@Laly
Je souhaite de tout cœur qu'il n'y ait pas d'autres fois, mais en ce cas, ne pas hésiter à y aller avec le chat, pour que les flics aient bien en tête le petit animal meurtri. Je suis sûr que ça peut en remuer certain-e-s. A l'origine un policier devrait pouvoir se sentir protecteur des faibles, et quoi de plus lâche que de frapper un être sans réelles défenses et dont vous faites dix fois à vingt fois le poids ?
D'autant que j'ai de sérieux doutes (et il ne faut pas hésiter à laisser planer ces doutes auprès des flics) sur une personne capable de faire ça à un animal concernant sa relation aux êtres humains...

Messages postés par leo
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Bon, ça m'a coupé la chique...
Moins important bien sûr, mais ... Est-il si difficile de faire attention aux autres quand on conduit ? Doubler n'importe comment, par la droite, ralentir, voire s'arrêter sans regarder derrière soi, avancer dans un croisement bouché pour le boucher plus encore, voire s'arrêter sur le passage clouté pour gagner quoi 3 m ? Et je ne parle pas des deux roues... Dont je suis étonné qu'il ne rentre pas dans des magasins avec une entrée dans une rue et une sortie dans une autre pour aller plus vite !
Menace de crise sur l'emploi ? Multiplions les auto-écoles et créons un permis valable 3 ans max ! -
RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
A mon avis, même s'il n'y a pas de résultats il faut porter plainte. Au cas probable où des flics du coin aimeraient les chats ! Et au cas où ce ne serait pas la seule plainte dans le coin !
La maltraitance d'animale est sanctionnée, et plus lourdement depuis 2015.
Ce n'est pas seulement rageant, c'est criminel. -
RE: Les hommes ont-ils une pression sociale?
@Martin a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
@leo je ne vois pas le mien avec le propos de base, la métaphore part beaucoup trop loin. Je dis simplement que chacun doit se sentir libre d'être qui il souhaite, que toutes les constructions sociales que l'on a étant jeune et qui sont aujourd'hui désuètes, bah au lieu de les refaire une part une, on fait tout péter et in recommence.
Quel que soit le style architectural choisi, les matériaux au quoi si c'est vraiment de ça que tu veux parler...
Si j'ai envie de bâtir un building en bois au milieu d'un truc en béton c'est moi que ça regarde, c'est pas au monde qui m'entoure de déterminer ce que je veux faire de ma vie... Sinon c'est une vie bien triste.En ce cas je ne vois pas bien à quoi servait non plus ta métaphore... Pourquoi tiens-tu autant à la restreindre ? Pour défendre la sacro-sainte liberté individuelle, existentielle ?
Sans pressions sociales, il n'y aurait pas de société, pas d'identité individualiste, qui est un produit socio-historique. Il n'est pas possible à un être humain de se re-définir hors société. De fait tu choisiras d'autres pressions, qui te paraîtront moins contraignantes mais qui n'en seront pas moins des pressions à un degré quelconque et surtout en fonction des appartenances...
Tu ne peux pas ne pas vouloir fumer dans une société qui ne connaît pas le tabac, tu ne peux pas aimer faire du ski dans une société qui ne les a pas inventé, etc. C'est sans fin. Et dans un société mondialisée, dont la culture s'unifie chaque jour un peu plus, les marges de choix, de liberté réelle, diminue chaque jour. Les pressions à l'intégration sont massives chez les jeunes, mais, à mon sens et dans ce que j'ai vu autour de moi, toujours, elles ne font que cesser de sembler moindre, peut-être par orgueil, avec l'avancement en âge.Les hommes conservent des pressions vestimentaires par exemple, très forte au travail, mais même chez eux, pour se sentir différent de leur femme, pour qu'elle les sente 'masculin'. Si tu veux être aimé, tu auras des concessions à faire.
Et ce n'est qu'un exemple parmi des milliers.
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RE: Les hommes ont-ils une pression sociale?
@Ragnar a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Il n'était pas question de solitude
c'est quoi cette réponse de merde
C'est une réponse pour faire parler les gens vulgaires et grossiers qui ne lisent que ce qu'ils veulent lire...
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RE: Les hommes ont-ils une pression sociale?
Filons la métaphore...
Faire exploser un bâtiment, surtout un gratte-ciel, en pleine ville, ça demande beaucoup de savoir-faire... Pas seulement des pains de plastique à la base... Tu vas avoir des conséquences sur ce qu'il y a autour, surtout si tu ne t'es pas spécialisé dans ce type de démolition. Qui plus est, lorsque tu vas reconstruire, soit tu vas rebâtir au même endroit... et tu vas vite comprendre qu'on ne va pas te laisser construire n'importe quoi à cet endroit (plan d'occupation des sols, contraintes sanitaires, normes esthétiques, etc.). Soit tu vas couper les ponts avec cet entourage pour aller bâtir sur un terrain mieux placé pour toi, possiblement loin (voire très loin) car il y a vraiment beaucoup de construction presque partout... Et comme les îles vierges n'existent plus à la surface du globe, depuis pas mal de décennies, tu vas devoir malgré tout t’accommoder d'un nouvel environnement "humain". Et quel matériaux vas-tu utiliser ? Quels plans as-tu en tête ? Qui ne soit pas des acquis du lieu que tu as quitté ? Au moins en partie, et souvent plus nombreux que tu ne crois...
Nous sommes des animaux sociaux. Notre Ego aime à se croire unique, singulier, etc. mais il aime aussi à ressembler, imiter, etc. pour être aimer, pour aimer, pour échapper à la solitude, la vraie solitude.
Les vrais solitaires ne viennent pas sur des forums, ils vivent sans personne, aucun lien, aucune relation, strictement. Et, par définition, personne ici n'en connaît aucun... !
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Lisez-vous de la SF ?
Vos meilleurs bouquins de Science Fiction, les vraiment pas bons, les déceptions ?
Vos raisons pour ne pas en lire ?
Vos thèmes favoris, détestés, ceux qui vous font peur, ou vous ennui, vous inspire ?
Les bouquins que vous voulez lire ? Ceux que vous ne trouvez pas ?
Le sens même du genre ?J'ai une tendresse toute particulière pour A la poursuite des Slans de Van Vogt, Ainsi que pour Demain les chiens de Simak.
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RE: La Bible et ses lectures
@Sylareen
Ah pardon !! my bad, je suis fatigué !
Ah zut, mon plat de lentilles va refroidir !
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RE: La Bible et ses lectures
@Sylareen
Ah oui mais si on pinaille... Et que tu mets une bille n'importe où sur terre, elle risque assez souvent de rouler ! Car elle n'est pas plate non plus ou rarement, en des zones spécifiques. Qui plus est la bille et la terre sont surtout en situation d'attirance gravitationnelle... Le plat existe-t-il ? A part de lentilles...
(voilà comment revenir dans le sujet
).
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RE: La Bible et ses lectures
@Wolfen a dit dans La Bible et ses lectures :
mais curieusement, quand on les leur demande ces preuves, on ne voit rien venir...
A une époque ou le nombre des hommes était moindre, et les communications, les moyens techniques de preuve, etc. moindres également, on pouvait plus facilement 'supposer' que dans la variabilité du temps et de l'espace de l'incertain subsistait massivement, que le réel était bien au-delà de nos petites perceptions... Mais... La toile a tissé des mailles de plus en plus fines... l'incertitude est extrêmement tamisée...
Après... Soeur Anne renaît, sans cesse, au grès des générations ...Mais c'est sur que c'est facile de croire éternellement en dieu. Vu que c'est impossible de prouver une non existence, il y aura toujours moyen pour les croyants de repousser dieu là où la science n'a pas encore de réponses...
Et de fait... alors, pourquoi pas plusieurs dieux ?
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RE: La Bible et ses lectures
@apis-32
Oui. C'est assez bien connu maintenant d'ailleurs. La philologie (étude des textes, particulier ancien et en relation à son contexte) a établi des chronologies des écritures testamentaires. Avec une théorie majoritaire je pense sur la copie par les évangiles de Matthieu (dans les années 70 / 90 et de Luc (vers 120 / 130) de celui de Marc (en grande partie), celui de Jean étant particulier et moins bien daté, je crois ? Mais surtout plus représentatif de la gnose (dont je pense avec d'autres que le nouveau testament et le christianisme sont en fait complètement issu, comme création fictionnelle mystique, très en vogue à l'époque). Après il y a aussi de nombreux apocryphes qui entrent parfois un peu en jeu dans les datations.@rakotolabe a dit dans La Bible et ses lectures :
il est normal que beaucoup de croient pas ce qui est écrit dans la bible, la raison est que des questions n'ont pas trouvées de réponses satisfaisantes provenant des gens qui se réclament comme des croyant, en premier les théologiens, le terme religion même est déjà inconnu dans la bible, pour moi par contre, je crois en la bible, (je ne suis pas membre d'une quelconque religion, j'y étais mais quand j'ai connu (la vérité) je me suis écarté de ces groupes sectaires, discriminatoires et de clivage), on a traduit de travers la bible, et c'est pour cette rasion aussi que le gens ont été trompé malgré eux
Comment lis-tu le lévitique, les innombrables lois sacrificielles, la construction du pouvoir au profit (explicite en or, argent, et aliments) d'une caste de prêtres, d'une tribu, d'une généaologie (les lévites) ?
Comment lis-tu les menaces incessantes d'un dieu qui veut une soumission totale, avec la mort pour celles et ceux qui ne filent pas droit ? Avec des massacres (3000 hommes dans l'exode, puis des milliers d'autres dans le lévitique), de son propre peuple...
Comment lis-tu la conquête de canaan et des autres pays et peuples, avec d'innombrables massacres voulus et conduit par dieu... Hommes, femmes, enfants, villes rasées, 'vouées par interdit' ?Traduit de travers ? Des centaines de pages ??? Y compris dans la transmission hébraïque elle-même ?
Sur l'alimentation tu vois un fondement rationnel au fait de ne manger que les animaux qui ont la corne fendue, le pied fourchu, et qui ruminent ?
Théos logos, ce n'est qu'un discours sur dieu, ou sur les dieux, pas si nécessairement rationnel que ça. En tension, peut-être oui, en quête, en idée... Et avant que de refuser une connaissance de dieu par la raison, il faudrait reprendre, beaucoup, un Thomas canonisé et pourtant grand raisonneur de la connaissance de dieu.
@Delnis a dit dans La Bible et ses lectures :
tous les livres ont été écrits par des hommes, ... TOUS
Euh... il y avait alors des 'Hommes' de sexe féminin aussi
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RE: Les hommes ont-ils une pression sociale?
Oui, j'en suis d'accord, je modérais seulement les ardeurs idéalistes
Et puis nous pourrions nous interroger également sur ce que ces modifications apportent, en bien, certes mais aussi en pertes, en problèmes, en risques, en difficultés... Ou marcherions-nous alors sur des œufs... de caille !
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RE: Les hommes ont-ils une pression sociale?
@Trichemire
Il y a dans l'ironie une base de vérité en ce qu'il faut partir d'une possibilité de vraie pour que l'ironie fonctionne. Sinon,sans aucune relation à son objet, elle tomberait complètement à plat, ...
L'humour dit toujours quelque chose du réel ! Et d'ailleurs le meilleur humour anglais, des débuts, était savoureux pour cela justement. Comme un clin d’œil aiguisé sur le réel mais allégé, non pesant comme le sérieux d'un LeoNous sommes complètement d'accord sur les stéréotypes de genre. Mais le fil a un sens. Une amie m'expliquait abondamment la pression sur les femmes. Elle rejoignait la tendance du féminisme ultra en expliquant que le "patriarcat totalitaire depuis les origines" faisait que les hommes n'avaient jamais, eux, connu aucune pression... bon, évidemment, pour celles et ceux qui m'ont lu vous vous doutez que ça n'allait faire ni une ni deux...
Je lui ai objecté calmement que les hommes avaient nombre de pressions sur la virilité, le vêtement, le sport, l'affirmation de soi, la parole, etc. etc. pressions un peu en perte de vitesse mais très loin de l'affirmation théorique sur une base personnelle, soit réelle, soit désirée et en construction...
J'ai eu le droit à de la fureur et des noms d'oiseaux, qui, plus encore avec des excuses très modérées ensuite, montraient s'il en est besoin l'état de la possibilité du débat sur ce sujet (mais pas que sur celui-ci, à notre époque malheureusement).
Ceux qui s'en accommodent, de chaque genre, sont la majorité, la norme donc... Et même si évolution il y a, il ne faut pas oublier (bon allez je suis obligé), le vieillissement social. C'est à dire le fait que, jeune, l'envie de changement par exemple va nourrir de nouveaux comportements, mais que ceux-ci vont pouvoir, parfois lentement, parfois très vite, laisser revenir le culturel au galop, c'est à dire les comportements acquis par les parents, in-corporés, bien plus pesant que chacun le voudrait croire et surtout le voudrait faire.
J'ai l'impression, pour ma part, que les femmes se sont bien plus emmancipée de ce point de vue que les hommes. Ce qu'on pourrait trouver normal vu l'enjeu supérieur à première vue... Mais à première vue seulement à mon sens. Me trompe-je en ayant le sentiment (enfin pas que en fait) que les femmes ont masculinisé une bonne partie de leurs comportements pour plus de liberté entre comportements sur l'échelle allant du plus féminin au plus masculin, plus de choix. Mais je crois que cela est moins simple pour les hommes car la structure sociale en est probablement plus dépendante de part la longue histoire de sa construction.
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RE: Le poids des apparences
@Barbouille a dit dans Le poids des apparences :
@leo a dit dans Le poids des apparences :
J'en suis navré, crois le pour le coup. Lorsque j'ai lu Bourdieu pour la première fois, je me suis dit... Euh...vraiment ? Ces formulations sont-elles bien utiles ? Et c'est pire encore pour de nombreux philosophes, surtout modernes et contemporains (je pense à Deleuze ou Derrida par exemple). Et je n'ai pas la prétention d'en être. Et certains sont parfois abscons à mon sens également. Boileau disait, "ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement". Mais être clair veut-il dire est simple ? Et puis, peut-on tout dire avec le style de Boileau ou de madame de Sévigné ? J'en suis arrivé à comprendre les formulations bourdieusiennes ... L'intérêt de multiples précautions, de choix de mots, etc.
Honnêtement, si je pouvais être aussi fluide et agréable à lire que Gide, tout en étant ou restant (à mon seul sens peut-être) précis et complexe, je prendrais !
Que de mots, pour écrire : "je ne sais faire autrement"
J'essaie d'être poli et de ne pas te traiter comme tu me traites... Mais si cela ne sert à rien... Parfait ! Je te laisse jouer avec tes tweets !.
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RE: Le poids des apparences
@Barbouille a dit dans Le poids des apparences :
Regarde comment être concis:
Voici ce qu'est la généralité et l'individualisme:
Russian-MatroshkaUne photo de foule ferait-elle aussi l'affaire ? La matroshka te semble signifier quoi ?
Pour la parti en gras: on peut créé en labo une variante d'une maladie qui peut ciblé un seul individu, tout comme certains individu sont immunisé à certaines maladie, sans compté que comme on ne réagit pas tous pareil aux vaccins... Ton exemple est périmé.
Mon exemple ne visait pas à contredire ce que tu dis. Mais je disais qu'on ne va pas faire un vaccin par individu, car je ne crois pas que chacun réagisse assez différemment au vaccin pour cela... Et sur la possibilité de le faire, économiquement, as-tu des infos ? crois-tu cela possible ?
Rien ne ressemble à rien, oui, d'accord, est-ce tout ce que tu veux dire ?
Je parle de groupes. Je ne nie pas qu'il y ait des différences mais les ressemblances l'emporte, et de loin sur les différences. On peut donc faire des grandes catégories. Car tout résumer à l'individualité ne me semble ne pas avoir de sens. Et c'était exactement ce que mon exemple disait...
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RE: Le poids des apparences
J'en suis navré, crois le pour le coup. Lorsque j'ai lu Bourdieu pour la première fois, je me suis dit... Euh...vraiment ? Ces formulations sont-elles bien utiles ? Et c'est pire encore pour de nombreux philosophes, surtout modernes et contemporains (je pense à Deleuze ou Derrida par exemple). Et je n'ai pas la prétention d'en être. Et certains sont parfois abscons à mon sens également. Boileau disait, "ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement". Mais être clair veut-il dire est simple ? Et puis, peut-on tout dire avec le style de Boileau ou de madame de Sévigné ? J'en suis arrivé à comprendre les formulations bourdieusiennes ... L'intérêt de multiples précautions, de choix de mots, etc.
Honnêtement, si je pouvais être aussi fluide et agréable à lire que Gide, tout en étant ou restant (à mon seul sens peut-être) précis et complexe, je prendrais !
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RE: Le poids des apparences
@ayamé a dit dans Le poids des apparences :
@leo : " @ayamé
Tu sais très bien à qui, doublement tu t'adressais. Si tu n'es pas capable d'assumer tes remarques et de devoir les détourner en étant assurée du soutien collectif vis à vis du bouc émissaire, soit.
Tu as donc lu ce livre totalement par hasard et sans aucune idée d'aucune sorte sur son sujet, ni même après 3, 6, 20 pages... ?"Je ne pensais pas à toi, mais j'assume le fait d' avoir, en écrivant, pensé que peut-être tu te sentirais concerné et auquel cas, je me suis dit : si tel est le cas, ce sera donc l'effet miroir, et là, c'est son problème et non le mien. Cela ne peut être assimilé à une insulte.
C'est un peu plus qu'un effet miroir, mais bon, admettons, je sentais plus ton intention de blesser que je ne m'identifiais (bien que nous pouvons tous nous identifier un peu à ce type de description de temps à autre (et c'est là-dessus en partie aussi que le fil de rage fonctionne si bien
).
Un peu de psycho ? " Personne n'est capable de vous contrarier sans votre consentement "( Eléanor Roosevelt ).
C'est fou comme la mettre en pratique, cette phrase, apporte comme zénitude et de là, des relations plus paisibles avec les autres.
Hummm, cela implique trop un dédouanement des pratiques d'humiliation ou d'agression, des petites phrases, etc., si courantes dans le monde du travail, à l'école, en amour, en famille, etc. La culpabilisation des victimes me gène réellement de ce point de vue...
Tu dis : " assurée du soutien collectif ? "
Le soutien collectif...c'est quelque-chose de très mobile, il va comme il vient, on le sait bien.
Être assuré de son soutien est illusoire.Je ne pense pas, beaucoup de groupes fonctionnent d'ailleurs là-dessus. Quelqu'un-e-s utilisent une violence directe ou symbolique (matinée d'humour, et d'un tas d'autres moyens sophistiqués,dans les communautés cultivées) et les autres se soumettent peu ou prou, accompagnent, de peur (parfois nommée indifférence par fierté) qu'elle ne se tourne également contre eux. De manière générale, et l'Histoire en est un témoin systématique, ce sont des hommes (et plus rarement des femmes) qui donnent le ton par leur capacité à la violence. Avoir le cuir épais est une constante du politique, et la guerre a toujours été le principe constructeur des états. La guerre, continuée ou non par d'autres moyens...
Je ne connais pas de communauté qui ne s'articule pas sur un minimum d'exclusion, presque par définition. Et je le comprends d'ailleurs parfaitement. Mon soucis, souvent, se situe plus dans le degré d'autonomie réelle des membres, soit vis à vis des mécanismes grégaires, soit vis à vis de l'ouverture réflexive, de la remise en cause des préjugés socialement valorisés / admis. Beaucoup de mes sujets s'articulent autour de ça, au moins en partie." Tu as donc lu ce livre totalement par hasard et sans aucune idée d'aucune sorte sur son sujet, ni même après 3, 6, 20 pages... ?"
Le livre dont j'ai parlé, comme je l'ai dit, je l'ai pris au hasard dans une boîte à livres dans la rue.
Je peux lire de tout, suis pas raciste envers des auteurs qui ne sont pas de grands intellos. ??Bon, d'accord, alors mea culpa !
Par contre Raciste ? Quel rapport ?
Effectivement, je n'ai aucune idée sur son sujet, même après 180 pages sur 332, même si le début m'a évoqué " la belle et la bête ".
Je comprends mal pourquoi tu doutes de mon affirmation.Car il est rare d'ouvrir un livre sans attente. D'ailleurs beaucoup de gens défendent les libraires au motif qu'ils font des sélections préalables, qu'ils informent leurs clients. Le big data tourne presque totalement autour de la présentation aux clients de produits (y compris culturels) allant dans le sens de leurs intérêts. Tu ne contesteras pas ce fait je pense ?
Mais presque tout le monde va expliquer ensuite ne pas se soumettre à ce diktat (en grande partie car se soumettre n'est pas positif)... Savoir se détacher des biais de confirmation. Et je crois qu'il y a beaucoup de posture en cela (paraître moins docile, plus rebelle, plus libre, etc.)Alors, oui, je doute des discours souvent. Je reste plus que prudent...
On connaît bien le politique pour ça, et à leur des fake news et de la post-vérité, est-il besoin de s'y appesantir ?
Mais on l'a vu aussi, et combien magistralement avec le covid sur des problématiques sociales et de santé (pour la science, je ne le découvrais pas mais je crois que cela s'est bien rendu visible).Voilà pour expliquer mes prudences ou doutes...
Ainsi que d'une partie des attitudes aussi sur un tel sujet, qui met mal à l'aise car il remet un peu en cause le jugement, les catégories du jugement. Il semble juger les modalités du jugement. Non ?On voit bien combien le goût ne veut pas être interrogé...
Mais les batailles autour de la cigarette (moins maintenant mais à une époque, très forte), autour de la consommation de viande, etc. sont toujours marquées par un peu de mauvaise foi, d'hypocrisie, de violence... Ce ne sont pas des sujets faciles car il remettent en cause des habitudes tacites (confortables ?).
L'esthétique est encore plus complexe car oui il y a une part de subjectivité. Mon intention n'est d'ailleurs pas de la contester, mais de contester sa radicalité ou la volonté de ne pas interroger son poids relatif, qui, pour moi est finalement assez marginal.
Un exemple sur la teinte de la peau :
Longtemps les élites européennes ont attaché la beauté à la blancheur de la peau, à un teint d'ivoire. Déjà les grecs valorisaient les déesses par leurs "bras blancs". Le blanc indiquait la non participation aux travaux des champs, donc le statut social. C'est avec les congés payés, en 36 pour la France, que le bronzage va progressivement devenir une valeur esthétique positive, socialement valorisée, sexuellement plus recherchée qu'avant, en moyenne, oui, bien sûr, mais je ne parle jamais autrement qu'en terme statistique, jamais ou presque en valeur absolue.
Dans nombre de tes interventions, tu nous demandes de nous justifier, ce qui suppose qu'en amont, nous sommes supposés avoir éventuellement tort.
Démarrer ainsi un échange ne facilite vraiment pas le bon déroulé de celui-ci. Perso, j'ai passé l'âge de me justifier.Ah... C'est un autre de mes soucis avec mon espèce. Pourquoi y aurait-il un âge pour cela ? La question est intéressante, importante, mais nous en reparlerons peut-être ailleurs, c'est un sujet sensible aussi et compliqué.
A l'avenir, j'éviterai de discuter avec toi, je réalise que je n'ai pas le niveau que tu souhaites et j'ai assez d'humilité pour savoir m'effacer.
Bon, à mon sens ce n'est nullement une question de niveau. Mais, je l'avais dit dans mon introduction sur le forum, je ne suis pas facile. Je l'ai dit, c'est en partie de mon fait, je le reconnais.
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RE: Le Trône de fer (série littéraire)
Excellente contagion de l'animosité
C'en est drôle.
Je te demandais si les groupes, justement ne restaient pas isolés assez longtemps... Et dans GoT aussi tu as des groupes de personnages...
Mais bon, ok, je comprends ! Bashing bashing...
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RE: Le poids des apparences
@Mai-Tai
Quelque soit la manière d'aborder ce sujet, et par des gens différents, il donne toujours le même résultat, le replis sur la forme... Bon, on verra sur le temps long, et cela permettra également de voir le degré de personnalisation qui en découle -
RE: Le poids des apparences
@Mai-Tai a dit dans Le poids des apparences :
@leo je n'ai pas à me remettre en question puisque je n'ai jamais prétendu avoir la science infuse et savoir mieux que les autres ce qu'ils pensent.
Et donc tu n'as jamais eu à te remettre en question, mais seulement à le conseiller aux autres ?