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Je suis très fière d'avoir réussi à convaincre Kallindra de mon innocence, hihi ! Cœurs sur toi ️

Mais naaaaan !!!!!

Lol, je suis partagée entre être morte de rire et extrêmement confuse XD !

Désolée pour ceux qui ont pris le temps de jouer le jeu à fond ! Et à ceux-là : bravo !!!

Bravo Shanna aussi pour le travail de dingue fait derrière la création de ces indices !!!

(Gaip n'en revient toujours pas de cette intuition, lol !)

Hello,

Pour info, en Belgique, il existe les animations EVRAS.
C'est géré par un centre de planning familial avec le centre psycho-médico-social de l'école.
Et c'est destiné aux élèves de 6ème primaire.

EVRAS, ça veut dire "éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle".
En gros, les élèves regardent une vidéo sur la puberté, puis ont à leur disposition une boite à questions anonymes. Pendant deux semaines, ils y glissent toutes les questions qu'ils se posent. L'équipe du CPMS reprend les questions et les prépare avec le planning familial.
Ensuite, pendant 3 séances, les enfants sont regroupés, filles d'un côté et garçons de l'autre, et parlent adolescence, changements physiques, relations, etc., avec les spécialistes (sans leur professeur). Les réponses aux questions y sont données.
Tout dépend donc du groupe que l'équipe a en face d'elle. Démonstration de préservatif, relations homosexuelles, règles et érections, etc., sont des sujets qui peuvent être abordés.

Pour ma part, après ces animations, je disais toujours aux élèves qu'ils pouvaient revenir vers moi s'ils avaient des remarques ou interrogations supplémentaires. Ainsi, il est arrivé qu'on parle transidentité, sodomie (enfin, un gamin m'a demandé ce que c'était, un autre a défini, et j'ai complété la définition sans entrer dans les détails ), etc.

Mais bon, ça se fait vers 11-12 ans, pour certains, c'est déjà fort tard. Et pour d'autres, c'est tôt, ils sont gênés et ne se sentent pas du tout concernés. Difficile de trouver un juste milieu, un bon âge, de répondre aux questions sans en choquer, etc. Et en général, y a toujours des parents pas contents parce qu'on "en a dit trop"...

(Et donc, tant mieux que ce soit géré par le CPMS et le planning familial, car ce n'est pas de la responsabilité de l'enseignant... et car eux sont psychologues, formés pour ce genre d'animations, et sont sensés savoir comment intervenir et jusqu'où donner des détails.)

Je déteste aussi le "Ok." ... Je le prends toujours mal !

J'ai en horreur le "Vu" de Messenger, qui n'est pas suivi d'une réponse de l'interlocuteur ... Wiii, quand l'autre lit le message et qu'il me laisse dans le vent pendant 5 heures. Voyez le genre ?

Ma copine utilise les grands yeux quand elle trouve que je débloque... Alors ça m'agace grave.

J'aime pas les émojis vulgaires... Mais j'aime pas la vulgarité en général... Ceux-là principalement : !

Wouhouuuuuuuu

Je savoure la victoire !!

(Pousse Peri du pied pour le faire tomber du podium : "Allez, t'y es déjà assez souvent, redescends sur la deuxième marche, va !" )

(Naaaan, en vrai, j'le félicite, et tous les autres joueurs aussi.)

Et merci pour le rappel sur ce si mignon épisode des Simpson C'est très bien raconté !

Sympa, le sujet

J'ai deux joujoux qui m'ont été offerts !
Le premier que j'ai reçu, c'était de ma petite soeur, acheté au salon de l'érotisme, devant toutes ses copines (j'étais allée avec son groupe d'amies). Je l'ai beaucoup utilisé en son temps, j'ai fini par le casser XD .
Le deuxième que j'ai reçu, c'était d'une collègue. Si si ! Très drôle : elle avait, pour le fun, participé à une "chasse aux oeufs" adultes. Donc, avec pour objectif de trouver des sextoys. Elle a gagné un lapin (voir photo dans le topic "des clics") et, comme elle n'utilisait pas de jouets et n'en avait pas l'intention, elle me l'a offert ! (Pourquoi moi ? Aucune idée, lol !)

Seule, j'utilise peu de joujoux "faits pour", en fait... Plutôt des détournements d'objets, hum hum... Peluche, brosse à dents électrique (plus efficace que les autres machins vibrants)...

En couple, on a utilisé un gode ceinture qui pénètre les deux partenaires. Du temps où on sexait beaucoup, ce qui n'a pas duré, et donc il a fini au fond d'un tiroir. Puis... C'était pas particulièrement mon kif.
On a aussi eu l'occasion de tester des bougies, un plug anal, des espèces de capotes à reliefs, de l'huile de massage "pour tout le corps", bref, des p'tits trucs, quoi .

J'ai déjà envisagé l'achat d'un womanizer.
Mais à te lire, peut-être que le Magic wand me conviendrait mieux. Ou le Namii, le concept de pas devoir le tenir est sympa.

Une autre anecdote me revient, tiens... Un jour, j'ai voulu acheter en ligne un gode, qui m'est donc arrivé par la poste. J'avais mal évalué le machin, il était énoooooorme. Effrayant et impossible à utiliser XD ! Il a fini à la poubelle, emballé dans deux-trois sacs plastiques pour que ça soit discret.

Voilà voilà, ma modeste contribution à ce topic.

Un sourire derrière une moustache,
Créant une jolie fossette,
Voilà qu'elle s'amourache
Et devient toute bête...

Autrement appelés "couples non cohabitants", il s'agit de ces personnes qui s'aiment, mais ne veulent pas (ou plus) vivre ensemble, sous le même toit.
Cette pratique devient relativement fréquente : il semblerait même qu'environ 10% des couples décident de ne pas cohabiter à temps plein.

Parfois, c'est par obligation, à cause des lieux de travail par exemple, ou pour l'aspect pratique, dans le cadre de familles recomposées.
Parfois, c'est décidé dès le départ, pour garder son chez soi et ses moments de solitude, tout en ayant une personne avec qui partager les bons moments, comme les embûches.

Et puis, il y a ceux qui vivaient ensemble, mais pour qui la cohabitation est devenue difficile. Les raisons peuvent être multiples. Alors, pour ne pas se séparer, car ils s'aiment, ils se lancent dans "cette aventure".

Et c'est là que je me questionne. Je ne suis pas sure que ce soit viable. Peut-être n'est-ce qu'une transition vers une séparation définitive, au fond.

Pour un couple sans enfants, ayant vécu ensemble auparavant, voici mes questionnements :

Quels sont les avantages et inconvénients de ce mode de vie ?
Quels projets garder en commun pour continuer à avancer ensemble ?
Quelles règles instaurer ?
Quelles sont les choses à prévoir et décider avant de choisir de vivre une relation de cette façon ?
Comment se définir, dans la société ? Expliquer la situation à des nouveaux amis ?
Et enfin... Si cette voie fonctionne mieux, est-ce envisageable de finir par se réinstaller ensemble ?

Pour ma part, j'ai de l'énergie le matin... Je me lève sans trop de difficultés, je prends une douche et déjeune, et suis prête à utiliser mon cerveau rapidement et longtemps, ou à nettoyer l'appart, par exemple.

Par contre, ma compagne, elle a le rythme inverse. Quand je commence à piquer du nez le soir, elle commence à déborder d'énergie... Si c'est elle qui fait du nettoyage, il n'est pas rare qu'elle le commence vers 18h-19h et le termine 3h plus tard, lorsque je ne pense qu'à rejoindre ma couette. Et quand je me lève le matin, c'est la galère pour réussir à la faire émerger de son sommeil !

D'ailleurs, la question "au fait, c'est quand le matin pour vous ?" a toute son importance.

Pour moi, le matin, c'est entre 6h et 10h30. Après, on commence la "fin de matinée".
Pour ma compagne, le matin, c'est quand elle se lève. Ou, en fait, non, même pas. Quand elle commence sa journée de travail.
Par exemple, on met le réveil à 9h. Elle sort du lit vers 10h30. Elle va au boulot vers 11h30. Elle considère que c'est le matin jusqu'à 14h. Et avant 9h, c'est la nuit !

Je parlerais plutôt de greyromantisme, mais fais des recherches sur Internet... Il y a tellement de noms pour décrire ce que l'on peut ressentir...
Je comprends ton besoin de comprendre et de mettre des mots sur ce que tu as du mal à définir et comprendre. Même si les commentaires précédents sont partis en débats sur ce besoin...
Tu trouveras ici plein de termes et quelques explications : https://mentorshow.com/blog/termes-orientation-sexuelle
Contrairement aux autres personnes ayant commenté ce post, je suis moi-même LGBT+. M'étant découverte tard, ça m'a perturbée. Et oui, j'ai eu besoin de lire sur le sujet. De me mettre des étiquettes... et de les retirer ensuite. Je me suis crue hétéro d'abord, asexuelle ensuite, puis j'ai validé d'autres termes découverts, etc. Actuellement, je pense être "définitivement" lesbienne. Mais les portes sont ouvertes, parce que j'ai conscience maintenant que ça pourrait encore changer.
Tout ça pour dire : garde bien à l'esprit que les choses ne sont pas fixes dans le domaine. Tu peux donc ressentir quelque chose en ce moment et t'en éloigner plus tard.

En tous les cas, pour recentrer le débat sur toi et toi seul : tu ne sembles pas toxique pour les autres. Au contraire, puisque tu sembles conscient d'avoir fait du mal involontairement et que tu veux éviter que cela se reproduise.

Tu as peur de blesser à nouveau ? Ça n'arrivera pas si tu es clair avec l'autre et avec toi-même... Au clair, ça ne veut pas forcément dire "avoir trouvé/décidé quelle étiquette te correspond", mais plutôt être conscient que tu es en interrogation, et ne pas laisser planer de doute pour l'autre. Cette fille te fait te sentir bien... Tu veux tenter une relation ? Si oui, pourquoi pas. Sois juste franc avec elle et avec tes questionnements sur ton mode de fonctionnement.
Mais rien ne t'empêche non plus d'attendre un peu d'avoir les idées plus claires de ton côté, avant de mettre à mal une amitié sympa qui te fait te sentir bien. Tu pourrais d'ailleurs partager tes interrogations avec cette amie et trouver en elle une alliée qui t'aiderait à mieux te comprendre.
(NB : ces deux derniers "conseils", ça dépend très fort de la fille, et de la relation que tu as avec elle. Selon ça, que seul toi peux juger, mes idées peuvent être bonnes ou... complètement nulles et à jeter !)

Souris quand on se fâche,
Plaisante si l'on tempête,
Ignore les humeurs qui font tache,
Favorise le bonheur et la fête !

(Ouaaah, voilà des vers de compèt'
On dirait que j'ai la tête dans l'pet,
Pourtant j'voulais pas que ça se sache,
Dans un trou d'souris, je me cache !)

Disons que si tu es dans la vraie vie comme ici, c'est-à-dire très attaché, très insistant, très dans l'exagération, probablement qu'elle t'a déjà lancé des signaux comme quoi tu en faisais trop et que tu n'y as pas été réceptif. Parce que là, ça semble assez obsessionnel, non ? En tout cas, j'aurais eu peur aussi, devant un tel attachement démesuré et, de toute évidence, non réciproque. J'ai l'impression que tu t'es fait tout un film suite à quelques moments sympas passés ensemble, mais que l'amitié incroyable que tu imagines n'a eu lieu que dans ta tête...

Sinon, de façon générale, je pense qu'il y a moyen de dire (ou d'écrire) aux gens qu'on ne veut plus les fréquenter, sans passer par un ghosting incompréhensible et souvent source d'angoisses ou de culpabilisation pour le ghosté. J'avais vu passer un message sur le sujet sur Instagram et les différentes façons de l'exprimer étaient simples, claires et précises, sympathiques mêmes, toutefois sans laisser d'espoir de "retour à l'amitié". Une façon polie, brève et directe de dire "stop" à une relation qui ne convient plus à l'un des deux protagonistes.

Coup de vieux il y a 6 ans...
Contexte : ma soeur ainée, son fils en poussette, moi qui pousse. Une brocante.
Une vendeuse s'adresse à ma soeur et lui dit un truc du style : " Votre maman s'occupe de votre enfant."

Même style il y a peu...
Contexte, ma p'tite amie (deux ans de moins que moi), moi, un magasin.
Un client s'approche, lui parle, puis lui dit : "C'est votre maman ?"

Et pourtant, je ne fais pas si vieille !!!!!!!! Ma copine fait fort jeune par contre... Et avec ma soeur, j'étais affalée sur la poussette, je crois que c'est la posture qui faisait style vieille.

Mais ces remarques, rooooh, c'est affreux !

J'étais chez les louveteaux (= scouts, de 6 à 12 ans). Là, j'ai enchainé les amoureux Faut dire qu'on était peu de filles... J'avais donc l'embarras du choix, lol !

Le premier, Xavier, je ne pense pas avoir eu de crush pour lui, mais on se faisait des bisous. Le deuxième, Michaël, je crois que je l'aimais bien, mais franchement, je ne me souviens pas de sentiments autre qu'amicaux... Mais oui, on se faisait des bisous aussi.

Le vrai crush, c'était Jehan. On est même restés amoureux pendant 3 ans, de 8 à 11 ans, avant que je le largue comme un malpropre pour... un autre garçon.
C'est lui qui a décidé qu'on serait un couple. Je passerai les détails, vous trouveriez ça trop bizarre. Il était un peu plus petit que moi, super drôle, mignon, brun, énergique, on s'entendait très bien. On s'embrassait, se tenait par la main, on s'écrivait des lettres d'amour, et c'était de notoriété publique que nous étions ensemble.

Comme constaté par Shanna, ça s'est arrêté du jour au lendemain, sans aucune pitié ni aucune explosion d'émotions négatives comme on peut en ressentir lors de ruptures une fois adulte !!

C'est un bon souvenir, assurément ! Mon amour d'enfance

@Kallindra Moi j'ai mis

Spoiler

wija

Je pense que les amis virtuels existent. Peut-être sont-ils moins "stables" que les réels. Je n'en sais trop rien.

Par contre, il faut souligner la différence de personnalité entre le réel et le virtuel. Et pas forcément par tromperie, manipulation, mensonge... Non, juste parce qu'on ne dit pas la même chose à l'écrit qu'à l'oral...
Moi, par exemple, je suis beaucoup plus zen, dans l'analyse, apte à communiquer sur les sentiments et ce qui me touche réellement, à avoir des discussions profondes, à me remettre en question, etc., à l'écrit. En face à face, je suis plus "cash" ou "superficielle", préférant écouter les autres et ne pas entrer dans des discussions trop profondes, simplement parce que j'ai du mal à les exprimer comme je les pense.
Je pense à une discussion récente. Mes élèves : globalement, ils sont trop faibles, les plus faibles que j'aie eus en 18 ans de travail, je n'accroche pas trop au groupe, c'est la galère, je vais devoir complètement changer ma façon de fonctionner pour les amener à évoluer, ce sont des bébés qui ont besoin d'être assistés et ne comprennent rien quand je leur parle. Ça, c'est ce que je dis. Mais ce que je pense, ce que j'écris à deux amies-collègues proches, c'est fort différent. Plus nuancé, déjà. Plus dans la remise en question de ma propre façon d'enseigner. Dans la réflexion sur pourquoi ils ont tant de mal. Dans la recherche des qualités de chacun et "leur trouver des excuses" et "des envies de me démener pour eux". Bref : à l'oral, je vais au direct, au message "brut" et compréhensible par tout le monde. À l'écrit, je vais dans le fond des choses, je ne m'arrête pas au "brut" parce qu'il peut être mal interprété et ne reflète pas suffisamment ce que je pense et vis en moi.
Donc voilà, tout ça pour dire : oral et écrit, c'est très différent. Et des discussions en ligne peuvent être mille fois plus profondes et vraies que des discussions en chair et en os.

Enfin, j'aime rappeler que j'ai rencontré deux personnes "en vrai" avec qui ce n'est pas du tout passé alors qu'à l'écrit, tout était génial.
L'une, on a discuté 3 mois, d'un site de rencontre. Elle était cool, drôle, on parlait de beaucoup de choses profondes et légères, j'avais hâte qu'on se rencontre... Il a fallu 30 secondes pour que je comprenne que ça ne fonctionnerait pas !! Un monde de différence entre la vraie personne et la relation écrite. Je ne crois pas qu'il y ait eu manipulation pour autant, je crois juste que, comme moi, c'est une autre face d'elle qu'elle montrait à l'écrit.
L'autre, on a discuté très longtemps, des messages immenses, très profond, sur ce qu'on vivait. Il faut dire qu'on était sur un forum LGBT+, moi découvrant une attirance vers les femmes que j'ignorais alors, elle étant en transition (MTF). On a donc parlé à coeur ouvert de ce que l'on traversait, c'était limite une psychothérapie mutuelle. À côté de ça, on plaisantait aussi, etc. La rencontre s'est bien passée. En réalité, on s'entend assez bien, mais... C'est comme si elle n'était pas intéressante en réalité, alors qu'elle l'est grave à l'écrit. Rien de comparable, donc : je trouvais nos moments passés en réel vides par rapport à ceux passés sur l'écran.

Voilà, je ne sais pas si ça t'aide ou quoi, mais c'est ce que je peux partager sur le sujet

Moi aussi, j'ai appris un nouveau mot : "impéritie"
Synonyme d'incompétence. Ou mon nouveau favori pour critiquer discrètement ma patronne, qui ne le connait pas et ne pourrait donc pas comprendre

Ça n'a pas marché pour moi... Bruxelloise (echte brusseleer), ça me situe à Nivelles. J'ai recommencé, en changeant deux réponses pour lesquelles j'avais hésité (connaissant et ayant utilisé les deux propositions), et... ça me met toujours à Nivelles ! D'accord, Bruxelles est le deuxième résultat proposé, mais non non non, je suis uniquement Bruxelloise, namého !

Ado, j'ai pris l'ascenseur dans une bibliothèque, y avait une dame avec moi. On sort, et une femme et sa fille lui demandent un autographe... Je sais pas qui c'était XD !

Sinon, je fais du "bénévolat évènementiel"... J'ai pu rencontrer des auteurs de BD, des acteurs (ex : Udo Kier, j'y pense parce que je l'ai vu dans un film il y a quelques jours), des journalistes, des chanteurs, ... Pas forcément des "super stars", mais des gens connus. Et au final, après le "Tiens, oui, j'le connais lui, c'est quelqu'un de célèbre !", ça ne me fait ni chaud ni froid

@Hornet Héhé, même pô vrai, j'ai eu ma chance !