire une analyse, pas même le résumer.
      Parce qu'aucun mot ne peut signifier ce qui ne se laisse pas enfermer dans un quelconque signifiant.
      EES le dit ainsi ( je ne spoile rien en révélant ce passage de son livre, mais il m'a paru intéressant de le révéler à ceux qui ne liront pas ce récit : La Nuit de feu ) :
      " Cette énergie inébranlable, indomptable, à l'oeuvre dans l'univers, je m'absorbe en elle.
      J'en reçois des messages, difficiles, non à saisir car ils s'imposent, mais à transcrire dans le langage.
      Les mots ont été inventés pour décrire les objets, les sentiments, des réalités humaines.
      Coment désigneraient-ils ce qui les dépasse ou ce qui les fonde ? Comment des termes finis exprimeraient-ils l'infini ?
      Comment les étiquettes du visible estampilleraient-elles l'invisible ?
      Ils inventorient le monde, or, je pénètre dans l'au-delà du monde.
      Plus j'avance, moins je questionne. Je circule au sein d'un lieu sans pourquoi.
      Je brûle, je fusionne, je perds mes limites, j'entre dans le foyer...
      La confiance du croyant offre une façon d'habiter le mystère. Le mystère, lui, subsiste...
      Nous devons reconnaître et cultiver notre ignorance. L'humanisme pacifique coûte ce prix-là.
      Nous ne sommes frères qu'en ignorance, pas en croyance.
      Ce ne sera qu'au nom de l'ignorance partagée que nous tolèrerons les croyances qui nous séparent, que nous respecterons l'autre, le même que soi, celui qui voudrait savoir et qui ne sait pas ( car le mystère subsiste ).
      Seuls, les arguments rationnels ont le pouvoir d'emporter l'adhésion, pas les expériences.
      Je n'ai fait qu'éprouver, je ne prouverai donc pas, je me contente de témoigner.
      Une nuit sur terre m'a mis en joie pour l'existence entière. Une nuit sur terre m'a fait pressentir l'éternité
      ".

      Mais écoutez-le parler de ce qu'est la vraie foi, de ce qu'est le mystère de la condition humaine : " elle ne fait pas de bruit, c'est une musique intérieure ". Elle devrait " permettre de mieux vivre ensemble parce que Dieu n'est pas un objet de savoir " et dangereux sont ceux qui prétendent savoir :que Dieu existe ou qu'il n'existe pas, " cela conduit à l'intégrisme religieux ou athée ".

      posté dans Littérature
      ayamé
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    • RE: [AJA] Aujourd'hui j'ai appris

      @Orabig a dit dans [AJA] Aujourd'hui j'ai appris :

      aucun dictionnaire ni ouvrage spécialisé ne le mentionnent.

      Par contre, les livres pour enfants l'ont adopté, c'est un mot tellement plus sympathique que hérissonneau 😉 .

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      posté dans Carte blanche
      ayamé
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    • RE: Musiques & danses country

      Voici du country folk interprété par les voix de 2 grands, 2 incontournables 🙂 .

      Une reprise :

      posté dans Parler Musique
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    • RE: Insomnies et troubles du sommeil

      @jean : j'ai travaillé de nombreuses années en horaires de nuit. Quand je suis repassée de jour : gros problème d'insomnie. Ne voulant pas la soigner avec de la chimie que mon doc voulait me prescrire ( il était persuadé que je ne retrouverai jamais un bon sommeil nocturne, ayant travaillé trop longtemps de nuit ) j'ai testé toutes sortes de produits naturels et c'est escholtzia qui m'a bien réussi.
      Aujourd'hui, je dors très bien sans rien : mon somnifère = lire le soir au lit.
      Surtout pas d'écrans juste avant d'aller dormir ( télé, ordi, etc ) dont on sait qu'ils perturbent l'endormissement.

      posté dans Bien-être
      ayamé
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    • L'Éléphant bleu

      Heureusement que je ne suis pas influençable en lisant certaines critiques sur Babélio !
      Par ailleurs, j'avais déjà lu l'un de ses romans, " La fille du ciel " pour savoir que j'aime son écriture.
      J'aime sa plume légère capable de décrire sans dolorisme les choses douloureuses de la vie et sans fausse pudeur celles du sexe : elle emploie parfois des expressions croustillantes pour les décrire. Oui, elle s'autorise à parler comme un homme, pourquoi, y a t-il un vocabulaire réservé à chaque sexe ?
      Dans ses romans, elle parle d'amour aussi, mais sans concession parce qu'il ne faut pas taire l'amour qui blesse et qui salit : il existe et il fait mal. ( Elle n'a rien retenu des contes de fées et de princesses de son enfance et c'est tant mieux ) .
      Alors oui, cela peut en déranger certains.
      Dans ce roman, on ne peut que s'attacher au personnage principal, Sirikit, une jeune fille qui raconte son enfance en Thaïlande puis ses 17-18 ans à Londres.
      " YL nous fait découvrir Londres des années 70, avec ses excès, ses exentricités et ses personnages hauts en couleurs.
      Sirikit croise le destin d'hommes et de femmes qui transpirent le mal être ".
      Ce livre n'est en aucun cas triste et se finit bien 🙂 .

      Quelques citations extraites du livre qui ne spoilent rien de ses aventures :

      " J'ai coupé les ponts avec ma famille. Plus rien ne me lie à personne. Ivresse de l'inconnu. Impression de naître pour la seconde fois, de me trouver tout nue devant mon destin comme dans ce drôle de cauchemar que je faisais petite fille ".

      " Je découvre que le racisme, c'est un peu comme les boutons, ça ne râte jamais l'occasion de faire éruption. Il suffit d'une indisposition ".

      " La sculpture est la démonstration éloquente de cette violente pulsion animale qui caractérise le désir humain, poursuit-il en la parodiant grossièrement ( contexte : une journaliste qui le gonfle ), l'Anti-Cérébral, chère madame, la création pure, le contact direct avec la matière, l'éjaculation perpétuelle à l'état brut, à la différence de ces intellos, de ces scribouillards honteux qui s'asticotent frénétiquement le gros cervelet en camouflant leur libido congestionnée derrière les mots, oui des mots et même pas des gros ".

      Livre trouvé dans la boîre à livres de mon village : couverture abîmée, mais toutes les pages sont nickel.

      YL 1.jpg

      YL 2.jpg

      PS : pourquoi l'éléphant bleu ? Parce qu'il représente en Thaïlande celui qui se sent différent, inadapté ou inadaptable, et de ce fait se démarque du reste du troupeau.

      posté dans Littérature
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    • RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)

      @Shanna : c'est aussi parce qu'elle a eu une très belle vie avec moi, avec respect de tous ses besoins, qu'elle a vécu si longtemps et aurait pu vivre encore un peu plus, mais si mal ! Il est chouette, ton spoiler, je prends 🙂 .

      Je vous remercie tous pour vos likes et vos coms. C'est bête à dire, mais ça me met un petit rayon de soleil dans le coeur. ☼

      posté dans Carte blanche
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    • RE: Le jazz et vous

      @Marie-Thérèse : oh oui, c'est bon. Mais mon morceau préféré de Duke, c'est celui-là : " Echoes of the jungle ".

      posté dans Parler Musique
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    • RE: L'hypersensibilité

      @elenwey : oui, je sais que l'on parle d'intelligence émotionnelle maintenant. Pour mémoire :
      l'intelligence émotionnelle réfère à la capacité de reconnaître, comprendre et maîtriser ses propres émotions et à composer avec les émotions des autres personnes.
      Lucidité ou la prise de conscience de ses émotions.
      Contrôle ou la maîtrise des conséquences de ses émotions.
      Relation ou la maitrise de son impact sur les autres
      .
      Bin tu vois, c'est sur ces points que je sais que bien peu de gens en sont capables.
      Pour la majorité, l'émotionnel, c'est action-réaction.
      Et dans ces cas-là, l'intelligence est squizzée car c'est le cerveau primitif, non, plutôt l'ego qui réagit et l'ego n'est qu'un enfant...
      qui ne possède pas une intelligence mature.
      Je pense que tu as eu l'occasion de le remarquer ici ou là 😉 .

      posté dans Bien-être
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    • RE: La Mécanique du cœur

      La grille de lecture de ce conte initiatique sera différente à mon avis selon qu'on le lit ado, adulte ou senior.
      Dans une ambiance fantastique où la frontière entre réel et imaginaire n'est pas toujours si évidente grâce à l'emploi de métaphores très poétiques, Mathias nous raconte comment mais surtout pourquoi " la mécanique du coeur " ne demeure jamais un rouage bien huilé : tous les sentiments et les émotions de l'être humain ( amour passionnel, possessivité, jalousie, trahison, désir de vengeance, communication rendue difficile à cause de la peur, du rejet, du manque de confiance en soi, etc ) défilent au fil des jours, ces sentiments qui font autant la force que la faiblesse du pantin humain.
      Car c'est bien ce que nous sommes, des pantins, manipulés par les aléas de la vie qui nous obligent à nous dépasser, à renoncer aussi, pour simplement survivre.
      L'enfant découvre en devenant adulte ce qui compose la tragédie humaine et qu'il doit accepter : la découverte que l'absolu doit céder la place au relatif, que, si l'amour appartient à l'infini, à l'éternité, l'humain quant à lui se trouve dans une autre dimension, celle des limites de la temporalité et de la finitude.
      Extraits : " Cette nuit, je vais grimper à la lune, m'installer dans le croissant comme dans un hamac et je n'aurai absolument pas besoin de dormir pour rêver ".
      " Je voulais fabriquer un voyage sur la Lune rien que pour elle, mais c'est un vrai voyage sur Terre que j'aurais dû lui offrir ".
      Garder les pieds sur terre : mais c'est tellement le paradis de s'évader dans l'imaginaire, dans l'illusion, au risque d'y trouver des rêves maudits et de connaître alors l'enfer.
      Eros et Thanatos n'en finissent jamais de jouer à cache-cache tant que le coeur bat : tic-tac, tic-tac.
      Mon ressenti à cette lecture : un mélange d'émerveillement et de mélancolie, à l'image de la vie.

      posté dans Littérature
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