Je pense que certains comportements animal sont naturels. Je trouve que c'est méga égoïste de vouloir modifier et contrôler cette nature sous prétexte que les animaux ne "ressentent rien" et que de toute façon on sait ce qui est bien pour eux. Si on est pas prêt de subir les inconvénients d'un animal domestique, on n'en prend pas un et on le laisse vivre.
Je ne retire en rien de ce que j'ai dit plus haut, désolé que ce soit tombé sur toi @Ayamé, dommage collatéral.
Je trouve que les gens qui castrent leurs chiens oublient que ce ne sont pas des peluches mais des êtres vivants.
C'est comme si des êtres supérieurs venaient nous domestiquer et nous rendaient eunuques soit-disant parceque ça éviterait les cancers des testicules.
La "magie de l'usine", putain j'en ai le fou rire, est-ce qu'elle a au moins déjà foutue les pieds dedans ? J'ai un scoop pour toi Agnès, l'usine c'est pas l'atelier du Père Noël, ni la forêt elfique. Y a rien de magique là dedans, tout le contraire même. Heureusement qu'elle est mignonne sinon j'aurais eu la main lourde.
Nouvelle fournée d'images, cette fois-ci du Batman de 89 (Oui encore, je suis en pleine Batmania ces temps-ci).
J'aime beaucoup ce rendu là car le côté expressionnisme Allemand dont s'est inspiré Burton pour son univers ressort encore plus (Y'a qu'à comparer le maquillage du Joker avec celui de L'Homme qui rit de 1928).
J'aime aussi le fait que le N&B rend Batman encore plus menaçant, déjà qu'il n'est pas traité en super-héros dans le film, mais en monstre, sans couleur, l'aspect créature de la nuit n'en est que plus renforcé.
Hâte de voir ce que le "Freak Show" qu'est Batman Returns va donner.
Faut pas exagérer, j'adore le son, les voix des acteurs, les pistolets qui font boom boom, et les grosses voitures qui font vroom vroom.
N'empêche, Joker en muet, ça risque de le faire grave.
@delnis Je parlais justement de Se7en et du Silence des Agneaux dans mon premier post. Le polar c'est le genre le mieux adapté au noir et blanc. J'y rajouterais 8 millimètres avec Nicolas Cage.
Mais carrément, mais carrément. Alors oui, le côté science-fiction sous les néons...etc ça a son charme. Mais en N&B, Blade Runner renoue avec ce côté film noir des années 40 avec une ambiance cyber-punk. C'est vraiment une expérience à tenter.
Pour Apocalypse Now, je dois avouer que même si le rendu N&B rajoute quelque chose au film, je préfère la version couleur, la palette verdâtre de la jungle est un indispensable pour mieux s'immerger dans l'histoire.
Mais que tu es astucieux je vais essayer "Joker" ou "Daredevil"
C'est marrant, je viens justement de me refaire Joker hier en N&B, j'ai adoré. Quant à Daredevil, depuis 1 an, c'est la seule façon dont je regarde le film, en noir et blanc.
MAX Comics est une division de Marvel créé en 2001. Les histoires mises en avant proposent un contenu beaucoup plus adulte (violence graphique ou verbale, sexe, thèmes sensibles), que ce que pouvait présenter les Marvel habituels jusqu'alors.
Ces comics mettent le plus souvent en scène des personnages déjà introduit dans l'univers Marvel classique, mais dans des continuités différentes : les histoires contées n'affectent donc pas la continuité principale. Il y a une volonté de créer des histoires plus indépendantes. Punisher: Born
On dit que Frank Castle est devenu le Punisher le jour où sa famille a été décimée par des gangs à Central Park. Mais si c'était faux, et si le Punisher était déjà ancré en Castle depuis le début ? C'est ce qu'explore Born, en nous ramenant aux derniers jours de la guerre du Vietnam, époque où Castle était encore capitaine dans le corps des Marines.
Avis:
Pure chef-d'oeuvre, une des meilleures histoires sur le Vietnam jamais écrite (Tous formats confondus), plongé dans l'enfer de la jungle vietnamienne, le danger ne vient pas des Viets, mais de la faiblesse humaine, une faiblesse qui ne vous ménage pas; drogues, viol, trahison... rien n'est épargné. Graphiquement, on ressent la chaleur du camp, de la jungle. Transpire aussi l'état d'esprit général d'une armée américaine constituée non pas de soldats, mais de gamins, cherchant tous une raison à leur présence si loin de chez eux.
Même le capitaine Castle, dont les aptitudes aux combats lui valent le respect de ses subordonnés qui comptent sur lui pour les ramener saints et saufs à la maison, s'avère être un psychopathe qui a la guerre en lui, qui prend plaisir à traquer et à tuer l'ennemi et dont la seule perspective d'une fin de conflit le rebute au plus haut point. allant même jusqu'à piéger un général voulant faire évacuer la base
Mais gardant tout de même un sens de la justice assez tordu, prémisses de sa destinée prochaine, refusant par exemple tout acte de sévices sur les ennemis, viols et mutilation par exemple, qu'il punit de mort.
Une déchéance de fin de guerre qui se terminera dans une avalanche de violence crasse, quand la base de Valley Forge se verra la cible d'une embuscade nocturne d'une grande ampleur. Plongée dans l'enfer de la guerre, les bottes enfoncée dans la boue et les tripes et à court de munition, la bataille se terminera au corps à corps, à grands coups de baïonnettes et de pelles aiguisées, seul le capitaine Castle Punisher en ressortira vivant.
Un bijou signé Garth Ennis à l'écriture, et Darrick Robertson au dessin. Excellente porte d'entrée dans l'univers du Punisher, si toutefois, vous osez la franchir.
Avant de me lancer dans Punisher Max, j'ai oublié de mentionner un pan important dans l'historique du personnage.
La mini-série Punisher: Year One publiée entre 1994 et 1995.
Comme le nom l'indique, Year One retrace la toute première croisade vengeresse du justicier au crâne, après qu'il ait échoué à faire condamner légalement les assassins de sa famille. Ce sera sa toute première confrontation avec Billy Russo, tueur à gages qu'il défigurera et qui deviendra plus tard, Jigsaw, sa Némésis.
@battler La dernière série en date, c'est Punisher: Soviet sortie en 2020 dans la gamme Marvel Max.
Il y a des rumeurs comme quoi le perso serait entrain d'être balayé sous le tapis par Marvel qui trouve qu'il est trop extrême pour cette époque. Une de ses séries censée sortir cette année, Punisher vs. Barracuda, a même été annulée. Epoque de tarlouzes.
PK Dick, Tolkien, Marvell, DC, Fleming, Stephen King, Asimov, Wells, Dickens, ... et quelques uns chez nous aussi: Pierre Boule (la saga des singes), Jules Verne, Gionno, Zola, Pagnol, Simenon,...
Les auteurs, classiques ou contemporains sont le cœur du 7ème art. Source inépuisable d'imagination, grâce à eux, les studios ne seront jamais à court d'idée, y a qu'à voir le nombre hallucinants de romans ainsi que de comics et de bandes-dessinées débordants de créativité qui sortent chaque années, dépassant de très très très loin le nombre de films qui sortent la même année. Même sans ces auteurs de littérature, que serait le cinéma sans scénaristes ?
Ce qui est triste avec cette époque, c'est que des histoires innovantes et osées, il y'en a à la ramasse, mais les studios n'auront jamais les couilles de les adapter sur grand écran pour ne pas sortir de leur zone de confort. Pourquoi s'emmerder à construire une histoire originale et développer un univers riche et profond, quand on peut gaver le spectateur d'effets spéciaux et de popcorn (oui c'est toi que je regarde MCU ! Et je vous regarde aussi bande d'enfoirés du CNC, courez adapter Les Aigles de Rome de Marini au lieu de nous les briser avec vos films pour bobos dépressifs !).