Bien d'accord, mais quand on voit la virulence de ses détracteurs, il est logique que ceux qui
l'apprécient en fassent autant : question d'équilibrer la balance .
N'ayons pas la mémoire courte, ce serait un manque d'honnêteté intellectuelle :
" il propose au ministre de la Santé Jean-François Mattei, au début des années 2000, de créer
7 "infectiopôles" contre les maladies infectieuses. Dix ans plus tard, 6 IHU sont lancés en France, chacun sur un thème différent. Celui de Marseille, qu'il dirige depuis 2011, est spécialité dans les maladies infectieuses. Lauréat de multiplies récompenses, il a notamment reçu en 2010 le Grand prix de l'Inserm pour l'ensemble de sa carrière ".
@Mayhem : tout le problème est là : il y a des métiers que l'on aime et là où le bât blesse, ce sont les conditions dans lesquelles on l'exerce. Il y a parfois ( souvent ? ) un gouffre entre nos aspirations et ce que l'on nous demande. La pression que font subir certains autres, hiérarchie ou collègues, à la longue peut, comme tu l'évoques, mettre en danger la santé mentale.
En tant qu'infirmière, j'ai connu des endroits pourris où j'ai vu nombre de collègues démissionner, ce que je faisais ensuite aussi à mon tour pour ne pas y laisser ma peau. Par chance, dans mon métier, on trouve du boulot partout. J'ai été infirmière toute ma vie ( 30 % des diplômés quitteraient le métier au bout de 5 ans ). Ce qui m'a sauvée et aussi pour ne pas tomber dans la lassitude, ce fut de pouvoir rouler ma bosse dans différents hôpitaux, cliniques, CSSR ( centre de soins de suite et de réadaptation ).
pour ma part j'ai testé "Décris-moi un mouton". C'est rafraîchissant de voir qu'on peut rapidement se sentir à l'aise et intégré, même en tant que nouveau venu
Des branquignoles, j'en ai connus dans les hôpitaux et cliniques privées, donc dans le privé comme dans le public. Il suffit qu'il y en ait quelques-uns, même très peu, pour que ça perturbe le fonctionnement d'un service. Et alors, on ne voit pratiquement plus que ça. Bien sûr, personne ne dira que tous les soignants sont des branquignoles pour autant. Mais j'ai déjà entendu des gens dire : le personnel, toujours en pause à boire le café ! Parce qu'ils sont arrivés à ce moment-là ( oui, on peut faire des pauses cafés à n'importe quel moment, plusieurs dans la journée de travail même, mais qui ne durent que 5 ou 10 mn ).
Et si le personnel pendant ces pauses rigole ( indispensable besoin de se défouler face au stress de ce métier ), certains ( je ne fais pas de généralité hein ) en déduisent que ce personnel est j'm'enfoutiste et ne fait pas sérieusement son boulot !
@plume : pourquoi enlever ton like. Tu as le droit d'apprécier cette photo, qui est effectivement très drôle, même si elle est HS.
Alors, je vais me faire l'avocat du diable. Le contexte, c'est : ces 2 clowns qui disent au revoir car ils ne feront pas partie du 2e quinquennat ...pas si HS que ça alors...du coup, je like .
@pompon : tu aurais pu faire éditer au lieu de poster 2 fois ton image . Et nous dire directement de quelle plante il s'agit, ça éviterait de perdre du temps à aller chercher, ou pas, grâce à " rechercher l'image avec google ".
Bon, il s'agit de l'oxalis versicolor = faux trèfle bicolore et j'aime bien son surnom : la fleur sucette quand elle est encore en bouton .
@carl_jung : et en avant : nouveaux chèques pour aide alimentaire pour les plus défavorisés :
100 euros + 50 par enfant.
Pff : aide ponctuelle qui ne résoud pas le problème de fond ! Ça m'énerve !
Je souhaite vous parler d'un chanteur que j'aime beaucoup : Jonathan Roy, né le 15 mars 1989 à Pointe-Claire au Québec.
Avant de devenir chanteur, il a joué au hockey sur glace au niveau compétitif.
Son 1er album, intitulé What I've Become, sort le 28 avril 2009. En 2012 : duo "La Route" avec Natasha Saint-Pier.
Avec l'élue de son coeur, Lydia Marzaro, jolie blonde aventurière, ils voyagent ensemble partout sur la planète.
Je ne vous parlerai pas de ses pratiques sexuelles antérieures ( bisexualité, orgies ), car chacun fait ce qu'il veut de son Q tant que les choses se font en libre consentement.
Son leitmotiv : " L'amour. Il doit y en avoir plus dans ce monde. J'ai écrit beaucoup de chansons sombres mais inspirantes au cours des dernières années et j'ai senti qu'il était temps de vous montrer une autre facette de moi. J'aime donner et ressentir de l'amour. Je pense que c'est la chose la plus importante que les humains et toutes les créatures de cette planète veulent et ont besoin pendant cette folle belle expérience appelée la vie ".
La chanson " keeping me alive " dit : You try to hold me down so I became a soldier/Built up all these walls and now I’m climbing over… Oh Lord! but I ain’t going back ( Tu essaies de me retenir alors je suis devenu un soldat/Tu as construit tous ces murs et maintenant je les escalade… Oh Seigneur ! mais je ne retournerai pas à l’intérieur ).
Ces paroles intenses dont la vidéo a récolté plus de 49 millions de visionnements depuis sa sortie en septembre 2019 « ont ravivé la flamme », dit-il en parlant de son retour vers la musique.
" Je pense qu’elle a le même effet sur les gens. Il y a plein de gens qui m’écrivent, des gens qui se font abuser ou qui ont des problèmes de santé mentale et cette chanson est comme un hymne. C’est l’effet qu’elle a eu pour moi quand je l’ai écrite. Elle m’a ramassé par le fond de culotte et m’a dit :
" Joe, tu vas faire ça pour le reste de ta vie, alors arrête de te plaindre. Il va y avoir des journées plus difficiles que d’autres, mais fonce et fais ce que t’aimes faire."
La chanson, coécrite avec Brian Howes (Hedley, Hinder, Mother Mother) et Jason Van Poederooyen (Boys Like Girls, Hinder, Hedley), fait preuve d’honnêteté, d’introspection et d’une vulnérabilité avec laquelle certains artistes ne seraient pas confortables. Le « punch » vient des paroles résilientes et motivantes :
" Your fueling of the flames gonna show you what I’m made of " (ta façon d’attiser les flammes me donne envie de te montrer de quel bois je me chauffe »). "Je voulais écrire une chanson à propos de toutes les choses qui m’empêchent d’avancer ".
Les perles du bac 2022 commencent à sortir. Réponse d'un candidat à la question :
" Revient-il à l’État de décider de ce qui est juste ? ":
" « Si le président Macron décide quelque chose, c’est que c’est forcément juste, puisque c’est le président ».
Bin on n'est pas sauvés avec des raisonnements pareils ! J'en ris...mais jaune.
@Guizmo : il est de plus en plus beau et il chante fort bien : ses spectacles doivent être un enchantement .
J'admire sa force pour continuer autant se faire se peut à nous offrir son talent.
Je croyais l'homophobie derrière nous ou presque, je suis effarée de voir qu'elle a encore des adeptes !
Pliée de rire, j'adore le résultat que j'ai obtenu :
" Vous êtes une panne d'électricité comme 4% de joueurs.
« Le degré de pénibilité que vous représentez pour les autres est à proportion variable : ça va si vos interventions sont rares et ponctuelles, mais il faudrait voir à ne pas vous éterniser, merci bien. »
Avec l'âge, j'ai appris à ne pas m'éterniser .
@DeckardNexus-6 : j'ai travaillé toute ma vie sans arrêt, payé des impôts et touché comme alloc seulement les familiales. Mon salaire, celui d'infirmière, me rangeait dans la catégorie de ceux qui sont juste au-dessus de la barre en dessous de laquelle on a droit à plus d'aides.
Je ne suis donc pas concernée pas ton propos et je ne crache pas sur ceux qui travaillent mais je crache sur je critique ceux qui exploitent les travailleurs car ceux-là sont de gros individualistes ( de droite ) sans conscience morale .
Ceux qui profitent du système comme tu dis sont une minorité et tu ne vois qu'eux.
Sais-tu que 40% de personnes ne perçoivent pas les aides majeures alors qu’elles y ont droit ? Parce qu'elles ne recourent pas à leurs droits, manquant d’informations et sont découragées par les démarches administratives trop complexes ( d'autant plus qu'il faut souvent avoir accès à Internet )
Tu vois, il faut regarder par les 2 bouts de la lorgnette pour juger une situation.
J'ai choisi de vous présenter Louise Michel, pour moi l'une des plus grandes figures féminines, car son engagement fut hors du commun. Louise Michel, née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte, en Haute-Marne, et dcd le 9 janvier 1905 à Marseille,était institutrice, militante anarchiste, franc-maçonne, aux idées féministes et l’une des figures majeures de la Commune de Paris.
Elle soutint la population dans sa lutte pour l'indépendance. C'est au bagne que Louise Michel devint anarchiste.
Les anarchistes prônent un socialisme libertaire, conception de la liberté d'action et de pensée.
Louise Michel reste l'une des grandes figures du mouvement ouvrier.
Militante infatigable, elle participa activement à la Commune de Paris et se fit le porte-drapeau de l'anarchisme.
Elle assura des rôles traditionnellement féminins : institutrice, infirmière, mais fut aussi soldat contre les Versaillais, de la prise des canons de Montmartre le 18 mars aux combats durant la Semaine sanglante.
" « Notre place dans l’humanité ne doit pas être mendiée, mais prise. »
@Marcel : devenir mère nous fait perdre notre insouciance et ce quel que soit l'âge auquel on le devient. On devient responsable de quelqu'un d'autre que soi-même, la tâche nous semble parfois bien lourde et cela nous donne cette sensation de " vieillir " prématurément.
Je reviens sur le clash qu'il y a eu dans l'émission " touche pas à mon poste " qu'Hanouna aurait pu rebaptiser " touche pas à mon pote " ( Bolloré ) ce jour-là.
Boyard voulait rappeler que s'il y a tant de migrants, c'est en grande partie de la responsabilité de Bolloré. Pour mémoire :
" Le rôle de Vincent Bolloré en Afrique est particulièrement néfaste et permet d’expliquer l’arrivée massive de migrants venus de ce continent.
Pour rappel, Vincent Bolloré est directeur de l’entreprise Bolloré, multinationale dans divers secteurs et qui a, depuis plusieurs décennies, participé à la déforestation d’une partie de l’Afrique par la construction de nouvelles infrastructures.
Son rôle dans la plantation d’huile de palme au Cameroun est aujourd’hui certifié, une procédure ayant été validée en appel.
De manière plus générale, les populations au service de l’entreprise Bolloré sont extrêmement mal payées, certains n’hésitant pas à montrer des affiches parlant d’esclavage ".
C'est pas joli-joli, n'est-ce pas ? .
@heidi : il y a un film que j'ai beaucoup aimé, parce qu'il était léger malgré le côté tragique
de la situation, c'est : " au revoir là-haut " d'Albert Dupontel : un chef d'oeuvre !
Un film à voir absolument !