Messages postés par Miliam

Moi j’adore la bd « L’épée de Cristal ». C’est ma préférée.

Pour moi, quand on me dit de ne pas aimer le sport... c’est comme si on me disait ne pas aimer la musique. Dans le sens où c’est un domaine tellement vaste avec tellement de possibilités qu’il faut juste trouver quelque chose qui nous convient.

Personnellement, je n’aime pas courir, je n’aime pas faire du vélo, je n’aime pas spécialement la natation, j’ai même pas envie d’essayer le crossfit ça ne m’intéresse pas... Pourtant j’adore le Yoga (après y’a limite autant de type de Yoga que de sport), j’aime bien la musculation et les Hiit. J’aime bien le badminton aussi.

Je pense que pour apprendre à aimer le sport, y’a pas de soucis, c’est se tourner vers ce qui nous intéresse. Et si on ne sait pas, on peux essayer des sports (y’en a pleins) pour trouver celui qui nous correspond. Je sais que celui qui me correspond c’est le Yoga. Mais j’ai mis des années avant de le savoir car avant je n’avais pas essayé.

Non et jamais je n’ai fumé :).

@margaux123 Coucou Margaux ! Peut être que tes parents sont dans le déni. Dans tous les cas, tu exprimes une souffrance et le mieux à faire est de contacter ton psychiatre pour lui expliquer la situation. Tu peux aussi te faire aider par l’infirmière de ton école, voire consulter la psychologue. Tu peux aussi prendre rdv dans les Centre Médico-psychologiques. Tu peux consulter un psychiatre, un psychologue et bon nombre de professionnels gratuitement. Il me semble aussi que c’est anonyme.

@Hornet Je suis française mais je fais mes études en Belgique, du coup je chope des mots ah ah !

Cela doit faire plus de 10 ans que j’ai eu des IPhone, je n’aime pas les autres gsm. Après je n’ai jamais mis des mille et de cent dedans, je les aient toujours eu peu chers à l’achat et pourtant j’achetais le dernier quand il sortait. Par contre, ce n’est pas parce qu’un nouveau arrive que je l’achète forcément. J’achète que quand j’en ai besoin donc je les traînent assez longtemps. Après tout dépend de l’utilisation qu’on en fait, on est pas obligé de s’acheter un gsm « de luxe ». Par contre, j’adore les vieux gsm !

Bonjour ! Cela a dû être traumatisant pour vous ! Peut-être que vous pouvez vous tourner vers un psychologue pour vous accompagner, vous aider etc., si vous en ressentez le besoin.

J’ai commencé à avoir des complexes sur mon corps au mois de juin dernier suite à la prise d’anti-dépresseurs durant un an. J’ai pris plus de dix kilos. Avant, je ne complexais pas vraiment de mon corps, je complexais plus de mon visage et particulièrement des boutons. Mais bon, je ne peux pas dire que j’étais vraiment « complexée ».

Ce qui a été douloureux n’a pas été de prendre du poids, mais de voir mon corps changer parce-que j’étais malade. De voir un corps malade ou rescapé de maladie dans le miroir.

J’ai essayé de me remettre au sport mais je n’avais plus l’envie, la motivation, rien. Alors j’ai arrêté de me brusquer et de me dire que ça viendra quand ça viendra. Au final, je me suis remise au sport la semaine passée en faisant des lives de Justine Gallice. Encore, je ne me mets pas la pression. Je ne me dit pas : je vais perdre tant de kilos en un mois. Je me dit plutôt : mon objectif c’est de m’affiner mais d’y aller à mon rythme. Pour ça, je fais attention à mon alimentation sans faire de restrictions ou d’exagérations, je mets petit à petit des choses en place. Après je ne mange pas n’importe quoi de base. Tout ce qui est Coca, sucre, gâteaux, M&M... je n’en consomme pas. Je ne suis pas sucrée du tout donc j’en consomme peu. Mais je mange plus de légumes par exemple. J’évite les produits transformés etc. En fait, mon but est de bien m’alimenter sans tomber dans les troubles alimentaires. Sans pression.

Je fais les lives donc de Justine Gallice mais également du Yoga en parallèle. Du Yin Yoga et du Flow Yoga principalement. Ma vision n’est pas très positive mais progressivement je fais en sorte que ça change. Car après tout, la vision que l’on a de nous-mêmes repose sur des croyances. Et les croyances négatives ne sont à la fois pas aidantes mais aussi pas vraies. D’où l’importance de se reconnecter à son corps en faisant des choses bienveillantes pour lui. Je pense que la vision que l’on a de nous-mêmes ne dépend que de nous. Comme le problème est intérieur, il ne peut être réglé que par l’intérieur.

Franchement j’ai une belle-famille en or. Je n’ai rien à dire.
C’est plutôt ma famille où en ce moment ce n’est pas la joie.

Ce qu’il se passe n’est pas normal, je te conseille vivement d’aller voir l’assistante sociale de ton collège pour lui parler de ce qu’il se passe à la maison. Les comportements que tes parents ont sont destructeurs. C’est clairement de la maltraitance psychologique. Les droits des enfants ont évolué avec le temps et il y a des choses qui ne passent plus. Je peux te le dire car ma maman est assistante sociale en milieu scolaire depuis plus de vingt ans et est déjà intervenue dans de nombreuses situations. Tu n’as pas à supporter ça, encore moins à ton âge. Tu as treize ans, tu n’as pas à avoir des comportements d’adultes et encore moins à t’adapter à des comportements toxiques venant d’adultes responsables et pleinement conscients de leurs actes. Les insultes, les rabaissements et vu ce que tu décris dans son ensemble : c’est de la maltraitance et pas une crise d’adolescence. Surtout que ça dure depuis tes neufs ans. Le mieux est d’aller voir un professionnel qui peut t’aider comme l’assistante sociale de ton collège.

Coucou :),

Je comprends tout à fait ta position. Constater que quelque chose ne va pas dans le couple de son père et de sa mère, c’est à la portée des enfants puisqu’il vivent sous le même toit que tes parents.

Peut-être que tu dois ressentir de la colère vis à vis de ton père et d’autres sentiments tels que la tristesse etc. C’est tout à fait normal. C’est difficile quand on est confronté à des choses d’adultes et en particulier lorsque cela concerne nos parents. Souvent les enfants voient et constatent des choses qui ne vont pas dans leur propre famille, c’est normal. Je comprends aussi que tu as peut être envie d’intervenir, peut être dans l’espoir de sauver tes parents, leur couple, d’établir la vérité ou que-sais-je encore. Je comprends également que tu veuilles regarder dans le portable de ton père parce-qu’au fond c’est ses attitudes qui ne vont pas.

Même si au fond je pense que tu veux bien faire, il faut comprendre également que c’est l’histoire de tes parents et que tu ne peux pas trop t’en mêler. C’est un peu facile à dire vu que tu as l’air d’en pâtir et que ça t’impacte au niveau du bien être familial mais aussi en tant que fille vu qu’apparemment il n’est jamais là et ne rempli pas ton rôle. Cela a des répercussion. Peut-être que tu pourrais en parler au psychologue de ton collège ou à l’infirmière ? Ou alors peut être le dire à ta mère ? Le problème étant c’est qu’il est difficile de te dire oui ou non car on ne connaît pas ta famille, comment elle fonctionne etc.

Je n’en ai jamais voulu ni n’en ai jamais eu le désir :). Je ne vais pas en faire pour faire plaisir à la société ou à ma famille. Toutefois je comprends que t’ai des personnes qui en veuilles. En fait, chacun est libre de ses choix.

Coucou !

Au vu de ce que tu dis, je te conseillerai de consulter des professionnels de la santé (psychologue, psychiatre) afin de pouvoir t’aider et t’accompagner. C’est un sujet qui me tient à cœur car je suis passée par là aussi.

Je ne connais pas ta situation, je ne sais pas si tu as un entourage sur lequel tu peux compter mais ne reste pas seul.

Est-ce que tu as un plan suicidaire établi ?

@Martin Le problème avec ta vision Martin c’est que ce n’est que ta vision et ce n’est pas du tout en phase avec la réalité des choses. Y’a rien de lâche dans le suicide. Un peu d’empathie ! Je ne crois pas que tu te rends compte du poids de tes propos. C’est culpabilisant ! C’est de l’inconscience ou de l’ignorance pure et dure, si ce n’est les deux. Dans tous les cas, la personne ne t’a pas demandé ton avis sur le suicide, ici elle a besoin d’aide et non des jugements de valeurs complètement subjectifs. Honnêtement que tu trouves que c’est lâche ou que sais-je encore, on s’en fiche. Là n’est pas la question.

Je suis désolée mais je suis intransigeante là-dessus, je trouve ça très grave de tenir des propos de la sorte. Surtout quand les autres te disent que tes propos ne sont adéquats, tu justifies en disant que c’est ton avis. Bah... non en fait, on ne base pas son avis sur ce que l’on ne connaît pas surtout quand une personne demande de l’aide. J’ai bossé aux urgences, je connais une certaine réalité de terrain, j’ai rencontré des personnes suicidaires et je pense (ainsi que de bons nombres professionnels de la santé) que proférer de tels propos est TOUT sauf aidant bien au contraire si ce n’est la conforter dans son idée voire aggraver sa situation. Une personne suicidaire doit être aidée et accompagnée. Quand on ne comprend pas quelque chose, l’état d’une personne, on se renseigne plutôt que de dire des âneries (et encore je reste polie), des jugements qui pourraient coûter la vie. Car oui, les pensées d’une personnes suicidaires sont très négatives, leur état est fragile et c’est déjà arrivé qu’à cause de certains propos de l’entourage (qui est vital dans ces situations) bah que les personnes passent à l’acte. C’est le genre de propos qui m’énervent mais à un point. C’est comme y’a des gens qui pensent que c’est égoïste. C’est faux. Pour moi ce n’est effectivement pas voir plus loin que le bout de son nez et donc penser en fonction de soi. Si la personne en arrive à un état comme ça, c’est que y’a une voire des raisons et y’a pas à juger.

Personnellement j’ai rencontré des difficultés à m’endormir car j’étais stressée. Je pensais à des choses qui me tracassaient beaucoup. Encore maintenant il m’arrive avoir du mal à dormir et ce qui marche pour moi c’est :

• Écouter de la musique relaxante type zen.
• L’ASMR (SamuseASMR).
• Écouter un livre audio.
• Les méditations guidées.
• Travailler le souffle : en fait je fais de longues inspirations et expirations 36 fois. Ça m’apaise et progressivement je m’endors. J’ai trouvé cette technique récemment et je dois dire que ça marche bien.

En fait, avant je bossais mes cours la nuit car j’étais stressée mais le lendemain je dormais la journée donc j’avais l’impression de prendre du retard donc je stressais, donc je bossais la nuit... etc. Cercle vicieux. Un autre cercle vicieux, c’est s’énerver ou s’inquiéter parce-qu’on arrive pas à dormir, du coup ça t’excites et donc ça te maintien éveillé. Le mieux est de trouver quelque chose qui te relaxe. Par exemple faire du coloriage, lire avant de dormir... Éviter les écrans une heure avant d’aller au lit car les écrans aussi ça excite.

J’ai essayé la lavande, personnellement ça marche plutôt bien mais pas à chaque fois.

Je n’ai pas lu le reste des commentaires sorry, mais peut être essayer de comprendre ce qui fait que tu as des insomnies ? Depuis combien de temps ça dure ? Quand ça a commencé ? Est-ce que tu as des pensées particulières ? Des émotions particulières ? Des choses qui te tracassent ? On y pense pas aussi mais les psychologues peuvent être vachement aidants, par exemple dans mes études je suis formée aux troubles du sommeil. Ou alors y’a la sophrologie etc.

Je pense que l’être humain est complexe. Par conséquent, je pense qu’il y a une partie de cause à effet. Par exemple, grandir dans un environnement maltraitant peut expliquer que certaines personnes ont telle ou telle pathologie voire se retrouvent en prison. Car il y a des facteurs de risque, au vu de l’environnement, que l’enfant ne se construise pas normalement et qu’il puisse développer une pathologie. Cependant, ce sont des facteurs de risque et ce n’est pas parce-qu’un enfant grandit dans un environnement chaotique qu’il aura forcément une pathologie. Cela dépend de beaucoup de facteurs : personnalité, environnement, ressources etc.

J’ai justement un cours sur le sujet ou du moins la psychopathologie de la personne âgée. Où on apprend les stéréotypes que la société a vis à vis des personnes âgées mais aussi les points positifs qu’il y a à être âgé.

C’est un terme psychanalytique. En aucun cas dans le DSM on le retrouve classifié comme étant une pathologie ou un trouble.

Je pense que c’est un terme fourre-tout. Où toute personne manipulatrice et toxique va être forcément rangée dans cette case. Par contre, je pense que cela existe mais que ça ne se résume pas aux critères donnés dans les livres grands publics ou dans des définitions sur Wikipédia. Que c’est beaucoup plus complexe que ça.

Il y a les perversions au niveau de la classification diagnostique psychanalytique et dans celles-ci il y a les perversions sexuelles et narcissiques.

Comment parler de racisme scientifique quand à cette période les études et recherches n’avaient rien de scientifique ? Ne respectaient en rien la déontologie, l’éthique et les bases de la Science ? Que tout était orienté. Et pour moi, si on fait une recherche dans un but scientifique mais qu’on oriente les réponses pour que ça aille dans notre sens de pensée... y’a aucune démarche scientifique là-dedans.

Je pense que tout le monde a le droit au bonheur et que personne n’a le droit de détruire celui des autres. On peux comprendre comme ne pas comprendre, mais avoir des réactions intelligentes et s’abstenir de juger ce que l’on ne sait pas, ce que l’on ne comprends pas... c’est tout à fait possible. Je n’ai pas d’avis sur la transidentité mis-à-part que je ne veux que le bonheur des gens et donc le leur. Aussi que c’est un sujet complexe et que c’est important d’en parler avec des personnes concernées, écouter des témoignages pour se sensibiliser à cela et ainsi sensibiliser notre entourage, et qui sait, nos enfants. En sommes : l’écoute et la bienveillance.