Photos prises sur le plateau de Indy 5


On dirait bien que ni Ford ni Mikkelsen n'ont choisi judicieusement.
Photos prises sur le plateau de Indy 5


On dirait bien que ni Ford ni Mikkelsen n'ont choisi judicieusement.
@JL L'accroche est tellement cool
They killed his wife ten years ago. There's still time to save her.
Ça me rappelle les parodies de films de JVCD des Inconnus.
Je l'ai vu, j'ai été tellement déçu que je me suis abstenu de poster à son sujet sur le topic 007.
Je vote pour BRAD
Je me rappelle pas d'un seul rôle vraiment marquant de Joseph Gordon-Levitt, même si je l'aime bien dans Inception, The Dark Knight Rises, 50/50 et le super Don Jon.
Je vote pour NATALIE
L'autre potiche me gonfle sévèrement.
Le film préféré de ma copine, j'ai jamais su pourquoi, je déteste les films romantiques.
@JL C'est un animé de chez DC ça, sûrement soit un Superman, soit un Justice League.
@shanna Pour moi c'est simple. Venom = Haute trahison.
La suite j'ai lu les critiques, vraiment pas encourageant. Paraît que c'est un des pires navets de ces dernières années.
Mobius, à voir, faudrait déjà qu'il sorte. La première bande-annonce a déjà 2 ans.
@shanna a dit dans Venom (série de films) :
Faudrait revoir la définition des "pires navets de ces dernières années"
C'est pas moi qui le dit, c'est des pros. Venom 2 a reçu une demi-étoile sur Ecranlarge. Et Dieu sait qu'ils sont bons spectateurs chez EL.

Poussée de croissance chez les Ewoks...au niveau du bas.
@JL T'en as de la chance, les films sans âmes ni saveurs sont legion aujourd'hui.
@peri, Exact, Venom The Lethal Protector. Ce n'est d'ailleurs pas le seul symbiote à jouer un rôle de justicier, puisque il y a également Toxin et Agent Venom qui surgissent plus tard.
Ce n'est pas Venom qui s'assagit, mais Eddie Brock, qui parvient à trouver un terrain d'entente avec le parasite, qui demande en échange de son calme d'être régulièrement nourri avec de la chair humaine, ce qui dégoûte Brock au plus haut point, mais qui se voit obligé céder parcequ'il n'a pas le choix. C'est pour cette raison qu'il ne s'attaque qu'à des criminels...la plupart du temps. Pas pour rendre justice, mais juste pour moins culpabiliser.
C'est un vrai cas de conscience dans le comics, une dualité qui le bouffe littéralement de l'intérieur. Pas comme dans le film où c'est expédié de façon simpliste voire quasiment comique 《Je suis Venom et je vais t'arracher les membres pour te transformer en caca qui roule au vent, avant de te manger en hors champs devant une vieille asiatique qui s'en branle》
Venom c'est un vrai méchant, c'est Brock l'anti-héros qui lui sert de boussole morale. D'où la différence avec Carnage, ce dernier est autant pourri que son hôte, Cletus Cassidy, un tueur en série notoire.

"Lloyd Hopkins, inspecteur consciencieux et cynique du LAPD, laisse le travail prendre le pas sur sa vie privée. Il demande à être chargé d'une enquête sur le meurtre sauvage d'une jeune femme retrouvée dans un luxueux appartement d'Hollywood. Une lettre envoyée par l'assassin laisse supposer que ce meurtre n'est que le dernier d'une longue série remontant à une quinzaine d'années..."
Ecrit et réalisé par James B. Harris (producteur de Lolita, L'Ultime razzia...etc). Avec James Woods dans le rôle principal. C'est une adaptation du roman Blood on the Moon du roi du polar contemporain, James Ellroy.
Polar crépusculaire dans La Cité des Anges, Cop nous narre l'histoire sombre et dérangé d'un flic sans scrupule, individualiste et surtout obsessionnel, traquant sans répit un tueur en série qui n'est autre que le reflet pervers de sa propre personnalité. La réalisation bien que classique, rajoute une atmosphère noire et âpre à cet Hollywood malsain où la désillusion est reine et où justice ne peut être rendu qu'en se salissant les mains.
NB: When a cop cares too much. How far is too far ?
L'accroche de malade qui met direct dans le bain !

Los Angeles 1972. Le sergent Dennis Meechum est grièvement blessé lors d'un hold-up. Quinze ans plus tard, il est devenu une des figures les plus célèbres du LAPD et a consacré à l'affaire un best-seller. Alors qu'il cherche le sujet de son deuxième livre, un tueur à gages, Cleve, lui propose le récit de ses forfaits au service d'un industriel, David Madlock, d'autant plus que le hold-up au cours duquel le policier faillit être tué était le premier exploit de Cleve...
Réalisé par John Flynn (Légitime Violence, Haute Sécurité, Justice Sauvage...), avec James Woods qu'on ne présente plus et le très bon Brian Dennehy (Le shérif Teasle dans Rambo I).
Excellent polar ayant des airs de buddy movie, une très bonne alchimie entre les personnages se dégage, James Woods d'un côté, magnétique en assassin impitoyable amoureux de son métier et Brian Dennehy très convaincant en flic/écrivain droit dans ses bottes, dont le syndrome de la page blanche va l'obliger à suivre à contre-cœur les pas de ce prétendu tueur à gages.
Le duo fonctionne tellement bien que ça en éclipse quelque peu l'intrigue principale, celle-ci finit par apparaître inintéressante en comparaison. C'est le seul défaut que je reproche à cette perle du film policier des 80's.
La chanson finale, Perfect Ending de Ben E. King, un de mes morceaux préférés de tous les temps.