Meilleurs messages postés par Cygoris

Elles sont douées !

(Khatia BUNIATISHVILI)

@shanna

Je suis contre : je n'aime déjà pas ces raisins, et en + le goût sucré associé au taboulé me gêne.

Mais pour le taboulé, avec 1 peu d'huile d'olive et de menthe (sans poivron : ni rouge, ni vert, ni jaune).

Je vote pour Guizmo.

Pour quelqu'un qui était peu connu à ses débuts, et principalement qu'à Paris, après avoir emprunté son pseudonyme à la magicienne "Miss Tick" de La Bande à Picsou, elle avait fait du chemin depuis.
L'artiste était passé des rues sombres au Victoria and Albert Museum, à Londres, en passant par Louis Vuitton et Kenzo.
Donc voici d'autres liens nationaux qui lui rendent hommage :

vosgesmatin.fr

ouest-france.fr

le télégramme (Bretagne)

artistes-occitanie.fr
A Montpellier, rendez-vous raté: En octobre 2013, l’artiste remportait l’appel d’offre et se voyait confier la réalisation de la robe de la future ligne 5 de tramway par l’Agglo, alors présidée par Jean-Pierre Moure. Après les municipales, le nouveau maire Philippe Saurel casse alors cette décision et lance un concours de dessins ouvert à tous, de l’artiste international à l’écolier. Nouveau départ en 2021: un appel à candidature est lancé en mai 2021 pour la création de l’habillage de cette future ligne 5 autour de la thématique « sciences et botanique »

Orly (Val de marne)

jeanmarcmorandini.com

journaldesfemmes.fr

tv5monde.com

franceinter.fr

lepoint.fr

gala.fr

vl-media.fr

ladepeche.fr

arts.konbini.com

connaissancedesarts.com

Ben écoute Gontran Bonheur (alias Jonathan le Veinard), en ce qui me concerne j'ai cherché pdt longtemps à savoir.
D'aucun disent que si on cherche, on trouve, si on y pense on l'attire...
Il est un fait que si on regarde par le mauvais côté (le côté obscur ) forcément on ne voit que les désagréments, les ennuis, les échecs, les déboires, les bévues ou déconvenues, la défaite, le fiasco,... et bien sûr on ne retient que la malchance.
D'autres appellent cela du pessimisme.

Pour ceux qui regardent (par habitude) par le bon côté (la clarté) la lumière leur montre la voie.
Ils y verront une lueur, une étincelle, un scintillement, une flamme, un halo, une illumination,
Et ne retiendrons que la réussite.

Beaucoup d'optimistes pensent qu'ils suffit de ne voir que le bon côté, à chaque fois (par ex. lorsqu'une difficulté se présente).
Il est évident que j'ai souvent essayé. J'ai cru y arriver qq fois, mais c'est inné. Les gaffes s'accumulent.
J'ai eu beau lutté pour ne pas penser au côté sombre, la malchance me rattrape, tôt ou tard, mais inexorablement.
Alors je fais avec, et contourne la malchance la plupart du temps. Je prends ça avec humour.
Je me prépare au pire, pour parer à toutes éventualités.
En revanche, j'ai remarqué qu'être à côté d'un optimiste me hissait vers le haut.
Alors j'aime bien les fréquenter, ça me repose.
Mais comme je dis tjs: mieux vaut de multiples petits pb qu'une grosse catastrophe.

@Mai-Tai a dit :

J'ai toujours adoré les Car en sac, mais on n'en trouve plus partout

Régale toi

@cygoris merci pour les souvenirs. Voir les picorette et les pièces en chocolat m'a fait revenir en enfance direct !

@Lapin a dit :

..................... Dans ma jeunesse, il faut rajouter au rang des classiques:

Les Werther's original, à suçoter pendant une heure jusqu'à ce qu'ils soient fins et coupant comme du papier

Ah ça j'adore aussi

Les fameuses Couilles de mammouth..................

Oui, je connais ça !
Une bouffée nostalgique vint à passer...

@Moilimouzi a dit :

J'aimais bien le chewing gum fait maison, (bin oui il y avait pas d'argent pour acheter des bonbons à la maison)
Donc ça consiste à mâcher des grains de blé..............

J'ai fait ça... en colo.

@Louikatorz a dit :

Il y a à peu près tout ce que j'ai goûté. Alors, pas vraiment bonbon, mais j'achetais chez l'épicier au rez-de-chaussée de mon immeuble des petits pots carrés de Nutella que je mangeais avec une petite spatule en plastique blanc fournie avec.

Ben écoute, ça tombe bien que t'en parles, car, d'une part j'ai bcp de mal à retrouver le produit d'époque et/ou une photo (j'aurais aimé connaitre sa composition) et d'autre part, j'ai l'impression que la part de noisettes a fortement diminué depuis (aujourd'hui = 13%)
Mais je m'en gavais (à 40 cts de Fr je crois ; # 0.065 €)

@agathe a dit :

Il manque les nounours en guimauve ! lol

Pour te faire saliver davantage

Je vote pour Kallindra.

@Artelise a dit :

@Shanna
alors, je ne sais pas du tout encore pour quel extrait je vais voter..
je tenais juste à dire : j'ai toujours refusé de visionner Philadelphia. Connaissant le thème, sachant que certaines personnes de mes connaissances avaient réussi à chialer leur race ........... - j'avais décidé que non, je n'irait pas le voir... ^^
je me prépare mentalement et je visionne un peu plus tard...

Mais qu'est-ce que c'est que cette marque ?
Commençons donc par la fin :
La société AC (Auto-Carriers) déposa son bilan avec la crise de 1929. La production ne dépassait pas plus d'une centaine de véhicules par an sur des châssis Standard.
Son activité fut reprise dans les années 30 par les frères Hurlock et se relance avec l'introduction des modèles 16/56 et 16/66.

A leurs débuts, le magazine Autocar consacrera quelques lignes à propos de Weller : "We see a brilliant future for the Weller designed car and it's talented designer" (Nous voyons un brillant avenir pour la voiture de Weller et pour son créateur).
Il ne croyait pas si bien dire...

Avant de poursuivre, remontons encore le temps : AC fut fondée au début du XXè siècle, à Londres par les frères Weller.

La société s'appelle alors "Autocars and Accessories" et baptise son modèle l'AutoCarrier (AC).
Et ne prend le nom d'AC Cars Ltd qu'en 1915.

La première AC, est une biplace 4 cylindres !
(admirez sur la calandre le 1er logo AC de la marque)

Et s'installe alors dans l’usine de Ferry Works, à Thames Ditton High Street (Surrey).

Weller vendit donc des parts de la société à l'investisseur et pilote Selwyn Francis Edge (ancien ingénieur en chef des automobiles Napier) qui entreprend d'élever AC au rang de constructeur reconnu de voitures de sport.
(il s'éteindra le 12 février 1940 dans Eastbourne, Sussex)
En 1919, John Weller avait conçu un moteur 6 cylindres à soupapes en tête relativement performant (40 chevaux à 3.000 tr/mn). Il restera en production à l'usine de Thames Ditton jusqu'en 1963, ce qui en fait probablement le moteur avec la plus grande longévité après le boxer de Volkswagen !!
En 1927 la "AC Cars Limited", devint "AC (Acedes) Ltd".

La seconde guerre mondiale vient une nouvelle fois perturber la vie d'AC qui s'arrête en 1940 et ne reprend qu'en 1947.
En 1952, Davis Cliff, pilote amateur qui court sur MG Cooper, dont il a lui-même dessiné la carrosserie en s'inspirant de la superbe Ferrari 166 MM Touring 1949, désire une voiture plus puissante et pense au moteur Bristol 2 litres.
Davis se tourne vers John Tojeiro, ingénieur dans le Fleet Air Arm pendant la Seconde Guerre mondiale, qui fabriqua ainsi une longue lignée de voitures de course.

Les frères Hurlock furent intéressés par le concept et le roadster AC Ace fut lancé sur le marché en 1953.

Entre 1954 et 1962, il fut complété par un coupé 2 places dénommé AC Aceca.

L'AC Greyhound est un original petit coupé 2+2 dérivé des AC Ace et Aceca. Le client pouvait alors opter au choix pour le moteur AC, le moteur Bristol ou encore le moteur Ford Zephyr

C'est alors qu'une page HISTORIQUE se tourne :
En 1959, le pilote texan Carroll Shelby remporte les 24 Heures du Mans sur Aston-Martin.
Au cours de cette épreuve, il a eu le temps de remarquer la petite AC Ace qui termine 7e au général. Shelby a une ambition : créer sa propre voiture de compétition et la confier à des pilotes au coeur plus solide que le sien. Dans ce but, il cherche un bon châssis pour y loger un gros moteur américain V8 bourré de chevaux. A cette époque, les voitures britanniques jouissent d'une bonne réputation et Carroll Shelby se souvient de la petite Ace d'AC Cars Ltd.

Cette dernière lui semble alors appropriée pour réaliser son projet. Il contacte alors la firme anglaise qui, privée du moteur Bristol, voit dans cette proposition une issue à ses problèmes.
La proposition d'installer un moteur V8 sur la Ace est séduisante et les Hurlock s'engage à fournir à l'américain les châssis qu'il désire dès qu'il aura trouver un moteur.
Et c'est ainsi que naîtra la Shelby AC Cobra 260, première d'une série légendaire....

Après avoir vendu les œuvres historiques de High Street pour le réaménagement, AC eux-mêmes se sont livrés à une opération de service dans les travaux du «21e siècle» sur Summer Road jusqu'à ce que la famille Hurlock vende finalement ses avoirs en 1986 à William West.
Après quelques machinations complexes, l'entreprise a été divisée entre les intérêts immobiliers et la marque automobile; le premier a été renommé et le second a été acquis par le propriétaire de CPAutokraft, Brian Angliss .
Et en 1982, Brian Angliss dirigeait Autokraft , un atelier de restauration Cobra, fournisseur de pièces et fabricant de répliques. Pour poursuivre de telles activités, il a acquis une partie de l'outillage de Thames Ditton et a créé le MKIV.
Lorsque la famille Hurlock s'est finalement vendue en 1986, Angliss a entièrement acquis les droits de marque AC et a créé une nouvelle société AC en coentreprise avec Ford, qui avait également récemment acheté Aston Martin.

Tous les détails de cette fabuleuse épopée à travers les pages suivantes :

stringfixer.com

mini.43.free.fr

absolutelycars.fr

automobile-sportive.com

@elenwey a dit :

..........................
Plein de trucs nous sont arrivés sans qu'on y puisse grand chose et j'encaisse, j'apprends à accepter et faire avec. Mais là, le Covid on sait ce qui marche et sous prétexte qu'il y a une élection on oublie le sens commun et ça, ça m'énerve parce que peut-être que je ne serai pas à fort risque d'être positive à un moment où j'ai vraiment besoin de voir du monde.

Alors pourquoi ne pas porter le masque quand on est malade (toux, fièvre, mal de gorge) ou dans les endroits bondés où l'on croise des gens à moins de 2 mètres ? Ou dans des pièces qu'on ne peut pas aérer ? ..........

J'adhère totalement.

@Lapin a dit dans La meilleure bière :

.................J'ai eu ma plus belle découverte zythologique de cette année (juste à temps avant qu'elle se termine)......................

Merci. Je ne connaissais pas ce mot scientifique pour la discipline sur la culture de la bière.

Je vote pour Jed.

Miura

Stratos

Jag E

Un peu de glamour félin.

#3' de descente en VTT.
Attention, ça va très vite !

Résumé de l'épreuve (#11')

Le whiskey Jack Daniel's, beaucoup connaissent.
Mais je ne savais pas que des chansons lui avaient été dédiées.

Telles, entre autres :

Par ailleurs, pourquoi y a-t-il un 'S' à Jack Daniel.
Car comme on le voit sur cette affiche, il s'agit du nom du distillateur.

Et lorsque Jack Daniel ouvrit sa distillerie, il employa 2 des fils de son maître distillateur Nearis Green.
Donc Jack Daniel and Sons, soit Jack Daniel's.
D'aucun font aussi le rapprochement au terme possessif anglais pour Jack Daniel's master distiller (son maître distillateur).

L'histoire :
Alors, Jack Daniel serait né "Jasper Newton Daniel" le 23 novembre 1846, mais étrangement, son année de naissance gravée sur sa tombe est 1850.
Jack, qui adopta ce diminutif, fait partie d’une fratrie de 10 enfants de Calaway Daniel et Lucinda Cook.

arbre généalogique

Perdant tôt sa mère et ne s'entendant pas avec sa nouvelle belle-mère, il est placé à l'âge de 6 ans chez un voisin fermier, « oncle Félix », de chez qui il fugue pour aller travailler chez un ami de son oncle, Dan Call, un prédicateur luthérien qui est aussi distillateur de whiskey selon le procédé de Lincoln County.
Ce pasteur, ainsi que son maître distillateur Nearis Green, un esclave afro-américain, apprennent à Jack la fabrication de la boisson.

Son oncle vendit son affaire à Jack en 1863, qui n'obtient son agrément qu'en 1866. Et n'ouvra sa propre distillerie en 1868. Avec le fameux Tennessee Whiskey N°7.
Mais pourquoi 7 ? A cause d'une exigence administrative !
À cette époque, les distilleries n'étaient pas autorisées à utiliser des noms de marques: l'État américain leur donnait un numéro, celle de Jack Daniel's reçut le numéro 7.

En 1895, il décida de changer la forme ronde de la bouteille pour celle carrée qui deviendra vite célèbre.

Jack Daniel mourut en 1911 d'un sepsis (à la suite de l'infection d'un orteil cassé après avoir donné un coup de pied à son coffre-fort).

L’étiquette emblématique noir et blanc a été introduite en 1911. L’année où Jack Daniel est mort, et certaines sources mentionnent, que la couleur noire aurait été choisie pour honorer son décès.

prestigewhisky.fr

slate.fr

https://www.jackdaniels.com/fr-fr/

A déguster, avec modération

Je vote pour Kallindra.