• Zébulon Zébulon

    @Astyanax
    Le soucis est qu'à force il risque d'y en avoir plusieurs, de sujets. A moins d'en faire un " fourre-tout."
    Cette idée m'enchante moyennement. Raison un peu... personnelle. 😊

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  • Zébulon Zébulon

    Moi aussi j'ai parfois l'impression d'être un ado avec mon sac à dos. A l'intérieur se trouve ce que je ne quitte jamais. Mes ballades, mes joies, mon esprit ronchon, mes musiques préférées, la forêt de Fontainebleau, le charme de la campagne, mes baskets, mes vieux fringues, mes délires, mes errances, mon nid douillet joliment décoré, mes soirées Blind test ( pour boire et le côté festif, je ne trouve jamais rien ), les films, l'écriture de mon roman ( qui est resté collé sur une page, il n'avance plus ) mes délires du Net pire qu'un ado, le calme, les tempêtes, les coups de foudres ( j'arrive toujours après l'éclair ), mon portable et tout et tout dont quelques atouts, hormis la carte blanche. Elle porte bien son nom. Elle est tellement blanche que je ne vois pas où sont indiquées les directions. De toute façon je n'aime pas les cartes tout court. Elle me font penser à du papier. Alors je me noie. Je n'ai pas pied. Oui, je suis comme un ado qui ne sait pas nager. Mon sac à dos me sert de bouée de sauvetage...

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  • Zébulon Zébulon

    Avec ma tante, le poids des apparences prend tout son sens quand elle dort dans une tente. La tente devient boursoufflée. Et le problème arrive quand il faut emporter les deux. Le problème de comment écrire : " J'emporte mes tentes. Mes tentes ou mes tantes ?
    face à ce problème, j'ai trouvé le moyen d'en faire un pluriel.
    1 tente + 1 tante = 2 tentantes.
    J'écris : j'emporte mes tentantes.
    Mon tout est tentant.
    Comme cette idée tentante d'inviter les belles à faire du camping
    Surtout les Canadiennes
    A condition qu'elles aiment les sardines au menu
    Et d'écouter un peu de Sardou
    Aux paroles prégnantes
    Sans envies répugnantes
    Sans errance et sans souffrance
    Le poids des apparences
    Que l'on aime à dire
    Jolie calliépie
    Belle chipie
    A la corpulence généreuse
    Encore et en corps
    Que je goûte à tes apparences
    Afin que je puisse
    Retirer le poids de mes fardeaux
    Pour que, puissions aller en radeau
    Puisons ensemble cette envie
    De naviguer ensemble
    J'en fais un dessin
    Mais pas des seins
    Juste un destin
    Beau festin
    Du poids des apparences
    La plus belle des richesses.

    ![text alternatif](55954214-1dc6-49db-bf80-02e54872ec36-image.png url de l'image)

    Zébu.

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  • Zébulon Zébulon

    Gégé c'est qui ? Un aubergiste grognon et à qui il arrive que de malheurs. Son auberge est située non loin d'une usine à pop-corn. Et bien avouer que le temps est long du fait de la fermeture de ces lieux de vie. Heureusement qu'il m'a comme ami. Je vais souvent lui rendre visite. Et rien ne change ; c'est toujours la même rengaine : que des malheurs. Une de mes dernières visite dans son auberge...

    • Hello, Vieux. Alors, comment ça va depuis la dernière fois ?

    ![text alternatif](bcea6f88-9c77-4e20-aefe-efef83a9f7d6-image.png url de l'image)

    • Salut, Zébu. Bof. Regarde avec qui je suis obligé de tuer le temps...

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    • Mais, c'est un poster !
    • Justement. C'est un poster que j'ai mis en face de moi. Il s'appelle Marcel. Comme le confinement c'est encore pire qu'avec les dingues, autant que je cause avec un collègue qui ne me gonfle jamais. Au moins quelqu'un avec qui causer dans cette auberge de malheur. Hein Marcel, qu'on s'éclate bien !
      Comment veux tu qu'il me gonfle sachant qu'il ne dit jamais rien. En plus il est toujours content. Hein que c'est vrai, Marcel ? Le seul soucis est que le mur est humide. Tu penses quand même pas que je vais mettre du chauffage pour zéro client. Déjà qu'il n'y a pas de sou qui entre, alors hors de question de chauffer les souris. Et ce n'est pas Marcel qui va payer une tournée. Il n'a jamais froid de toute façon. Le problème est l'humidité des murs. Il déteste ça le Marcel, l'humidité. Les punaises fichent le camp la nuit quand ça gèle. Du coup il tombe par terre. Et le matin, il faut le raccrocher au mur avec une dent en moins. Il va falloir que t'arrêtes de perdre tes dents en tombant, Marcel. 100 fois que je te le dis. Après quand je te regarde en buvant un coup, je n'ai plus du tout envie de boire. Je ne vais quand même pas t'accrocher avec des clous.
      Je t'aime bien mais il ne faut pas pousser. T'es pas Jésus à ce que je sache. Déjà que j'ai reçu sa croix sur ma tête en pleine nuit. Il a fallu qu'elle aussi se décroche du mur. Pile au dessus de ma tête. Du coup j'ai changé de place le lit. Et comme par hasard, pile où se trouve le courant d'air. Alors obligé de rajouter une 4éme couette et un 2ème oreiller pour me couvrir le tête avec. Et au bout de la dixième fois que la croix est tombée, elle est restée par terre. Elle ne pourra pas tomber plus bas. De toute façon elle est cassée. Comme un con, un matin vaseux j'ai marché dessus. Ce qui m'a coûté un clou planté dans le pied. La croix a fini dans le mur, cassée en deux. Et là ça ne sentait pas bon du tout. J'ai bien vu que Jésus n'a pas aimé. Jésus avec le regard du diable, il fallait vite trouver une solution.
      Heureusement que tu étais là, hein Marcel ? A chaque fois que je te regarde en buvant mon café, tu m'inspires avec force. Sur ce que coup-là, ton idée était magnifique pour faire retrouver un regard normal à Jésus. Comme la croix était en deux morceaux, ces deux bouts de bois ont été parfaits pour en faire des bâtons de ski. Et hop, Jésus dans un aquarium en train de skier sur une dune ! Au moins l'aquarium sert à quelque chose depuis que les poissons n'y sont plus. Ne ne me pose pas la question, on me les a volés. Au moins le sable ne fond pas comme la neige et Jésus est content. Lui au moins peut skier. Et à noël c'est encore mieux. Les santons tiennent mieux dans le sable, même si on les voit à peine. A mon avis les fèves des galettes des rois sont trop petites. De toute façon je ne pouvais pas mettre plus gros. Déjà que Jésus prend presque toute la place dans l'aquarium.

    Hein qu'on fait une belle équipe, Marcel ? Bon, je sais, avec toi aussi je t'ai marché dessus un matin vaseux. Et une punaise plantée dans le pied et toi qui a volé contre le mur. Tu étais quand mieux encadré. Bon, c'est vrai qu'avec les bouts de bois du cadre, j'aurais pu te mettre dans l'aquarium avec Jésus pour skier ensemble. Oui, mais avec qui je cause, si plus personne en face de moi, hein ? Tu me comprends, j'espère ? Je sais, je sais, tu me l'as dit 100 fois que tu aimerais bien retrouver ton cadre. Mais moi, ton cadre il me gonfle ! Il t'alourdit ! Du coup en plus de te casser la gueule la nuit, c'est aussi le jour. Je préfère que tu tombes léger la nuit. Et je ne suis pas prêt d'oublier quand à cause de ton poids, tu es tombé pile au moment où je mangeais ma soupe. Tu sais que tu as failli me tuer ce jour-là, à cause d'un morceau de verre du cadre qui a atterri dans ma soupe ? Alors le mieux est que tu restes au régime.
    Puis un jour, j'aimerais bien que tu répondes à ma question. Pourquoi dans ton dos est griffonné Picasso ? Qu'est ce que t'as à voir avec les Citroën ? Et ça m'étonnerai que tu as un lien de parenté avec le peintre. Et encore moins qu'il t'a peint. De toute façon je l'ai effacé au marqueur pour graver "Marcel" à la place. Je préfère causer avec quelqu'un qui porte le bon nom. Sinon ça me perturbe. Et plus ça me perturbe, moins j'ai soif. Boire, y a que ça qui sauve en ce moment. On oublie les dingues de cette usine de malheur et la Covid. D'ailleurs je me demande si ce ne sont pas eux qui ont balancé cette merderie sur le marché. Même confinés ça n'arrêtent jamais. Il faudra que je chope un des ouvriers pour savoir si mes soupçons sont fondés.

    Bon, Marcel, il est temps de faire la dorme. Et ça commence. Pourquoi il y a déjà une punaise qui a fichu le camp ? Maintenant t'es tout biseauté. A mon avis t'es encore trop lourd. Et moi qui pensais qu'avec tes dents en moins ça allait le faire, ça ne fait rien du tout, toujours trop lourd. A mon avis je vais découper ton béret au ciseau. Hein ? Tu veux pas que je touche à ton béret ? T'inquiète, le Gégé a toujours de bonnes idées. Je vais dessiner un béret sur le mur. Comme ça on le verra à la place du trou. Même toi tu vas y voir que dalle. Et puis ça suffit tes crises ! J'y peux rien si t'es trop lourd et que le mur ne tient pas les punaises ! Pour la peine tu vas dormir de travers cette nuit. De toute façon tu vas encore te casser la gueule. Tu tiens pas la nuit avec 4 punaises, alors ce n'est pas avec 3. Et il faudra bien un jour que je récupère celles qui se baladent je ne sais où dans la salle. Pire que des puces, ça saute partout quand ça tombe et impossible de mettre la main dessus. A force la boîte de punaise sera vide. Et je t'accroche comment si la boîte est vide, hein ? Avec de la colle, tu dis ? Bon, si c'est pour dire des conneries, je te fais tomber de suite. Combien de fois je t'ai dit que la colle c'est encore pire, elle arrache la peinture quand tu tombes ! Et qui passe une heure ensuite pour te gratter le dos histoire d'enlever la colle et la peinture, c'est Gégé. Alors maintenant ça suffit, tu dors ! En parlant de ça, il serait bien qu'un jour tu te décides d'ouvrir enfin les yeux. 100 fois que je te le dis. Je sais jamais quand t'es lucide. Et ça aussi, ça me perturbe. Alors j'aimerais que tu m'écoutes quand je te cause. Exceptionnellement, cette nuit tu vas dormir avec la lumière. Pourquoi, tu dis ? Vu que tu te décroches chaque nuit, je vais voir si avec la lumière ça règle le problème. Et cesse de tirer la tronche ! Et dors ! Si ce n'est déjà pas fait. Tu vois que ça me perturbe tes yeux fermés. Je sens qu'un jour je vais les découper au ciseau. Avec les trous on verra le blanc du mur. Donc les yeux ouverts. Et la nuit tu auras deux rustines pour les fermer. Tu ne veux pas non plus ? J'ai dit de cesser tes crises ! Et c'est parti, une 2ème punaise qui vient de sauter. Maintenant t'es tout en boule. C'est décidé, demain je t'allège ! Et ne commence pas à criser ! Merci.

    • C'est ça que j'aime bien chez Marcel, Zébu. Plus tu l'engueules, plus il est content. Toujours le même air enjoué.
    • Je vois ça. Bon, si on buvait un coup plutôt ?
    • Bonne idée. Il faut entretenir la joie.

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  • Zébulon Zébulon

    @Kachina13
    C'est gentil. Sourire. J'en ai plein d'autres, mais autant rester sur le poids des apparences. Et là aussi, j'en ai un paquet aussi nombreux que des petits pois dans une boite. Un jour il me faudra un ouvre boite pour les faire déguster...😊

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  • Zébulon Zébulon

    @Kachina13
    Ah...ma Bretonne. Je l'ai rencontrée à l'île de Groix. Mon petit bout de paradis qui a bercé mon enfance. J'étais jeune et beau. Mes grands-parents y vivaient avec mon oncle. Un oncle extraordinaire. On ne pouvait que l'aimer. Lors d'une soirée dans un pub, tenu par un homme admirable, le destin m'a présenté cette belle Bretonne. Un bel amour est né. A cette époque j'habitais à B-B. Boulogne-Billancourt, là où j'ai vécu bébé et y habitais par la suite. Ma Bretonne étudiais à la Fac de Nanterre. Ce qui permettait de jongler entre la Bretagne et Boulogne. Un an s'est écoulé. Nous avions des projets communs. Comme de vivre ensemble. Oui mais voilà, il a fallu une tragédie. Un vendredi soir, j'ai loupé le dernier bateau pour Groix de 20h30. J'ai dû passer la nuit à Lorient. Je suis allé dans un pub. Juste comme ça histoire de, avant de regagner ma chambre d'hôtel. Une Bretonne m'a fait du rentre-dedans. Non pas que c'était une beauté merveilleuse, mais dotée d'un esprit brillant. Sa beauté intérieur me fascinait. J'ai été obligé de lui dire qu'entre nous ce n'était pas possible. Elle m'a fait des louanges. Ce qui n'a pas empêché d'échanger nos 06. Après une soirée arrosée et moult discussions, j'ai regagné ma chambre d'hôtel. Le lendemain, à 8h45, me voici dans le bateau. Ma chérie était radieuse. Moi aussi. Puis, comme à son accoutumée, nous avions passé un week-end formidable. Le lundi soir j'étais de retour chez-moi. La Bretonne " bis" a commencé à m'envoyer des SMS foudroyants. Non pas d'amour, mais enjolivés d'alexandrins. Elle adorait écrire en alexandrin. Je lui répondais en haiku. A bout du 4ème échange, nous sommes revenus au basic. Aucun de nous deux ne parvenait à comprendre quelque chose. Au moins les échanges se faisaient plus rapidement. Dans tout ça, ma Bretonne officielle commençait à avoir des doutes au style de mon écriture en mode quatrain. Ses soupçons se sont envolés lorsque je lui ai dit qu'elle m'inspirait au point d'embellir mes mots. Qu'est-ce que je n'ai pas dit là. Ses hormones ont explosé. Et voilà l'autre Bretonne qui en remet une couche. Dans ma tête il fallait " scier " cette relation avant l'embûche. Oui mais voilà, la bougresse m'a proposé un concert de Lo'Jo et Yog Sothot à Lorient. " J'adore !" que je lui ai dit. Quel con, jamais entendu parler d'eux. Mais elle m'a vanté ce groupe d'une telle manière, que machinalement j'ai fini par adorer sans ne rien savoir sur eux. Ce concert était prévu le week-end en cours. J'ai appelé ma Bretonne d'amour pour lui dire que ce week-end je ne pourrai pas venir. Jusque là, tout va bien.

    Le samedi matin, me voici à Lorient. Je retrouve la " tueuse de couple. " Dans ma tête rien n'allait. Je me disais : " qu'est-ce que je fiche ici." Elle avait raison : le concert était génial. La nuit j'ai dormi sur son canapé. Il était 5h00 du mat. Discuter de tout et de rien, le temps passe plus vite qu'une lettre à la poste. Je suis reparti le dimanche soir avec un souvenir immarcescible. Ce souvenir de cette tonitruante Bretonne. La page s'est fermée. Elle a compris qu'elle ne faisait pas le poids sur la Groisillonne. A mon avis elle a dû se toucher pas mal de fois en pensant à moi. De mon côté, mes idées se sont définitivement consacrées à ma chérie. Le moment où tout a basculé. Je ne le savais pas encore, sauf les Groisillons. Et surtout ma chérie. La stratégie a été de faire comme si tout allait bien. Le week-end suivant, ouf, j'ai eu le bateau de 20h30. La traversée s'est faites comme une mamie derrière ses rideaux. J'étais cette mamie. Moi, toujours sur la partie supérieur de la poupe à regarder ce que j'ai vu dix mille fois. Peu importe, on ne s'en lasse jamais. Il faudra que je pose cette question aux mamies, le charme en moins des paysages.

    J'arrive à destination. La maison des parents de ma Belle. Le temps est magnifique. J'entre tout excité. Je me trouve en fasse d'un comité d'accueil. Ma Belle et ses parents, debout devant la table de la cuisine. Je commence à avoir la blob loche. Ma chérie me demande si je n'ai rien à lui dire. Je tire une grimace d'écolier. Elle me montre des yeux le journal Ouest France. Je le regarde. Il était déplié. J'ai reçu une surcharge de dix mille volts. En gros plan, moi et la Lorientaise en gros plan au concert. Aucun portable à cette époque, pourtant. Fichu journaliste. Le con m'a mitraillé avec la croqueuse d'homme. Ce jour là, je n'ai pas déballé mes affaires. J'ai passé le week-end chez un ami. Mes grands-parents et mon oncle ont perdu vie peu de temps avant. Une histoire digne de la sorcellerie. Ma chérie ne m'a jamais cru quand je lui ai dit qu'il ne s'était rien passé entre nous. Une triste fin. Actuellement elle a un grand garçon fait avec un autre homme. Tout ça à cause de cette photo. Moi en train de la tenir par l'épaule... Fichu journaliste.
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  • Zébulon Zébulon

    @Kachina13
    Un grand merci s'impose. J'ai deux sortes d'écriture. Celle de tous les jours - moins affutée- et la plus pointilleuse. Celles de mes anecdotes, j'adore. J'en ai un tas. Pour en venir à un " livre " je me suis lancé dans un premier roman. Un merdier sans nom. L'entame a débuté au smartphone. 4 heures pour un chapitre. Je n'avais pas d'ordi. A la moitié du roman, j'ai repris à zéro grâce à mon nouveau ordi. C'était la cata. Puis, comme je suis loin d'être un écrivain, toujours obligé de corriger à chaque lecture. Ce roman ? Il a germé grâce à mes BD virtuelles " La taverne de Gégé." Un tavernier grognon à qui il arrive que des malheurs. Les membres d'un forum en prenaient pour leur grade. Un humour subtil. L'histoire de mon roman est tout au présent. Il raconte l'histoire d'un aubergiste qui reçoit sa nièce qu'il n'a pas vue depuis 5 ans. Une espiègle terrible. Elle est possédée par son " Malin des shows. " Une aventure faite de drames et de joies. Elle va considérablement changer la vie de son oncle. Il va enfin trouver l'amour fou. Et cette " promise " va en faire voir de toutes les couleurs. Tout est déjanté. Le but de cet écrit est de s'y croire. A la manière d'un feuilleton. C'est drôle, c'est improbable, on rit. Chaque drame engendre de merveilleuses situations. Bon, il est l'heure de l'apéro entre voisin. Santé à toutes et à tous.

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  • Zébulon Zébulon

    @Zébulon a dit dans Le poids des apparences :

    Ce sujet est passionnant, car il comporte plusieurs points. Les temps n'ont-ils pas changés ? Jadis on regardait moins l'apparence. Et encore moins le statut social. Pour cette raison que l'on voit des moches avec des belles. Il faut bien rire un peu. Néanmoins, une règle ne change guère : nous avons tous les yeux de Chimène. Puis, existe encore et toujours : " qui se ressemble s'assemble." Et d'ajouter : " qui s'aime, sème bonne récolte." Je préfère la seconde. Il faut toujours passer la seconde et la 3ème est la bonne. Jamais deux sans trois comme on dit. Me concernant, j'ai un profond attachement au physique. Hélas, mes profondeurs sont disons...oblatives. Du moins je me le demande parfois. Je suis sous l'assuétude de mes attitudes obscures. Un mystère insondable dont moi-même je ne parviens à percer. Mes rêves sont aussi éphémères qu'une thébaïde à la quiétude paisible : tout se trouve en haute altitude. Et dire que je suis un bon hôte avec un peu d'aménité. Je suis le roi des casting pourris. Et je suis unique également. Ne riez pas, ma dernière conquête a duré 6 mois. Nombre de mois où il ne s'est rien passé. J'ai juste goûté au confort de son lit. Comme lit il y a mieux, même si le sien était taille XXL. Bizarrement je dors comme un bébé dans mon lit taille S. Sans doute à cause du S. Il me fait penser à "sport."

    Sinon j'aime écrire après avoir abusé un tantinet d'apéro. L'inspiration s'enivre et devient frappante comme un martinet. Mais un toujours du domaine tantinet. J'aimais mes années 2000. Une belle fiction comme 2001 l'Odyssée de l'espace. Tous mes rêves se sont réalisés après avoir passé 5 semaines à l'hosto. Mon noël 2000 était top. J'avais 5 infirmières à mes côtés. Une d'elles a fini en drame. Le soir elle m'offre un délicieux chocolat chaud. J'ai préféré le goût de son sourire. Au matin, son sourire était affreux. Pensez bien, lorsqu'elle a découvert le bol du chocolat rempli. Comme un con, j'ai eu la flemme de me lever. J'ai pissé dedans. Pas eu le temps de le vider. Passons cette honte. De toute façon la pire est arrivée quelques mois après mon rétablissement. Une chérie que j'ai titillée dans un bal en Bourgogne. La belle époque. Au matin elle n'était plus là, dans mon lit. A mon avis c'était à cause d'avoir confondu l'armoire de la chambre avec un arbre. Heureusement que ses fringues se trouvaient sur la chaise. Hélas, elle ne dormait pas. Elle a allumé la lumière et elle m'a demandé ce que je fais. -Je pisse. Eh merde, c'est l'armoire. " Ce coup-là plus de m'être endormi sur elle au moment du câlin deux heures avant, logique d'avoir fichu le camp au chant du cop.

    Pour revenir à cette histoire de " rêves réalisés", est grâce à la musique. Durant trois semaines, impossible de dormir. Je n'arrivais pas à rêver. Du moins de penser. Ce cas de figure empêche de dormir. Puis j'ai écouté de la musique. Un Walkman. Tout s'est mit à frémir en moi. J'ai pu imaginer et rêver. Et tout s'est réalisé. J'étais sur le devant de la scène. Un patron en or et une liberté insouciante. Je plaisais aux mecs et aux filles. Une période révolue. La sagesse et la quarantaine ont eu raison de moi. La crise de la quarantaine n'est pas une légende. Et encore moins mes conquêtes qui n'avais rien d'une légende. Je pensais que le physique ne faisait pas tout. J'en ai eu la preuve que si. Et plus jamais de psychologues. Une fois mais pas deux. Et plus encore si très douées en math. Même aller au WC est un art. On ne fait pas pipi, on fait Pi Pi. Trop pour moi.
    Une autre, qui pourtant n'était pas mal, un truc de dingue. la première fois qu'elle vient chez-moi. On picole un peu. Je file aux WC. Je reviens et je la retrouve entièrement " débâchée " sur le lit. Je censure la position. Sauf celle de mon lit en position Ouest. Tout est à l'Ouest avec moi. Je lui ai dit de tout remballer. Pas de sensualité, pas de galipettes. Elle est partie en mode furax. Heureusement qu'il n'existe pas de plainte pour " refus d'introduction." Une plainte impossible à mettre en œuvre. On va croire que se sont les écrivains qu'on accuse de ne pas avoir mis d'introduction dans leur roman. Il pourront se défendre avec l'index. L'honneur est sauf.

    Pour revenir au vif du sujet avec la nature du post, j'oubliais cette relation fumeuse avec celle de 24 ans de plus que moi. Une que j'ai connue tout petit. Punaise qu'elle était moche. Il faut pardonner mon âge con à cette époque. Son mari était un très bon ami de mon cher père en plus d'être son collègue du boulot. Il a fini par faire ses valises. Je me suis retrouvé avec elle et ses deux gosses. Un fille de 12 ans et un garçon de deux ans moins que moi. J'ai fait les valises à mon tour quand la fille voulait prendre la place de la mère. Situation loin d'être vénielle. Les trois ont pleuré. La mère à cause d'un amour volatilisé, le fiston pour avoir perdu son seul pote et la fille pour ne plus pouvoir fantasmer. Sans déconner où ai-je mis les pieds.
    Le pire est cette histoire avec ma Bretonne. Pour une fois qu'une me plaisait. Fait chier comme on dit. Le dénouement de la clôture de notre relation, il faut le voir pour le croire. Une histoire de fou. On verra ça plus tard.
    Bref : le poids des apparences, que de choses à dire. J'espère que cette lecture n'est pas trop rapsodique.

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  • Zébulon Zébulon

    @Peri
    Il est vrai que ça sort de l'ordinaire du fait du côté assez inédit pour ce jeu.

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  • Zébulon Zébulon

    @Peri
    Finalement il n'était pas si mal que ça. Cette histoire de morse un chamboulé un peu. Perso, j'aurai dit : Ma tête a 2 traits entre 2 points. 🙂

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  • Zébulon Zébulon

    @Noodle
    Bien bien. Il est sympa. J'ai ma petite idée de quoi il s'agit. Bon début.

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  • Zébulon Zébulon

    Ce sujet est passionnant, car il comporte plusieurs points. Les temps n'ont-ils pas changés ? Jadis on regardait moins l'apparence. Et encore moins le statut social. Pour cette raison que l'on voit des moches avec des belles. Il faut bien rire un peu. Néanmoins, une règle ne change guère : nous avons tous les yeux de Chimène. Puis, existe encore et toujours : " qui se ressemble s'assemble." Et d'ajouter : " qui s'aime, sème bonne récolte." Je préfère la seconde. Il faut toujours passer la seconde et la 3ème est la bonne. Jamais deux sans trois comme on dit. Me concernant, j'ai un profond attachement au physique. Hélas, mes profondeurs sont disons...oblatives. Du moins je me le demande parfois. Je suis sous l'assuétude de mes attitudes obscures. Un mystère insondable dont moi-même je ne parviens à percer. Mes rêves sont aussi éphémères qu'une thébaïde à la quiétude paisible : tout se trouve en haute altitude. Et dire que je suis un bon hôte avec un peu d'aménité. Je suis le roi des casting pourris. Et je suis unique également. Ne riez pas, ma dernière conquête a duré 6 mois. Nombre de mois où il ne s'est rien passé. J'ai juste goûté au confort de son lit. Comme lit il y a mieux, même si le sien était taille XXL. Bizarrement je dors comme un bébé dans mon lit taille S. Sans doute à cause du S. Il me fait penser à "sport."

    Sinon j'aime écrire après avoir abusé un tantinet d'apéro. L'inspiration s'enivre et devient frappante comme un martinet. Mais un toujours du domaine tantinet. J'aimais mes années 2000. Une belle fiction comme 2001 l'Odyssée de l'espace. Tous mes rêves se sont réalisés après avoir passé 5 semaines à l'hosto. Mon noël 2000 était top. J'avais 5 infirmières à mes côtés. Une d'elles a fini en drame. Le soir elle m'offre un délicieux chocolat chaud. J'ai préféré le goût de son sourire. Au matin, son sourire était affreux. Pensez bien, lorsqu'elle a découvert le bol du chocolat rempli. Comme un con, j'ai eu la flemme de me lever. J'ai pissé dedans. Pas eu le temps de le vider. Passons cette honte. De toute façon la pire est arrivée quelques mois après mon rétablissement. Une chérie que j'ai titillée dans un bal en Bourgogne. La belle époque. Au matin elle n'était plus là, dans mon lit. A mon avis c'était à cause d'avoir confondu l'armoire de la chambre avec un arbre. Heureusement que ses fringues se trouvaient sur la chaise. Hélas, elle ne dormait pas. Elle a allumé la lumière et elle m'a demandé ce que je fais. -Je pisse. Eh merde, c'est l'armoire. " Ce coup-là plus de m'être endormi sur elle au moment du câlin deux heures avant, logique d'avoir fichu le camp au chant du cop.

    Pour revenir à cette histoire de " rêves réalisés", est grâce à la musique. Durant trois semaines, impossible de dormir. Je n'arrivais pas à rêver. Du moins de penser. Ce cas de figure empêche de dormir. Puis j'ai écouté de la musique. Un Walkman. Tout s'est mit à frémir en moi. J'ai pu imaginer et rêver. Et tout s'est réalisé. J'étais sur le devant de la scène. Un patron en or et une liberté insouciante. Je plaisais aux mecs et aux filles. Une période révolue. La sagesse et la quarantaine ont eu raison de moi. La crise de la quarantaine n'est pas une légende. Et encore moins mes conquêtes qui n'avais rien d'une légende. Je pensais que le physique ne faisait pas tout. J'en ai eu la preuve que si. Et plus jamais de psychologues. Une fois mais pas deux. Et plus encore si très douées en math. Même aller au WC est un art. On ne fait pas pipi, on fait Pi Pi. Trop pour moi.
    Une autre, qui pourtant n'était pas mal, un truc de dingue. la première fois qu'elle vient chez-moi. On picole un peu. Je file aux WC. Je reviens et je la retrouve entièrement " débâchée " sur le lit. Je censure la position. Sauf celle de mon lit en position Ouest. Tout est à l'Ouest avec moi. Je lui ai dit de tout remballer. Pas de sensualité, pas de galipettes. Elle est partie en mode furax. Heureusement qu'il n'existe pas de plainte pour " refus d'introduction." Une plainte impossible à mettre en œuvre. On va croire que se sont les écrivains qu'on accuse de ne pas avoir mis d'introduction dans leur roman. Il pourront se défendre avec l'index. L'honneur est sauf.

    Pour revenir au vif du sujet avec la nature du post, j'oubliais cette relation fumeuse avec celle de 24 ans de plus que moi. Une que j'ai connue tout petit. Punaise qu'elle était moche. Il faut pardonner mon âge con à cette époque. Son mari était un très bon ami de mon cher père en plus d'être son collègue du boulot. Il a fini par faire ses valises. Je me suis retrouvé avec elle et ses deux gosses. Un fille de 12 ans et un garçon de deux ans moins que moi. J'ai fait les valises à mon tour quand la fille voulait prendre la place de la mère. Situation loin d'être vénielle. Les trois ont pleuré. La mère à cause d'un amour volatilisé, le fiston pour avoir perdu son seul pote et la fille pour ne plus pouvoir fantasmer. Sans déconner où ai-je mis les pieds.
    Le pire est cette histoire avec ma Bretonne. Pour une fois qu'une me plaisait. Fait chier comme on dit. Le dénouement de la clôture de notre relation, il faut le voir pour le croire. Une histoire de fou. On verra ça plus tard.
    Bref : le poids des apparences, que de choses à dire. J'espère que cette lecture n'est pas trop rapsodique.

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  • Zébulon Zébulon

    @ayamé
    N'en faites pas trop non plus. Je suis sensible, moi. De toute façon je l'ai effacée. Il me semble que ça donne accès à pas mal de choses. Ceci étant, merci bien. Ah ça, une aventure qui vaut son pesant d'or. Je pourrai raconter. Rire.😁

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  • Zébulon Zébulon

    J'adore le biathlon. Hélas, faute de temps j'ai lâché prise depuis début janvier. Martin Fourcade manque c'est certain. Une des raisons de la motivation un peu en berne de J.Boe. J'ai bien aimé cette phrase venant de lui en citant Martin : " Je dormais avec une bête sous mon lit." La beauté d'un sport vient de l'adversaire. Plus un sportif de haut niveau lutte avec un adversaire tout aussi de haut niveau, plus les batailles sont belles. Il faut toujours un point de référence pour devenir encore meilleur. Le regret pour l'équipe de France est son manque de constance. Un jour elle peut briller, le lendemain elle perd pied. Si la Norvège est au dessus de l'affiche, est grâce à J.Boe qui est un leader. L'autre force de cette équipe est grâce à la nouvelle génération comme Laegreid et le redoutable J.dale. Sans oublier T.Boe en parfaite hormonie avec son frère et l'équipe. Hormis ceci, Martin était vraiment exceptionnel du fait que l'équipe dépendait de lui. Il faisait le boulot souvent seul avec des beaux titres à la clé. Pour résumer, il manque à la France un remplaçant de Martin et une constance à l'équipe. Surtout au niveau des tirs. Dommage, sachant que sur la piste ils ne sont pas mauvais du tout. Il sera très difficile de déloger les Norvégiens. Ils ont un " pack " redoutable. Leader, constance, athlètes de haut niveau...

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  • Zébulon Zébulon

    Autant que je m'adapte à vos souhaits. Il existe beaucoup de jeux " virtuels " - qui ceux ceux-là, ont été créés par des membres issus d'une communauté de forums - et qui promettent d' y passer de bons moments, comme celui du Bourdon d'or, les couleuvres, culturels et bien encore. Jeux qui sont très " flexibles." D'autres jeux le sont un peu moins du côté libre arbitre. Concernant ce jeu proposé du logogriphe, je vous laisse œuvrer à votre convenance en " mixant" sur l'ensemble des règles selon les cas de figures et également officiels. Un peu comme au jeu de la Belote où il existe plusieurs propositions de jeu. Puis ceux qui sont figés de par leur règle comme le Tarot. Le logogriphe est au même titre que la Belote. Moi j'ai proposé celui qui convient moins. Autant changer. Donc vous le faites vivre comme vous le souhaitez. Et l'avantage est que ça va clore les mauvais débats. A vous de touiller à votre sauce. De mon côté je reste un participant lambda. Vous avez la main.

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  • Zébulon Zébulon

    @Chibi
    Des fois je me trompe entre " copier l'adresse de l'image " ou " copier l'adresse du lien."

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