@Jonesy Faut croire que les pistolets laser dans l'univers de Alien, c'est de la science-fiction également.
D'ailleurs, ça me rappelle une étude qu'une bande d'étudiants en sciences ont fait, figure toi qu'avec un flingue normal, tirant des balles en plombs, les Jedi dans Star Wars n'auraient aucune chance, et si ils essayent de dévier la balle avec leurs sabres lasers, ils se prendraient des jets de métal en fusion dans la tronche, vu que la balle aurait fondu au contact du faisceau d'énergie.
@Jonesy Les flingues dans la saga Alien ne sont que des armes qui existent déjà, ils ont juste été customisés.
Ça ressemble à une pétoire normale, un Steyr Aug pour être un chouïa plus précis.
J'ai vu la première trilogie quand j'étais môme, mais ça ne m'a pas marqué plus que ça, même si j'ai adoré L'Empire contre-attaque. Ado j'ai découvert la seconde trilogie, j'ai trouvé La menace fantôme et L'attaque des Clones à chier. Mais La Revanche des Siths par contre, c'était une très bonne surprise, j'ai énormément apprécié le ton plus sombre de cet opus, qui renoue avec L'empire contre-attaque, c'était ultra-violent dans mes souvenirs
Christopher Lee amputé de ses mains et à genoux avant d'être décapité, Samuel Jackson qui se fait couper le bras puis défenestré, Anakin qui massacre des enfants, Obi Wan qui démembre Anakin avant de le laisser brûler vif au cœur d'une planète volcan, la séquence de transformation assez graphique d'Anakin en Dark Vador....
La dernière trilogie en date, celle de JJ Abrhams, ne m'intéresse absolument pas, je trouve que ce mec est un tâcheron et les retours ne font que confirmer mon pressentiment. D'ailleurs l'idée que DC lui ait confié le projet d'un nouveau film sur Superman et d'une série John Constantine me rebute au plus haut point.
Acteur mono-expressif au melon aussi gros qu'un ballon de baudruche, mais ô combien je l'adore ! Ça me fait mal au cœur de le voir aujourd'hui jouer dans des téléfilms à deux sous même pas dignes de figurer sur Syfy à 1h du matin.
J'avais le DVD qui traînait en version Director's Cut depuis des années et des années, prenant la poussière dans un carton paumé au milieu de fiches d’impositions et de revues cochonnes (vestiges de mon adolescence). J'ai toujours eu la flemme de le mater, malgré le fait que le film était encensé partout. Le fait qu'il soit proposé pour le challenge du mois d'Avril m'a donné un sacré coup de fouet pour le regarder, et mon Dieu que ça en valait la peine de fouiner dans ces vieux cartons moisis. C'est même pas une claque que je me suis pris, c'est un putain d'uppercut ! Ce film m'a littéralement retourné le cerveau, tout ces questionnements sur l'existentialisme, la religion, la sexualité, la solitude, la famille, l'amour et surtout le sacrifice. Comment j'ai pu passé à côté de ce chef d'oeuvre ?
Vu deux fois, ce n'est pas le meilleur film de QT, mais c'est son oeuvre la plus personnelle jusqu'à maintenant. La découverte de ce Los Angeles désenchanté et des rouages d'Hollywood à cette époque à travers les yeux d'un acteur has-been et de son pote cascadeur est un exercice captivant, y a pas à dire, Tarantino connait son sujet et en fait profiter le spectateur. Chaque séquence transpire la passion pour le cinéma, on sent une vraie maîtrise derrière,
notamment lors de la scène où Cliff explore le ranch Spahn, le ton du film change du tout au tout, on passe de la simple comédie dramatique au film d'horreur. Rares sont les réalisateurs capable de jouer avec une telle aisances avec les nerfs du spectateur
Alors oui, c'est un peu longuet, ça bavarde un peu trop, on peut reprocher au film de jouer avec la réalité même si je comprend pas trop ce reproche. mais ça reste un putain de film, un quasi sans faute du début à la fin, le tout magnifié par une performance de malade mentale de la part d'un Dicaprio en feu.
Et puis rien que pour voir une bande hippies satanistes se faire massacrer la gueule à la fin, ça vaut tout l'or du monde