@ayamé a dit dans Quelqu'un peut-il m'expliquer en quoi consiste l'islamo-gauchisme ? :
@want-wish : ton exemple cite 2 communautés en conflit.
C'est un exemple justement avec schematisation extrême.
Perso, j'envisage plutôt le problème des agissements de certains membres communautaristes
contre les valeurs françaises dont la liberté de penser et de dire et la liberté de pouvoir circuler
sereinement sur tous les territoires : certains sont carrément interdits aux Blancs.
Mais ce "certains membres " aboutit à :
Quid de la laïcité, laquelle permet bien à tout culte de pouvoir librement se pratiquer, normal,
mais en aucun cas dans la sphère publique. Partant de là, pas de signe ostentatoire de religion dans celle-ci.
Il faudrait rappeler ce qu'est la sphère publique, parce qu'il semble bien que ce mot,
comme celui de démocratie, n'ait plus guère de sens aujourd'hui !
ayaméayamé 27 juin 2021, 09:27
@want-wish : c'est bien ainsi que je l'entends aussi.
Mais vois-tu, je suis fatiguée d'entendre parler d'islam, d'une façon ou d'une autre, à tout bout de champ.
Quand je parle des musulmans modérés qui font aussi les frais de la montée du fondamentalisme
(pour employer un autre mot que radicalisation ), il faut savoir que l'imam de Drancy, Hassen Chalghoumi,
fait partie des personnes les plus menacées en France, notamment par l'activiste Abdelhakim Sefrioui
( à partir de 6mn30 de la vidéo ).
Rabia Franoux Moukhlesse, musulmane progressiste, se fait traiter d'islamophobe par les " fous de Dieu ".
Déjà oui, je suis chiante, mais elle est où la jauge pour pouvoir dire "modéré". Je ne nie pas qu'il y ait des fondamentalistes et un mouvement radical actif. Mais à quel moment, et qui dit ça oui, ça non, ça c'est bien, ça cela n'est pas...?
Le problème n'est pas une soi-disant islamophobie de la part des Français, il faut rendre à César
ce qui appartient à César, mais bien la montée du fondamentalisme au sein même de l'islam,
Ben à mon avis, mais cela n'est qu'un avis, les deux sont un problème, et nier que le premier existe ne fait que le faire grandir. C'est ce que j'essayais d'expliquer en partie dans mon exemple simplifié.
à cause de gens comme Idriss Sihamedi, qui sait utiliser les réseaux sociaux !
As-tu vu une sur-médiatiation les concernant ?
Les réseaux sociaux sont des médias. Personne ne peut le nier, je pense.
Non, les média nous occupent l'esprit avec les conflits entre bandes rivales : et tu le prouves avec ton exemple.
Pas de bandes rivales dans mon exemple , une communauté est un groupe social dont les membres vivent ensemble, ou ont des biens, des intérêts communs (religieux ou politiques pour moi c'est pareil...)
Pour éviter d'aborder le sujet-tabou des enjeux politiques entre la France et les pays du Moyen-Orient et d'Afrique.
Tout cela nous dépasse, hein, toi et moi, qui vivons dans des régions bisounours ;).
Tu sais, entre analyser de loin un problème et le vivre - ce problème dans certains endroits comme la Seine Saint-Denis
par exemple - au quotidien, il y a un abîme dans lequel s'engouffrent la peur, la souffrance et la mort.
Tu soulèves un point intéressant me semble, ça nous dépasse et pas que à toi et moi, et aux régions Bisounours, parce que en le vivant, le nez dedans, on n'est plus vraiment objectif, et ne pas prendre parti est encore plus difficile. Comment peut on donc dire le problème c'est ça, pas ça ou encore il faut, c'est la faute à ...alors qu'on a qu'une légère vision des choses entachées par des chiffres manipulables à souhait et une surmédiatisation bien souvent prenant partie pour un point de vue, et parfois une violence psychologique et ou physique supplémentaire parfois au quotidien?