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    Messages postés par Mai Tai

    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      @music merci ! Tu es une adversaire des plus coriaces !
      Merci aussi aux petits bonus, et merci Delnis bien sûr pour ce quiz sur un des plus grands réalisateurs (et mon préféré) ❤

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      C'est @Egon qui remporte ce duel glaçant !

      Maintenant la battle du jour :

      🥊 @Artemis vs @Orabig 🥊

      Extrait d'Artemis

      Dehors, il fait noir comme dans le ventre d'une anguille - pas de lune, ni d'étoiles, ni d'aurore boréale - et, surtout, il fait froid ; la température atteignait - 53° C six heures plus tôt, lorsque le jeune Irving est monté la mesurer, et un vent violent sur les moignons de mâts [les mâts ont été démontés en partie afin de donner une meilleure assise au bateau] et sur le pont gîtant et couvert de glace, chassant la neige devant lui. Comme il émerge de la bâche gelée tendue au-dessus de la grande écoutille, Crozier plaque sa main gantée sur son visage pour se protéger les yeux et aperçoit la lueur d'une lanterne à tribord.
      Reuben Male est agenouillé près du soldat Heather, qui gît sur le dos, débarrassé de sa casquette et de sa perruque galloise, mais aussi d'une partie de sa boîte crânienne, ainsi que le constate Crozier. Aucune goutte de sang ne semble avoir coulé, mais il distingue des bribes de cervelle luisant à la lueur de la lanterne : une couche de cristaux de glace recouvre déjà cette matière grise.
      "Il est encore vivant, commandant", dit le chef du gaillard d'avant.

      Extrait de Terreur de Dan Simmons.

      Extrait d'Orabig

      Ce fut mon premier dégoût. C'est étrange. Je me souviens, avant l'âge de trois ans, d'avoir contemplé des grenouilles écrasées, d'avoir modelé de la poterie artisanale avec mes déjections, d'avoir détaillé le contenu du mouchoir de ma soeur enrhumée, d'avoir posé mon doigt sur un morceau de foie de veau cru - tout cela sans l'ombre d'une répulsion, animée par une noble curiosité scientifique.
      Alors pourquoi la bouche des carpes provoqua-t-elle en moi ce vertige horrifié, cette consternation des sens, ces sueurs froides, cette obsession morbide, ces spasmes du corps et de l'esprit ? Mystère.
      Il m'arrive de penser que notre unique spécificité individuelle réside en ceci : dis-moi ce qui te dégoûte et je te dirai qui tu es. Nos personnalités sont nulles, nos inclinations plus banales les unes que les autres. Seules nos répulsions parlent vraiment de nous.

      Extrait de Métaphysique des tubes d'Amélie Nothomb.

      Voilà, vous pouvez à présent voter pour votre extrait préféré
      %(#FD4626)[**Je vote pour Artemis**]
      %(#16B84E)[**Je vote pour Orabig**]

      Vous avez jusqu'à demain 2 juin à 18h45, soit 24h, pour faire votre en choix en copiant le code qui correspond.

      Bonne lecture ! 📚

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      Comme je disais, j'aime beaucoup les deux extraits.
      J'adore Poe, mais pour la découverte Je vote pour Egon
      Cet auteur m'était inconnu hormis par le biais d'un livre de Joyce Carol Oates (dont il est un des personnages peu sympathiques). Cet extrait me donne envie d'en lire plus.

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      @music effectivement le choix est super difficile. J'aime beaucoup les deux, dans des styles complètement différents.
      Je réfléchis...

      (mince j'ai oublié de changer les couleurs, super grave)

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      Ce duel est désormais terminé, les loups-garous l'emportent sur les androïdes, victoire de @ayamé !

      Nouvelle battle :

      🥊 @Biquette vs @Egon 🥊

      Extrait de Biquette


      Mais, dans la chambre de l'ouest, la chambre noire, la lumière du brasier qui ruisselait sous les tentures noires à travers les carreaux sanglants était épouvantablement sinistre, et donnait aux physionomies des imprudents qui y entraient un aspect tellement étrange, que bien peu de danseurs se sentaient le courage de mettre les pieds dans son enceinte magique.

      C'était aussi dans cette salle que s'élevait, contre le mur de l'ouest, une gigantesque horloge d'ébène. Son pendule se balançait avec un tic-tac sourd, lourd, monotone ; et, quand l'aiguille des minutes avait fait le circuit du cadran et que l'heure allait sonner, il s'élevait des poumons d'airain de la machine un son clair, éclatant, profond et excessivement musical, mais d'une note si particulière et d'une énergie telle, que, d'heure en heure, les musiciens de l'orchestre étaient contraints d'interrompre un instant leurs accords pour écouter la musique de l'heure ; les valseurs alors cessaient forcément leurs évolutions ; un trouble momentané courait dans toute la joyeuse compagnie ; et, tant que vibrait le carillon, on remarquait que les plus fous devenaient pâles, et que les plus âgés et les plus rassis passaient leurs mains sur leurs fronts, comme dans une méditation ou une rêverie délirante. Mais, quand l'écho s'était tout à fait évanoui, une légère hilarité circulait par toute l'assemblée ; les musiciens s'entre-regardaient et souriaient de leurs nerfs et de leur folie, et se juraient tout bas, les uns aux autres, que la prochaine sonnerie ne produirait pas en eux la même émotion ; et puis, après la fuite des soixante minutes qui comprennent les trois mille six cents secondes de l'heure disparue, arrivait une nouvelle sonnerie de la fatale horloge, et c'étaient le même trouble, le même frisson, les mêmes rêveries.

      Extrait de Le Masque de la mort rouge de Edgar Allan Poe (Traduction par Charles Baudelaire).

      Extrait de Egon


      Il y aurait eu encore d'autres statistiques intéressantes à établir à Packingtown : celles des maladies ou blessures dont souffraient les ouvriers. Lors de sa première visite avec Szedvilas, Jurgis s'était émerveillé de la diversité des produits que l'on tirait des carcasses d'animaux et du nombre d'activités secondaires qui fleurissaient aux abattoirs. Mais il découvrait maintenant que chacune de ces usines annexes cachait un véritable petit enfer, tout aussi effroyable que les chaînes d'abattage qui étaient la source nourricière. À chacune correspondait une pathologie particulière. Si le visiteur pouvait émettre des réserves sur la réalité des fraudes et des escroqueries commises ici, du moins ne pouvait-il avoir aucun doute quant à l'existence des maladies, car les ouvriers en portaient les stigmates dans leur chair. En général, il suffisait de regarder leurs mains.
      Dans les salles de saumurage par exemple, où le vieil Antanas avait attrapé la tuberculose qui l'avait emporté, il n'était pratiquement pas un seul homme dont le corps ne présentât quelque horrible mutilation. Pour peu qu'un ouvrier s'écorchât le doigt en poussant un chariot, l'égratignure risquait de devenir une plaie qui le conduirait droit dans l'au-delà. L'une après l'autre, toutes les articulations de ses doigts ne tardaient pas à être rongées par l'acide. Bouchers, écorcheurs, désosseurs, apprêteurs, bref tous ceux qui utilisaient des outils tranchants, avaient pour la plupart perdu l'usage de leur pouce, qui, à force d'être tailladé, n'était plus qu'un moignon de chair informe contre lequel ils appuyaient leur couteau pour le tenir. La peau de leurs mains était un lacis inextricable de cicatrices. Ils avaient tellement écorché de bêtes qu'ils n'avaient plus d'ongles. Leurs phalanges étaient si enflées que leurs mains avaient la forme d'éventails. Dans les cuisines, on travaillait à la lumière artificielle dans une atmosphère chargée de vapeur d'eau et d'odeurs écoeurantes où le bacille de la tuberculose pouvait se multiplier en l'espace d'une heure et survivre plusieurs années. Quant aux hommes qui, dès quatre heures du matin, transportaient sur leurs épaules des quartiers de bœuf de deux cents livres jusqu'aux voitures frigorifiques, leur besogne était si pénible que les plus vigoureux n'y résistaient guère plus de quelques années. Les ouvriers des chambres froides, eux étaient particulièrement exposés aux rhumatismes, qui avaient raison d'eux en moins de cinq ans. Que dire de ceux qui étaient chargés du délainage ? Leurs mains se décomposaient encore plus vite que celles des préposés au saumurage, à cause de l'acide dont on imprégnait les peaux pour les assouplir. Comme les ouvriers ne portaient pas de gants lorsqu'ils tiraient sur la laine, ils avaient les doigts entièrement rongés. I faut ajouter à la liste ceux qui fabriquaient les boites de conserve. Leurs mains, à eux aussi, étaient zébrées de plaies dont chacune risquait, en s'infectant, d'entraîner une septicémie. Rares étaient les emboutisseurs qui parvenaient à suivre la cadence imposée sans faiblir. Un moment d'inattention et la machine leur arrachait une partie de la main. Quant aux « hisseurs », comme on les appelait, dont la tâche consistait à abaisser le levier qui soulevait les carcasses du sol, ils passaient leurs journées à se déplacer au pas de course sur une poutre, la vue brouillée par la vapeur et l'humidité. Les architectes engagés par le vieux Durham n'avaient pas conçu les salles d'abattage pour la commodité des ouvriers. Ceux-ci devaient se baisser tous les deux ou trois pas pour passer sous une solive située à environ quatre pieds au-dessus de celle où ils couraient. Ils prenaient donc l'habitude de rester voûtés, si bien qu'au bout de quelques années ils marchaient comme des chimpanzés. Mais les plus mal lotis étaient les hommes employés à la fabrication des engrais et ceux qui étaient affectés aux cuisines. Les premiers, les visiteurs ne les voyaient jamais. En effet, l'odeur qu'ils dégageaient aurait fait fuir n'importe qui. Quant aux seconds, qui travaillaient dans des pièces embuées, ils avaient une fâcheuse tendance à basculer dans les cuves béantes dont le bord supérieur affleurait le sol. Quand on les repêchait, il ne restait plus grand chose à montrer au public. On ne s'apercevait parfois de leur disparition qu'au bout de quelques jours : leur dépouille, à l'exception des os, était déjà partie pour être vendue aux quatre coins du monde, sous forme de saindoux cent pour cent pur porc de chez Durham. »

      Extrait de La Jungle de Upton Sinclair.

      Voilà, vous pouvez à présent voter pour votre extrait préféré
      %(#0ABAB5)[**Je vote pour Biquette**]
      %(#1034A6)[**Je vote pour Egon**]

      Vous avez jusqu'à demain 1er juin à 18h30, soit 24h, pour faire votre en choix en copiant le code qui correspond.

      Bonne lecture ! 👍

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      Je vote pour Ayamé

      Parce que j'ai pensé brrrr, alors que pour celui de Delnis non...

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      @delnis c'est surtout pour les 3 prochaines battles que je suis triste.
      Même avec 1 défaite tu seras encore là au prochain tour.

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Les célébrités qu'on consommerait bien

      @shanna ce charme 😍 🤤

      posté dans People
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      @kachina non aucune défaite encore pour eux deux, ça leur laisse du répit !

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      Oh désolée @kachina
      Demain 3 points, allez 👍

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      À partir de demain on va perdre des participants 😭

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      @delnis

      Hitch l'a repérée dans des pubs, elle était mannequin

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

      On reprend les hostilités !
      Sur le même thème : ça fait froid dans le dos.

      Ce soir...

      🥊 @ayamé vs @delnis 🥊

      Extrait de Ayamé

      Les yeux battus du malheureux se fixèrent sur moi avant de virer follement. L'odeur de peur exhalée par ses narines était un véritable tonique.
      Ah, dit la faim. Ah, l'adorable, la délicieuse petite chose.
      Dans leur prison cellulaire, les morts dévorés par mes soins se levèrent.(Lorsqu'on mange les gens, il faut savoir que les ingérés sont avides de compagnie. Chaque nouvelle victime ajoute une voix au choeur mensuel).
      Les chevilles et les poignets de Ganymède étaient meurtris au sang, car il avait cherché à se débarrasser de ses liens.
      Un réseau sanguin bleuté se dessinait à travers la peau blanche de son ventre. Ses pores libéraient sous l'effet de la terreur des sécrétions aussi abondantes qu'appétissantes.
      Mes glandes salivaires se vidèrent, c'était dans l'ordre des choses...Je le tuerais, je le dévorerais, pendant que Jacqueline Delon regarderait en se faisant sucer, en fumant une cigarette, en mangeant une crème brûlée ou en se posant de faux ongles...Ami lecteur, je l'ai mangé.

      Extrait de Le dernier loup-garou de Glen Duncan.

      Extrait de Delnis


      Après un petit déjeuner hâtif – sa dispute avec sa femme lui avait fait perdre du temps –, il s’équipa pour s’aventurer dehors – sans omettre sa coque en plomb Mountibank, modèle Ajax – et gagna le toit couvert de son immeuble, là où « broutait » son mouton électrique.
      Là où le tas de ferraille sophistiqué qu’il était mâchait bruyamment de contentement simulé, au grand dam – injustifié – des autres occupants de l’immeuble.
      Bien sûr, certains de leurs animaux étaient eux aussi indubitablement des contrefaçons électroniques. Mais il n’était bien sûr jamais allé y mettre le nez, pas plus que ses voisins n’étaient venus voir de près la nature véritable de son mouton. Rien n’aurait pu être plus impoli que de demander à quelqu’un s’il possédait un animal authentique. C’eût été plus grossier encore que de s’informer sur l’authenticité des dents ou des cheveux d’un citoyen – voire de ses organes internes.
      L’air matinal, chargé de particules radioactives qui le rendaient grisâtre et masquaient le soleil, lui cracha au nez une odeur de mort qu’il renifla involontairement.
      Bon, ça pourrait être pire, se dit-il en rejoignant le lopin de gazon qu’il avait acquis en même temps que leur appartement excessivement vaste. Le legs de la Dernière Guerre mondiale avait perdu de sa puissance ; ceux qui n’avaient pas résisté à la poussière étaient tombés dans l’oubli bien des années plus tôt, et la poussière, moins radioactive et confrontée à des êtres plus résistants, se bornait désormais à dérégler esprits et patrimoines génétiques. Malgré sa coque en plomb, la poussière s’infiltrait indubitablement en lui, lui apportant chaque jour – tant qu’il ne parviendrait pas à émigrer – sa petite ration de crasse actinifère. Jusqu’à présent, ses checkup mensuels avaient toujours confirmé qu’il faisait encore partie des normaux : des gens autorisés à procréer dans la limite des droits que leur conférait la loi. Chaque mois, cependant, les médecins de la police de San Francisco pouvaient découvrir autre chose. De nouveaux spéciaux n’arrêtaient pas de venir au monde, engendrés par des normaux à cause de la poussière omniprésente. Ainsi que le proclamaient les affiches, les pubs télé et les imprimés gouvernementaux qui emplissaient sa boîte aux lettres : « Émigrez ou dégénérez ! Le choix vous appartient ! » Bien sûr, songea Rick alors même qu’il ouvrait la barrière de son petit pâturage pour s’approcher de son mouton électrique. Mais moi, je ne peux pas émigrer. À cause de mon travail.
      Le propriétaire du pâturage contigu, son voisin de conapt Bill Barbour, lui adressa un salut ; tout comme Rick, il s’était équipé pour partir au travail, et il avait lui aussi au préalable fait une halte sur le toit pour jeter un œil sur son animal.
      « Ma jument est pleine », déclara-t-il avec une fierté évidente. Il indiqua à Rick la grosse percheronne occupée à regarder placidement dans le vide. « Qu’est-ce que vous dites de ça ?
      — Que vous n’allez pas tarder à avoir deux chevaux », fit Rick.
      Il était arrivé près de son mouton ; l’animal ruminait tout en le fixant d’un œil alerte, dans le cas où il lui aurait apporté quelques flocons d’avoine.
      Le soi-disant mouton comprenait un circuit sensible à l’avoine, qui le poussait à adopter un air de convoitise tout à fait convaincant dès qu’il en apercevait.
      « Qu’est-ce qui l’a fécondée ? demanda-t-il à Barbour. Le vent ?
      — J’ai acheté la meilleure liqueur séminale disponible en Californie, l’informa son voisin. Grâce aux gens que je connais à la commission d’État chargée de l’agriculture. Vous vous rappelez la semaine dernière, quand leur inspecteur est venu examiner Judy ? Ils ont hâte de voir son poulain ; c’est une bête incomparable. » Et de tapoter affectueusement l’encolure de sa jument, qui inclina la tête dans sa direction.
      « Vous avez déjà songé à la vendre ? » lui demanda Rick. Si seulement lui-même possédait un cheval – n’importe quel animal, en fait. Posséder un ersatz, s’en occuper comme s’il s’était agi d’un être vivant, avait quelque chose de démoralisant en soi. D’un point de vue social, cependant, la pénurie d’animaux véritables ne lui donnait guère le choix. D’autant moins, quand bien même il s’en serait personnellement moqué, qu’il lui fallait compter avec sa femme – et ça avait de l’importance pour Iran. Énormément.
      « Ce serait immoral, fit Barbour.
      — Vendez le poulain, alors. Avoir deux animaux l’est encore plus que de ne pas en avoir du tout. »

      Extrait de Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? (Blade Runner) de Philip K. Dick.

      Voilà, vous pouvez à présent voter pour votre extrait préféré
      %(#0ABAB5)[**Je vote pour Ayamé**]
      %(#1034A6)[**Je vote pour Delnis**]

      Vous avez jusqu'à demain 31 mai à 18h30, soit 24h, pour faire votre en choix en copiant le code qui correspond.

      Bonne lecture ! 👍

      posté dans Animations Lectures
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      @delnis ça y est
      Heureusement que j'étais seule sur le coup 😁

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      @delnis

      sueurs froides / vertigo

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: Les vacances : vous partez cet été ?

      @steliane ça fait peur et rêver en même temps !

      posté dans Sorties - Voyages
      Mai Tai
      Mai Tai
    • RE: [Jeu-thème] Saison 3

      @orabig merci pour ce super jeu !
      C'est beaucoup de boulot, tu as bien droit à un peu de repos 👍
      Et bien sûr bravo à cette petite peste de @Shanna 😘

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
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    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      VHJz.gif

      posté dans Animations Cinéma
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    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      @delnis

      ils tuent un de leurs "amis "

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
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    • RE: Quizz Hitchcock - le quizz de l'angoisse

      @delnis on pourrait aussi te dire la même chose dans le sujet Balavoine (où ce ne sont même pas des faits que tu énonces). Restons dans le domaine artistique...

      posté dans Animations Cinéma
      Mai Tai
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