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    @djino a dit dans Records ! :

    Pas vraiment de record pour ma part... J'ai touché à un peu tout en sports et loisirs, sans devenir spécialiste en quelque chose mais en connaissant pas mal de choses au global
    1ère division de district en foot, moins de 50mn sur un 10 km, quelques belles perfs aussi à vélo quand j'en faisais (mais suite à l'accident d'un ami, je ne peux plus monter sur un vélo)

    Ah sinon il y a une vingtaine d'années j'ai été champion du monde sur Grand Prix 4 avec toutes les courses et essais à 100% en mode difficile, mais ca compte pas 🤣

    @Musings a dit dans Records ! :

    Champion non mais des références honorables en Athlétisme =>
    2"53 sur 1000 M
    34" 10 sur 10 km(s)
    1 h 15 sur Semi-Marathon (21,1).

    C'est bien plus qu'honorable. Si on prend le semi-marathon de Tours, qui est un des plus réputés de France, sur les 200 concurrents de la dernière édition, professionnels compris, tu serais arrivé second
    Et au semi-marathon de Paris tu arriverais vers la 100ème place (Ce qui veut dire dans les première place vu qu'il y a environ 37.000 coureurs ^^)

    T'aurais pas du sang Kenyan ? En tous cas faut que t'arrete tout à côté, tu trouve un sponsor et tu passes pro... 🤣

    Bon je vais te l'avouer , j'ai été médaillé dans ma première jeunesse en Athlé... LOL

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    @carililou a dit dans Quels sports pratiquez vous ? :

    @chiensetmusique la natation est un sport complet. Moi j'aime la brasse mais du moment que je suis dans l'eau je me sens happy !

    En effet sport complet , de plus porté(non traumatisant) .. Méfiance cependant concernant la brasse à moins qu 'elle soit coulée (rires) pour le dos pour ceux et celles qui nagent beaucoup.
    De plus la natation en termes de dépense calorique est en tête (pole position devant la course à pied seconde).

    posté dans Bien-être En lire plus
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    Le choix du clown.
    Un vrai casse-tête.

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    Messieurs,

    Vous savez maintenant qui je suis : un révolté vivant du produit des cambriolages. De plus j’ai incendié plusieurs hôtels et défendu ma liberté contre l’agression d’agents du pouvoir. J’ai mis à nu toute mon existence de lutte ; je la soumets comme un problème à vos intelligences. Ne reconnaissant à personne le droit de me juger, je n’implore ni pardon, ni indulgence. Je ne sollicite pas ceux que je hais et méprise. Vous êtes les plus forts ! Disposez de moi comme vous l’entendrez, envoyez-moi au bagne ou à l’échafaud, peu m’importe ! Mais avant de nous séparer, laissez-moi vous dire un dernier mot.

    Puisque vous me reprochez surtout d’être un voleur, il est utile de définir ce qu’est le vol.

    À mon avis, le vol est un besoin de prendre que ressent tout homme pour satisfaire ses appétits. Or ce besoin se manifeste en toute chose : depuis les astres qui naissent et meurent pareils à des êtres, jusqu’à l’insecte qui évolue dans l’espace, si petit, si infime que nos yeux ont de la peine à le distinguer. La vie n’est que vols et massacres. Les plantes, les bêtes s’entre-dévorent pour subsister. L’un ne naît que pour servir de pâture à l’autre ; malgré le degré de civilisation, de perfectibilité pour mieux dire, où il est arrivé, l’homme ne faillit pas à cette loi ; il ne peut s’y soustraire sous peine de mort. Il tue et les plantes et les bêtes pour s’en nourrir. Roi des animaux, il est insatiable.

    En outre des objets alimentaires qui lui assurent la vie, l’homme se nourrit aussi d’air, d’eau et de lumière. Or a-t-on jamais vu deux hommes se quereller, s’égorger pour le partage de ces aliments ? Pas que je sache. Cependant ce sont les plus précieux sans lesquels un homme ne peut vivre. On peut demeurer plusieurs jours sans absorber de substances pour lesquelles nous nous faisons esclaves. Peut-on en faire autant de l’air ? Pas même un quart d’heure. L’eau compte pour trois quarts du poids de notre organisme et nous est indispensable pour entretenir l’élasticité de nos tissus ; sans la chaleur, sans le soleil, la vie serait tout à fait impossible.

    Or tout homme prend, vole ces aliments. Lui en fait-on un crime, un délit ? Non certes ! Pourquoi réserve-t-on le reste ? Parce que ce reste exige une dépense d’effort, une somme de travail. Mais le travail est le propre d’une société, c’est-à-dire l’association de tous les individus pour conquérir, avec peu d’efforts, beaucoup de bien-être. Est-ce bien là l’image de ce qui existe ? Vos institutions sont-elles basées sur un tel mode d’organisation ? La vérité démontre le contraire. Plus un homme travaille, moins il gagne ; moins il produit, plus il bénéficie. Le mérite n’est donc pas considéré. Les audacieux seuls s’emparent du pouvoir et s’empressent de légaliser leurs rapines. Du haut en bas de l’échelle sociale tout n’est que friponnerie d’une part et idiotie de l’autre. Comment voulez-vous que, pénétré de ces vérités, j’aie respecté un tel état de choses ?

    Un marchand d’alcool, un patron de bordel s’enrichit, alors qu’un homme de génie va crever de misère sur un grabat d’hôpital. Le boulanger qui pétrit le pain en manque ; le cordonnier qui confectionne des milliers de chaussures montre ses orteils, le tisserand qui fabrique des stocks de vêtements n’en a pas pour se couvrir ; le maçon qui construit des châteaux et des palais manque d’air dans un infect taudis. Ceux qui produisent tout n’ont rien, et ceux qui ne produisent rien ont tout.

    Un tel état de choses ne peut que produire l’antagonisme entre les classes laborieuses et la classe possédante, c’est-à-dire fainéante. La lutte surgit et la haine porte ses coups.

    Vous appelez un homme « voleur et bandit », vous appliquez contre lui les rigueurs de la loi sans vous demander s’il pouvait être autre chose. A-t-on jamais vu un rentier se faire cambrioleur ? J’avoue ne pas en connaître. Mais moi qui ne suis ni rentier ni propriétaire, qui ne suis qu’un homme ne possédant que ses bras et son cerveau pour assurer sa conservation, il m’a fallu tenir une autre conduite. La société ne m’accordait que trois moyens d’existence : le travail, la mendicité, le vol. Le travail, loin de me répugner, me plaît, l’homme ne peut même pas se passer de travailler ; ses muscles, son cerveau possèdent une somme d’énergie à dépenser. Ce qui m’a répugné, c’est de suer sang et eau pour l’aumône d’un salaire, c’est de créer des richesses dont j’aurais été frustré. En un mot, il m’a répugné de me livrer à la prostitution du travail. La mendicité c’est l’avilissement, la négation de toute dignité. Tout homme a droit au banquet de la vie.

    Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend.

    Le vol c’est la restitution, la reprise de possession. Plutôt que d’être cloîtré dans une usine, comme dans un bagne ; plutôt que mendier ce à quoi j’avais droit, j’ai préféré m’insurger et combattre pied à pied mes ennemis en faisant la guerre aux riches, en attaquant leurs biens. Certes, je conçois que vous auriez préféré que je me soumette à vos lois ; qu’ouvrier docile et avachi j’eusse créé des richesses en échange d’un salaire dérisoire et, lorsque le corps usé et le cerveau abêti, je m’en fusse crever au coin d’une rue. Alors vous ne m’appelleriez pas « bandit cynique », mais « honnête ouvrier ». Usant de la flatterie, vous m’auriez même accordé la médaille du travail. Les prêtres promettent un paradis à leurs dupes ; vous, vous êtes moins abstraits, vous leur offrez un chiffon de papier.

    posté dans Carte blanche En lire plus
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    Le soleil est annoncé sur la plus belle région de France.

    posté dans Écologie - Nature En lire plus
  • Musings Musings

    Bonjour , excellente journée à chacun et chacune d'entre-vous..
    j'ai une annonce à vous faire , nous sommes vendredi !
    Vous êtes contents ?

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    @hitaya a dit dans Philosophie :

    Qui est en licence de philosophie ? Est-ce que vous appréciez la philosophie ?

    Je te laisse le choix du philosophe et du sujet , allons-y..

    posté dans Sciences Humaines et Sociales En lire plus
  • Musings Musings

    @LeaPierce a dit dans Philosophie :

    Je déteste la philo, ça me déprime.

    Les philosophes SOCIAUX n'ont jamais été de joyeux drilles , rien d'étonnant.
    Ceux à la marge c'est autre chose mais trop subversifs et absents des différents programmes bien évidemment.

    posté dans Sciences Humaines et Sociales En lire plus
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    @Roma31 a dit dans Philosophie :

    J'ai eu 5 en philo au bac. La prof qu'on avait eu n'était pas organisée ni structurée, sentait la vinasse, ne se lavait ni se changeait jamais. On ne comprenait rien... Et j'ai eu des bonnes notes pendant l'année, je me demandais comment c'était possible parce que je faisais les devoirs au pif.

    Puis j'ai rencontré mon ex mari, maîtrise de philo et qui l'a enseignée. Et on avait toute la collection de livres qui va avec. Ceci expliquerait son goût pour la manipulation ?

    Invite-le ici sur ce fil , je vais me faire une joie de le ridiculiser-dégommer.. (Rires).

    posté dans Sciences Humaines et Sociales En lire plus
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    @hitaya a dit dans Philosophie :

    Qui est en licence de philosophie ? Est-ce que vous appréciez la philosophie ?

    Parlons-en...😎

    posté dans Sciences Humaines et Sociales En lire plus
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    Gérard , lorsque tu te présentes devant les caméras de BFMTV pour ton allocution , n'oublie pas de signaler à l'un de tes guignols se trouvant derrière toi que le masque doit couvrir la bouche et le nez , cela ne fait pas très sérieux.

    posté dans Carte blanche En lire plus
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    Juan et Pedro arrivèrent à l’âge où il est nécessaire de travailler pour vivre. Tous deux fils de travailleurs, ils n’eurent pas l’opportunité d’acquérir une instruction leur permettant d’échapper à la chaîne du salariat. Mais Juan était courageux. Il avait lu dans les journaux comment des hommes issus d’un milieu modeste étaient arrivés, à force de travail et d’épargne, à devenir les rois de la finance et à dominer les marchés et même les nations. Il avait lu mille anecdotes sur les Vanderbilt, les Rockfeller, les Rotschild, les Carnegie. Ces derniers, selon la presse et même selon les livres scolaires grâce auxquels on abrutit la jeunesse actuelle, étaient à la tête de la finance mondiale pour une seule raison : leur acharnement au travail et leur dévotion pour l’épargne (vil mensonge !).

    Juan se livra au travail avec une ardeur sans pareille. Il travailla pendant un an et se retrouva aussi pauvre qu’au premier jour. Au bout d’une autre année, il en était toujours au même point. Il s’acharna au travail sans désespérer. Cinq ans passèrent, au bout desquels — au prix de nombreux sacrifices — il put économiser un peu d’argent. Pour y parvenir, il dut réduire ses dépenses alimentaires au strict minimum, ce qui affaiblit ses forces. Il se vêtit de guenilles : la chaleur et le froid le tourmentèrent, épuisant son organisme. Il vécut dans de misérables taudis, dont l’insalubrité l’affaiblit encore plus.

    Mais Juan continua à économiser tant et plus, au prix de sa santé. En contrepartie de chaque centime mis de côté, il perdait une partie de ses forces. Il acheta un bout de terrain et construisit une petite maison afin d’épargner le prix du loyer. Par la suite, il se maria. L’État et le curé ponctionnèrent ses économies, fruit de nombreux sacrifices.

    Plusieurs années s’écoulèrent. Le travail n’était pas régulier. Les dettes commencèrent à s’accumuler.

    Un jour, un de ses fils tomba malade. Le médecin refusa de le soigner car on ne payait pas ses honoraires. Au dispensaire public, on le traita si mal que l’enfant en mourut.

    Malgré cela, Juan ne s’avouait pas vaincu.

    Il se souvenait de ses lectures vantant les fameuses vertus de l’épargne et autres sornettes du même acabit. Il était évident qu’il deviendrait riche car il travaillait et économisait. N’était-ce pas ce qu’avaient fait Rockfeller, Carnegie et beaucoup d’autres dont les millions laissent bouche bée l’humanité inconsciente ?

    Entre-temps, les produits de première nécessité augmentaient de façon inquiétante. Les rations alimentaires diminuaient de jour en jour dans le foyer du pauvre Juan et, malgré tout, les dettes s’accumulaient et il ne pouvait plus économiser le moindre sou. Pour comble de malheur, son patron décida d’employer de nouveaux travailleurs, à moindre coût. Notre héros, comme beaucoup d’autres, fut licencié du jour au lendemain. De nouveaux esclaves occupaient les postes des anciens. Comme leurs prédécesseurs, ils rêvaient aux richesses qu’ils amasseraient à force de travail et d’épargne.

    Juan dut hypothéquer sa maison, espérant maintenir à flot la barque de ses illusions, qui s’enfonçait, s’enfonçait irrémédiablement.

    Il ne put payer ses dettes et dut laisser entre les mains des créanciers le produit de son sacrifice, le peu de bien amassé à la sueur de son front.

    Obstiné, Juan voulut encore travailler et épargner, mais en vain. Les privations qu’il s’imposait en économisant et le dur labeur qu’il avait accompli dans sa jeunesse avaient épuisé ses forces. Partout où il demandait du travail, on lui répondait qu’il n’y avait rien pour lui. Il était une machine à produire de l’argent pour les patrons, mais une machine délabrée : les vieilles machines, on les met au rebut. Pendant ce temps, la famille de Juan mourait de faim. Dans son sombre taudis, il n’y avait pas de feu, il n’y avait pas de couvertures pour combattre le froid. Les enfants, désespérés, réclamaient du pain.

    Juan partait tous les matins à la recherche d’un travail. Mais qui accepterait de louer ses vieux bras affaiblis ? Après avoir parcouru la ville et les champs, il rentrait chez lui, où l’attendaient les siens, tristes et affamés : sa femme et ses enfants pour qui il avait rêvé les richesses de Rockfeller et la fortune de Carnegie.

    Un après-midi, Juan s’attarda à contempler le défilé de riches automobiles occupées par des personnes grassouillettes sur le visage desquelles on pouvait deviner la satisfaction d’une vie sans soucis. Les femmes bavardaient joyeusement et les hommes, mielleux et insignifiants, les courtisaient avec des phrases sirupeuses, qui auraient fait bailler d’ennui d’autres femmes que des bourgeoises.

    Il faisait froid. Juan frissonna en pensant aux siens qui l’attendaient dans le taudis, véritable refuge du malheur. Comme ils devaient trembler de froid en ce moment ! Ils devaient souffrir les intolérables tortures de la faim ! Comme leurs larmes devaient être amères en cet instant !

    L’élégant défilé continuait. C’était l’heure de la parade des riches, de ceux qui — selon le pauvre Juan — avaient su travailler et épargner comme les Rotschild, comme les Carnegie, comme les Rockfeller. Un riche monsieur arrivait dans un luxueux équipage. Son apparence était magnifique. Il avait les cheveux blancs, mais son visage restait jeune. Juan se frotta les yeux, croyant être victime d’une illusion. Non : ses vieux yeux ne le trompaient pas. Ce grand monsieur était Pedro, son camarade d’enfance !

    En voilà un qui a dû savoir travailler et épargner, pensa Juan, pour avoir pu ainsi sortir de la misère, pour arriver à cette hauteur et gagner autant de distinction !

    Ah ! Pauvre Juan ! Il n’avait pas pu oublier les histoires imbéciles des grands vampires de l’humanité. Il n’avait pas pu oublier ce qu’il avait lu dans les livres d’école où l’on abrutit volontairement le peuple !

    Pedro n’avait pas travaillé. Homme sans scrupules et doté d’une grande malice, il avait compris que ce qu’on appelle honneur n’est pas source de richesses. Par conséquent, il s’évertua à tromper ses semblables. Dès qu’il put réunir quelques fonds, il installa des ateliers et loua de la main d’œuvre à bas prix, de sorte qu’il commença à s’enrichir. Il agrandit ses affaires, loua de plus en plus de bras, au point de devenir millionnaire et grand seigneur, grâce aux innombrables Juan qui prenaient au pied de la lettre les conseils de la bourgeoisie.

    Juan continua à contempler le défilé de ces fainéants(sic).

    Au coin de la rue la plus proche, un homme s’adressait au public. À vrai dire, son auditoire était maigre. Qui était-il ? Que prêchait-il ? Juan s’approcha pour écouter.

    « Camarades, disait l’homme, le moment est venu de réfléchir. Les capitalistes sont des voleurs. C’est uniquement par de mauvaises actions que l’on peut gagner des millions. Nous, les pauvres, nous nous décarcassons au travail et quand nous ne sommes plus capables de travailler, les bourgeois nous jettent dehors et nous laissent sans ressources, de la même façon qu’ils se débarrassent d’un cheval vieilli sous le harnais. Prenons les armes pour conquérir notre bien être et celui de notre famille ! »

    Juan lança un regard méprisant à l’orateur, cracha par terre avec colère et rentra dans son taudis où l’attendaient, affligés, affamés et frigorifiés, ceux qu’il aimait. L’idée que le travail et l’épargne faisaient la richesse de l’homme vertueux ne pouvait s’éteindre en lui. Même devant le malheur immérité des siens, l’âme de ce misérable élevé pour être esclave ne pouvait se révolter.

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  • Musings Musings

    Pluie prévue toute la journée selon France 2 , BFMTV , CNnews... (Paris quoi).
    Je viens de rentrer de mon jogging (pas la moindre goutte)..

    Punaise même s'agissant de la météo , ils racontent des conneries.

    posté dans Écologie - Nature En lire plus
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    @Myra-flore a dit dans Vous avez carte blanche ! :

    @Musings Si ce texte est de toi,c'est magnifique!
    Et malheureusement près de la vérité!

    Bonjour Myra-flore.
    Non ce texte n'est pas de moi (ceci dit il m'arrive d'écrire et j'ai écrit quelques textes mais d'un autre genre) (LOL).
    En effet , à peine caricatural.

    posté dans Carte blanche En lire plus
  • Musings Musings

    @Sky a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :

    @Musings
    -être bien coiffé même au réveil ,

    • pour ne pas se faire tirer les cheveux en soirée SM aussi

    Hahahaha !

    posté dans Carte blanche En lire plus