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Koursk
Il s'appelle Jonathan. Il a 26 ans et réside à Montpellier depuis 2019. Après des études en sidérurgie qui n'aboutissent à rien de concluant, Jonathan prends le risque 4 ans plus tard de retourner à la fac pour s'orienter en psycho. Il possède une tablette Lenovo 11 pouces, possède un chat comme 98% des membres du forum et voue un culte à System of a Down et Metallica. J'ai réglé le problème de notre mystérieux @Kaonashi
Et accessoirement bienvenue évidemment avec en prime l'objet de toutes les convoitises : -
Koursk
@want-wish J'ai bluffé. J'ai juste chaviré en essayant d'attraper au vol un paquet de gaufrettes. Et tout mes beaux vêtements ont pris des merdes de canards sur le rebord de la berge. La barquette a continué son ascension au large. Enfin c'est une sale histoire.
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Koursk
@want-wish Le Marais Poitevin c'est chez Kourski la Tepu.
Bon ceci dit j'ai coulé une barque en 2005.
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Koursk
J'ai reçu mon précieux artefact ce matin.
La tragédie de l'ambition - Maurice Gamelin de l'inénarrable, du fantasque, du prodigieux Max Schiavon. Je suis en transe. -
Koursk
@orabig Après vérification j'ai commis une erreur. Inside voulant dire à l'intérieur de je tiens à éclaircir tout quiproquo : Je ne souhaite pas pénétrer Hornet. Pas pour l'instant. Je voulais dire chez lui bien évidemment. L'incident est clos pour ma part.
@Kallindra Boh j'ai les attestations de l'année dernière au pire et j'ai le pass vip double dose si y a un problème.
@Hornet TO-GE-THER
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Koursk
@hornet Et puis merde banco.
GP de Bahrein le 22 mars. Contact.
23 mars au matin je crée le topic de la vérité vraie Inside Hornet et les serveurs sautent. -
Koursk
Team Normandie présent.
Chaud patate. Je suis autonome en train, en bus et en tram. -
Koursk
@Moriarty En tant que fan de catégorie A de la série Sherlock avec Bénédict Cumberlâche, je m'autorise de t'adresser la bienvenue et de t'offrir en guise d'accueil un symbole d'unité doublé d'un bouclier virtuel contre le darkweb :
Amuse toi bien par ici.
Cordialement,
Kourski -
Koursk
FINCH
C'est quoi ce bordel?
Finch est un film.Et c'est déjà en soi une belle performance. Mais ça va plus loin que ça. C'est un film post-apocalyptique. De prime abord on en a vu des caisses comme celui-là.
Des prévisions météo qui s'affolent, le soleil qui pète un câble, 4 milliards de morts, c'est la farandole du sauve-qui-peut et les extra-terrestres débarquent pour mettre un point final à tout ce bordel.Mais Finch n'est pas de ceux-là. Il offre un peu de poésie tantôt de manière maladroite tantôt de la bonne façon. Il ose sortir des sentiers contrebattus et affiche une histoire au scénario simpliste dans un triangle d'amour platonique entre un être humain, un chien et un robot. La mention amour platonique est importante car sinon le topic pourrait vite partir en couille vu la composition du triangle.
Bref trêve de bavardage, j'ai envie de faire les choses en grand alors je vous copie-colle calmement le synopsis d'Allociné parce que d'une part j'ai la flemme et d'autre part parce que leur résumé est quand même mieux foutu que mon introduction. On se retrouve juste après.
Le résumé Allociné de Finch:
Un homme, un robot et un chien forment une famille improbable au centre d’une aventure puissante et touchante. Finch, ingénieur en robotique, veut s’assurer que quelqu’un veillera sur son fidèle compagnon après sa mort. Rare survivant d’un phénomène solaire cataclysmique qui a transformé le monde en désert, Finch vit dans un bunker souterrain depuis des années, où il a construit son propre monde, qu’il partage avec son chien Goodyear. Il créé un robot pour veiller sur Goodyear lorsqu’il n’en sera plus capable. Alors que le trio se lance dans un voyage périlleux dans un ouest américain désert, Finch s’efforce de montrer à sa création, qui se fait appeler Jeff, la joie et l’émerveillement que procure la vie. Leur aventure est faite à la fois d’obstacles et d’humour, car s’il est difficile pour Finch de faire en sorte que Jeff et Goodyear s’entendent bien, il doit aussi faire face aux dangers du nouveau monde.
T'en veux encore?
Une petite bande annonce, une pipette et au lit :Et le casting dans tout ça?
Ben c'est pas de la merde. En gros le casting c'est Tom Hanks, le chien et le robot. Pour le chien je ne connais pas les détails de sa carrière cinématographique. Pour le robot je soupçonne que Finch est uniquement un one shot pour lui. Et pour Tom Hanks bah le mec a l'air connu et il a tourné dans 2/3 films qui ont bien marché à l'époque. Non je déconne. Tommy c'est quand même du lourd. Je ne ferai pas l'affront de lister des exemples de films tout le monde le connait.Alors voilà j'ai posé mon derche sur la couverture bleue de mon canapé sans attente particulière. Dans ce film on a pas le temps de niaiser. On comprends que c'est la merde sur Terre et que le pass sanitaire est la dernière des préoccupations des 3600 habitants de la planète Terre. Tom Hanks fait sa tambouille dans son coin et passe ses soirées avec son petit chien trop mignon. D'ailleurs au passage le fidèle toutou a bien géré ses apparitions devant la caméra car ses réactions sont trop choupi. Sa quête personnelle et incertaine l'incite à faire rentrer un nouveau venu dans cette danse à l'avenir dandinant : Un robot.
Et c'est tout le film qui démarre sur ce postulat de base. De toute façon je sais même pas à quoi va servir le paragraphe précédent car grosso merdo j'ai repompé le synopsis d'Allociné en utilisant mes mots. Bref, avec en toile de fond cette ambiance pesante de fin du monde, de mort, de comportements humains erratiques, de voie sans issue, de mort, d'un climat hostile, de post-apo, de désespoir et de mort, on embarque dans le train d'un drôle de trio.
Et drôle croyez-le ou non mais pour ma part ce n'est pas qu'une figure de style à la Cédric Villani. Ce film est assez drôle. Les relations entre Tommy et le robot. Entre le robot et le chien. Entre le chien et le robot. Entre le robot et Tom Hanks. Enfin bref, vous l'avez compris, le dénominateur commun des moments sympathiques qui arrachent un sourire sont le fait du robot et de sa phase d'apprentissage de la vie. Tantôt attachant, tantôt drôle, parfois triste, ce film nous propose tout le panel habituel des émotions. Pour certains ça fonctionnera au poil de cul comme moi. Pour d'autres ça leur en touchera une sans faire bouger l'autre.
Car oui je tiens à être très clair devant l'éternel :
Ce film n'a pas inventé ni l'eau chaude, ni le genre de la S.F. On n'est pas sur du film à budget qui pète avec des twist à la pelle avec une demi-douzaine d'embranchements différents pour proposer une fin au cordeau qui va renverser la table des meilleurs drames.Oui mais voilà. On suit une quête. Celle d'un homme esquinté, éreinté, à bout de souffle. Son humanité il la doit à son fidèle destrier : Un chien. Il a un but. C'est la raison d'être du robot. C'est mignon. C'est convenu certes mais ça se suit et ça fait du bien. J'ai passé un bon moment et je remercie l'équipe de tournage qui a proposé ce film.
Tentez votre chance.
Et si vous le trouvez nul à péter des bulles j'accepte les sanctions.
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Koursk
@hornet Je crois que tu vas remporter le challenge.
Je pensais obtenir le point avec le podium de Gasly.
C'était pas du tout une course-branlette en tant que Fanboy d'Alpha Tauri pour moi. Même devant c'était emmerdant à souhait. La première partie de saison était quand même génial. Là ça part un peu en couille à tout les niveaux. Je quitte ce topic avant de me prendre un drapeau jaune de la modé et de rétrograder dans la hiérarchie. -
Koursk
@peri Je portais des slips. Et tu ne me feras certainement pas dire que j'ai déjà essayé de mettre du coton dedans pour essayer de paraître aussi puissant que Dutch. Je tiens à être très clair là-dessus.
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Koursk
Predator
Doux Jésus.
J'étais un fifrelin dans les années 90 et je n'avais pas froid aux yeux. Oh ça non. Oui oui papa je regarde Boumbo et Power Rangers t'inquiète pas. Et derrière je me coltinai des films à haute sensation. En 1995 j'étais un enfant qui respirait la confiance. Après le visionnage du film je sentais le caca. Celui d'un stressé qui voyait dés le lendemain dans la glace de la salle de bain le reflet du Predator qui était prêt à m'envoyer des missiles portatifs chépakoi qu'il avait sur son épaule.
Le premier coup de pression commença avec la vision du Predator. Ce gloubi-boulga de couleurs primaires qui simule la vision du Predator enflamme mon corps d'enfant. On sait qu'il est là mais on ne le voit pas. Il est à gauche? Raté mon con il est à droite. Alors il est à droite? T'es trop lent bébé il est à gauche.
Johnny Mac Tiernan a su jouer avec nos nerfs comme personne. Il présente sa bande à couilles épaisses qui paraissent invincibles. On s'identifie bien à ces gros bras à l'humour discutable alors que nos cuisses galbés dans du papier à musique ne représentent même pas 20% de la masse musculaire des avants-bras des acteurs.
Puis l'impensable. La bête c'est du costaud. Ils tombent comme des mouches les saligauds. Et c'est sacrément bien foutu.La musique inoubliable, oppressante, jouissive vous transperce l'âme. Vous savez. Vous savez qu'il va se passer quelque chose. Mais vous ne voyez rien. Vous devinez. Et vous chiez calmement dans votre culotte.
Le prédateur prédate.
Le prédateur humain prédate que dalle et s'humanise.Les effets spéciaux sont au poil de cul, le décor est étouffant, le huis-clos en pleine jungle est tourné comme il faut et l'apparition du seigneur de ces lieux est un choc.
Mon film référence d'Arnold avec Terminator 2. Quelques années plus tard j'ai eu pour Noel le tee-shirt Predator mais j'ai du l'abandonner rapidement car sa matière low-cost me donnait des boutons et des rougeurs sur le torse. N'est pas un prédateur qui veux.
Merci monsieur Mac Tiernan.
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Koursk
@myra-flore Une virée pas loin de chez toi. En terre alsacienne. Tournée générale de vin chaud comme disait tonton.
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Koursk
Je n'ai jamais eu confiance en moi.
J'ai joué plus jeune dans la pièce à succès Lucky Luke part en couille. Le rôle d'Averell Dalton. On m'a dit plusieurs fois que j'étais excellent dans le rôle du benêt. Je suis reparti avec un manque de confiance supérieur à ce qu'il était initialement. -
Koursk
Dans un mois direction le train pour un long voyage.
Entre le Covidage, les grèves, les couronnes qui pètent, le sens de l'orientation, la foule, Noel et les impondérables, le topic vivra de nouveau. -
Koursk
@el-pistolero Encore heureux ma puce !
On s'est fait claqué le cul 4 fois sur les 5 derniers matchs. La double défaite à domicile contre les Pacers et le Heat c'était affreux. Les Bulls tiennent le coup, ça fait zizir dans les slips. -
Koursk
@delnis J'essayerai d'en regarder un. Couplé à la lecture de Barbarossa de Lasha Otkhmezuri ça sera excitant.