@lu-a-lu Non malheureusement, rien qui va dans ce sens là. James Gunn s'est vu proposé Man of Steel 2, mais a préféré réaliser The Suicide Squad.
Quant à Justice League, je crois que c'est mort, Snyder est passé chez Netflix, Superman va devenir noir et Batfleck va tirer sa révérence dans The Flash.
Paul Kersey, personnage principal de la saga Le Justicier de New York.
Batman : The Dark Prince Charming
Bien que l'histoire soit simpliste, la construction du scénario lui donne de l'intensité et de la consistance, notamment dut à de nombreuses séquences de flash-back, nous donnant petit à petit les clés de l'enquête. D'autant plus que l'auteur joue avec une certaine révélation, laissée en suspens.
Une très belle pièce dans l'univers du Chevalier Noir, sublimé par des planches d'une rare beauté.
J'arrive pas à croire qu'il y en a ici qui trouve Batman d'un "ennui monstrueux". Quelle hérésie !
Alors qu'il se trouvait dans un diner, Frank Castle est témoin d'une déflagration qui rase un pub irlandais à l'autre bout de la rue, éparpillant les bouts de cadavres aux quatre coins de Manhattan.
En enquêtant de plus près, il découvre que l'engin explosif a été fabriqué par un multirécidiviste ayant surtout travaillé pour l'IRA, Finn Cooley (le mec défiguré sur la couverture).
Ce dernier souhaite mettre la main sur l'héritage de Pops Nesbitt, (l'ancien boss du syndicat du crime irlandais implanté à NY, maintenant décédé).
Pour ce faire, il devra éliminer la concurrence, qui convoite le même butin. A savoir, Le clan des Westies, les frère et soeur Polly et Eamon (chefs d'une bande de pirates aux abords de NY) et le gang de Magnity, un grand black naît en Irlande.
Cependant la traversée de l'Atlantique par Finn Cooley n'est pas passée inaperçu et Yorkie Mitchell (un agent du MI6 qui a connu Castle au Vietnam), assisté de Andy Lorimer (le fils d'un militaire victime d'un attentat à la bombe) demandent l'aide de Frank Castle pour mettre un terme aux carnages perpétrés par Finn Cooley.
Garth Ennis (le scénariste) est originaire de Belfast, il connaît parfaitement son sujet, ayant été marqué durant sa jeunesse par l'escalade de violence qu'à connu l'Irlande du Nord et ne se gêne pas pour donner son avis à travers le personnage de Yorkie Mitchell. Pour lui, les membres de l'IRA ne sont ni plus ni moins que de voyous minables sans envergures ni jugeote qui se prennent pour les caïds qu'ils ne seront jamais. Et va s'en donner à cœur joie pour tous les massacrer les uns après les autres des mains du Punisher, mais les fera également s'entre-tuer entre eux, car puisque ce sont des animaux, autant les traiter comme tel.
Un très bon récit, qui comme toujours doit être lu avec le cœur bien accroché.
Je les ai découvert assez récemment (1 an et demi je dirais), pendant une mes habituelles nuits sans sommeil. Depuis, ils m'accompagnent pendant chacune de mes errances nocturnes.
Quelques morceaux:
Still Here
Réponse de DC au Marvel Cinematic Universe, c'est-à-dire un univers partagé entre plusieurs personnages, lieux et autres éléments scénaristiques peuvent interagir dans d'autres films que ceux qui leur sont dédiés.
A ce jour, 11 films sont sortis:
1- Man Of Steel : Chef d'oeuvre.
2- Batman v Superman - Dawn Of Justice : Bon film en version ciné (2h30), chef d'oeuvre en Ultimate Edition (3h)
3- Suicide Squad : Bouse cosmique, que ce soit en version ciné ou en version longue. Mais je suis conciliant avec le film parce que Batman nous honore de sa présence.
4- Wonder Woman : Bon film, sans plus.
5- Justice League : Catastrophe cinématographique de grande ampleur, film dépouillé, charcuté, massacré par Voldemort Joss Whedon. A fuir en courant.
6- Aquaman : Bof, sympa, mais grandement oubliable.
7- Shazam! : Bof, sympa, mais grandement oubliable. x2
8- Birds of Prey : Ratage complet, une purge sans nom.
9- Wonder Woman 1984 : Un nanar mielleux et daubesque, à voir le soir avec sa copine avant une sauterie en bon et du forme.
10- Zack Snyder's Justice League: Chef d'oeuvre puissance deux, sauvetage spectaculaire par Snyder du monstre de Frankenstein signé Joss Whedon. Fresque épique de 4 heures dont je ne me lasse pas.
11- The Suicide Squad : Excellent délire, bête, méchant et over-gore. Un vrai moment de plaisir bourrin et décérébré.
Un univers qui s'agrandit avec les prochains:
- Peacemaker (Janvier 2022), ce sera la première série du DCEU
- Black Adam (Juillet 2022)
- The Flash (Novembre 2022)
- Aquaman and the Lost Kingdom (Décembre 2022)
- Shazam! Fury of the Gods (Juin 2023)
NB: The Batman qui sort en Mars 2022, ne fait pas parti du DCEU, c'est un film à part, à la manière du Joker de Todd Philips.
Drame historique et érotique, relatant l'ascension et la chute de l'empereur Caligula. Une reconstitution sur fond d'orgies et d'intrigues mêlant meurtres et trahisons.
Oeuvre traînant une sulfureuse réputation, dut notamment aux scènes de sexe crues montrées dans le film et à la très grande violence de certains passages. Le projet fut lancé par le producteur Bob Guccione (Créateur du magazine érotique Penthouse). Des acteurs prestigieux font partie de la distribution, Malcom McDowell (Caligula), Helen Mirren (Cæsonia Milonia) et Peter O'Toole (Tiberius).
Grand film, fresque historique d'une grande qualité, des décors somptueux, réalisation magnifiquement maîtrisée et des acteurs dirigés avec brio, notamment un McDowell possédé qui joue un Caligula glaçant et imprévisible, personnage effroyable d'un rare sadisme.
Il ne faut pas s'y tromper, malgré sa peu flatteuse renommée de superproduction du porno. Caligula est le chef-d'oeuvre de tous les excès, les scènes de sexe très cru et la violence presque insupportable s’insèrent parfaitement à l'intrigue, c'est même primordial quand on veut dépeindre la vie débauchée de la haute société de la Rome antique, ainsi que la cruauté sans bornes de son empereur.
Un chef-d'oeuvre donc, mais à ne surtout pas mettre entre toutes les mains.
Le film est bien aussi parce qu'il y a un personnage nommé Macron, marié à une vieille truie et qui s'en prend plein la gueule.
Los Angeles 1972. Le sergent Dennis Meechum est grièvement blessé lors d'un hold-up. Quinze ans plus tard, il est devenu une des figures les plus célèbres du LAPD et a consacré à l'affaire un best-seller. Alors qu'il cherche le sujet de son deuxième livre, un tueur à gages, Cleve, lui propose le récit de ses forfaits au service d'un industriel, David Madlock, d'autant plus que le hold-up au cours duquel le policier faillit être tué était le premier exploit de Cleve...
Réalisé par John Flynn (Légitime Violence, Haute Sécurité, Justice Sauvage...), avec James Woods qu'on ne présente plus et le très bon Brian Dennehy (Le shérif Teasle dans Rambo I).
Excellent polar ayant des airs de buddy movie, une très bonne alchimie entre les personnages se dégage, James Woods d'un côté, magnétique en assassin impitoyable amoureux de son métier et Brian Dennehy très convaincant en flic/écrivain droit dans ses bottes, dont le syndrome de la page blanche va l'obliger à suivre à contre-cœur les pas de ce prétendu tueur à gages.
Le duo fonctionne tellement bien que ça en éclipse quelque peu l'intrigue principale, celle-ci finit par apparaître inintéressante en comparaison. C'est le seul défaut que je reproche à cette perle du film policier des 80's.
La chanson finale, Perfect Ending de Ben E. King, un de mes morceaux préférés de tous les temps.
"Lloyd Hopkins, inspecteur consciencieux et cynique du LAPD, laisse le travail prendre le pas sur sa vie privée. Il demande à être chargé d'une enquête sur le meurtre sauvage d'une jeune femme retrouvée dans un luxueux appartement d'Hollywood. Une lettre envoyée par l'assassin laisse supposer que ce meurtre n'est que le dernier d'une longue série remontant à une quinzaine d'années..."
Ecrit et réalisé par James B. Harris (producteur de Lolita, L'Ultime razzia...etc). Avec James Woods dans le rôle principal. C'est une adaptation du roman Blood on the Moon du roi du polar contemporain, James Ellroy.
Polar crépusculaire dans La Cité des Anges, Cop nous narre l'histoire sombre et dérangé d'un flic sans scrupule, individualiste et surtout obsessionnel, traquant sans répit un tueur en série qui n'est autre que le reflet pervers de sa propre personnalité. La réalisation bien que classique, rajoute une atmosphère noire et âpre à cet Hollywood malsain où la désillusion est reine et où justice ne peut être rendu qu'en se salissant les mains.
NB: When a cop cares too much. How far is too far ?
L'accroche de malade qui met direct dans le bain !
@orabig a dit dans Univers cinématographique Marvel (Marvel Cinematic Universe, série de films) :
Batman est d'un ennui monstrueux. Le seul truc de potable chez Batman, ce sont ses ennemis. Il n'y a qu'à voir le succès du film sur le Joker.
Personnellement, j'ai trouvé le "Justice League" d'un ennui mortel, Zack Snyder ou pas !
X2
@hornet Je parle de Strange pas des autres films, d'ailleurs, la date de sortie des Gardiens de la Galaxie 3 n'a pas bougée d'un yota. Si Doc Strange avait été décalé de 6 mois ou 1 an, j'aurais dit que c'était pour faire des reshoots ou pour faire quelques changements, mais de 2 mois seulement, c'est le temps d'exploitation en salle d'un gros blockbuster (The Batman). Désolé mais c'est aussi gros qu'une maison.
Ils savent que le Dr Strange (que j'aime beaucoup) ne peut pas faire le poids avec ses tours de passe-passe face un Batman vénère et ses patates de forain.
@cuillère a dit dans Univers cinématographique Marvel (Marvel Cinematic Universe, série de films) :
Pour moi Dr Strange (le MCU de manière général) est plus mômesfriendly que Batman, il suffit de voir ce que rapportent les films du DCU et le MCU, je pense clairement que Batman n'est plus dans le top 1 depuis l'arrivé du mastodonte Disney.
Mais rien que Joker avec ces 50 millions de budget et son classement adulte a rapporté plus que le premier Doc Strange. Batman c'est une valeur sûr depuis les années 40, Doc Strange personne ne le connaissait avant 2016.
Et puis, pour Sam Raimi, il ne faut pas oublier la trilogie Spiderman qui fait encore beaucoup parler.
Les Batman de Burton aussi font beaucoup parler, c'est pour ça que Micheal Keaton revient.
Sans oublier la série Wandavision, qui ouvre la porte de Dr Strange, car on sait que ça va etre plus ou moins après la fin de la série, d'ailleurs il devait y apparaitre. Et Wandavision est un véritable carton
Et il y est pas apparu parceque c'est un mâle blanc qui devait à la base faire du manspleaning à la Sorcière Rouge. Un personnage aussi populaire, on le vire pas par souci de féminisme de bas étage, preuve qu'il est pas encore si populaire.
Edit : Moi j'aime bien, mais Robert Pattison n'a pas été accepté par les gros fans aussi
Keaton aussi, Affleck idem, pourtant ils sont adorés aujourd'hui. Quant à Pattinson, tout le monde a retourné sa veste depuis la toute première B.A il y a 1 an et demi. Gueuler quand il y a un nouveau Batman, c'est une tradition.
@kallindra Je me suis toujours méfié de ces études. Elles varient toujours au gré du vent, dès qu'il y a un gros film qui sort, c'est presque toujours le personnage principal qui devient le héros le plus populaire du moment.
Y a toujours eu une seule constante, Batman, Superman et Spider-Man. Tu peux demander à n'importe quel type partout sur le globe si il connait un de ces trois-là, il va te répondre par l'affirmative. Demande lui par contre qui est Shang-Shi, Captain Marvel ou Loki, il va t'envoyer chier.
Reporter Doc Strange juste un jour après la B.A de The Batman c'est même pas une coïncidence, mais une certitude.
J'en suis sûr et certain, au point de dire parie dessus. Ça me fait mal de dire ça, mais ni Dr Strange, ni Sam Raimi n'ont la popularité de Batman. Sortir les deux en même temps serait du suicide, car les studios savent que pour certaines familles, aller au ciné c'est un véritable investissement. Alors autant choisir judicieusement, et entre Batman et Doc Strange qu'est ce que les mômes préfèrent ?
Docteur Strange est passé de Mars à Mai parcequ'ils savent qu'il allait se faire pulvériser par Batman censé sortir au même mois.
@peri, Exact, Venom The Lethal Protector. Ce n'est d'ailleurs pas le seul symbiote à jouer un rôle de justicier, puisque il y a également Toxin et Agent Venom qui surgissent plus tard.
Ce n'est pas Venom qui s'assagit, mais Eddie Brock, qui parvient à trouver un terrain d'entente avec le parasite, qui demande en échange de son calme d'être régulièrement nourri avec de la chair humaine, ce qui dégoûte Brock au plus haut point, mais qui se voit obligé céder parcequ'il n'a pas le choix. C'est pour cette raison qu'il ne s'attaque qu'à des criminels...la plupart du temps. Pas pour rendre justice, mais juste pour moins culpabiliser.
C'est un vrai cas de conscience dans le comics, une dualité qui le bouffe littéralement de l'intérieur. Pas comme dans le film où c'est expédié de façon simpliste voire quasiment comique 《Je suis Venom et je vais t'arracher les membres pour te transformer en caca qui roule au vent, avant de te manger en hors champs devant une vieille asiatique qui s'en branle》
Venom c'est un vrai méchant, c'est Brock l'anti-héros qui lui sert de boussole morale. D'où la différence avec Carnage, ce dernier est autant pourri que son hôte, Cletus Cassidy, un tueur en série notoire.
Mort de Bernard Tiphen, la voix française de Chuck Norris et Christopher Walken entre autres.
Un classique
Poussée de croissance chez les Ewoks...au niveau du bas.
