@lazarus Je tiens à dire que je n'ai (encore) vu ni l'un ni l'autre, mais l'image m'a immédiatement rappelé le style graphique de ces films que j'ai découverts à travers une vidéo de la chaîne YouTube La séance de Marty (chaîne que je recommande absolument et sans réserve) :
Bon, je vais encore devoir faire les fonds de tiroir pour trouver une image, du coup (spoiler : ca sera pas ce soir....)
@lapin Quand j'ai vu le titre, je me suis dit "mais c'est quoi ce plagiat éhonté ?"
... Et puis j'ai compris.
Bienvenue !! (avoue, tu t'es arrangé pour arriver pile 1 jour trop tard pour participer à mon quizz ?!! 
)
Je viens d'entendre parler de la série Visitors, et je dois dire que ce que j'en vois me réjouis d'avance :
Pitch approximatif : une histoire d'extraterrestres qui s'écrasent sur terre avec leur soucoupe... On en sait pas encore beaucoup plus...
Ce série est créée et réalisée par Simon Astier (le frère d'Alexandre, donc) qu'on connait déjà pour avoir joué le rôle d'Yvain dans Kaamelott, mais surtout qui est déjà à l'origine de la série Hero Corp. Si j'avais adoré cette dernière série, pour son coté décalé et original, on ne peut s'empêcher d'y trouver quelques défaut de jeunesse : un manque flagrant de budget, et un casting un peu approximatif et franchouillard notamment.
Mais en regardant le teaser de Visitors (produit par Warner TV), il semble que Simon Astier ait eu ici les moyens à la hauteur de ses ambitions.
Malgré des effets spéciaux à la hauteur des meilleures séries internationales, celle-ci devrait malgré tout conserver son ADN bien français, grâce notamment à la présence de quelques têtes connues : Florence Loiret Caille (le bureau des légendes), Vincent Desagnat, les compères du Palmashow, ou Arnaud Tsamère entre autres...
A suivre, donc...
Et vous, qu'en pensez-vous ?
Ca m'est arrivé plus souvent que je ne voudrais, certainement. Dans un premier temps, c'est la déception. Puis viens le moment de doute. Si une personne que j'apprécie trouve que ce film est merdique, est-ce que c'est moi qui ait tort ? Qui suis-je au fond pour décréter qu'une oeuvre est géniale ? Et puis, finalement, je me dis que tous les gouts sont dans la nature, et je passe à autre chose, avec juste une petite écorchure de plus sur le coeur.
Par contre, ça :
@Shanna a dit dans La déception quand qqun qu'on aime n'aime pas les films qu'on aime :
Elle a regardé le film en faisant autre chose à côté.
Je ne comprends pas, vraiment (et pour le coup, je suis capable de ne plus aimer quelqu'un rien que pour ça. C'est déjà arrivé, d'ailleurs)
Quel homme, et quel acteur ! Il est certainement au paradis des artistes maintenant. Et nous le savons, ce sera notre lot à tous. Tôt ou tard, nous irons le rejoindre...
Rappel : Si vous avez la solution, ne répondez surtout pas directement ici. Seuls les messages privés à @Orabig sont acceptés. >>Les règles sont ici...<<
@lapin a dit dans She-Hulk : Avocate (She-Hulk: Attorney at Law) :
Impossible de ne pas apprécier Tatiana Maslany si on a vu Orphan Black.
Ca dépend, et si on a vu Orphan Black, et qu'on a pas aimé du tout ? 
Mais sinon, je te rejoins, je trouve que ce personnage a juste l'air ridicule. Comparé aux comics, (et à l'idée qu'on se fait d'une She-Hulk), ca manque carrément de muscle... On a surtout l'impression de voir princesse Fiona qui aurait fait un sacré régime....
Je ne crois pas avoir "peur", puisque je le fais déjà de regarder des films. Depuis le début, je parle d'un sentiment de frustration vécu. Pas d'une appréhension hypothétique !
edit 21.09.2025 : l'image n'existe plus
Je rejoins plutôt le commentaire et les conclusions d'@Artelise : "ça doit rester un moment de détente et de plaisir", et parfois, on le perd beaucoup, le plaisir.
Et entre nous, si j'ai plus de plaisir en regardant un film, c'est pas la peine hein 
@music a dit dans Une image, un film :
ma réponse contre ta réponse à ton prochain premier indice du lundi
C'est peine perdue, je suis incorruptible !
Sortie ce mois-ci sur Netflix, Sandman est une série basée sur une série de romans graphiques éponyme de Neil Gaiman.
Elle raconte l'histoire de Morpheus, le roi des songes, l'un des sept infinis (à l'instar de la mort, le désir, le désespoir...) qui se retrouve enfermé dans le royaume des mortels, ce qui a des répercutions graves à la fois pour les humains et dans le royaume des rêves.
Mon avis :
Ne connaissant pas du tout les romans originel, je n'ai pu me faire un avis que sur la base du visionnage de la saison 1, et il est mitigé.
D'un coté, j'ai apprécié l'originalité de l'univers, un clin d'oeil à personnages classiques du folklore fantastique, un mélange d'humour et de situations sombres... Le personnage du corbeau par exemple, contraste par son humour décomplexé avec le personnage de Morpheus, qu'on pourrait trouver trop sombre sinon... Et surtout, visuellement, c'est très maitrisé !
De l'autre, j'ai regretté un scénario qui part un peu dans tous les sens, avec des épisodes qui ont des styles et des enjeux très différents les uns des autres. On regrette par exemple que certains thèmes ne sont pas plus exploités. Sans doute parce que les réalisateurs ont essayé de mettre trop de choses dans une saison 1 ?
Et vous, vous en pensez quoi ?
@Ouma Ha ben ça tombe bien, je me suis laisser tenter hier soir, moi aussi. Et j'en ai vu... Un bout.
J'ai en effet craqué au bout d'une heure tellement c'était mauvais ! (au niveau cohérence du scénario, personnages, réalisation : y a rien qui va ...)
Et me dites pas que c'est parce que c'est du cinéma popcorn : à ce niveau, je préfère largement me faire un bon nanard, parce qu'on moins on rigole. Là, je me suis ennuyé d'une force !
Je pense que je vais essayer des trucs mieux classés dans le classement de @Shanna histoire de me réconcilier avec le genre (pour l'instant, je n'ai que Jaws à mon palmares)
Et c'est reparti pour un tour !
Modernisation des miracles :
- Alors, Superman d'adressa à Batman et dit : " Facile Bruce ".
- Et Batman répondit : "Easy Kal-El"
Rappel : Si vous avez la solution, ne répondez surtout pas directement ici. Seuls les messages privés à @Orabig sont acceptés. >>Les règles sont ici...<<
Alléché par la présentation de l'ami @Koursk , et en panne sèche de série pour le week-end, je me suis laissé tenter. Et alors comment expliquer mon sentiment ? Je sais ! Je vais faire deux parties
@Shanna a dit dans The Password Game :
Tiens ça me rappelle qqun...
(EDIT : bon, j'abandonne à la règle 24, ces mecs sont fous)
@jed a dit dans Titanic (1997) :
Après tous, gros succès pour indépendance day alors que c'est une bouse.
Je peux pas laisser dire ça. Independance day est un film très efficace, qui est lamentable si on le regarde au premier degré, mais du coup ca en devient tellement décomplexé et ridicule que ca frise le génie.
Personnellement, je préfère me marrer en regardant Independance Day avec son second degré involontaire plutôt que Mars Attack avec son vrai second degré, mais qui tombe un peu à plat (et pourtant, je trouve que Tim Burton est un génie, mais même les génies ont leur coup de mou).
Tout sera expliqué en temps, et en heure...
Le plateau a donc profité à @ivoire , @Biquette , @Mai-Tai , @Lu-a-lu , @jool , @Plume et @Marmotte
@shanna a dit dans Des publicités qu'on ne comprend pas :
@doc-cranium Ils avaient qu'à écouter et participer en cours d'anglais, pff.
(je comprends, j'écoutais pas dans les autres cours)
Si c'était aussi simple... De toute ma scolarité de secondaire, j'ai eu une seule prof qui faisait ses cours intégralement en anglais. C'était en seconde, et les premiers mois ont été difficile, mais je pense que c'est l'année qui a été le plus profitable.
Toutes les autres années, le prof parlait français pendant tout le cours, et franchement ça fait la différence.
Ajoute à ça que dans les années 80, il n'y avait pas internet, et qu'aucun film ou série n'était diffusé à la TV en VO (sauf très tard le soir parfois) ni même au cinéma (sauf peut-être dans les grandes villes). Au final, il n'y avait aucune occasion d'entendre parler anglais. Comment apprendre ou même connaitre la prononciation correcte dans ces conditions ?
Maintenant, c'est différent, car avec internet, on peut regarder ce qu'on veut en VO, et ca devient de plus en plus la norme. Je suis content de constater que mes enfants se débrouillent bien en anglais grace à ça.... Beaucoup plus que leurs professeurs ! Pour l'anecdote, ma fille en seconde cette année a pris une option qui lui donne droit à des cours d'une autre matière en anglais, en l'occurence de l'histoire. Pour une raison que j'ignore, le lycée a choisi un prof d'histoire pour donner ce cours, et il parle très mal anglais, à tel point que ca écorche les oreilles des élèves. C'est quoi l'intérêt ? Il est arrivé exactement la même chose à mon fils il y a quelques années, en terminale. Il avait une option "européenne", avec des cours de maths donnés en anglais. Sur le papier, c'est génial. En pratique, c'était évidemment un prof de math qui le donnait, et il galérait manifestement avec la langue de Shakespeare...
Et dans ce contexte, on reproche aux français d'être mauvais dans les langues ?
Introduit dans la rubrique "une image, un film", je vous avais promis une entrée sur ce film de 1986 de Leos Carax.
Le synopsis n'a que peu d'importance : On pourrait vous dire s'il s'agit de l'histoire d'un casse raté, ou celle d'une maladie qui emporte les gens qui font l'amour sans amour (en allégorie au Sida). Ce pourrait être l'histoire d'une rupture, ou d'un amour impossible et platonique, à moins que ce ne soit une histoire de gangster. Tout cela est vrai, mais c'est finalement anecdotique.
Mauvais sang, c'est avant tout un cinéaste, sa caméra, des images, et des acteurs.
Denis Lavant tout d'abord, sauvage, félin, hypnotisant, physique, dans ce qui est sans doute son meilleur role.
Mais aussi Michel Piccoli, imposant, et Juliette Binoche, innocente et superbe dans le role d'Anna, sans oublier Julie Delpy qui est d'une fraicheur absolue. Je ne peux faire le tour du casting sans noter aussi la présence de Serge Reggiani et celle surprenante de Hugo Pratt (oui, le père de Corto Maltese), et une apparition du réalisateur lui-même.
Et autour de ces acteurs, Leos Carax fait tourner sa caméra, se permet des plans audacieux, et des effets de style inattendus. La beauté des images n'atteint pas celle de Annette qui m'aura fait découvrir Leos quelques 30 années trop tard, mais la fraicheur de ce film de jeunesse lui confère sans aucun doute son statut de chef d'oeuvre.
Je peux aussi laisser d'autres parler du film mieux que moi, par exemple dans cet épisode de Blow up trouvé en préparant cet article :
ou cet autre (attention, spoiler, car il déroule l'intégralité du film de 8 minutes)
La saison 1 touche à sa fin, il est donc l'heure de choisir un nouveau thème.
Je sollicite vos avis et idées ici...
