Est-ce que certains d'entre vous ont des proches qui ne croient pas au coronavirus ?
J'ai un oncle qui ne croyait pas à la gravité du coronavirus, vu qu'il n'a pas vraiment cherché à contacter les urgences lorsque les premiers symptômes se sont déclarés.
Aujourd'hui je crois qu'il ne croit plus au coronavirus du tout puisque le virus a depuis réussi à mettre fin à chacune de ses fonctions vitales.
On l'a retrouvé le mois dernier, décédé seul chez lui.
Inutile de venir m'exprimer la moindre condoléance, je me doute que vous le pensez. Je n'étais pas particulièrement proche de lui. Il était très particulier et une part de moi se demande toujours comment il a fait pour survivre toutes ces années. Son appart était d'une insalubrité absolue.
@Peri mm, c'est un peu comme de découvrir le secret d'un tour de magie, je sais pas si j'aime bien.
Je comprend le sentiment.
Ca me rappelle ces vidéos virales d'illustrateurs qui parviennent à réaliser des portrait en hachurant au marqueur des rouleaux entiers de stickers avant de les coller.
Ca peut apparaitre comme un exploit demandant des capacités hors norme, des talents d'autistes ou des années d'entrainement.
Sauf que non, le truc est en vérité tout con, accessible à n'importe qui, bon comme mauvais dessinateur, et ce du premier coup. A condition de maitriser un minimum un logiciel de traitement d'image.
@Peri Ah oui pour ça c'est nettement plus facile d'imaginer quelle est l'astuce... Et c'est pas très glorieux.
J'imagine l'artiste dont la vidéo buzz, qui se fait contacter par une agence de comm lui proposant de réitérer ça en live à l'occasion d'un évènement... Et qui se voit contraint de refuser parce que... parce que c'est pas faisable en live sans se faire griller.
Le film avait le potentiel pour faire peur. Vraiment peur.
Au final, il n'aura su se reposer que sur des effets gores et des jumpscares -pour la plupart prévisibles et moyennement efficaces-. Soit la solution de facilité pour nous tirer des frissons avec plus ou moins de succès.
Les effets spéciaux sont bons, on va pas se mentir. Sauf que voila, ça ne suffit plus. Ca fait 25 ans que des images de synthèses nous en collent plein les mirettes, repoussant toujours plus loin les limites du réalisme et de la démesure. Le cinéma hollywoodien peut désormais tout montrer. C'est à la fois sa force et sa faiblesse, car il en a malheureusement oublié que la vraie peur repose souvent dans ce qui est suggéré, et ne se voit pas.
C'est ce qui fait que le plus hideux des zombies ou la plus monstrueuse des araignées, si réussies soient ils, ne peuvent rivaliser avec le sourire figé de Mme Kersh.
Par ailleurs, j'ai été amusé par le fait de présenter Bill Denbrough comme un auteur de talent mais dont personne n'aime les fins de roman. Pas même Stephen King himself qui l'avoue au détour d'un caméo.
Ca pour le coup, c'est méta.
Le grand maitre de l'horreur renierait-il ici la fin de son propre livre ? Et adouberait-il celle du film,
... ne fait pas coucher les jeunes losers entre eux, ne détruit pas Derry en fin d'aventure, et fait tomber Bev dans les bras de Ben plutôt que ceux de Bill ?
Je tiens à signaler que le test RT-PCR est hyper désagréable. On te fout un coton tige dans le nez sans y mettre les formes et on le tourne dans tous les sens. Mon nez et mes sinus ont mis une bonne demie-heure à se remettre de ce viol. è_é
Sans l'avoir vécu, je suis tout disposé à te croire.
Mon père, ancien médecin anesthésiste, y est passé. Lui qui pendant des années m'a servi du "tu sentiras rien", " tu verras, ça fait pas mal" avant de me faire mes vaccins ou autre extraction d'échardes ou de verrues, y a cette fois été de son "la vache, ca fait vraiment pas du bien".
@Peri Personne n'aura jamais la notoriété de Bob Ross de toute façon.
(je précise que j'admire pas spécialement son taf, je me joins juste à tous les internautes qui trouvent le bonhomme sympathique)
Tu savais que le gars était un ancien sergent instructeur de l'armée, à peine aussi patient et pédagogue que le sergent Hartman dans Full Metal Jacket ?
Dans son émission comme dans la vie, il a décidé de devenir un concentré de douceur et de gentillesse, juste pour exorciser ce passé hargneux.
Techniquement on en est déja sorti (cf le spoil dans mon post précédent).
Quand on y réfléchit, ce que nous murmure ce film, c'est ni plus ni moins que:
-M. King, ça vous va si on change la fin de votre histoire, de manière à ce qu'elle reste ouverte (Pennywise mort ? Pas mort?), et qu'on puisse produire des suites, sans que ça ait l'air trop putassier ?
-Faites vous plaisir les jeunes.
Les deux refusèrent de dire lequel d'entre eux avait couché avec la plaignante,
Ce qui veut dire que l’un des deux a accepté de payer une pension pour… rien en fait, puisque son bro va devoir payer aussi.
Un peu cons les mecs. L’un des deux aurait dû avouer. La pension aurait alors été simple et, quitte à se serrer les coudes entre frères, chacun des deux aurait participé à hauteur de 50%.
J'en reviens toujours pas que cet acteur soit devenu sexy grâce à un rôle de tueur en série. Non pas qu'il était pas aussi charismatique dans Six feet under hein, mais il me semble que sa beauté n'y était pas tellement exploitée. Faut croire que les bad boys (very very bad pour Dexter) ont toujours la cote.
Y'a aussi le dresscode qui joue.
Avec ses sweets moulant et sa beubar de 3 jours, Dexter Morgan a plus de coolitude et de sex-appeal que le Dave Fisher rigide et tiré à 4 épingles de SFU.