Toi tu files un mauvais coton.
Tu commences à sous entendre que les parents auraient une responsabilité dans la réussite de leur enfant.
Et pourquoi pas dire que Ciotti à l'air d'un mec sympa tant qu'on y est 
La boutade passez, il y a vraiment effectivement un véritable avant et après.
Bien souvent l'après se défini par le fait qu'on a bien vécu (même si c'était artificiellement) un truc qu'on vivait comme une "contrainte" ou un désagrément.
Du coup après, ben on ne veut plus se l'infliger sans forcément imaginer les conséquences derrière.
Sur le boulot, j'observe chez les jeunes ingénieurs la volonté d'être le plus possible à distance.
Hors dans les métiers dont je parle, le contact, la présence (pas nécessairement à 100%) sont un vecteur de performance et de reussite énorme.
Certains sujets sont insolubles en distanciels et se solutionnent en 5 minutes en étant là.
Le réveil d'info est nul en distancié alors qu'il est énorme en étant sur place.
Etc...
On se retrouve avec des super techniciens (point d'offense aux techniciens
) et plus des cadres en développement.
Mais voilà, durant le confinement, on A quand même bosser en dégradé avec certaine réussite. Du coup il y a l'illusion que se serait possible à long terme.