Meilleurs messages postés par Dirty Cop

@Marmotte Apparence, avec Michelle Pfifer et Harrison Ford je pense

@peri a dit dans Vos opening crédits préférés :

ne prennent plus le temps de poser une parenthèse purement musicale et immersive en début de film

En effet, aujourd'hui la plupart des films gardent le générique pour la fin. Avant quand un film se terminait, l'image se figeait pour laisser place aux crédits. Aujourd'hui, disons qu'ils ont déplacés le générique du début à la fin du film pour récompenser le spectateur patient.

@thebaptiii Je vais m'y aventurer alors.

@Delnis Oui, oui, j'ai tout adoré. Même si pour The Descent, le film ne commence qu'après une bonne heure de film, ce qui fait que je me suis un chouïa fait chier, mais quand ça se lance, ça fait pas semblant.

@Doc-Cranium Equilibrium, excellent film.

@peri Les intros de Batman et de Mars Attack ! Les frissons !

qui t'annonçait bien l'esprit et à quelle sauce tu allais être mangé.

Voir qui te spoil carrément le film

@peri a dit dans Notre bon président lance un défi à McFly et Carlito :

"aisance", "coolitude" et "remise en question de ta propre hétérosexualité" "remise en question de ta propre hétérosexualité".

Ah, un homme de son époque.

@shanna a dit dans Donnie Darko :

3)il se passe quoi dans Donnie Darko ?"

Maintenant je pourrais enfin répondre à cette fameuse question et briller en société.

@Doc-Cranium En effet, il a fait de très bons films, Les Sous-Doués et Les Ripoux notamment. Ces deux là me font marrer à chaque visionnage.

Original:
edit 11.05.2024 : la vidéo n'existe plus

Reprise:

La reprise est bien, mais bon, personne n'égale le grand Leonard Cohen.

Mes deux préférés restent ceux-là. J'aurais bien aimé inclure celui de Et pour quelques dollars de plus, mais à part la musique (sublime), l'image reste figée 6 minutes sur ce putain de désert. C'est moche le désert, comme dirait Tuco.

Fantastique film, un point de vu inédit sur ce conflit à travers les yeux d'un animateur radio, un film aussi drôle que mélancolique à certains moments, je le conseille vivement.

@Doc-Cranium Le film avec Pierre Richard en violoniste qui se fait passer pour un espion. Le titre m'a échappé bordel. Il est fantastique ce film.

J'adore, mes groupes/chanteurs favoris sont, Gunship, The Midnight, Nina Boldt et Trevor Something.

@peri a dit dans Vos opening crédits préférés :

Un autre OC cultissime est celui de la Panthère Rose

Première chose à laquelle j'ai pensé en voyant l'intro de Catch me if you can.

@peri Je me suis toujours demandé comment ça marchait également. Mais en vérité on s'en fout, c'est l'esthétique phallique qui compte.

@Doctor-Mox Ca viendra

@Doc-Cranium a dit dans Synthwave :

ce serait cool que le prochain GTA soit un remake de Vice City.

Ce serait le pied ! J'en ai déjà l'eau à la bouche.

Un épisode spécial Halloween est en préparation pour une diffusion sur Disney+, Gael García Bernal vient d'être casté pour incarner Werewolf by Night. La production commence en 2022.


Une news que je dédicace à @Doc-Cranium
Article Screenrant

To Live and Die in L.A, sorti en 85 et réalisé par William Friedkin, le génie derrière L'Exorciste, French Connexion et Le Convoi de la peur.
C'est l'histoire de l'agent de l'US Secret Service Richard Chance (incarné par Gil Grissom William Petersen) jeune flic casse-cou et tête brûlée et qui se lancera dans une quête vengeresse et obsessionnelle à la recherche de Rick Masters (Le Bouffon Vert Willem Dafoe), un faussaire de talent, après que ce dernier ait abattu son vieil équipier de sang-froid. Dans son enquête, Chance va peu à peu dévier des méthodes traditionnelles pour basculer dans l'illégalité la plus totale, précipitant sa chute et entraînant avec lui son nouveau partenaire l'agent John Vukovich (John Pankow).

Une oeuvre transcendante, probablement la plus plus aboutie de son auteur. On y retrouve toutes les caractéristiques ou presque, de tout ce qui fait William Friedkin, une ambiance crasseuse, une ville grouillante de parasites, des flics à la moralité douteuse, une course poursuite dantesque (le film en vaut la chandelle rien que pour cette scène), et bien entendu une BO qui déchire et qui se marie parfaitement avec le style énergique et le montage clipesque du film.

Bref, c'est un monument du polar, à consommer sans modération.