Meilleurs messages postés par Trichemire

@Hornet J'ai pas rejoué depuis !
Je note que tu veux me voir râler, pestiférer, vociférer, maugréer, ronchonner, rouscailler !

J'ai beaucoup envie de me mettre à la VR. J'avais déjà plus ou moins envie, j'ai testé une fois avec @Egon et c'était une très bonne expérience. Même si ma maladresse est toujours valable en VR (genre je sais pas tenir une arme à deux mains).

Et vous lire ça donne envie aussi.

Je pense que je me prendrais la console + le casque d'ici deux mois. De voir qu'il y en aura un autre c'est bien, mais c'est dans un lonnnnng moment.

Puis Nintendo me déçoit ces dernières années, j'étais heureux de la Switch à la base, mais il n'y a pas tant de jeux si incroyables que ça, et c'est pas mal de recyclage.

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Bonjour,

Je viens faire une brève présentation sur un jeu qui s'est révélé être une très bonne surprise pour moi, Hades. C'est un rogue-like qui est plutôt nerveux, comparé à d'autres jeux de cette catégorie, comme par exemple Binding of Isaac.

Concernant le scénario du jeu, nous incarnons Zagreus, le fils de Hades.

Nous devons nous échapper des enfers. Et notre père n'est pas trop de notre avis. Il est vénère, et fera tout pour nous faire échouer dans notre quête.

Beaucoup d'obstacles se dresseront sur notre route, et divers ennemis sont prêts à nous pulvériser. Vous pouvez vous préparer à échouer de forts nombreuses fois, et de manière fort lamentable. De quoi ainsi vous préparer à de nouvelles tentatives de fuites.

Durant chacune de ces tentatives, vous serez aidés de différentes divinités de l'Olympe. Et c'est bien foutu. Les divinités ont des dialogues variés et proposent des pouvoirs qui peuvent être très intéressants. Chacune des tentatives promet de la variété selon les divinités sur lesquelles on tombe. Vous pouvez par exemple avoir beaucoup de bienfaits issus de Zeus, et lancer des éclairs dans tous les sens.

Le design des divinités est bien réalisé ! Par exemple, voici Aphrodite :

De plus, avant chaque tentative, nous pouvons personnaliser notre personnage sur différents plans. Le fait de pouvoir choisir une arme parmi plusieurs ajoute de la variété dans la façon de jouer. Pour citer les premières armes uniquement, nous avons une épée, un arc, ou bouclier. Si vous êtes un lâche, l'arc est fait pour vous !

Le jeu est assez complet et a une bonne durée de vie. Si vous aimez les rogue-like, je vous le recommande vivement !

Bonjour !

Je vous propose à chacun, de créer un topic sur votre top 10 de vos films préférés !

Je vais commencer avec trois films, c'est troooop dur d'en sélectionner dix. Et au moins j'ai de la marge.

Alors sans hésitation, en premier choix Birdman, le meilleur film de super-héros de tous les temps. Le film est très bien réalisé. J'adore l'aspect à peine satirique qui s'en dégage ( ah ces acteurs, ah ces journalistes ! ). Et ce choix d'avoir pris comme acteur Michael Keaton, excellent.

Je me souviens à la sortie du cinéma, qu'on avait tous apprécié ce film, et que nous avions aussi interprété différemment la fin du film. A débattre pourquoi sa fille regardait en haut dans la dernière scène comme s'il s'envolait, et si cette scène était réelle ou imaginaire.

En deuxième choix sans hésiter Rush. La formule 1 ne me plaît pas trop donc si j'ai aimé et retenu ce film c'est qu'il est très bien et pis c'est tout. Les deux pilotes de formule 1 Hunt et Lauda sont bien développés et ont une personnalité attachante et cohérente ( je ne viserai aucun autre film ! ). La relation entre les deux pilotes est ce qui m'a le plus intéressé. Ainsi que l'évolution de cette relation, avec un véritable respect réciproque vers la fin du film.

En troisième choix je pense à mon oncle de Jacques Tati. J'avais aimé ce film burlesque mais c'est assez difficile de le comparer à des films modernes. Il est relativement simple et comporte peu de dialogues. J'aime bien l'ambiance vieille France de ce film, et la critique de la société qui en est faite, en particulier de l'évolution technologique.

@Roma31 Il y a un problème avec le lien, il faut enlever le "u" final !

Sinon pour répondre au sujet non je n'en croise pas, mais c'est plus que ça, je ne crois pas à cette expression du "pervers narcissique". C'est un peu une expression fourre-tout pour désigner quelqu'un de "mauvais" et qui n'a pas un véritable sens dans le domaine de la psychiatrie. A la limite il y a le trouble de la personnalité narcissique mais c'est autre chose.

Le véritable problème aussi est de qualifier simplement une personne de "pervers narcissique", et donc de prendre le risque de masquer de véritables pathologies sous-jacentes, pour lesquelles cette personne ne serait pas suivie ou soignée.

Je n'ai pas une bonne opinion de ce film.

J'ai vraiment l'impression qu'il a été écrit par un lycéen.
Le film est joli. Par contre on frôle l'indigestion de références à la pop culture, pour faire un bon film il faut un peu plus que cela.
Par exemple un scénario un peu plus abouti, un peu plus subtil, est-ce trop demander ?
Et des personnages inintéressants et un minimum crédibles. Parce que le protagoniste qui tombe toujours amoureux pour le meilleur et pas pour le pire, c'est un poil... prévisible.

Je me tais sur la fin du film parce que cela engagerait des propos hors-charte.

Road 96 est un jeu d'aventure sorti récemment (16 août) dans lequel nous incarnons un jeune ado qui cherche à quitter son pays.

L'originalité de ce jeu vient du système procédural : chaque partie propose des routes différentes pour parvenir jusqu'à la frontière et la traverser. Les choix que nous effectuons dans notre partie influent légèrement sur le chemin pris.

Lorsqu'une partie est finie avec notre ado, nous recommençons ainsi avec un autre. L'important dans ce jeu n'est pas vraiment la destination mais le chemin : certaines réponses que nous apportons auront un impact sur la fin du jeu.

Lors de nos voyages, nous rencontrons 7 personnages de façon récurrente, que nous apprenons à connaître au fur et à mesure. Le plus intéressant se nomme Jarod.

Le jeu est plutôt joli sur PC même si l'on voit les limites techniques. La version Switch souffre d'un manque d'optimisation comme bon nombre de portages.

Comptez 5 heures de jeu pour finir le jeu. La durée de vie est un peu courte ainsi que le contenu.

Le système procédural est une fausse bonne idée : en fait il y a un certain nombre de scènes dans le jeu (la plupart avec les 7 personnages), quelques unes sont obligatoires et dans un certain ordre. Pour les autres, l'ordre est aléatoire. Et vu que c'est aléatoire, c'est parfois mal amené. En effet il est pénible d'entendre le secret d'un personnage alors que c'est la troisième fois que l'on l'entend. Et parfois on ne comprend pas trop la scène car l'on n'a pas assez de recul sur le personnage en question.

Le jeu aurait gagné en immersion à ne pas adopter un tel système.

Quant à la qualité des scènes, certaines m'ont assez ennuyé alors que d'autres étaient fort intéressantes. Il y a de bonnes idées mais pas suffisamment.

Un autre défaut concernant l'immersion, c'est la question du choix. La plupart du temps, nous n'avons pas le choix. Notre réponse n'influera en rien et c'est dommage. Par exemple, on nous demande à plusieurs fois de l'aide. Si l'on répond non, on est malgré tout obligé d'aider. Pourquoi laisser l'illusion du choix ?

Le jeu est assez simpliste niveau narration... cela reste un jeu moyen...

La rejouabilité est nulle à partir du moment où l'on a fait toutes les scènes avec les 7 personnages. Le côté procédural n'y change rien.

A acheter en solde si vous aimez ce genre de jeu.

@Arsifal a dit dans QUIZ - Affiches de films :

oh putain la Bérézina

Oui je confirme le titre est bien pourri.

Les pauvres, c'est fait pour être très pauvres, et les riches, très riches !

Je suis d'accord avec toi les inégalités sociales devraient être un sujet bien plus préoccupant. Mais une certaine gauche, au lieu de s'en occuper, préfère être dans le camp de la morale, et combattre la majorité du temps des moulins à vent. Cela a le mérite d'être plus facile.

Il n'y a pas de justice sociale, les dés sont pipés à la naissance. Selon la classe sociale de nos parents. Cela va forcément impacter notre éducation, notre savoir. Par exemple en classe préparatoire il n'y aura pas beaucoup d'enfants d'ouvriers. Ce n'est pas juste un problème pour financer les études mais c'est tout un environnement familial dans lequel on évolue qui joue donc.

De plus nous héritons du réseau de nos parents, ce qui peut avoir l'avantage de donner certaines opportunités durant notre existence.

J'avais retrouvé un article sur ce phénomène de reproduction sociale :
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/06/15/20002-20180615ARTFIG00220-selon-l-ocde-il-faut-six-generations-pour-qu-une-famille-pauvre-atteigne-le-revenu-moyen.php

Les douleurs fantômes concernent l'ensemble des sensations douloureuses que peut avoir un individu à des endroits de son corps qui ne lui appartiennent plus. Généralement on parle de douleurs fantômes pour les personnes ayant été amputées d'un membre.

Assez étrange, n'est-ce pas ?

Dans le passé, l'existence de douleurs fantômes a pu considérée comme un argument en faveur de la présence de l'âme.

L'évolution de la médecine a permis d'y voir plus clair dans l'explication de ce phénomène : si un membre est amputé, il persiste toutefois une zone dédiée dans le cerveau qui correspond à ce membre. Le cerveau envoie des signaux en direction du membre, mais il n'y a pas de retour et le cerveau n'interprète pas correctement la situation. Pour lui, le membre existe toujours.

Par exemple pour une personne amputée d'un bras, elle pourra éprouver de manière aléatoire des douleurs au niveau de son bras, avoir l'impression que son bras se tord dans tous les sens. Sans pouvoir véritablement le contrôler.

Ce phénomène s'atténue avec le temps et il existe diverses stratégies pour réduire les douleurs.

Une des thérapies efficaces utilisées est la technique du miroir pour les personnes amputées d'un bras, d'une jambe : le principe est de duper le cerveau en obtenant un retour visuel sur les mouvements du membre manquant.

Ces dernières années, d'autres thérapies ont vu le jour, basées sur la réalité augmentée et la réalité virtuelle. Le principe est le même que pour la thérapie du miroir : tromper son cerveau. Et les résultats sont particulièrement encourageants.

Connaissez-vous ce phénomène ? Qu'en pensez-vous ?

@djino C'est curieux comme interprétation !

Et là tu vois quoi ? C'est pour une expérience per-son-nel-le !

@Egon a dit dans Vous avez carte blanche ! :

Y'a Kheiron qui a lâché cette blague sur Twitter hier et il est en train de se faire blacklister de partout :

Propose-lui cette blague, ça fera un carton sur Twitter :

Quel est le point commun entre les Juifs et les baskets ?

Je peux enfin goûter aux joies de la VR.

Après un bad trip sur Phasmophobia, je me suis lancé dans Beat Saber. C'est trop cool de manier des sabres laser à la Darth Revan !

Je prends une musique au hasard, et c'est parti pour le mode expert plus. Je vais tout casser ! Et puis je n'ai pas compris ce qu'il s'est passé. La musique a duré environ cinq secondes. Sûrement un bogue du jeu. Je pars demander le remboursement.

@Arsifal

Bon j'arrête.

@leo a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :

Et si cela a effectivement un peu changé... ce simple déni de pressions, ce cri d'un homme (Trichemire) pour s'inquiéter que les hommes puissent se plaindre, cette affirmation, toute masculine d'avoir déjà fait la 'totale' mise à jour, de se situer au-dessus de ces catégorisations d'un autre âge (glacière), est à mon sens, incroyablement illustratif !

Ah oui j'avais complètement oublié ce topic mais je pense qu'il faut un peu se calmer sur la consommation de café.
Ma réponse était totalement ironique, il est évident que chaque individu ressent une forme de pression sociale, qui peut être plus ou moins marquée. Pour moi cela n'a pas de sens de différencier les hommes des femmes car ils disposent des mêmes vices.

Les individus, qu'ils soient hommes ou femmes, sont particulièrement soumis à l'influence normative, et ce dès l'enfance. A l'école primaire c'est déjà quelque chose de bien ancré en eux. Ils intègrent déjà ce que l'on peut appeler les stéréotypes de genre. Et cela transparaît forcément à l'âge adulte, que ce soit de manière consciente, ou pas.

Certains s'en accommodent fort bien, d'autres pas du tout.

@Egon Oui mais non, tu me fais culpabiliser maintenant ! Tu es machiavélique !
Par contre prendre le train je ne vois pas comment ça peut rendre heureux.

Bon je vais compléter ma liste :

• venir sur le forum.
• vous taquiner.

Sinon dans les trucs un peu plus classiques ( ou pas ) :

• être réveillé par le chant des oiseaux le matin.
• parler des heures avec ses amis ( un + s'il y a une pinte ).
• parler de politique lors des repas de famille pour faire du 1vstous car ça met de l'animation.
• arriver à commencer un livre.
• arriver à finir un dessin.
• avoir 30 ans.

@Shanna a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :

@Trichemire C'est celui-ci nan ? Un sourire neutre et mystérieux.

Aussi neutre que celui-là :

Alors mon parcours :

• Bac S.
• 1ère année de prépa PSI.
• licence d'informatique.
• master d'informatique.
• "ingénieur" en info, incroyable n'est-ce pas !

@jean a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

Je ne travaille plus depuis 2001. Surmenage professionnel, puis problème neurologique et quelques autres petites saloperies.
J'ai un BEP-CAP comptabilité (1978).
J'étais responsable (mais pas décisionnaire, ni cadre) de la comptabilité fournisseurs, de la paie et des charges sociales, du suivi des congés payés et de la gestion des déplacements pour la formation continue de la gestion de l'ordinateur (40 écrans branchés sur l'unité centrale). J'étais aussi chargé de la négociation et de l'achat des fournitures de bureau et imprimés. Bref, 50-55 heures semaine et 1700 € par mois avec la prime sur les bénéfices. Bref, trop bon trop con ! Mais j'aimais mon boulot. Mais trop de parasites dans la PME (75 personnes).

Ah oui 50-55 heures ça fait beaucoup ! Tu as fait ça combien de temps ?

C'est un sujet assez compliqué et il faut arriver à peser le pour et le contre pour bien légiférer.

Il est évident que des handicapés moteurs souffrent sexuellement (et pas que). Et je serais plutôt favorable à la légalisation d'assistance sexuelle, qui serait exercée et contrôlée par des professionnels de santé.

Il faut faire très attention car une personne handicapée est aussi une personne vulnérable !

Pour faire un peu l'avocat du diable, je suis allé voir ce que disait le Comité consultatif national d'éthique à l'époque, je cite :

Le CCNE considère que la vigilance s’impose lorsque le corps d’un professionnel est mis en jeu pour des contacts intimes. Comment pour le professionnel mettre en jeu son intimité physique ou sexuelle sans que le choix de sa volonté ne soit accompagné de celui de son désir? Comment faire de cette activité un geste comme un autre, sans plus d’incidence qu’un massage thérapeutique par exemple?

-Le rapport de la commission parlementaire traitant de la prostitution inclut la question de l’aide sexuelle aux personnes handicapées. Les associations de personnes handicapées qui revendiquent cette aide contestent cette assimilation à la prostitution. Il est pourtant difficile de la qualifier autrement, sauf à en faire une activité non rémunérée.

-Les documents consultés et les auditions ont montré combien la situation d’aidant sexuel est loin d’être facile. Il est apparu que l’aidant pouvait se trouver malmené même involontairement et la relation sexuelle devenir différente de ce qui avait été prévu contractuellement. Ont été évoqués également les situations d’abus de la part des aidants comme les chantages dont ils peuvent être eux-mêmes victimes. Le refus de l’angélisme à cet égard doit être général et concerner toutes les personnes impliquées.

-On ne peut évacuer la difficile question de l’instrumentalisation, même consentie,rémunérée ou compassionnelle du corps d’une personne pour la satisfaction personnelle d’une autre. Il ne peut être considéré comme éthique qu’une société instaure volontairement des situations de sujétion même pour compenser des souffrances réelles. Le CCNE considère qu’il n’est pas possible de faire de l’aide sexuelle une situation professionnelle comme les autres en raison du principe de non utilisation marchande du corps humain.

source : https://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/publications/avis_ndeg118.pdf