La voiture n'a de toute façon pas grand chose à faire en ville hors grands boulevards pour accès parking éventuellement.
C'est un moyen de transport qui n'a jamais été adapté à la ville (les trottinettes aussi d'ailleurs).
PS: Et pourtant, j'aime la voiture, l'objet mécanique, ce qu'il représente (la liberté de mouvement et la machine à sensation, pas le signe extérieur de richesse ou le substitut phallique 
) , on en a d'ailleurs 4 à la maison.
@orabig a dit dans Comment stimuler des dons ?? :
Moi aussi, j'ai un don...
Ça, ça se démontrer scientifiquement facilement avec le vaccin covid avec la 5G dedans 
Alors pour moi se serait:
-on lâche le taf actuel,
-pas certain qu'il y ai un déménagement,
-je monte un atelier de réparation/restauration de mobs anciennes (j'ai déjà trouvé le local),
-en parallèle, je monte une entreprise basée sur une approche touristique de création d'expériences*,
Et roule 
*Je m'explique.
Le concept est la location, à la journée ou au weekend ou plus de mobylettes anciennes.
Mais vous ne louez pas que la mobylette, il s'agit d'un pack complet avec:
-des parcours de découvert de la région voir plus (jusqu'au roadtrip organisé sur plusieurs jours),
-Les visites etc... de lieux qui valent le détour, point de vue, petits passages etc...
-Les parcours de producteurs locaux,
-Des propositions de restaurant locaux ou d'endroits de spot de picnic (avec possibilité d'arrivé le matin avec son picnic déjà prévu),
-Etc...
L'idée est d'utiliser un moyen de transport atypique qui a une image particulière en France pour proposer une expérience de découverte sensorielle, culturelle à part, hors du temps et ou tout est compris. Il n'y a qu'à profiter et se laisser porter.
Voilà, idée à la con 
Je suis totalement nul 
Précision tout de même, pour les adeptes du bricolage, les tutoriels LM, c'est totalement du Trilili 
C'est à mon sens le ressenti de l'écrasante majorité des gens qui vivent de leur travail.
Devoir travailler pour vivre est rarement épanouissant, même sur des métiers qui paraissent sympa. Ne pas oublier que de l'extérieur, on ne voit souvent que la surface des choses.
Et devoir perdre du temps pour s'offrir difficilement quelques moments de vie, c'est très frustrant.
Sur la partie argent, là encore, on en est je pense tous là, même ceux qui gagnent bien leur vie voudraient plus parce que ça permet d'envisager d'autres choses (activités, organisations de vie, etc...)
Ajoute à ça un petit blues de début de saison hivernale et tu es en plein dans ce que tu ressens.
Pas vraiment de conseil donc, mais je pense que tu n'es pas seule dans cette perception.
@Shanna Faut reconnaître que j'ai bien été aidé par le contexte actuel. 
@ayamé Il n'y a même pas l'agence tous risques dans ta liste 
J'ai tendance à pensé qu'en faisant partie de la société, nous ne pouvons par convention être totalement libre de nos choix.
Tout cela naturellement dans une certaine mesure, chaque société étant plus ou moins génératrice de libertés ou contraintes pour ses membres.
En effet, pour vivre ensemble, nous avons besoin de conventions, règles, etc... qui impacteront forcément notre libre arbitre.
Conceptuellement le libre arbitre ne s'arrange pas de cadre.
Les deux notions, celle de libre arbitre et société ne sont, dans une certaine mesure, pas totalement compatibles.
@ostara Quand tout t'énerve, il resque Popcorn! 
@agathe Oui, mais le fonctionnement même du système n'est pas en sa faveur.
Déjà parce qu'au final, statistiquement, la proportion de queuetard présent est largement supérieure à celle de la population.
D'autre part, sur une appli, celui/ceux qui vont ressortir le plus, ce sont ceux qui se seront mis le plus en valeur (valeur réelle ou fictive et surtout fictive).
Et dans le monde virtuel, le paraitre est encore plus simple à exacerber.
Du coup, c'est forcément une surenchère et c'est une distorsion bien plus grande encore de la réalité.
Et sur appli, les profils les plus avantagés se retrouvent logiquement à être les grandes gueules écrasant encore plus les mecs "normaux".
Celui qui ne triche pas n'a aucune chance.
@carl_jung
Et à l'inverse, d'autres managers ont pu "exploser" et montrer qu'ils étaient tout à fait pertinents dans leur rôle.
Ce n'est plus le même rôle, le même fonctionnement avec du télétravail, ou même simplement des modes de fonctionnement hybrides.
Ça fonctionne exactement pareil avec les simples employés, certains sont suffisamment autonomes et maintiennent leurs activités avec un management par mission, d'autres ne s'en sortent pas car ils ont besoin de micro-management.
Parce que je pourrais en citer un tas de mec et de nana qui ne font rien si t'es pas derrière eux h24 hein...
Faut savoir que tu auras beau grimper les échelons, tu retrouves les mêmes comportements humains, l'échantillon est juste de plus en plus réduit.
Et je ne parle même pas du côté contact humain et social ou parfois c'est une vraie catastrophe pour tout le monde.
Et là, au surprise, on s'aperçoit que certains sont fait pour un type d'organisation et d'autre non et inversement.
C'est bouleversant d'enfonçage de porte ouverte.
Oui oui, je suis assez agacé de cette manie française de voir toujours les choses de manière binaire.
Mes excuses.
Mon avis sur le sujet, c'est que nous sommes encore face à la découverte de nouveaux modes de travail.
Ça se révèle être une opportunité pour certain et un véritable piège pour d'autre.
Pour les managers, la difficulté est de bien cerner les différents profils afin d'organiser aux mieux les modes de fonctionnement (afin de proposer la bonne organisation en face) et de ne pas se raccrocher aux vieilles lunes (mais soyons sérieux, aujourd'hui, à part les plus vieux, plus personne ne croit à la performance par le présentiel, surtout pour bon nombre de mission à base de jus de cerveau).
Et là oui, tous ceux qui était formés à saucissonner les tâches etc..., à suivre le tour des popotes etc... ben ils sont out et ne savent plus travailler.
Ceux qui bossaient déjà avec des directives, objectifs et missions, n'ont pas vu vraiment de changement autre que profiter pour dormir plus le matin, profiter de leur terrasse aux beaux jours et surtout pouvoir enfin s'occuper plus de leurs gosses.
Pour les employés, la vraie difficulté, c'est accepter son profil. Qu'on est pas forcément fait pour le télétravail, même en mode hybride, parce qu'on est pas forcément autonome qu'on ne sait pas forcément s'organiser à partir d'une directive large etc... et ça s'est très difficile à accepter/assumer.
Ou qu'on ne dispose pas forcément des meilleurs conditions pour mettre en place un télétravail efficace chez soit également.
Parce qu'au final, ces profils, ils veulent aussi bénéficier du télétravail, parce qu'il ont "droit", mais ils sont incapables de s'en sortir. Mais on ne va pas au taf pour tomber dans la dépression.
Pour les autres, là aussi c'est un progrès, soit dans une continuité de fonctionnement avec bénéfices, soit dans l'opportunité justement de montrer enfin leur autonomie et d'être plus tranquille alors.
Mais employés comme managers font assez peu de vague quand tout se passent bien. Par contre, on voit bien quand ça se passe mal.
Je m'aperçois que j'ai fait un pavé.
Mes excuses.
Le chiffre 2 est associé à la couleur de la menthe
Voici pour moi
Euh, mon père et mon beau père ont fait les 3x8 toute leur vie et non, on ne s'en sort pas très bien.
Arrivé à la retraite avec des rythmes biologiques totalement déséquilibrés, des problèmes de sommeil, d'attention etc.... non, on peut pas dire que se soit le bonheur.
Je trouve l'initiative très bonne (à deux ou trois ajustements prêts mais c'est du détail).
Mais elle soulève en moi quand même une question terrifiante.
Mais que foutent les parents.
Il y a quand même une responsabilité énorme des parents dans l'aide à leurs enfants à devenir des adultes responsables et épanouis.
Quand je vois ça et que je réponds ce que je viens de répondre, j'ai l'impression d'être un extra-terrestre.
Ce genre d'initiative sous-tend qu'il existe quand même de graves lacunes au seins des cellules familiales.
Ce n'est certes pas un scoop, mais c'est toujours un constat qui me fait froid dans le dos.
@Guizmo C'est souvent passer sous silence, mais même pour un homme, ne pas se comporter comme la croyance populaire le veut, c'est pas forcément évident à assumer.
Même pour un homme blanc, hétéro machin etc...
On a tendance à voir certains profils comme en dehors de toutes ces considérations, mais ce n'est pas si simple que ça.
Un stage bon ou mauvais et une expérience à prendre.
Et on apprend rien quand tout se passe bien.
On apprend et on grandi quand ça merde et qu'on en chie des ronds de chapeaux.
Si on a ensuite le courage d'analyser se remettre en question et comprendre les failles alors on devient meilleur.
Rien que pour la première image 
Je pense franchement et sincèrement que nous avons une chance inouïe d'être en France.
Et c'est vraiment une chance car la seule peine que nous nous sommes donnée est d'y naitre. (petite dédicace amicale à quelqu'un qui se reconnaitra )
Nous sommes dans un pays:
-libre (quoiqu'on en dise),
-qui est encore parmi les plus solidaires de la planète,
-qui bénéficie d'un bon niveau de vie,
-qui permet d'atteindre une belle qualité de vie,
-qui n'a pas connu de guerre sur son sol depuis maintenant bien longtemps,
-dont l'économie va pas trop mal,
-qui a encore des perspectives d'avenir plus qu'intéressantes,
-etc...
Je ne ferme pas les yeux pour autant sur tout ce qui ne va pas:
-La belle situation n'est pas monolithique et certains sont plus chanceux que d'autres,
-Oui, il y a de la galère en France,
-L'éducation nationale n'a pas/plus l'efficacité qu'elle devrait,
-Notre justice est à la rue,
-Nos hôpitaux souffrent,
-Nous avons des problèmes d'immigration,
-Nous avons des problèmes d'intégration,
-Nous avons des problèmes de délinquance,
-etc...
Mais ça me semble être quand même des problèmes d'un lieu qu'on envie de l'extérieur.
Cela étant dit, rien n'est gagné, il est de notre devoir, à notre échelle de tous œuvrer au maintien et amélioration de la condition de chacun.
J'ai jamais compris pourquoi au lieu de normaliser et d'aider ceux qui pratiquent ce métier à le faire dans les meilleures conditions possibles, tu avais une espèce de chappe morale de bonne famille bourgeoise à deux balles qui empêche toute réponse pragmatique et humaine au sujet.
Parce que oui, développer des conditions d'exercice dignes et safe, c'est totalement humain. Ce n'est pas l'activité qui n'est pas morale, c'est la façon dont la société traite le sujet pour moi.
D'autant que, plus on moralisera, plus on criminalisera, plus on développera les plus sordides trafic humain.
Et je ne parle même pas du rôle social de la prostitution.
Comme toujours, quand la vague ne peut être contenue, il faut apprendre à surfer.
Nous devons aussi culturellement réinventer le respect essentiel du aux gens qui pratiquent la prostitution. Et ce respect doit être affirmer et défendu haut et fort.
Après, concernant la partie passer un casting continu, ça me choque qu'elle soit formuler ainsi.
Parce qu'en réalité, il faut bien voir qu'on passe tous chaque jour un casting géant vis à vis de la société et de chaque individus en particulier (la plupart des gens étant tout à fait prompt à dispenser jugements et réflexions désagréables).
Et ça, nous sommes vraiment tous consciemment ou inconsciemment confronter à ça, à ce positionnement social déterminant et à ces postures qu'on devrait ou pas tenir en fonction. On est tous confronter au jugement des attentes ,parfois totalement adhérant, non tenu.
Alors c'est particulièrement saillant dans certaines situations, mais c'est totalement présent partout, tout le temps, pour tout le monde. Si vous ne le percevez pas, tant mieux, vous être dans le flow. Mais le retour de bâton arrive très très vite.