@apis-32 a dit dans Je ne comprends pas... :
J'ai eu beaucoup de mal à comprendre que :
10 - 10 x 10 + 10 = - 80
Tiens ça m'a rappelé cette vidéo du youtubeur matheux Micmaths.
Il y revient brièvement sur la question des priorités (la méthode scolaire PEMDAS) avant d'aborder le cas particulier de l'opération 6/2(1+2) qui a littéralement déchiré internet.
Dans le film The Twilight Saga: Breaking Dawn - Part 2 (2012), l'équipe a, plutôt qu'un vrai bébé, privilégié une doublure numérique pour le personnage de Renesmée Cullen.
Bravo à @Kallindra pour la Battle. Elle a été serrée (la Battle, pas Kallindra 
) et son extrait était top. Il m'a donné envie de découvrir le film.
Je sais qu'elle a eu du mal à se décider. De mon côté à l'inverse j'ai hésité entre trois scènes : celle de Roger Rabbit, la Carioca de la Citée de la Peur, ainsi que la danse hassidique de Rabbi Jacob.
@Kallindra a dit dans Je ne comprends pas... :
Toute manière, les maths c'est nul
Il n'y a pas de matières nulles, juste de mauvais enseignants. 
Et le fait que les français soient parmi les plus mauvais dans cette extraordinaire discipline me fait dire qu'on doit avoir un paquet de mauvais profs de maths dans le pays (rien que dans ma scolarité, dans mon top 5 des pires enseignants, il y a deux profs de maths)
Ce film, mon petit frère avait été le voir à sa sortie, et il lui avait tellement plu qu'il m'en avait raconté des passages entiers. Notamment la mort du grand vilain, laquelle implique une fenêtre.
Ce qui fait que pendant des mois, j'ai eu le temps de visualiser la scène, la ré-imaginant à ma sauce, n'hésitant pas à pousser à leur paroxisme tous les curseurs de l'horreur.
J'ai finalement vu le film l'année suivante et depuis, dans ma tête, cohabitent deux scènes. Celle du film, que tout le monde connait et qui, vous vous en doutez, m'a déçu.
Et puis "l'autre", véritable pièce d'anthologie du trashouille, un pur fruit de mon cerveau d'ado, alors fasciné par le gore et la violence (je me suis pas mal assagi depuis 
).
@icescream Moi non plus.
Au contraire même, ça fait partie du charme.
Ce sont ces petits défauts, à la fois discret mais aussi évident, qui donnent comme une touche d'authenticité, et qui sont autant "d'indices" laissés à notre attention en vue de mieux comprendre la mécanique de l'effet visuel.
Ce qui a complètement disparu aujourd'hui, période où les plans sont scrutés, re-scrutés, et peaufinés en post prod, ne laissant pas le moindre défaut apparent.
3 excellent extraits, parfaitement dans le thème, en plus d'être cinématographiquement cultes.
Mais puisqu'il faut faire un choix, je vais privilégier les scènes qui ont d'avantage collé à la contrainte, en jouant la carte de la sueur et de la moiteur pesante.
Je vote pour Egon.
Je vote pour Shanna.
@Jonesy a dit dans Les trucs insupportables :
Le client qui trouve que :
le vert-kaki-
caca-marron-mordoré qu'il avait choisit y a trois jours était mieux...
Ça vous dérange pas si on repart la dessus?Non çà me dérange pas..
Je te laisse réfléchir à ton épitaphe. Tu as 2h.
De mon côté j'aime bien ceux qui veulent reprendre la main sur mon travail.
Genre la plaquette bien léchée et paginée faite sur InDesign, pleine de gabarits, de repères, de feuilles de style, en objets, caractères et paragraphes.
Et là le client souhaite qu'en plus des exports pdf, je lui fasse parvenir la maquette en format "word".
Mais le pire que j'ai connu consistait en un magazine complet d'une soixantaine de pages pour lequel j'ai réalisé toute la forme (l'identité, les rubriques, les gabarits, le folio, tout)
Je bosse alors en indé pour une petite agence A, laquelle est en plus sous-traitée par une plus grosse boite B, laquelle rend compte du rendu final au client C (un gros institut public). Autant de niveau de validation qui pouvaient rendre les allers-et-retours ubuesques. Mes propositions pour chaque page devait littéralement passer 3 sas. Une pauvre rubrique pouvait parfois me demander entre 15 et 20 versions différentes (!).
On fait ça plusieurs trimestres, le marché arrive à son terme, et l'appel d'offre est relancée. Contre toute attente et malgré nos efforts, nous la perdons (quand je dis "nous" c'est "A"). Bon là je suis partagé entre l'agacement de perdre un marché, mais le soulagement d'être débarrassé d'un process/usine-à-gaz qui aurait fini par me ruiner la santé physique autant que mentale.
Et c’est là que "A" me demande mes fichiers natifs. Pour les envoyer à "B"... ou "C" (je ne sais plus et je m'en fous, c'est pas la question).
Ah oui mais non. Hors de question que je cède comme ça mes fichiers natifs, c'est littéralement le squelette du mag, l'outil longuement élaboré et pensé pour m'épargner de longues heures de travail superflux. Je me suis engagé à livrer des exports pdf, mais ces fichiers sont à moi, rien ne m'oblige à les céder. Et encore moins à la boite qui va reprendre la main sur mon boulot.
Dans une démarche on ne peut plus professionnelle, je soumet un devis pour les vendre, à un très bon prix, je le précise. C'est refusé.
"Non, mais ils vont pas les utiliser tes fichiers, c'est juste pour les archiver, un truc comme ça"
(ca c'est le directeur de prod de "A" qui s'est de toute évidence déjà engagé à tout livrer à "B/C", pensant que le gentil petit directeur artistique que je suis allait se montrer coopératif. 
Per-du )
Moi : "Bon ok, vous savez quoi ? Je vais vous les envoyer vos fichiers."
Et je l'ai fait... après avoir tout saboté comme un porc. 
Gabaris modifiés, la definition des images écrasée, des vectos pixelisés (cradement), des polices altérées -voir manquantes-, des eps et png convertis en ignobles gifs, des valeurs pantones glissées un peu partout (j'ai même du coller de l'or par endroit), des repères et marges variables selon les pages, des profils d'exports fantaisistes (genre ça va sortir certaines images en 12 dpi, d'autres en noir et blanc, etc...) et pour finir j'ai sauvegardé le tout dans une version bizarre, celle que je jugeais la moins compatible avec tout ce qui existait alors.
Voila, je me suis fait plaisir à rendre le tout le plus inexploitable possible. A tel point que repartir de la page blanche aurait demandé moins de temps que de rattraper mon carnage. J'ai envoyé le tout et n'ai plus eu de nouvelles depuis de B ou de C.
@shanna a dit dans Predator (série de films) :
Je n'arrive pas à retrouver for the life of me la formule exacte utilisée par Thomas VDB pour parler de Twitter, mais c'était un truc genre "Twitter c'est le réseau social des gens qui vont mal"
.
C'est tellement ça. 
Moi qui n'ai pas de raisons particulières d'être triste ni rancunier vis à vis d'une quelconque communauté, je sens ma bonne humeur littéralement siphonnée par ce réseau social les jours où j'y traine un peu trop.
J'imagine donc même pas l'effet sur les gens vraiment en souffrance.
Cliquer dans les tendances
Lire ce qui s'y poste
Dune (1984)
Pour affronter son maitre dans un combat -presque- sans merci, le jeune Paul Atreides a recours à un bouclier énergétique corporel qui le transforme en simili perso de Minecraft.
@Shanna a dit dans Battles du cinéma (4ème édition) - Venez voter ! :
Ironiquement, @Egon et @Peri se retrouvent de nouveau face à face comme au tout premier round dont le résultat fut une égalité de votes.
Comment on va trop se faire un finish de légende, façon shōnen.
@ivoire a dit dans [AJA] Aujourd'hui j'ai appris :
Les frères Bogdanoff, je savais parce qu'ils sont de la même année que mon père. Mais quand j'ai su ça il y a une dizaine d'années, je n'y croyais pas.
Eux aussi, je les imaginais plus jeunes.
Je dois avoir un problème
En ce qui concerne les Bogdanoff, je te confirme que le problème ne vient pas de toi. ^^
Je me jetterai dessus dés le premier jour !
Je surkiffe les réadaptations live-action de Disney. Ce sont autant d'oeuvres majeures qui parviennent magistralement à transcender leur matériau de base afin de nous offrir une expérience cinématographique unique, digne des plus grands classiques de l'âge d'or hollywoodien et du...
@Jiminy_Petanck_aka_la_conscience_de_Peri a dit:
Euh attends, tu déconnes là ?
Complétement ! Ca s'est vu ? 
@Jiminy_Petanck_aka_la_conscience_de_Peri a dit:
Disons que je commence à te connaitre.
@Shanna a dit dans Les choses grotesques dans les films :
Beaucoup + dans les séries que dans les films, mais ce cliché est persistant : lorsqu'une femme rentre chez elle, seule, fatiguée de sa journée, le premier truc qu'elle fait c'est évidemment se servir un verre de vin (le plus souvent stocké dans le frigo), et dans un verre à pied s'il vous plaît.
(ou comment glamouriser l'alcoolisme / la dépression)
Un autre réflexe de la jeune femme seule chez elle dans les films, quand vient le moment d'exprimer, soit sa rebellitude, soit un trauma : se couper soi-même les cheveux.
"Non, le “dans l'hair du temps”, tu n'auras pas mes 40 euros"
@Marcel A ton service !
Voici un récap de la liste, à laquelle ont été retirés les pitchs trouvés, et ajoutées les propositions erronées.
Pitch 1 : Tron, trouvé par Doc-Cranium
Pitch 2 : CLH de deux gars qui sortent de prison. Ce qui va se passer c’est que le pire des deux, celui qui avait clairement mérité sa peine, va réussir à rebondir assez facilement dans la vie civile, alors que l’autre, dont on se demande presque pourquoi il a été condamné, va se retrouver à galérer comme jamais pour se ré-intégrer. Et je ne vous raconte même pas la façon dont certains fruits de mer vont venir perturber son transit.
Pitch 3 : Matrix, trouvé par Elenwey
Pitch 4 : Indiana Jones and the Last Crusade, trouvé par Shanna
Pitch 5 : Mars Attacks !, trouvé par Lapin
Pitch 6 : CLH d’un pauvre gars, junkie, schizo et SDF. Oui, le genre qui cumule bien les problemes. Son chemin va un jour croiser celui de deux livreurs. L’un est pédagogue, patient, ouvert au dialogue, l’autre est odieux, menaçant, parano. On serait tenté de voir les valeurs du premier triompher. C’est l’inverse qui se produira, la suite de l’histoire donnera entièrement raison au second. Un film bizarre.
Pitch 7 : CLH d’un homme brisé. Rendez-vous compte, son fils est mort, par sa faute, sa négligence. Pour surmonter ça, il va s’investir corps et âme dans son boulot mais en vain. Très vite, l’idée de se suicider sur son lieu de travail va peu à peu s’imposer à lui. Au final il sera sauvé in-extremis par un collegue un peu fantasque, adepte de théories pseudo-scientifiques… Ensemble, ils tueront un dieu.
Pitch 8 : Wall-e, trouvé par Jed
Pitch 9 : CLH d’une pauvre veuve. Le décès soudain de son mari va littéralement déchirer sa famille. Ses gosses vont finir endettés, quand ce n’est pas emprisonnés, et pour tenter de limiter la casse, elle finira dans les bras d’un gars toxique au possible qui, comble de l’horreur, va s’avérer être à l’origine de tout son malheur.
Là on serait tenté de considérer la situation sans espoir. Elle sera pourtant miraculeusement rattrapée suite au craquage d’une simple allumette. Le feu comme élément salvateur ? Pourquoi pas, après tout…
Pitch 10 : Danse avec les loups, trouvé par icescream
Pitch 11 : CLH d’un immigré qui va chercher à s’intégrer au sein d’une société assez xénophobe, en réalisant des petites actions d’intérêt publique à gauche et à droite, et surtout sans attendre la moindre rétribution en retour, en total bénévole. On s’en doute, l’initiative va déplaire à certains, notamment à deux milliardaires qui, chacun dans leur coin, vont tout faire pour le tuer. Ah oui ! À un moment il y a une vieille qui déboule de nulle part, armée d’un bouclier et une épée.
Pitch 12 : CLH d’un triangle amoureux. En gros, deux gars sont profondément amoureux de la même fille, et elle-même -et ça peut se comprendre- a du mal à faire son choix entre les deux. Jusqu’au jour où, au détour d’une visio, l’un des deux, comme poussé par le destin, va être amené à dire au revoir à la fille. Le truc c’est qu’au final •twist• c’est en fait l’autre gars qui va finalement partir, par pur amour, réalisant à quel point la fille en souffrirait sinon. Un vrai gentleman. Du coup, c’est dur pour la pauvre fille et y’a personne pour l’aider. Enfin si, y’a plein de gens autour d’elle à ce moment là, mais ils s’en foutent. Ils regardent la télé.
Pitch 13 : CLH d’une fille qui, après avoir presque réussi à tuer son petit copain, va s’enfuir, pour finir internée dans un institut spécialisé. Ca aurait pu s’arrêter là, si un groupuscule terroriste n’avait pas décidé de faire appel à ses compétences dans le cadre d’une opération de tuerie de masse. Ah oui, et à moment, il y a un gars qui mange un oiseau. Vivant, avec les plumes et tout.
Pitch 14 : La Planète des Singes, trouvé par Mai Tai
Pitch 15 : C’est l’histoire d’un pauvre gars qui va, malgré lui, devenir le cobaye d’une experience gouvernementale assez chelou. En gros, on va lui injecter un machin totalement expérimental, ce qui va lui occasionner de gros effets indésirables (genre il va commencer à entendre des voix, ne plus reconnaitre sa tête dans le miroir, prendre des décisions complètement farfelues). Cette expérience va avoir sur lui de telles répercussions d’ordre psychologique qu’il finira même par… manger quelqu’un. Oui, littéralement. En entier.
Pitch 16 : CLH d’un gars, un cuistot il me semble, qui a un super-pouvoir. Et un jour, il va rencontrer un gamin qui a le même pouvoir que lui. Il vont bien s’entendre et notre cuisinier va lui expliquer un peu ce qu’est ce pouvoir, comment s’en servir. Le courant va bien passer entre eux, à tel point notre cuistot va s’engager à venir en aide au gamin, si besoin. Bien mal lui en prendra, ça lui coutera la vie. Au cuistot.
Pitch 17 : CLH d’un clerc de notaire dont le boulot ne va pas s’avérer si pépère que ça. Déjà l’un de ses clients va le séquestrer, le livrer en pâture à des amies à lui bien sadiques, pour enfin tenter de lui piquer sa copine. Notre notaire, il va pas se démonter. Il finira par se resaisir, s’évader et, en guise de riposte bien vénère… épousera sa fiancée, puis tranchera la gorge du client. Oui, dans cet ordre. J’imagine même pas la réaction de notre gars si le client lui avait en prime tué son chien. En supposant qu’il ait un chien, bien sur.
Pitch 18 : CLH d’un membre d’une mission d’exploration qui va se retrouver tout seul en terrain hostile, après que le reste de son groupe l’ait malencontreusement laissé sur place.
Notre bonhomme, qui est très débrouillard et qui a de toute évidence de bonnes connaissances en botanique, il ne va pas se laisser abattre. Il sait qu’il est dans la merde, mais il va vite réussir se mettre à l’abri, et commencer, d’un côté à faire pousser des trucs, et de l’autre à bricoler tout ce qu’il peut trouver, en vue de rétablir la communication avec les siens. Et ça va bien se terminer pour lui. Enfin, sauf à un moment où il meurt.
(pas Seul sur Mars)
Pitch 19 : CLH d’un pianiste, le genre de gars super fort pour ambiancer et électriser les pubs façon « piano bar ». Il ne fait absolument pas ça pour la drague ou la frime. Il est marié, a un gosse et est grave fidèle à sa famille. Le truc c’est qu’il les voit peu, son métier l’obligeant à pas mal voyager. Le mec passant pour ainsi dire sa vie dans les avions. Et c’est bien tout le problème vu qu’un jour son avion va s’écraser… et le tuer.
Pitch 20 : CLH d’un mec qui a des problemes avec sa femme. On le sent parce que dés le début le gars n’a qu’une envie, c’est de se barrer, de s’évader, de se prendre des vacances en solo, sans elle. Faut dire que elle, elle ne fout visiblement pas grand chose, et passe ses journées à faire de l’aérobic, ce genre de truc. De plus, on découvre qu’elle a un amant. Tout ça fait que, forcement, on n’a du mal à prendre son parti à elle, quand bien même son mari commence à violemment la frapper, et finit même par la tuer. D’une balle dans la tête.
Pitch 21 : CLH d’un duo de détectives qui officie dans une ville, le genre de ville bien dark et bien crade où il ne faut pas espérer bronzer. Le duo est ici constitué d’un vieux, sage et tempéré, qui est un peu la voix de la raison et de l’expérience, et d’un jeune beaucoup plus tête brulé et arrogant, et qui évidemment n’aime pas se faire recadrer par le vieux. Ensemble ils vont traquer un tueur en série qui, visiblement, aime bien les jeux de piste vu qu’il n’arrête pas de semer à gauche et à droite des indices à leur attention. Le tueur se fera finalement arrêter, mais pas avant d’avoir perpétré le dernier acte de son plan machiavélique. Voilà, que dire de plus si ce n’est que… y’a toute une scène qui se passe la nuit d’Halloween.
(pas Se7en)
Pitch 22 : CLH d’une femme qui malgré ses incroyables talents de persuasion, va se retrouver contrainte de quitter son foyer et suivre son conjoint qui vient d’être affecté à l’étranger. Et là bas, ça ne va pas bien se passer pour elle. Déjà son mec va se faire tuer. Et puis c’est la spirale. Elle va tourner accroc à la drogue, et va quasiment tout perdre, hormis ses deux enfants. Enfants qui vont devenir les maitres du monde, mais ça c’est une autre histoire.
Pitch 23 : CLH d’un soldat vétéran du Vietnam (je crois) qui souffre d’un violent stress post traumatique, et a sombré dans l’alcool. Il va alors chercher par tous les moyens à s’en sortir, à surmonter ses démons et notamment renouer avec sa copine. Bon je vous spoile, il y parviendra, à la sueur de son front. Et en partie parce qu’un fan de péplum et son confrère basketteur ont tous deux fait une intoxication alimentaire.
Pitch 24 : CLH d’une fille, plutôt jeune, qui est retenue prisonnière, mais qui parvient -on ne sait trop comment- à avoir accès à un systeme de visio lui permettant de rentrer en contact avec le reste du monde. Et c’est un peu un genre de chatroulette, dans le sens où la fille ne choisit pas et ne sait jamais sur qui elle va tomber. Du coup les gens qui voient l’image de cette fille sur leur écran, se demandent qui c’est, et comment ils peuvent l’aider. C’est cool, ça part d’une bonne intention. L’ennui c’est qu’au bout de quelques jours, en général les gens passent à autre chose. Oui, une vraie soupe à la grimace ce film.
Pitch 25 : CLH d’un gars qui est une véritable incarnation de la démesure et de la sur-consommation. Il se prive de rien, explose l’addition dans tous les restos où il se pointe, quand il ne drague lourdement, sans le moindre complexe ni le moindre scrupule.
Et puis, quand vient le jour où on va lui diagnostiquer un grave probleme cardiaque, il se retrouvera bien contraint à se remettre en question. il va alors juste s’autoriser un cheeseburger pour bien marquer le coup et après, finies les conneries. Retour dans le droit chemin. Pour l’aider il pourra évidemment compter sur les conseils d’un ami, conseils qu’il suivra… plus ou moins. Ceci étant dit, peut-on vraiment parler d’un ami ? Le pote en question a quand même un petit quelque chose d’imaginaire.
@LeaPierce a dit dans Unpopular Opinion :
@want-wish Ce petit bourrelet la rend unique
️
Si le Multipla était un animal...
Allez, essayons tout de même de déceller un peu de bon dans tout cela. Une bonne surprise peut toujours arriver.
Perso je trouve que Pierre Richard en Panoramix et Jérome Commandeur en Abraracourcix, ça ne match pas trop mal. Et Cassel en César, ça a de l'allure...
A voir sur le reste.
Dans un film, une bombe dispose toujours d'un minuteur à compte à rebours.
Dans la réalité, je ne sais pas trop, mais de par son inutilité, l'accessoire doit être beaucoup plus rare.
@Orabig a dit dans Battles du cinéma (5ème édition) :
(et pourtant, Lethal weapon c'est mon adolescence, hein ! Mais bon....)
Aussi.
