MinaCelentano - Prisencolinensinainciusol (con Roberto Bolle)

Messages postés par parhasard
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RE: Clips dont on aime la musique et la chorégraphie
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RE: Quels sont vos tue-l'amour ?
@Artelise : A chacun.e ses tue l'amour
Bon, dans ce que je cite au début, il y a un zeste d'humour noir, un soupçon de vécu, quelques mesures d'ironie et le reste, disons qu'il fait partie de mes phobies. Le tout saupoudré d'honnêteté. A quoi bon faire semblant, pourquoi s'aveugler sur des incompatibilités ?
La vie est brève, le temps est précieux. On est avec quelqu'un pour être bien. Quel que soit le mode de relation. Pas pour être mal. Pas pour se tenir sur ses gardes, encaisser des vacheries, rentrer les épaules parce qu'une crise s'annonce. Guetter la sortie de secours.
A ce tarif-là, la solitude est nettement préférable.
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RE: Le BDSM
Merci à toutes pour ces explications.
Ne me sentant pas l'âme d'un dominateur (j'ai trop tendance à culpabiliser quand, par maladresse ou négligence, je porte tort à quelqu'un) et moins encore d'un soumis (j'ai largué ma dernière ex en grande partie parce qu'elle jouait les autoritaires...!), je crois que j'aurais du mal à m'intégrer dans ce milieu disons, exigeant. Dont je comprends mieux le souci de confidentialité. -
RE: Quels sont vos tue-l'amour ?
@Hornet : Au choix, l'alcoolisme, la dope, le mensonge, la violence physique, la violence psychologique, elle ou il te trompe, elle ou il se fout de ta gueule quand tu trouves dans le pieu des cheveux qui n'appartiennent ni à l'un ni à l'autre, elle ou il te fait prendre le bock en public, j'sais pas moi ! Vous avez vécu au pays des mickeys où tout le monde il est gentil avec tout le monde ?
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RE: Quels sont vos tue-l'amour ?
@LeaPierce : En cours de relation, non, je ne suis pas d'accord avec toi, Lea, tout n'est pas acceptable : le mensonge, l'alcool à outrance, la personne qui te rabaisse, qui t'impose ses choix comme une évidence à quoi tu devrais nécessairement te plier.
@Hornet a dit dans Quels sont vos tue-l'amour ? :
@icescream C'est quoi un comportement extrême, à part que c'est un mot à la mode ?
Les comportements toxiques, je dirais. L'objectivement inadmissible présenté sur le mode "je suis comme ça, j'ai du caractère, c'est à prendre ou à laisser".
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RE: Le BDSM
@Miss-Audrey a dit dans Le BDSM :
Je ne comprends pas le rapprochement que tu fais entre tous ces éléments ? C'est possible de pratiquer le BDSM sans jamais aller en soirée et sans chercher d'autres partenaires. Il y a plein de gens qui le font. On peut aussi aller en soirée sans vouloir jouer avec d'autres personnes (il n'y a aucune obligation d'aucune sorte). Contrairement aux idées reçues, beaucoup de Doms ne sont pas partageurs et toutes les personnes soumises n'acceptent pas d'être "prêtées" ^^
Tout le monde peut pratiquer chez soi sans aller nulle part. (De toute façon les soirées sont épisodiques donc ça voudrait dire faire très peu de séances dans l'année, ce serait triste )Oui, Ok, mais bon.... Plein de gens pratiquent le BDSM peut-être, mais je n'ai pas le souvenir d'en avoir rencontré. J'ai habité deux villes, une grande, une moyenne, plus la petite ville où je vis actuellement plus une tripotée de villages. Je n'ai jamais vu nulle part d'établissement où sur la vitrine était inscrit BDSM-friendly. Ne le prends pas mal, Audrey, mais le BDSM ça reste quand même un domaine d'initiés ?
Après, quand tu dis "tout le monde peut pratiquer chez soi sans aller nulle part". Je suppose, pour autant qu'on soit deux branchés sur le même trip, et ayant prélablement suivi la formation ad-hoc. Je ne sais pas ce que signifie être Dom ni soumis dans ce cadre-là.
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RE: Boomers vs jeunes et le contexte économique
@Jabba-the-Hutt : Non non, je ne prends rien à titre perso, je désirais seulement tempérer une idée reçue abondamment colportée en ce moment. Et revenir sur un aspect qui est peu évoqué : l'apparition du travail précaire dans les années 80, qui a créé de l'instabilité chez les jeunes concernés et chez les travailleurs plus âgés dépourvus de formation. Les mi-temps appelés alors CES (Contrats emploi solidarité) et par la suite, les jobs sous "contrats aidés" dont les administrations et le milieu associatif étaient les principaux pourvoyeurs.
Pas de quoi fabriquer des yachtmen et des cougars multipropriétaires.
Bien sûr qu'il est plus dur aujourd'hui de s'en sortir qu'en 1980. Vu déjà le prix des loyers, où tu laisses un bras pour avoir le droit d'habiter un placard à balais pompeusement qualifié de "studette" dès que tu habites une ville grande à moyenne qui compte un à plusieurs bassins d'emplois... ou dans sa périphérie. Et les charges incompressibles, et tout le reste. Recalculés à la hausse depuis le hold-up du millénaire, le passage à l'euro-de-singe.
Sur l'augmentation exponentielle des charges, elle va de pair avec celle de la bureaucratie, des plus coûteuses, et du financement des retraites, vu qu'on est de plus en plus de vieux et que ça ne va pas s'améliorer dans les années à venir.
Le noeud est inextricable, en somme...
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RE: Quels sont vos tue-l'amour ?
@icescream : Bah ça dépend de quels extrêmes, et je n'attends pas non plus d'une femme qu'elle soit une tradwife. Dans mes histoires de couple je mettais la main à la pâte, courses, vaisselle, aspi, sanitaires, lessive, linge à étendre, coup de balai. Le couple, je le vois comme une communauté à deux où chacun accomplit sa part de tâches. L'objectif étant de créer une complicité.
Là, je passe en revue du vécu, du côtoyé de près et ce qui me paraît, pour moi, tenir de la mission impossible. D'autres parleront de mauvaise haleine, de pieds à corne, de commérages, de rapports de force, de frivolités, s'il s'agit de femmes, de gras-du-bide, de potes envahissants, de soirées foot, de pieds qui puent, de dents mal tenues, de look à revoir ou d'obsessions mécaniques s'il s'agit de mecs. C'est selon le vécu et les sensibilités de de chacun.e.
Notez qu'à part la cupidité, caractéristique bien ancrée dans l'air du temps, qui vaut à tellement de bonnes femmes de finir leurs jours mariées à leur télé après avoir passé deux décennies à traquer le bon couillon qui saurait pourvoir à leurs fantaisies, leur servir de chauffeur, de banquier, de factotum et de psychologue les jours de pluie où tombe le cafard, sans autre monnaie d'échange que d'interminables apartés biographiques et de vagues aperçus post-érotiques lorsque survient le samedi (je sais, je vais me faire pourrir mais j'y survivrai !), un tue-l'amour peut se corriger, pour autant que sa ou son récipiendaire ait les yeux grand ouvert et suffisamment de matière grise entre les oreilles.
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RE: L'argent fait-il le bonheur?
J'ai l'habitude de vivre de peu. Je fais de la récupe, je bidouille du matos de seconde main. Par exemple, un temps je construisais des unités centrales à base de composants de récupe avant que ça devienne inintéressant (on trouve des ordis à 100 balles sur les sites chinois et Amazon, et moins en ressourcerie, qui suffisent à une utilisation courante). Je précise que je faisais ça pour des particuliers qui n'avaient pas les moyens de se payer un ordi.
Je n'ai pas besoin de posséder quoi que ce soit. Pour moi, le luxe suprême serait de jouir de tout sans rien posséder : je suis allergique aux contraintes.Pour en venir à la question, si l'argent ne fait sans doute pas le bonheur (sans quoi le marché de la cocaïne dans les hautes sphères de la société serait anecdotique), il en faut assez pour s'éviter l'angoisse des fins de mois, et un peu plus pour choisir sa vie.
Choisir sa vie, ça voudrait dire, vivre où l'on a envie de vivre et non là où l'on peut trouver à se loger, pouvoir s'y épanouir soi et y garantir à son couple et à sa petite famille, quand on en a, une existence de qualité. C'est sûr que quand tu vis du RSA et que tu te retrouves en HLM dans la banlieue de quelque ville grise, cerné d'un voisinage toxique et de dealers, il te reste le Témesta.
Le problème n'est pas tant dans les écarts de revenus, même s'il est indécent de ne pouvoir vivre de son travail en-dessous d'un certain seuil, et de voir que le Smic est fiscalisé, le problème c'est ce que nous coûte de vivre dans un pays qui est devenu celui de tous les impossibles, à cause de plusieurs facteurs. Une bureaucratie écrasante qui soumet toute initiative individuelle à un flicage administratif décourageant ; des bas salaires si inintéressants qu'il vaut mieux trouver le moyen de survivre d'allocs ; une politique du logement à la ramasse, où n'importe quel placard peut être loué pour un loyer pharamineux, selon où il se trouve, y compris dans des bleds reculés comme le mien, un désert médical où il n'existe pas de bassin d'emplois, où les petits commerces périclitent, où l'héritier de carrière propose ses petits meublés merdiques de 20 m² à 450 balles et ses T2/3 jusqu'à 900 balles (sans qu'ils trouvent preneurs), frais d'agences en sus.
Coût de la vie, surtaxations électricité, gaz, eau, explosion des normes (DPE et consorts, contrôle technique automobile de plus en plus restrictif, flicages administratifs virant à la pathologie étatique...), inflation récurrente, précarisation des emplois depuis les années 80... Oui, il vaut mieux être bien né dans ce pays qui est devenu une usine à pauvres depuis que l'UE nous impose ses réformes régressives et que sa bureaucratie s'ajoute à la nôtre, déjà pléthorique.On évoquait le Revenu Universel, dont je rappellerais que malgré ses allures libertaires, il est une idée de droite qu'en son temps, Raffarin avait remise au goût du jour. Disons que cela restera au stade du débat, jusqu'à ce que les phénomènes de paupérisation de masse deviennent suffisamment préoccupants pour le devenir du système. Là, on peut penser que le système lâchera du lest et mettra en place un revenu non pas universel mais garanti et sans contrepartie à l'intention des pauvres, sorte de RMI à vie qui s'ajoutera aux bas revenus tirés des contrats jetables et permettra aux gens de se maintenir dans une relative intégration sociale.
Aucun système politique ne survit à la pauvreté de masse...
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RE: L'ufologie, sujet très polémique...
J'aurais juste une remarque à faire sur l'absence, en la matière, de prises de vues, qu'il s'agisse de RR1,2 ou3. Et s'il en existe, soumises à suffisamment d'expertises reconnues pour apporter la preuve qu'il ne s'agit pas de trucages.
Les matos de prises de vues "grand public" existent depuis près d'un siècle (le premier était le Kodacube, les connaisseurs approuveront ou démentiront éventuellement). Les matos vidéo légers et les appareils numériques de poche sont apparus il y a plus de 30 ans, ensuite on a eu les smartphones, les action cams, les caméras placées derrière les pare-brise des véhicules, les caméras pectorales des forces de l'ordre, les dispositifs de surveillance vidéo implantés dans toutes les villes et celles placées autour des propriétés privées.
Partant de là, on devrait disposer à ce jour d'une considérable banque d'images et de vidéos, autres que de vagues formes se baladant sur un écran radar, ou les trucs indistincts ultra-pixellisés qu'on nous présente sur les articles à sensation et qui peuvent aussi bien être des insectes passant devant l'objectif.
On m'objectera les fameuses conjurations gouvernementales, les dossiers classés, etc, l'argument était recevable il y a un demi-siècle. Aujourd'hui, si M. et Mme Toulemonde, en week-end sur le causse Méjean, tombent au détour d'un sentier sur un engin posé sur son trépied autour duquel s'activent des créatures nettement étrangères à celles que l'on rencontre sur notre planète, qu'ils filment le phénomène avec leur smartphone ou leur action cam, et qu'ils le diffusent derechef sur Instagram, je vous garantis le buzz d'enfer ! Or, des buzz de ce genre, on devrait en avoir au bas mot dix par an, au vu de la multiplicité des témoignages qui continuent d'affluer d'un peu partout.... sans que les témoins aient l'idée de dégainer leur smartphone. Bizarre, quand même.
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RE: Ménopause / andropause et prise de poids
Andropause depuis une quinzaine d'années, avec bouffées de chaleur récurrente. Côté prise de poids, je gère : actuellement 80kg pour 1,78 m. Je bois beaucoup d'eau et mange beaucoup de fruits. J'évite le gras. Vie aussi nature que possible. Pas de perte de libido, pas de "gros" parmi mes ascendants et collatéraux, plutôt le contraire et pas envie d'inaugurer. Par contre, gros problèmes d'insomnies.
Silence radio sur l'andropause, comme si elle relevait d'un tabou.
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RE: Le test pour savoir d'où vous êtes
@Shanna a dit dans Le test pour savoir d'où vous êtes :
@parhasard Ce test fait exception alors...
Mais en effet, probablement que ça explique pourquoi on ne lit pas les expressions marseillaises sur le net.Excepté sur les dicos comme celui-ci : https://www.dictionnaires.com/marseillais/definitions-1.html#a
@pompon a dit dans Le test pour savoir d'où vous êtes :
@parhasard en languedoc notre langage est très proche de celui de marseille
Il y a la proximité géographique bien sûr mais le fait aussi que nous sommes les héritiers de la vieille langue occitane dont découlent les patois provençaux, niçois (avec quelques emprunts au gênois, comme pour le monégasque et le corse), le piémontais, le catalan. Pour moi qui ne suis pas hispanophone, j'ai eu plus de facilités à lire un menu de restaurant en catalan lors d'un passage à Cadaquès, j'y ai retrouvé des tournures de phrases familières au piémontais et au provençal (que je peux lire mais ne parle pas).
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RE: Le BDSM
@Kallindra : OK, il s'agit donc de bien se connaître entre partenaires, dès lors qu'il y a cette nécessité de confiance.
Si je te comprends bien, on est là dans le jeu de rôles, aux fins de créer une tension érotique induite par tantôt l'attitude dominante, tantôt soumise ? En supposant que la fantasmatique des partenaires les ait amené.es à rechercher ces situations ?
Cette domination, va t-elle s'exercer, par exemple, en rabaissant verbalement la/le soumis.e ?
Question subsidiaire : à partir du moment où on est dans l'idée d'un jeu de rôles, où le dominant peut jouer le dominé la fois suivante (dans le second exemple que tu cites), comment la tension érotique va t-elle être amenée ?
Imaginons (on va rester pudiques car je pense à autre chose), elle me donne la fessée si elle me domine, la fois suivante c'est moi qui lui donne la fessée, est-ce qu'on ne reste pas là dans le prévisible ? -
RE: Vos musiques d'ambiance
@Kallindra : Dans le même esprit, ceci : https://ambiph.one/
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RE: Les expressions de vos régions
Vers chez moi, en Haute-Provence, le parler est imprégné de locutions marseillaises, certaines issues du vieil occitan, d'autres de l'arabe, du manouche.
Quelques exemples :- Je m'en fiche : je m'en cague, je m'en bats les couilles
- L'évier : la pile
- Passer la serpillière : passer une pièce
- Un vieux vêtement, une vieille chose : une estrasse, une ravanille, un ravan
- Une fille moche : un tromblon, un boucan
- Une fille légère, vulgaire : une cagole, une radasse, une pouffiasse
- Un vieux paysan : un pacoulin
- Un jeune beauf : un kéké, un cake
- Une embrouille : une engatse
- Embrouiller : emboucaner, engatser
- Il n'y a personne : y'a dégun
- Il y a foule : il y a tarpin de monde
- C'est triste (apitoiement) : peuchère !
- Ecarts de langage : déparler
- Le sexe (mâle) : le sguègue
- Le sexe (féminin) : la pachôle
- Voler, subtiliser : chourer, chouraver
- Marchandise de contrebande, issue d'un recel : tombée du camion
etc...
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RE: Être adulte
Je crois que c'est Freud qui définissait la maturité par la capacité à traiter d'égal à égal avec tout un chacun.
Ce que la société attend des personnes dites adultes est codifié, tandis que chacun a son propre parcours de vie, lequel résulte en grande partie de comment on a vécu son enfance, milieu sécurisant ou non, soutien familial ou pas, si on s'est élevé seul, à sa façon, si on a été disons parrainé. Et par la suite, comment on a organisé sa vie selon ses propres besoins, ses attentes, au gré de ses erreurs aussi ; autour du schéma du couple, du socle familial ou hors de ce schéma convenu ; autour d'un métier, d'un talent, d'une passion.
La question portait sur un ressenti de dissonance au regard de son âge. J'y répondrais oui, dissonance entre l'âge temporel que j'ai et l'âge que j'ai dans ma tête. Je ne me sens pas très différent dans l'esprit et dans mon fonctionnement "physique" de lorsque j'avais 30/35 ans, j'en ai 30 de plus et on me prête extérieurement un début de cinquantaine. Il en découle une dissonance générationnelle. Ce n'est pas pour jouer au "petit jeune", mais je ne me sens pas d'atome crochu avec les gens de mon âge temporel, je ne fonctionne pas comme eux, n'ait aucun attrait pour leurs loisirs, leurs goûts musicaux, leur mode de vie. Après, je ne sais pas quelle image je renvoie, je ne m'en soucie pas et j'ai horreur de ces gens qui tiennent absolument à vous situer.
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RE: Le test pour savoir d'où vous êtes
@Shanna a dit dans Le test pour savoir d'où vous êtes :
P.S. autre question : où sont les marseillais sur internet ??? C'est un mystère parce que jamais de la vie je n'ai lu sur le net des mots comme "dégun", "emboucaner", "faire un gaté" et toutes ces expressions que j'ai apprises en regardant Secret Story.
C'est une langue qui se parle dans un périmètre s'étendant en gros de l'Estaque à Toulon dans un axe ouest-est et le Vieux-Port-Aix-Forcalquier-Manosque-Digne en remontant vers le nord. Quelques-uns, comme Philippe Carrese, l'ont employée dans l'écrit. Elle a des origines occitanes, arabes, manouches. Elle est infiniment vivante et on ne saurait la parler avec l'accent pointu
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RE: Le test pour savoir d'où vous êtes
Il m'a localisé à Aurillac, Carcassonne, Limoux, un peu trop à l'ouest puisque je vogue entre Nice (de naissance) et Marseille (culturellement). Mais j'emploie aussi souvent le vieil argot à la Audiard pour avoir évolué dans des milieux où il était encore employé.
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RE: La France est en train de redevenir une société d'héritiers
C'est hyper évident et j'irai même jusqu'à dire que notre XXIème siècle a réinventé le Moyen Age !