P'tin je me fais enfler mais par esprit de sacrifice ça sera des k-way et des kebabs.

Messages postés par Koursk
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RE: Si vous héritiez d'une fortune colossale...
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RE: Les happiness managers
@shanna Une année on a même pris le bus pour allez dans le Maine et Loire à la rencontre d'une entreprise qui appartenait au même giron que notre boîte mère à Paris.
Limite c'était un échange de bonbons et de coca-cola avec nos collègues de la région voisine.
"Alors comment ça se passe chez vous?"
"La merde et vous?"
"La merde"
"Au moins ils filent les bouteilles de rosé"
"Allez bon courage à l'année prochaine" -
RE: Les happiness managers
Je vais répondre un peu à côté de la plaque mais la petite souris me dit que c'est pas la première fois alors c'est pas grave.
Je me souviens juste que dans la thématique "soyons heureux au taf" la boîte dans laquelle je taf était partenaire chaque année de l'évènement national "j'aime ma boîte" ou une fois par an fallait arrêter de bosser pour allez faire les cons en ville et pratiquer une activité au pif.
En octobre 2014, un jeudi, on a été faire une marche en rang comme une classe de 6éme qui allait à la piscine et on a été joué au bowling toute la journée. On avait même droit à des tickets de rationnement pour picoler 2/3 binouzes. En bon fayot et bien malgré moi je me suis retrouvé dans l'équipe du directeur. Celui-ci ne se privait pas avant chaque lancer de me promettre et/ou de me menacer d'une augmentation ou diminution de mon salaire en fonction du résultat de mon lancer. Bref une sacrée ambiance de foufous.
Manque de bol 4 mois plus tard, les premiers licenciements dans l'entreprise pointaient le bout de leurs nez pour 30% des effectifs.
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RE: Conseils mode
Dans le doute je vais faire gaffe quand même. Pas envie de finir en tôle pour une malheureuse histoire de smiley sucette.
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RE: Diarrhée verbale
Régulièrement avant d'ouvrir la bouche je me dis "Ok. Faut être concis, clair, ne pas en faire des caisses"
Puis je l'ouvre.
Et c'est trop tard.
Un florilège de conneries.
Avec le stress en plus dans la musette, on passe de conneries à d'la merde en barre. Je pars dans l'espace. Loin. C'est la débandade. -
RE: Génériques qui ont marqué
La version longue s'il vous plaît.
C'était pas très ghetto mais ça m'ambiançait bien à l'époque.
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RE: Ultimate Fighting Championship (UFC - MMA arts martiaux mixtes)
@Egon Alors sois une gentille enfant et regarde le reportage de Rust sur la préparation du combat contre Lewis et reviens sur le topic faire un compte rendu. Tu es mon seule espoir. Mon oxygène. Fais vibrer la corde du MMA.
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RE: Ultimate Fighting Championship (UFC - MMA arts martiaux mixtes)
@egon Tu as vu le combat? Le TKO lors du 3éme round? N'gannou est-il prêt pour Bon Gamin? Le combat aura t'il lieu à Paris? Derrick Lewis reviendra t'il pour un baroud d'honneur?
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RE: Ultimate Fighting Championship (UFC - MMA arts martiaux mixtes)
Il rentre dans l'histoire.
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RE: Le train et le métro - Inventions du Diable - Parlons-en
@biquette 100% fait maison avec du vrai beurre parce que la dernière fois que j'ai essayé avec de la margarine j'ai explosé le pain de mie en mille morceaux et le couteau s'est tordu.
Merci pour vos encouragements. Je persévère dans la connerie jusqu'au bout du rouleau. -
Le train et le métro - Inventions du Diable - Parlons-en
Avis aux voyageurs du forum, le train à destination de l’absurde va partir.
Le train.
Ce matériel ferroviaire roulant assure le transport de marchandises, de personnes mais aussi parfois d’emmerdes. De malédictions. D’envoûtement de marabouts. Voici mon témoignage tantôt émouvant, tantôt dramatique de mon expérience avec le train ces derniers jours. Avec en bonus l'expérience quasi fantasmagorique qu'offre le métro. Ce topic servira en guise d’introduction à offrir une vitrine à mes problèmes psychologiques avec le train ou le métro mais cela ne sera pas sa vocation unique puisque vous pourrez en toute discrétion relater vos expériences pour le meilleur et pour le pire avec nos amis du chemin de fer ou sous-terrain. Ainsi donc suivra mon épopée qui en appelle d’autres de votre part.
Le récit suivant est découpé par un préambule, 6 chapitres et un épilogue. Avertissement : Le préambule et le premier chapitre ne sont pas très propres mais après ça coule tout seul. Merci.
Le préambule
J’ai définitivement un problème avec le train et il fallait que ça sorte. Lors de mon dernier trajet en train en mars 2006 à destination de Besançon, j’avais fait une crise d’asthme + une perte de 1.5 kg à cause d’une foudroyante. Ne me demandez pas la définition de la « foudroyante » car sinon ça sera un spam du mot « caca »
Chapitre 1 : En contrôle
Le week-end dernier donc le grand départ pour un monde inconnu. Premier constat : Se soulager dans les toilettes d’un train pour les besoins de base c’est comme rejoindre Space Mountain au parc Eurodisney : ça tangue. Il y a bien des barres de maintien mais pour une grande frite comme moi dans un tel endroit, c’est comme pratiquer du pole dance dans une cave, le confort est nul. Cependant l’adaptation se fait bon gré mal gré car l’anticipation pour ce long trajet est totale : Sac à dos de randonneur ultime avec livres + caleçons qui sentent la lessive + tickets restaurants + écouteurs de Wesh pour que les gens baissent les yeux à mon contact + les sandwichs avec pain de mie - jambon beurre – rosette. Je suis paré.
Chapitre 2 : Premier coup de semonce
1 heure plus tard les emmerdes commencèrent. Normalement les sandwichs c’était la réserve pour le midi. Sauf que j’ai eu la dalle dès 7h du matin. En gros 20 minutes après le début du trajet. Je pète la réserve à sandwichs au calme. Au pire il restera la bouteille d’eau pour se substanter jusqu’à 17h pour éviter le détour dans le couloir de l’enfer : La voiture-bar avec le café/cookies à 17 euros. Mais en mastiquant mon pain de mie – rosette j’ai l’impression de mâcher un caillou. Un gros caillou qui n’est pas fait pour circuler dans mon estomac de gourmet. Ma langue à tête chercheuse explore la mâchoire pour tenter de trouver l’explication et je constate que l’une de mes dents servant à mastiquer goulument agite un drapeau blanc. Un éclat d’obus à l’échelle dentaire a eu lieu et je me retrouve avec une dent divisée en 4, le morceau avalé et la maxime de cette histoire c’est que les morceaux de dent ce n’est pas comestible. Bref, après une bonne rasade de chips Lays (ceux en forme de tuile) en utilisant le côté gauche pour le reste du séjour, je me console comme je peux.
Chapitre 3 : Complexité et falsification
On avance de quelques jours et on passe sur le trajet retour dans le train maudit. Vous savez à la télévision dés fois lors des J.T. on voit des reportages en plein été ou les touristes, usagers des trains courent dans tout les sens comme des fifrelins pour attraper leurs correspondances à la gare et j’en passe. Derrière ma télé en sirotant ma Despé je me disais souvent « ha les cons » Je ne le ferai plus. Déjà le concept des trains pour arriver à destination il faut en parler. Vous prenez 2 des plus grandes villes de France. Pour les relier vous partez de la ville A pour arriver à une ville bonus que nous appellerons ville C qui nous déroute à l’extrémité de la ville B puis rattraper le temps perdu par un direct par la ville D qui trace directement sur la ville B, objectif initial de la fin du trajet. Mais c’est quoi ce bordel. Bref une correspondance à Paris avec 1h de deadline pour passer d’une gare à l’autre alors que quand on me dit d’allez à droite je réfléchis 3 secondes pour partir dans la bonne direction ça s’annonçait déjà casse-gueule mais les aléas du karma en ont décidé autrement.
Chapitre 4 : L’annonce
Donc départ de la ville C pour partir vers la ville B avec un arrêt à la ville E pour prendre d’autres gugus puis 2éme train à la ville B (Paris) pour enfin arriver à la ville A pour destination finale. Vous suivez ? Pas moi. Départ à 16h43. A 16h44 j’entends « tulututuuuu » Le « tulututuuuu » c’est le bruit sonore de la SNCF qui sert à préparer psychologiquement les voyageurs à une annonce de merde. Pas loupé. Un randonneur a oublié son sac Dora l’exploratrice dans la ville E et celui-ci n’avait pas d’étiquette d’identification. La gare de la ville E était cernée par les démineurs, les hélicoptères, des barrages avec des herses et les sapeurs-pompiers. Retard. Imparable.
30 minutes plus tard les démineurs ont réalisé que le sac contenait un doudou et une canette de Fanta et nous avons pu partir. Mais le mal était fait. La correspondance à Paris promettait des scènes d’action à la Vin Diesel dans Fast and Furious avec cascade sur le toit d’un deltaplane. Pour le fun, un promeneur à casquette vintage qui était l’un des contrôleurs du train a été averti de notre problème mais il s’en branlait un peu. Dans un souci d’anticipation nous avons essayé de scruter le site de la gare de Lyon et comment se rendre à Montparnasse. J’ai vomi mon 4h. Porte 4 à destination de Oui-Oui sur Mer, métro en ligne 27 à Chatelet, prendre l’escalator B12, cap plein Nord sur la porte de Saint-Cloud, métro ligne C4 porte d’Orient, boussole pour prendre les escaliers, le tout sans faire un strike sur les japonais en visite. L’histoire s’annonçait mal. 35 minutes avant l’arrivée à Paris, je suis déjà à la porte de sortie du train pour être le premier à mené la charge dés les portes ouvertes. Je suis côté gauche. 35 minutes plus tard, les portes s’ouvrent. Côté droit évidemment. Bloqué par une maman en costume traditionnelle avec sa poussette, je perds dés le départ 1 minute 30. Psychologiquement je suis atteint. Mais qui en doutait ?
Chapitre 5 : La poursuite
Je cours. Charge de 25 kilos dans le dos. 50 mètres plus loin j’ai déjà une alerte dans le bas de la cuisse. Je me suis claqué le métatarse. Je continue. Les lanières du sac à dos me déchirent les épaules. Je suis un guerrier. Je poursuis. Je frite 2/3 amérindiens, je bouscule, je ne dis pas pardon. Aucune règle, aucune loi ne régit ce genre d’endroit. Heureusement, mon comparse de voyage a la tête bien faîte et possède un sens de l’orientation qui ferait passer Mike Horn pour un plaisantin du dimanche. Je perds le contact avec mon sauveur dans l’escalator. Je le retrouve. J’ai les aisselles qui ont pris 2 litres de sueurs, mon polo tout bleu vire au noir. Faut prendre le ticket de métro puis passer les tourniquets de l’enfer. Je ne sais pas mettre un ticket de métro dans la machine pour ouvrir le tourniquet. Cette merde ne scanne pas. J’appelle à l’aide mon sauveur. Dans le métro je reste planté au milieu l’air hagard. Départ du métro, coup d’accélérateur, je me suis moitié péter la gueule. Les gens me regardent impassible. Ils comprennent. Ils comprennent que je suis un glandu et c’est terrible à supporter. J’en profite pour regarder « le plan » du métro parisien et les arrêts en station. Cette blague. Y a 176 arrêts répartis sur 38 lignes. L’alphabet fait 48 lettres. Je serai tout seul je jouerai à « Pic Nic Douille » pour choisir ou je descendrai. Mais je ne suis pas seul et c’est ma force. Je suis tambour battant mon sauveur. Nous arrivons 4 minutes avant l’embarquement final vers la ville B. Ou C. Ou E. Bref je ne sais pas ça fait belle lurette que je me suis perdu dans mon récit que j’écris d’une traite sans me retourner. Hashtag Delnis fait moi rentrer au Hall of Fame.
Chapitre 6 : Le duel final
Dans ma course vers le train, j’ai tenté l’impossible. Désireux de ne pas être un poids mort et servir mon fidèle comparse, je prenais mon téléphone en main régulièrement pour réactualiser la page internet de la gare Montparnasse afin de connaître le numéro de la voie correspondant à notre train. A l’approche de l’embarquement, mon téléphone dans la poche perdit la boule et me lâcha. Je ne l’avais pas verrouillé. Et pendant ma course effrénée, celui-ci tenta de rentrer mon code PIN à plusieurs reprises et au bout de 3 erreurs évidemment la sanction tomba. Téléphone bloqué pour 5 minutes pour raison de sécurité. Quand les emmerdes pointent le bout de leurs nez, elles volent en escadrille. Devant moi l’ultime obstacle à l’embarquement. Le contrôleur sur le quai avec son scanner digne de ceux qu’on utilise à Leclerc pour faire le beau en caisse sans caissière. La catastrophe. Est-il là pour contrôler le billet ou le pass sanitaire. 1ére option ? Je plie l’histoire en 10 secondes et la partie est gagnée. 2éme option ? Je bégaye au mec que mon téléphone est bloqué, que je n’ai pas accès au réseau social « tous anti-covid », qu’il se foutra de ma gueule et que je finirai en tôle ou au mieux sur le quai sacoche à la main à prier Jésus qu’on vienne me prendre par la main.
A ce moment-là c’est une partie de poker qui s’engage. Je suis en sueur, rouge écarlate option double tendinite à la cuisse mais je tente mon spécial pour me rassurer « Bonsoir » voix sèche, quasi autoritaire. Il me regarde. Je le regarde. « Votre billet de train s’il vous plaît monsieur ? » Je lâche un pet de stress. « Avec plaisir bébé » Je passe avec succès le contrôle et j’embarque. J’adresse un dernier regard noir sur la ville lumière.Epilogue
Pendant le trajet final lors de la visite en bande organisée des contrôleurs pour une 4éme vérification du billet de train, une dame avait cru qu’ils venaient pour scruter le pass sanitaire. Elle a sortie son téléphone afin de se faire scanner la rondelle. Le contrôleur a répondu « non le billet madame, ça on s’en fou ». J’ai toisé du regard la dame. « ha les cons »
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RE: Le Bonheur du jour !
Moi aussi magnifique semaine de vacances avec feu d'artifice du côté de Paris dans le métro. J'étais très confiant sur mes chances que ça se passe bien étant donné que je capte rien à la circulation dans mes villes de 5000 habitants. Hey ben putain pas loupé, fallait prendre le métro à la porte de Chatelet chépakoi et limite je me suis retrouvé au marché aux Puces de Saint-Ouen. J'ai vu la tour Montparnasse en mode Buzz l'éclair avec charge de 25 kilos sur le dos et envoyé bouler 2/3 touristes japonais sans pass sanitaire. Les journées qu'on aime. Demain repos.
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RE: Lionel Messi quitte le FC Barcelone ! update : et rejoint le PSG !
Messi à Brest.
Messi à Angers.
Messi à Clermont.
Taclez-le. -
RE: Jeux olympiques et paralympiques d'été de Tokyo 2020
Bandaison assez puissante.
La messe est dite.
Les sports co plus qu'au rendez-vous. -
RE: Vous êtes plutôt rat des villes ou rat des champs ?
@egon Ça va. C'est à 796 km de chez moi avec risque de bouchon(s).
Adieu peuple du forum.
Telle est ma destinée. -
RE: Vous êtes plutôt rat des villes ou rat des champs ?
@myra-flore Je patiente pour ton adresse en privé. En fonction de la situation routière, de ta région et des aléas d'un long trajet, je peux être là ce soir.
Cordialement,
Un ami du net. -
RE: Jeux olympiques et paralympiques d'été de Tokyo 2020
@hornet Tant qu'on frappe le Danemark au coeur et qu'on pilonne les barbares russes, la journée restera bonne. Gardons espoir princesse Neptune.
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RE: Vous êtes plutôt rat des villes ou rat des champs ?
Campagne, campagne et campagne. Et en dernier recours la campagne.
Les petits oiseaux qui se grimpent dessus au réveil, le renard qui coupe la route et qui défie du regard les automobilistes, j'ai même des oies qui font des carabistouilles dans le champ d'à côté. Et ça m'apaise. Je peux sortir en slip sans crainte, je ne suis pas vu et ce sentiment d'isolement me ravi au plus haut point. Alors oui je consacre une heure d'appel téléphonique par semaine en ce moment pour trouver un dentiste avant fin novembre mais tant pis c'était mon monde à la naissance et ça le sera à la fin.
De temps en temps je vais en ville pour 2 ou 3 petits business, genre les vraies grandes villes et alors là c'est la bataille de Sparte.
Y a des feux rouges dans les ronds-points, des lignes de tram qui passent à travers, des bandes cyclables, des bandes piétonnes, des bandes pour le trafic, des voitures partout, du bruit constant, la foule. Si on me tient pas la main pour traverser je bloque. Si l'envie nous prends de s'offrir un met raffiné genre un pain triple chocolat avec surdose de brownie ben nan faut attendre car la queue d'attente est estimé à 45 minutes.
La vérité pour moi se trouve peut-être dans un entre-deux avec des petites villes de 5000 habitants mais à grande proximité d'une mare aux canards et d'un endroit ou je n'ai pas besoin de google maps pour vérifier 24h à l'avance si le parking est gratuit.