Messages postés par Egon

La palme revient aujourd'hui à ce type qui a pour prénom "Youghourta". Je pense yaourt depuis tout à l'heure. é_è

Tout dépend à quels jeux tu aimes jouer, mais la version la plus minimale matériellement parlant, tout en ayant un grand catalogue dématérialisé à disposition, reste le pc (de préférence fixe, les pc portables se font vite dépasser).

Après 35h de jeu, je n'ai toujours pas terminé. J'en suis aux derniers niveaux de Bowser's Fury que je trouve assez moyen à côté de 3D World. C'est un DLC sympa mais y'a beaucoup moins de fun puisqu'on ne peut pas vraiment jouer à plusieurs (jouer Bowser Jr., c'est faire la potiche, pire que le chapeau dans Odyssey). J'ai pas le 100% à 3D World mais j'ai avancé de ce côté-là avec ma sœur histoire de débloquer le monde couronne.
Après ça, place à Skyward's Sword qui a l'air sympa d'après le peu que j'en ai vu quand ma sœur a voulu le tester (elle l'a déjà fait sur Wii mais voulait voir ce que ça donne sur Switch).

On devait être une quinzaine dans la salle dont nous quatre (le frangin, la frangine, le chéri et bibi). Autant dire que le voir trois semaines après tout le monde, c'était bien plus sympa.

J'ai bien aimé le film même si je le trouve très frustrant sur certains aspects. Je suis quand même restée sur ma faim et je pense que le passage en version grand écran joue pas mal là-dedans (forcément, ça induit des coupes dans l'intrigue, peu de temps d'écran pour certains personnages, l'absence d'autres et une concentration sur l'intrigue principale du retour d'Arthur).
Les décors, les costumes, la musique sont excellents, certains plans sont aussi magnifiques. J'ai peu rigolé durant le film contrairement à ma sœur qui passait son temps à rire à gorge déployée mais j'ai tout de même apprécié l'humour (il me paraissait simplement forcé à certains moments et donc n'ayant pas toujours l'impact de celui de la série).
Il faudrait un second visionnage pour confirmer mes impressions et pour percevoir au mieux les détails (surtout que je ne fais pas partie des fans et ne connais donc pas la série sur le bout des doigts).

J'aime beaucoup cette émission même si je n'ai pas pris le temps de tout regarder. C'est un membre d'ici qui m'avait connaître il y a plusieurs années. J'ai surkiffé toutes les vidéos qui se déroulent aux États-Unis. On découvre les coins qu'il visite comme si on y était et la démarche de l'émission crée pas mal de situations cocasses et mignonnes au fil des épisodes.
Tu sais qu'il avait réalisé un long métrage en crowfounding récemment ?

@cuillère L'idée de base est à chier. Faut arrêter de faire des remake et des live action pour tout. Je sais que le besoin de faire du fric est plus fort que tout dans ce milieu mais des fois faut réaliser qu'une idée alakon ne mènera nulle part.

Une très bonne semaine de vacances et qui devrait très bien se finir en en profitant pour se reposer un peu.

Le combo du chat qui pisse sur mon sac à dos 1h avant le départ du train et qui nique mon chargeur de téléphone + le départ du train qui est retardé d'une demie heure alors qu'on a une correspondance... c'est pas comme ça que j'envisageais le retour. <<

@koursk Si mes souvenirs sont bons, elle vit en Lorraine.

@manson Tu joues encore au jeu des menaces et je te montre gentiment la sortie.

@kachina Effectivement, il m'a grillé la priorité et ne m'a pas vu. C'est pas très rassurant parce que c'est quand même un machin de plusieurs tonnes.

@kachina Heureusement, non. J'ai l'épaule qui a tapé contre le bus mais ce n'était pas à pleine vitesse.

@manson Nop, mais nous on a la tienne par contre. Si tu veux faire le mariole, on peut te calmer très vite en te coupant l'accès au forum. C'est touah qui vois.

Ça aura été une semaine de merde jusqu'au bout : en sortant de chez le médecin, je me suis prise un bus en vélo. x_x

C'est pas que je compte les minutes mais presque. Encore 2h17 à faire semblant de travailler avant les vacances. x_x

« Mais nos souvenirs demeurent collectifs, et ils nous sont rappelés par les autres, alors même qu’il s’agit d’événements auxquels nous seul avons été mêlé, et d’objets que nous seul avons vus. C’est qu’en réalité nous ne sommes jamais seul. Il n’est pas nécessaire que d’autres hommes soient là, qui se distinguent matériellement de nous : car nous portons toujours avec nous et en nous une quantité de personnes qui ne se confondent pas. J’arrive pour la première fois à Londres, et je m’y promène à plusieurs reprises, tantôt avec un compagnon, tantôt avec un autre. Tantôt c’est un architecte, qui attire mon attention sur les édifices, leurs proportions, leur disposition. Tantôt c’est un historien : j’apprends que cette rue a été tracée à telle époque, que cette maison a vu naître un homme connu, qu’il s’est passé, ici ou là, des incidents notables. Avec un peintre, je suis sensible à la tonalité des parcs, à la ligne des palais, des églises, aux jeux de lumière et de l’ombre sur les murs et les façades de Westminter, du Temple, sur la Tamise. Un commerçant, un homme d’affaires m’entraîne dans les voies populeuses de la Cité, m’arrête devant les boutiques, les librairies, les grands magasins. Mais quand même je n’aurais pas marché à côté de quelqu’un, il suffit que j’aie lu des descriptions de la ville, faites de tous ces divers points de vue, qu’on m’ait conseillé d’en voir tels aspects, plus simplement encore, que j’en aie étudié le plan.

Supposons que je me promène tout seul. Dira-t-on que, de cette promenade, je ne peux garder que des souvenirs individuels, qui ne sont qu’à moi ? Cependant, je ne m’y suis promené seul qu’en apparence. En passant devant Westminter, j’ai pensé à ce que m’en avait dit mon ami historien (ou, ce qui revient au même, à ce que j’en avais lu dans une histoire). En traversant un pont, j’ai considéré l’effet de perspective que mon ami peintre m’avait signalé (ou qui m’avait frappé dans un tableau, dans une gravure). Je me suis dirigé, en me reportant par la pensée, à mon plan. La première fois que j’ai été à Londres, devant St. Paul ou Mansion House, sur le Strand, aux alentours des Court’s of Law, bien des impressions me rappelaient les romans de Dickens lus dans mon enfance : je m’y promenais donc avec Dickens. À tous ces moments, dans toutes ces circonstances, je ne puis dire que j’étais seul, que je réfléchissais seul, puisqu’en pensée je me replaçais dans tel ou tel groupe, celui que je composais avec cet architecte, et, au-delà de lui, avec ceux dont il n’était que l’interprète auprès de moi, ou avec ce peintre (et son groupe), avec le géomètre qui avait dessiné ce plan, ou avec un romancier. d’autres hommes ont eu ces souvenirs en commun avec moi. Bien plus, ils m’aident à me les rappeler : pour mieux me souvenir, je me tourne vers eux, j’adopte momentanément leur point de vue, je rentre dans leur groupe, dont je continue à faire partie, puisque j’en subis encore l’impulsion et que je retrouve en moi bien des idées et façons de pensée où je ne me serais pas élevé tout seul, et par lesquelles je demeure en contact avec eux. »

In La Mémoire collective de Maurice Halbwachs.

J'ai grandi à la campagne, perdue dans une petite ville de 2 000 habitants au fin fond du Limousin. Les études, puis le boulot m'ont amené d'abord dans une ville moyenne puis dans des grandes métropoles.
Actuellement, je vis donc dans une grande ville pour tous les côtés pratiques que cela permet : tout à proximité, facilité des déplacements et accessibilité des grandes lignes de train, grand bassin d'emplois. Comme je n'ai pas le permis, rester en ville ou pas trop loin est la solution viable.
Néanmoins, même si cela a des avantages, il y a aussi des inconvénients notamment la foule, le bruit qui ne cesse jamais, les files d'attente, le manque de verdure (même si nous avons la chance d'avoir une centaine de parcs dispatchés dans les différents quartiers de l'agglomération). Dans l'idéal, il faudrait que je passe mon permis pour m'éloigner de la ville et trouver un entre deux plus calme. Ça se fera certainement.

EDIT : Ah et puis dans ce qui relève du rêve plus que de la possibilité effective pour le moment, j'ai toujours voulu vivre à proximité de l'océan, parce que j'adore ce type de paysages et que le bruit des vagues qui viennent se briser contre les rochers m'a toujours semblé apaisant.

@biquette Effectivement, autant marcher dans ce cas, ça va presque aussi vite.
Je suis d'accord sur le fait que c'est dangereux de rouler à vélo en ville parce que les infrastructures sont rarement à l'avantage du cycliste mais c'est pas infaisable non plus. 4km, ça se fait en 15min max et sans avoir besoin de foncer. Une fois qu'on connaît son trajet par cœur, on sait où gagner du temps, où il faut faire particulièrement attention, quitte à prendre les trottoirs.