Règle générale, dans les films de guerre, le premier type qui montre une photo de sa femme ou de ses mômes va crever.
Meilleurs messages postés par Dirty Cop
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RE: Les choses grotesques dans les filmsposté dans Parler Cinéma
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RE: Titanic (1997)posté dans Films
@kallindra

C'était un suicide, je vois aucune autre explication. -
RE: QUIZ – Happy Halloween 2021 ! - Orabig roi du sang-froid !posté dans Animations Communauté
@shanna a dit dans QUIZ – Happy Halloween 2021 ! :
DirtyCop, Ivoire et Marmotte attrapent de petits potirons
Ne jamais sous-estimer la puissance de feu d'un potiron.

Merci pour le Quizz, très chouette à faire.
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RE: Les véhicules mythiques de séries téléposté dans Parler Séries
La mini de Mr Bean

Elle est trop mignonne cette voiturette. -
RE: Battles du cinéma (2ème édition) - Lu a lu et a gagné !posté dans Animations Cinéma
Le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont votés pour Djino et ceux qui ont votés pour Egon.
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RE: Chronologie des dystopies du cinéma en rapport avec notre timeline - je sais ce titre fait peurposté dans Parler Cinéma
@Peri a dit dans Images drôles :
Il me manque 2020
Contagion de Steven Soderbergh, c'est pas 2020, mais le plot est le même.
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RE: Alien (série de films)posté dans Films
@koursk a dit dans Alien (série de films) :
connaissance avec ce monsieur.
Il m'a stressé l'enfoirè.@orabig a dit dans Alien (série de films) :
Au risque de devoir te reprendre, il s'agit d'une dame... Je te présente la reine alien...

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RE: Les clichés dans les séries policièresposté dans Parler Séries
@loutre Puis balance sa petite punchline pourrie et le génerique se lance

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RE: Chronologie des dystopies du cinéma en rapport avec notre timeline - je sais ce titre fait peurposté dans Parler Cinéma
Les Visiteurs, en 1992. Bah quoi, faut se mettre à la place des personnages, pour eux c'est une dystopie.
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RE: Les choses grotesques dans les filmsposté dans Parler Cinéma
Dans les films d'horreur impliquants un tueur en série ou un monstre quelconque, les protagonistes parviennent toujours, à un moment ou à un autre, à prendre le dessus sur le méchant, mais au lieu de l'achever comme il se doit alors qu'il est au sol, ils s'enfuient comme des cons pour mieux se faire massacrer après.
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Taxi Driver (1976)posté dans Films

Après avoir servi dans le corps des Marines au Vietnam, Travis Bickle, jeune homme fraîchement débarqué de son Midwest natal à New York se met à la recherche d'un travail. Insomniaque et solitaire, il devient chauffeur de nuit pour une compagnie de Taxi. Ses sorties nocturnes dans les bas-fonds de Manhattan, du Bronx à Harlem, lui feront peu à peu perdre la tête. L'ennui, l'angoisse et la déprime de sa vie feront bientôt place à la rage et la fureur qu'il a tant accumulée en broyant du noir dans sa voiture et dans le trou miteux qui lui sert d'appartement. La goutte qui fera déborder le vase sera provoquée par une jeune fille de 12 ans, prostituée et prisonnière de ses souteneurs, s'ensuivra une frénésie meurtrière pour tenter de la délivrer et sauver le peu d'innocence qui lui reste.
Réalisé par Martin Scorsese, basé sur un scénario de Paul Schrader, avec, devant la caméra, Robert De Niro, Harvey Keitel et Jodie Foster. Le compositeur Bernard Herrmann s'est occupé quant à lui de la bande originale, ce sera son chant du cygne.
S'étant inspiré en partie de sa propre expérience pour écrire son scénario, Paul Schrader livre une histoire des plus percutantes, qui sous ses airs de descente aux enfers longue et impitoyable, s'avère être en réalité une quête d'acceptation de soi. Recraché par les entrailles du Vietnam, Travis Bickle qui se définit lui même comme un abandonné de Dieu, erre la nuit sans but dans les rues crasses de New York, un fantôme témoin de la décadence la plus abjecte, luttant constamment pour contenir le tueur fou qu'il est en réalité, une bombe à retardement ambulante qui tôt ou tard finira par imploser. Robert de Niro est magistral, on partage sa folie, ruminant avec lui toutes les idées moches qui lui passent par la tête, et savourant avec délectation son passage à l'acte sur les salopards finis qui auront le malheur de tomber sur lui.
Martin Scorsese filme le dépotoir géant qu'était le NY des années 70 comme personne, un véritable artiste de la violence, sa réalisation retranscrit parfaitement la chaleur moite de Harlem et la froideur glaciale d'un Time Square pourtant bondé. Sa vision nihiliste du monde se reflète à travers le rétroviseur de Travis, miroir de l'âme putride d'une ville qui attend la pluie salvatrice qui lavera ses rues une bonne fois pour toutes. -
RE: Célébrez-vous Halloween ?posté dans Loisirs
@myra-flore C'est pas censé être marrant, c'est censé être flippant. Halloween c'est une ambiance avant tout. Bonbons, enfants déguisés, films d'horreur à la télé...commercial ou pas on s'en fout, laissez les mômes s'amuser un peu merde.
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RE: Le Grand Tournoi des Méchants de Fiction (sur les écrans)posté dans Animations Cinéma
J'ai voté pour cette garce de Mildred, je n'ai jamais ressenti autant de haine pour un personnage de fiction. Preuve qu'elle mérite mon vote






