@ayamé allez ! un coup de mars et c'est .....
(trouve le verbe qui va avec le slogan et tu seras presque arrivée)
@ayamé allez ! un coup de mars et c'est .....
(trouve le verbe qui va avec le slogan et tu seras presque arrivée)
@ayamé rhoooooooo! cette expression parle d'ardeur et de motivation . C'est pas le moment de baisser les armes !
@ayamé non non ! toujours pas
@ayamé figures toi que l'expression a justement un lien
@ayamé c'est joli mais ce n'est pas ça
@agathe Après avoir transféré ta photo Il faut **COPIER et COLLER le lien direct qui t'es proposé ici (7ème icône en partant de la gauche ) C'est enfantin !
@Cynthia80 Désolée ! m'étais trompée
Allez je relance . C'est une expression courante . Soyez rassurés.
@Mai-Tai je floode mince , j'ai dans la tête "avaler des couleuvres" ?
@Mai-Tai Je vois des serpents effectivement mais tu m'intrigues fort avec cette expression .
@jool je rêve quand je regarde ces photos .! C'est tellement magique.
J'ai retrouvé ce poème de Jean Villard (Gilles)
Le Mot de Cambronne
On nous dit qu’il est de Cambronne.
C’est bien possible, mais voilà
Très sincèrement je m’étonne
Que notre humanité bougonne
Ait pu s’en passer jusque-là.
Souvenez-vous des temps d’Homère !
Homère d’alors, quel mordant
T’eût donné ce mot légendaire
Si tu avais, grand visionnaire,
Pu te le mettre sous la dent !
Que serait donc notre existence
Si nous devions nous en passer ?
N’est-il pas bon français de France,
Riche en couleurs, riche en nuances ?
Essayez de le remplacer,
Par exemple, sortant de table,
Quand, ayant abusé, hélas,
Par trop de nectars délectables,
Dans une obscurité du diable,
Vous tombez sur un bec de gaz !
Vous le lâchez, ça vous soulage,
Vous ne sentez plus la douleur.
Ah ! Messieurs, le bel avantage,
Quel secours, quel appui ! J’enrage
Quand je vois d’austères censeurs
Aux visages de funérailles
Vouloir nous ôter ce trésor,
Ce cri – jailli sous la mitraille –
Du fond des humaines entrailles
D’un héros marchant à la mort !
Il peut tout dire : ardent, lyrique,
Tendre ou sec, placide, enragé,
Plébéien, aristocratique,
Il est à nous, il est unique,
Ils ne l’ont pas à l’étranger !
Je le vois, rocher solitaire,
Car de tous les mots que l’on sait
Il est presque seul, sur la terre,
À ne pas avoir, ô mystère,
De rime dans les mots français.
Si, une seule, le mot : perde…
Là devant, je me sens perdu,
Car il faut une rime à perdre,
Maintenant, et je n’ai que…
Pardon…ce fut sous-entendu !
Pourtant cet illustre vocable,
Je voudrais que, par un décret,
Il fût, en ces temps misérables,
Dont la cruauté nous accable,
Mis en quelque sorte au secret,
Afin qu’au fond de ce silence,
Tendant lentement ses ressorts,
Accumulant force et puissance,
Se chargeant d’âpre violence,
Au nom des vivants et des morts,
Il puisse, un jour, jaillir, sublime,
Du cœur des peuples outragés,
Tendres moutons, pauvres victimes,
Rejetant dans les noires abîmes,
D’un seul coup, leurs mauvais bergers !
Cri vengeur, cri pur, cri superbe,
De l’éternelle humanité,
Que nous leur jetterons en gerbe,
Quand, enfin, nous leur dirons : MERDE !
En saluant la Liberté !
@ayamé pour une fois que cela m'arrive
@Mai-Tai avoir du pain sur la planche
@Mai-Tai bravo !
C'est fou comment on peut se faire des noeuds au cerveau parfois! alors que tout est si simple.
@agathe ; et pourtant j'ai cru que tu voulais nous "torturer" . Merci c'était bien sympa n'empêche.
@agathe tirer son épingle du jeu ?
@Marcel c'est ce que j'apprécie dans les reprises , cette envie de renouer autrement avec un tube