Durée : 1h45
Genre : thriller
De : Régis Roinsard
Avec : Lambert Wilson, Olga Kurylenko, Riccardo Scamarcio, Alex Lawther

Synopsys :
Le dernier tome de la série littéraire à succès Dedalus, du mystérieux auteur Oscar Brach, est sur le point de sortir. Neuf traducteurs sont avant cela rassemblés pour travailler dans le secret absolu sur la traduction du texte en français dans leur langue respective (anglais, allemand, russe, portugais, danois, mandarin, espagnol, grec et italien). D'horizons différents, ils vont devoir vivre reclus dans un luxueux bunker situé sous un manoir en France, pour éviter toute fuite. Le très strict éditeur Éric Angstrom leur interdit tout contact avec l'extérieur. La sortie de ce roman est pour lui un enjeu financier colossal. Cependant, bien que les traducteurs soient confinés depuis trois semaines, les dix premières pages du roman vont être dévoilées sur Internet. Alors que tout le monde se demande d'où vient la fuite, le hacker exige une énorme rançon pour ne pas dévoiler le reste du roman.

Avis
Ce film est un véritable coup de cœur pour moi. Au début, j'ai eu un peu peur, car dans la salle il n'y avait que des personnes âgées, du genre à s'éclairer avec un briquet car pas de téléphone (vrai de vrai T-T).
Très rapidement, on est mis dans l'ambiance avec l'enferment des 9 traducteurs dans le bunker. L'ambiance n'est pas totalement oppressante car il y a des flashback et des flashforward qui permettent de sortir. Les informations sont distillées au compte goutte et permettent de relancer le rythme de l'histoire, à chaque fois au bon moment.
La force de ce film est d'avoir réussi à me donner envie de lire la trilogie dont il est question, pourtant fictive. Alors que certains aiment ces livres mais sans plus, et les traduisent car c'est leur métier, d'autres ont comme un besoin vital de savoir comment se termine l'histoire et surtout qui a assassiné le personnage de Rebecca.
Pour moi, ce film est avant tout une ode à la lecture et un hommage aux traducteurs. On ne choisit pas ce métier pour la gloire ou pour l'argent. On le choisit pour l'amour des livres, pour pouvoir faire partager des merveilles venues d'autres pays. Et ce sont ces héros anonymes qui sont enfermés et traités comme des moins que rien par l'éditeur. Alors lequel d'entre eux a craqué. Lequel se venge ? Et surtout comment ?

Je crois que je suis incapable de mettre correctement des mots pour décrire l'amour que je ressens pour ce film, que j'ai déjà vu deux fois.

Seul petit bémol : certains acteurs ont un accent très prononcé, et il est parfois difficile de comprendre totalement ce qu'ils disent

Merci pour ce quiz

@djino RAIPONCE

Bien le bonjour à tous !

Je vais sûrement vous casser l'ambiance mais je l'ai vu une fois, et ça m'a largement suffi. J'ai trouvé que l'humour était très lourd. Et pourtant, j'aime bien ce que font les Nuls, particulièrement Chabat (Burger Quiz )
Mais honnêtement, La Cité de la peur, ce n'est vraiment pas un film que je verrai en boucle pour le plaisir.

J'ai commencé (et bien avancé) L'Ecorchée, de Donato Carrisi. Je ne sais pas pourquoi, mais le style de l'auteur me captive totalement. Dès le premier paragraphe, je suis totalement happée.
J'avais déjà lu du même auteur Le Chuchoteur. Je ne me rappelle pas de tout, si ce n'est que j'avais adoré. L'Ecorchée est la suite du Chuchoteur, 7 ans après.

Je maintiens que Cémoi, ça marchait parfaitement !
#MauvaiseFoi

J'ai testé de nombreux sports : danse, équitation, athlé... Mais le sport qui reste cher à mon coeur, que j'ai pratiqué quasi 10 ans c'est l'escrime !
j'ai arrêté quand j'ai dû déménager pour le travail.
Même sans être une "grande" sportive, j'ai toujours fait un peu de sport car sinon je deviens dingue. Au collège/lycée c'était facile, à la fac j'ai continué de mon côté.
Par contre, depuis mon déménagement, je fais essentiellement de la marche. 15 minutes par jour (c'est peu pour me bouger mais c'est mieux que rien) pour aller travailler et minimum 30 minutes par jour le week-end.

Pendant le confinement, on a la chance d'avoir un jardin, du coup on fait un peu de bad, de volley ou de ping-pong.

C'est "Carry On my wayward son" de Kansas. J'aime beaucoup cette chanson, et pas que parce qu'elle rappelle Supernatural !
Généralement, au bureau je suis en silencieux, je l'allume que quand je suis chez moi car j'ai tendance à mettre mon téléphone derrière des coussins ou sous des couvertures.

@jool Oui c'est ça

Alan Parrish apprend à Vincent Freeman à penser par lui-même

@Peri
Matt Damooooon

Il faut sauver le soldat Ryan !

J'ai fait mieux que la dernière fois, j'suis à 50% !

@Chibi Exactement. Soit on reste chez nous, soit on va rencontrer nos homologues européens. Ce sera sûrement très enrichissant, et y en a que j'aime bien et que ça me fera plaisir de voir, mais je flippe quand même T-T

J'en ai fait quelques uns quand j'étais plus jeune.
Je me rappelle d'une trilogie sur la mythologie grecque, on devait tuer le minotaure et vivre une partie de l'Odyssée.
Je me rappelle surtout qu'il y avait un problème dans le tome 2. On lisait le premier message, normal, ça nous envoyait sans choix possible au message 56 et là BAM on était mort. Fallait partir du message 2 en fait. Le traumatisme.

Et j'en ai fait un autre, je m'en rappelle parce que j'ai triché =° A la toute fin, au moment d'affronter le roi gobelin (ou un truc du genre), on nous demandait si on avait recueilli un chimpanzé. Si oui, son cri tuait le roi gobelin. Si non, le roi nous tuait et game over try again. J'avais pas le singe mais j'ai dit oui (a)

Tout pareil que Shanna haha x)

Sinon, d'une manière générale non. Enfin, sauf si vous comptez le fait de changer d'étage/de bâtiment pour soutenir un dossier =°

Mais sinon, l'an prochain (parce que cette année c'est assez mort), j'ai un très gros dossier qui va arriver et je vais devoir aller le défendre devant d'autres experts européens en Italie. Oui, j'angoisse déjà T_T

@DJINCAT Pareil pour la conjugaison, du coup j'essaye de parler au présent, ou sinon je le fais au feeling x)

Hola !

Du côté de mon père, ma famille est espagnole, mais il ne nous a jamais parlé en espagnol à la maison
Je comprends la langue sans trop de difficulté, surtout après 2-3 jours sur place, mais j'ai plus de mal à le parler.

Disons que avoir travaillé dur, mon espagnol est au même niveau que mon anglais, après 12 ans d'enseignements + 15000 séries en vo.

@Shanna

Je n'ai jamais fini Les Illusions perdues, de Balzac. J'ai perdu les miennes en cours de route...
Je devais le lire en pour le français, en seconde, j'ai jamais passé le milieu.

@tequila Pour moi aussi. Je l'ai commencée sur le tard, mais j'ai vite tout rattrapé !

J'ai tellement pas envie qu'elle se finisse...